Sur le chemin d'une armée [PV Norman]

Des éclaireurs étaient souvent envoyés loin du campement afin d'avertir d'une quelconque attaque et informer sur le déplacement ennemi. Les patrouilles quant à elles, se chargeaient de veiller le long des routes, de prévenir d'une incursion, de rassurer les quelques paysans réticent à se réfugier dans l'une des forteresses. Les patrouilles avaient aussi pour rôle d'intercepter les fuyards, les déserteurs et les solitaires dont l'art de l'espionnage était à redouter. C'est ainsi que Gran et ses hommes longeaient la plaine menant à Oësgard-La-Forteresse, par un vent froid annonçant un début de soirée encore plus frais que la journée écoulée. Et alors qu'ils faisaient demi-tour pour retourner au campement d'Essenburg, un étrange spectacle s'offrit à eux. Entre deux arbres, un colosse de deux mètres battait l'enclume, lorsqu'ils posèrent le pied au sol et se rapprochèrent, ils reconnurent une silhouette féminine. Tous ces hommes étaient plus petit qu'elle d'une vingtaine de centimètres au minimum et rare étaient les hommes en Oësgardie à pouvoir atteindre cette hauteur. Le seul que tout le monde connaissait et qui la dépassait, elle, aisément, était leur baron, Norman le Terrible. Gran sortit de sa torpeur et lui ponta son arme dans son dos, la sommant de les suivre, après un brève échange peu instructive, la forgeronne fut assommée par le plat de la lame. Lui ligotant les bras, ils durent se mettre à deux pour la hisser sur un cheval. Lorsqu'ils découvrirent son visage inconscient, une vague de panique secoua la patrouille. C'était une drow, impossible de ne pas le reconnaitre pour ces hommes qui en avaient combattu des milliers auparavant. De là, les opinions divergèrent. La pendre sur le champ l'un des deux arbres ou la mener vers le baron ? Certains proposèrent même de ravager son corps avant de la livrer ou de la pendre. Gran les en empêcha en argumentant que c'était à leur baron d'en décider.

Un drap la recouvrait lorsqu'ils traversèrent le campement, mais ils le lui retirèrent lorsqu'ils la jetèrent devant la tente. Gran pénétra à l'intérieur et informa Norman de sa prise. Ce dernier demanda de plus ample précisions, si elle seule ou avec des comparses. Baron avant tout, il craignait une invasion, mais les paroles de son patrouilleur le rassurèrent et il lui demanda d'envoyer des éclaireurs vers la frontière avec Aduram malgré tout. Quelques minutes plus tard, il sortit de sa tente. Le colosse toisa la Sombre, ce n'était pas Surion, sa haine si elle fut existante à l'annonce de sa race, retomba presque aussitôt. D'un signe de tête, il ordonna à ses gardes de la trainer jusqu'à l'intérieur de sa tente.

Ses cheveux blonds trainaient dans son dos, il portait une cuirasse qui laissait à nu ses bras. A sa ceinture, un glaive et son marteau. Les gardes sur un ordre silencieux de leur baron mirent debout la drow. Ce dernier se permit alors de la regarder enfin, pleinement. La première chose qui le saisit fût sa taille, comme vous l'aurez sans doute remarquer ceci était un détail que Norman affectionnait beaucoup. C'était la première femelle qu'il rencontrait dont la taille fut à peine inférieur à la sienne. La deuxième chose qui le saisit fut son tatouage sur le front, sans doute un signe tribal. Le colosse se permit également de la détailler longuement, les femelles drows avaient une certaine beauté indéniable qui rendrait jalouse bien des femmes derrière leur mépris envers cette race maudite. Se rapprochant légèrement d'elle, Norman lui demanda alors.

- Que viens donc faire une drow seule chez les Hommes. Puis avec un sourire amusé, il ajouta. Permettez moi toutefois de me présenter, Norman d'Uberwald, Baron d'Oësgard. A qui ai-je l'honneur ?

Il ne fallait pas perdre ses bonnes habitudes. Le colosse congédia ses gardes alors que la Sombre était toujours entravée. Confiant, il savait qu'en cas de débordement il saurait la tuer. D'un ton neutre, il enchaina.

- Donnez moi une bonne raison de ne pas vous exécutez.

Norman ne connaissait aucun nom de famille drow, le seul qu'il avait retenu était celui de Surion, de ce fait les Kel'Razia ne lui disait absolument rien du tout. Haussant les sourcils, il alla d'un bon rire franc. Oësgard possédait les meilleures armes de la Péninsule, le meilleur acier et les meilleurs forges, et ce n'était certainement pas une misérable drow qui les effacera. Reprenant son expression normal, il apprécia son humour.

- Nous sommes en guerre contre votre peuple. Vous comprenez bien que l'on ne pouvait vous laissez vous promenez sur mon territoire en toute impunité. Votre tenue est excusée, et elle nous vous servira plus à rien si je venais à vous tuer.

Elle inclina légèrement la tête en guise de salut. Et l'informa également qu'elle n'était en Oësgard que de passage, à vrai dire, elle avait de l'audace à s'aventurer seule en territoire ennemi. Pendant qu'elle lui répondait, il fit un pas en arrière tout en la fixant, et se saisit d'une lance dont le fer menaça Arkezia. Norman n'appréciait guère les drows, objet de haines et de désirs, il n'hésiterait pas à l'exécuter, mais par une journée fort ennuyante au campement, il se permettait de rallonger quelque peu son espérance de vie.

- Oësgard ne manques pas d'armes.

Le fer de la lance entailla légèrement sa gorge, et du sang perla de la petite entaille. D'un sourire carnassier, il ajouta sur le ton d'un prédateur qui avait piégé sa proie.

- Malheureusement ce n'est pas une raison suffisante. Je ne crains qu'il vous faudra plus pour ressortir vivante de cette tente.

La lame descendit le long de sa gorge pour se poser sur son épaule, qui était d'ailleurs un peu plus large que la moyenne. Son métier de forgeronne lui avait "forgé" un corps robuste, mais Norman était certain qu'en combat singulier il l'emporterait.

- Vous n'auriez pas dû pour aventurer par chez moi.

Le baron fit inciser le cuir qu'elle portait au niveau de son épaule, lui faisant ainsi comprendre ce qu'elle risquait à présent qu'elle se trouvait prisonnière sous sa tente.

- Jusqu'à quel point tenez vous à votre vie ?

Le drow retira sa lance et la jeta un peu plus loin derrière l'imposant bureau. Gardant un œil amusé sur la sombre, il s'en alla se verser un verre de vin, et un deuxième pour Arkezia qu'il lui tendit. Le bon vin Oësgardien était d'une qualité bien inférieur à celle de ses voisins, la spécialité de la contrée était la bière et ses fameuses brasseries mais le tonneau venait tout juste de se vider, ce pourquoi le vin.

Toujours ligotée au niveau des poignets, elle se saisit tant bien que mal de son verre de vin. Norman s'amusa du spectacle quelque peu et ne fit rien pour lui enlever ses entraves, sa bonté avait des limites quand même. Apparemment, sans grand étonnement, elle tenait à sa misérable petite vie de forgeronne et le baron lu dans ses yeux sa détermination à la défendre chèrement. Elle argumentant en mentionnant la réputation de sa famille, à faire mention de métaux inconnus, et à se prétendre meilleure que des hommes. Même si le colosse devinait une grande part mensongère ou superlatif, il décida de lui accorder le bénéfice du doute. Après tout, peut être était-il tombé sur une perle rare. Déposant ses lèvres dans la liqueur, elle se ravisa d'en boire et ajouta qu'elle se donnerait bien la mort si un artisan humain était meilleur qu'elle. Dans un murmure, Norman lui répondit qu'il y veillerait en personne. Le défi semblait excité la Sombre dont la respiration s'accélérait, sa poitrine se soulevant à chaque souffle attira le regard du baron qui ne pu s'empêcher de remarquer leur générosité. Terminant son verre d'un trait, la drow continua en lui demandant de lui défaire ses liens, ajoutant même qu'elle pouvait se battre pour lui, ce qui fit quelque peu rire Norman. Si une Sombre se battait parmi ses hommes, quelle réputation son armée prendra-t-elle. Sortant son glaive de son fourreau, le baron se rapprocha de la forgeronne, effaçant la distance qui les séparait, ils étaient si proche que leurs souffles se mélangeaient.

- Je vous accorde une chance dans ma grande bonté, si vous réussissez, vous aurez la vie sauve. Sinon, vous devriez trouver un autre moment.

Ajouta-t-il d'un sourire alors que l'une de ses mains se posa sur le haut de la cuisse de la forgeronne qu'il remonta jusqu'à son intimité caché par le tissu, en une caresse qui se voulait être plus celle de l'amant que du bourreau. Lui faisant comprendre ainsi ce qu'elle risquait à échouer, et ce qu'elle risquerait à l'avenir à s'aventurer chez les Hommes. Norman n'avait jamais goûté du Sombre, leurs silhouettes pulpeuses et tentatrices attisait sa curiosité... et son désir. Il retira sa main après quelques secondes et d'un coup sec, il lui délia les poignets. Les prostituées du campement ne le satisfaisaient aucunement, il lui fallait remettre la main sur une "vrai" femme, et les dieux ont décidé de lui offrir une femelle drow.

- Je vous donne le juste temps nécessaire pour m’impressionner. Mes hommes vous procureront le matériel nécessaire.

Il appela alors Gran, qui était resté posté à l'entrée, et lui demanda qu'avec l'aide de quelques hommes, qu'il réunisse tout ce dont l'elfe aurait besoin pour reforger la lame. Après ce, Norman s'installa sur le divan, sirotant un autre verre de vin, son marteau à ses pieds, son glaive à ses côtés, contemplant la drow qui se mettait au travail.

- Tentez quoi que ce soit contre moi, et je vous exécute sur le champs.

Ses gardes se tenaient prêt à intervenir à tout moment. La DameDieu dans sa générosité avait décidé de lui offrir un amusement pour passer le temps, le lendemain, il lui sacrifierait des offrandes.

Alors que Norman remontait sa main le long de sa cuisse, il pu voir une moue de satisfaction sensuelle. Ce contact n’avait sans doute pas été désagréable pour la drow, Norman prenait seulement comme un bon point positif. Un plaisir partagé était toujours meilleure qu’un plaisir seul, et le viol même en étant distrayant et agréable ne valait pas les intentions d’une amante. Se retirant donc, il laissa Arkezia prendre ses aises et donner des ordres à Gran qui louchait sur ses attributs. Ayant combattu des drows auparavant, il en avait jamais vu de femelle aussi près, mais surtout une aussi grande. La Sombre s’avéra être une sorcière, faisant froncer les sourcils à Norman. En voilà une bonne surprise, elle pouvait se montrer dangereuse en tout moment, ce pourquoi d’un signe de tête, il demanda à Gran de faire entrer également sous la tente deux arbalétriers aux carreaux si meurtriers. Si jamais le moindre soupçon d’attaque de la forgeronne se faisait sentir, les gardes ouvriraient alors le feu. Mais elle n’en fit rien, sa magie opéra et un gros rocher sortit du sol. Le baron accoudait sur son divan l’observait attentivement, les forgerons Oësgardien étaient assurément les meilleures mais une œuvre drow pourrait se vérifier redoutable. Sa magie était impressionnante, et Norman espérait vivement qu’il n’aurait pas à se battre contre, se montrant attentif, il suivi les différentes étapes mais ne montra rien de son plus au moins « admiration », elle faisait incontestablement un travail étonnamment brillant. La concentration d’Arkezia était visible, d’ailleurs plus aucun bruit ne se faisait entendre sous la tente mis à part celui du marteau, un rythme lent et régulier si commun aux hommes d’oësgardie. Une heure s’écoula rapidement, le baron avait été captivé par le travail de la forgeronne mais il n’en montra rien. Il avait une réputation à entretenir.

Le baron pouvait apercevoir le reflet des flammes mourantes sur la lame, qu’il devait avouer, avait un bel éclat. Après l’avoir lissé, elle déposa la lance aux pieds du colosse sous les regards attentifs des gardes qui avaient leurs arbalètes pointées sur elle. Arkezia lui demanda ensuite de l’essayer, y mettant jusqu’à même sa vie en jeu. Norman accepta alors, et demanda à Gran toujours présent, de lui amener un prisonnier, c’était un éclaireur ennemi qu’ils avaient attrapé à fouiner du côté du campement. Quelques minutes plus tard, à l’aide d’un deuxième soldat, il amena un petit brun aux pieds des deux colosses, l’éclaireur devait sans aucun doute se sentir bien petit devant de tel géant. Sa surprise fut d’ailleurs grande lorsqu’il reconnu en la forgeronne une drow. A genoux donc, Norman lui rappela le crime de trahison dont il était coupable, et le condamna à mort. Faisant abstraction des supplications du gaillard, il le transperça de sa lance nouvellement acquise et l’empala au sol avec une facilité déconcertante. Satisfait, il demanda aux gardes de le laisser seule avec sa prisonnière et de faire sortir le corps inanimé du traitre. Ils s’exécutèrent en laissant un sillon de sang au sol. Lance en main, il prit la parole en se rapprochant de la drow.

- Votre travail mérite une rallonge à votre mort.

Se rapprochant encore plus, sa lance menaçait le flanc de la drow, son souffle caressant la peau foncé. Ses lèvres caressèrent celles pulpeuse de la sombre, charnues et tentatrices aux couleurs d’argent, Norman lui vola un baiser.

- Mais votre vie demande plus d’effort

A nouveau, il se permit un baiser plus appuyé alors que sa main libre se posa sur l’autre flanc de la drow. A voir à présent si le jeu allait se muer en amusement consenti ou pas … Norman allait peut être réalisé un vieux fantasme, il n'avait jamais eu le loisir de toucher une drow de telle façon, et ces succubes ensorceleuse attisaient son désir et sa convoitise.

Norman reçut une réponse positive à son invitation, Arkezia entrouvrit ses lèvres et réagit favorablement à son baiser alors que ses mains retraçaient paresseusement les courbes de ses bras. Les doigts de la sombre remontèrent jusqu'au cou du colosse derrière lequel elle croisa ses bras, fixant Norman de son regard d'acier. Le baiser fut interrompu, et la sombre amena ses bras tout contre elle pour se serrer tout contre lui alors que le baron laissa la lance dérapé, finalement il n'en aurait pas besoin. A moins que tout cela soit un piège, mais il ne pensait pas à cette éventualité, ses pensées étant entièrement dirigé vers le moment présent, il n'avait pas le temps de divaguer dans une paranoïa peut-être requise face à un tel être. Les lèvres de la belle dérapèrent sur son cou et remontèrent le long de sa mâchoire pour se saisir de ses cousins masculins. Norman y donna du sien, et sa langue se fraya un chemin pour offrir une caresse voluptueuse à sa voisine, une petite danse s'activa alors mais Arkezia y mit fin. La beauté drow était bien différente de celles des humaines, même si certaines possédaient des formes généreuses, peu avaient la grâce naturelle et la la velouteuse des sombres. Cela sera sans doute l'unique occasion du colosse d'y goûter, et il comptait bien y profiter.

La forgeronne fit glisser ses bras dans le dos du baron, lui demandant si elle pouvait le débarrasser sa cuirasse.

- Faîtes donc !

Il ne resta pas inactif quant à lui, délaissant donc sa lance, ses mains se posèrent sur les hanches de la belle, bien large, les baladeuses dévalèrent la pente des reins pour tâter du galbe de ses fesses aux courbes parfaites. Le désir de l'humain commençait à se faire sentir, et la chaleur de la tente commença donc à monter, certes lentement mais assurément. Norman n'avait pas à se baisser énormément pour être à la même hauteur que la sombre, cela était bien la première fois, l'humaine la plus grande qu'il avait fréquenté était sa femme de main et elle avait une bonne vingtaine de centimètres de moins que sa cousine drow. Les lèvres du baron se posèrent dès lors sur son cou où ils goûtèrent à la texture avant d'aller se poser sur la naissance de son épaule que sa tunique d'armurière laissé à nu. Les préliminaires étant important, il ne voulait pas sauter cette étape et accordait à Arkezia le statut d'amante et non plus celle de prisonnière qu'il violentera, ses intentions était donc mesuré et converger pour son plaisir mais également celui de la forgeronne. Ses mains arrêtèrent de palper les fesses de la belle pour se poser sur les rebords du vêtement en cuir rude qu'il décida à enlever.

Aussitôt le tissu à terre, une peau d'un gris d'acier sans imperfection reluisait presque. Un ventre plat à la musculature présente révélait son métier, mais, bonne DameDieu, ce n'était pas des collines qu'elle avait mais bien des montagnes, entravaient par un sous-vêtement métallique que Norman désirait qu'enlever. Ses mains rejoignirent les sommets de ces deux montagnes, les massant légèrement malgré le tissu agrémentait de pièces en fer dérangeant. Objet de péché mais manifestement de jouissance également.

- Les drows ont une réputation dans ce domaine, voyons voir si elle est méritée.

Ses lèvres se ressassèrent à nouveau de celles argentées d'Arkezia alors que Norman la poussait légèrement vers le divan qui n'attendait qu'être le témoin de leurs ébats interdits mais que si bruit devait courir, passerait pour un viol de la part du baron sur l'ennemie éternelle.

La chorégraphie des mains continua, alors que la Sombre détachait les attaches de sa cuirasse, découvrant le torse virile du baron. Un léger soupir s'échappa des lèvres de la forgeronne, alors que les mains du baron pétrissaient sa poitrine. Les doigts de la belle quant à eux cajoler les pectoraux puissant du guerrier qui se perdait sous les caresses de la succube. Rapidement les mains de la belle quittèrent les muscles de son torse pour se perdre sur ses fesses et ses cuisses, faisant sentir un peu plus encore Norman à l'étroit sous sa prison de tissu. Le colosse était entrain de goûter à la luxure même, chez une représentante du peuple même. Alors qu'un des pieds de la drow buté contre le diva, celle-ci affirma sa prise sur la nuque et le bas du dos du colosse, et enserra sa jambe d'appui à l'aide de l'une des siennes, puis en pivotant sur elle même, elle fit basculer le baron lui faisant perdre l'équilibre. Il atterrit de dos sur le divan en position plus au moins soumise, étant donné que l'armurière était au-dessus de lui. Son stratagème ayant brillamment réussi, ses lèvres vinrent quérir celles de l'humain une nouvelle fois, leurs langues s'emportèrent dans un boléro enflammé et ardent, toujours scellées les unes aux autres, Arkezia dégrafa son sous-vêtement et l'envoyer valser un peu plus loin. Elle plaça ses jambes encore dissimulé sous un pantalon en cuir noir de part et d'autre du bassin de Norman, et mit fin à leur plus longue embrassade et Norman pu enfin apprécier pleinement les formes agréables de l'ensorceleuse, elle lui prit les mains pour les poser sur ses seins, de véritables montagnes de bonheur. Le regard de la sombre était imprégné de passion, et celui du baron le lui rendait.

Elle déposa les mains de l'humain sur ses seins, et doucement, il commença à les masser d'abord lentement puis allant de plus en plus vivement, mais toujours avec sensualité, de manière à éveiller les sens de la drow, d'une poigne ferme où l'on pouvait sentir l'expérience. Jamais il n'avait eu à manier de tels jouets, d'aussi imposant et assuré. Sans aucun doute une expérience unique. Ses doigts allèrent aguicher ses mamelons, les durcissant un peu plus sous ses doigts experts trahissant le désir d'Arkezia. Celle-ci ne reste d'ailleurs pas inactif. Détaillant chaque dénivelé de sa peau avec ses doigts argentés, elle pouvait remarquer quelques cicatrices ici et là révélant la nature guerrière du baron, les doigts de la belle dévalèrent lentement la cascade de ses pectoraux et flânèrent avec ses abdominaux, survolant ses hanches et le haut de son pantalon, alors que la main gauche alla se superposer sur celle du colosse toujours occupé sur la poitrine de la belle. La main droite de l'armurière quant à elle se glissa sous le vêtement, se posant sur son membre. Lentement, elle commença un léger mouvement de va et vient élevant ainsi sa raideur. Pleine de malice, elle susurra quelques mots à son amant.

- Un homme ne se désarme jamais complètement, vous devriez le savoir. Ajouta-t-il avec autant d'espièglerie.

Norman commença sérieusement à se sentir à l'étroit, son mastodonte réveillait ne demander que de goûter à l'air libre. Arkezia n'en verrait sans doute jamais un aussi imposant, la DameDieu s'était montré généreuse avec son enfant, le dotant d'une taille imposante du haut de ses deux mètres neuf où tout avait était soigneusement proportionné. La drow du haut de ses deux mètres ne devait pas rencontrer énormément de mâle qui avait la capacité de la contenter. Norman en ferait-il parti ? En tout cas, il refusa de rester dans une position soumise aussi longtemps. Ses mains descendirent au niveau de l'aine de la sombre et la firent basculer sur le dos à son tour. Le baron se décida à la dévêtir un peu plus encore, les jambières de l'armurière ayant était retiré durant sa capture, il lui retira son pantalon après l'avoir déboutonné, et tira sur l'une puis l'autre des pans la laissant ainsi en simple sous-vêtement où une pièce métallique se trouvait également. Souriant, il se pencha sur son cou qu'il cajola avant de descendre vers sa poitrine mais avec ses lèvres cette fois-ci, embrassant les sommets de ses montagnes, il les taquina longuement, jouant de sa langue et les durcissant un peu plus encore sous ses assauts répétés. Les mains du géant descendirent vers ses cuisses dont elles tâtèrent le galbe et étreignirent la générosité.

Comme les Dieux avaient bien fait les choses ! Ils avaient indéniablement doté les drows d'un talent naturel certain dans le domaine qui aurait rendu jaloux bien des femmes et des hommes également. Le rire que reçu en réponse le baron s'arrêta lorsque l'artisane senti le désir de l'homme s'intensifiait sous sa main. Alors que Norman s'adonnait aux plaisirs de la poitrine de la sombre, cette dernière retira la bas du baron ne laissant alors prisonnier que d'une unique épaisseur de tissu, ce dernier à l'étroit n'attendait que de se libérer pour s'exprimer alors dans toute sa splendeur, une caresse le long du membre fit frémir l'humain en prémisse de ce qui l'attendait par la suite. Une main de drow vint effleurer son dos, l'autre essayer la texture de ses cheveux avant qu'elle ne le soulage de son carcan libérant alors le mastodonte fièrement droit. Le torturant presque, elle stimula encore la raideur en des caresses lentes et sensuelles.

Prenant le contrôle de la situation, Arkezia se redresse en tirant quelque peu sur le membre faisant bouger ainsi Norman également, elle le fit assoir sur le divan puis elle prit place plus belle, entre les cuisses du colosse. Elle lui retira ses bottes, le laissant par l'occasion aussi nu qu'un ver. Lorsqu'elle posa ses lèvres argentées sur l'un de ses genoux remontant jusqu'à l'intérieur de sa cuisse, les mains du baron allèrent lui caresser la chevelure, l'encourageant à continuer. Il ne désirait à présent qu'une chose, la possédait pleinement. Mais s'en était pas encore de son ressort, alors que ses baisers attisaient le feu de sa convoitise à l'intérieur des cuisses, d'une main experte la Sombre cajolait les attributs masculin de l'humain. Alors que sa bouche atteignit ses bijoux, sa main reteint le membre richement irrigué, et des râles de plaisir s'échappèrent à Norman qui ne pu retenir son contentement. La forgeronne informa le seigneur que son arme avait besoin d'un polissage, d'un geste de la main, il l'invita donc à polir. C'était elle l'experte. Ses lèvres et sa langue alternèrent et flattèrent le membre durci, même les courtisanes pourtant aguerries n'avaient pas ce coup de langue ! Après plusieurs aller-retour, Norman le fit pénétrer entièrement dans la gorge de la sombre qui accéléra le mouvement.

Il avait tout autant qu'elle envie de la prendre, mais faisait durer le plaisir, attendre encore pour que tout soit parfait, pour ressentir au plus profond de lui même cette frustration qui le tiraillerait tellement qu'il ne serait même plus capable de calculer le moindre de ses gestes et qu'il l'empoignerait pour la prendre sans aucune retenue. Oui, quand il la vit s'agenouiller devant lui en gardant son regard dans le sien, il sut tout de suite qu'elle serait capable de lui faire atteindre cet état, ce qui lui plaisait beaucoup, car le plaisir qu'il tirait de cette transe était tout simplement indescriptible. Il laissa un râle s'échapper de ses lèvres lorsqu'elle utilisa son membre. Il s'assura que ses cheveux ne viennent pas la déranger en les caressant, appréciant toujours autant le contact de sa crinière. Elle adopta des rythmes totalement aléatoire, ne suivant aucune logique, qui laissait le regard du second s'en aller en l'air en même temps que son esprit, serrant les dents pour ne pas laisser de trop grand râles de plaisir s'échapper de ses lèvres, toutefois sans grand succès. Il ne pouvait pas lutter contre elle et son regard salace qui l'invitait a aller plus loin et ne le voulait pas non plus, non il voulait s'emparer de son corps entier, se sentir a l'intérieur de son antre chaud et humide qui devait frétiller d'impatience. Comme lui, elle ne devait attendre plus que cela. Le mouvement amena une première jouissance, Norman répandit sa semence à l'intérieur de son antre buccale et une seconde plus tard elle se retira, mission sans doute accompli pour elle. Mais le baron fut surpris lorsqu'elle l'amena à un deuxième plaisir qu'il n'avait jamais gouté avec les femelles humaines. Arkezia plaça la virilité du colosse entre ses seins et commença un lent mouvement de va et vient ponctuer de quelques baisers sur la pointe. La légende qui courait sur les drows n'était pas fausse ...

Mais Norman ne voulut pas en rester là, se retirant d'entre ses montagnes de jouissance, il l'aida à se redresser avant de la propulser littéralement sur le divan en empoignant son fessier, sous leurs poids conjugués, ce dernier se renversa et les deux amants roulèrent sur le sol dans un langoureux baiser. Arkezia se retrouva en dessous de lui, quittant ses lèvres, le colosse glissa les siennes sur sa poitrine puis vers son ventre plat à la musculature perceptible. Sa main droite caressa l'intérieur de la cuisse gauche de la belle avant de remonté vers son unique sous-vêtement et le lui retirer avant de le jeter plus loin. L'intimité de la sombre était dépourvu de toute pilosité contrairement aux humaines, Norman y glissa sa langue qui joua sur le mont avant de descendre plus bas. Agrippant son fessier, il donna des coups de langues expert sachant faire jouir son amante, l'organe buccale pénétra d'ailleurs légèrement à l'intérieur avant qu'un doigt ne se faufile également quelques secondes seulement. La drow devait défendre chèrement sa vie si elle y tenait ...

Les mains de la drow allèrent jouer dans ses cheveux tout comme lui précédemment, Norman lui faisait perdre ses moyens, la rendant à chaque moment un peu plus ivre. Son but ? La faire craquer en première. Arkezia était une amante particulière, une amante d'un autre genre. A son tour elle le redressa et chercha ses lèvres avant de les trouver avec ardeur, les mains de la sombre se posèrent derechef sur son membre et après une caresse et le conduisit vers son antre humide sans lui donner la permission de franchir la barrière tant convoité. Elle jouait avec son désir, mais le colosse ne voulait pas se laisser aller le premier. Il l'embrassa alors, puis descendit dans son cou alors que ses mains jouaient toujours sur son fessier. Il ne devait pas perdre la partie face à l'ennemi éternel. Allant et venant contre son membre durci, la forgeronne détruisait petit à petit les maigres barrières de retenu du baron. Finalement ce fut elle qui céda la première, de sa main, elle le fit pénétrer en elle, lentement. Il n'avait pas perdu. Norman poussa même un petit soupire de soulagement, il avait rarement était aussi à son aise avec les humaines. En voilà une expérience qu'il ne serait pas prêt à oublier.

Descellant leurs lèvres, Arkezia poussa un cri de jouissance qui fit sourire le baron alors qu'elle ondulait sur son bassin. La drow garda le contrôle pendant quelque secondes avant que Norman ne reprenne les devants. Rompant le lien, il fit rouler la sombre sur le dos, contre le sol, et lui écarta les cuisses avant de la posséder à nouveau tout en flattant sa poitrine d'une main et ses lèvres des siennes. Il était entrain de réaliser un fantasme vieux comme le monde, et une idée lui traversa l'esprit, il ne l'avait encore jamais fait avec une humaine consentante, mais semblant connaitre l'art des sombres en la luxure, il se mit à exécution. Il se retira à nouveau et fit redresser quelque peu Arkezia sur le sol, sur ses quatre membres ne lui laissant pas trop le choix. Elle avait réveillé la bête qui retournait à des états primitifs que la morale condamnerait, d'ailleurs la morale condamnerait cette liaison dans son ensemble. Arrivant par derrière elle, il posa une main sur sa croupe pour la maintenir dans cette position puis lentement, il la pénétra par son deuxième orifice. Ne savant pas si quelqu'un était passé par cette voie peu recommandable, il commença à long va-et-vient tout en poussant des sons entre le grognement et le soupire. Elle était encore plus étroite par cet endroit...C'était une sensation qu'il adorait plus que tout, la pression et la tension crée sur sa virilité était telle qu'elle était capable de le faire plonger dans les méandres d'un désir profond et insatiable. La main du colosse ne resta pas immobile et prodigua de douces caresses sur sa chute de rein ou encore ses épaules. Se retenant de se libérer en elle, il se retira complètement et l'allongea à nouveau sur le dos. Sa respiration accéléré témoignait de son plaisir, la pénétrant avec force, il commença de profond va et vient rapide tout en stimulant le reste du corps de la sombre de ses mains. Voilà maintenant un bout de temps qu'il dominait et il finit par se libérer en elle cette fois-ci, ne songeant même pas à un possible bâtard par la suite, son seul soucis était son plaisirs.

- Les sombres sont-ils habitués à la soumission ?

Provocation voulu, Norman ne voulait pas laisser partir sa captif et encore moins mettre fin à cette union prohibée. De par cette phrase, il voulait titiller sa fierté et connaitre les joies du savoir drow en ce domaine.

Le sourire de la belle était sans équivoque, Norman avait touché juste. Il l'avait provoqué et elle allait lui répondre comme il le fallait, il comprit aussitôt qu'il avait bien fait de heurter sa fierté ainsi. Elle s'avança sur lui, comme une Fern de l'Elda, ses yeux à lui ne se détachait pas de cette poitrine. Puis elle posa une main sur son torse, le forçant à s'allonger. Elle appuya de son front le sien, et Norman en profita pour lui voler un baiser furtif, il ne demandait qu'à voir ce qu'elle lui préparait. Les mains de la sombre traînèrent sur son torse, ses ongles l'effleuraient et s'enfonçaient superficiellement. Chaque effleurement provoquer une vague de plaisirs et l'attente était douloureuse. Descendant encore plus bas, elle reprit son membre en bouche pour lui redonner sa raideur de tantôt. Le baron laissa échappait quelques râles, et ses mains jouèrent dans la chevelure d'Arkezia, alors que l'autre main de l'armurière s'occuper de ses autres attributs, tiraillant même son pubis, ce qui fit sourire le colosse d'Oësgard. Les morsures de l'elfe ne le laissèrent pas stoïque, il grogna même mais ne fit rien pour l'en arrêter. Au contraire, il trouvait cela agréable et le contact de ses lèvres sur sa rigidité était particulier et extasiant. S'il avait tué la drow plus tôt il n'aurait jamais pu goûter à tous ces plaisirs jouissif. Elle ne laissa aucune partie de son appareil génital de côté et s'occuper de chacune d'elle avec délice et même si la douleur se mêlait à la partie à quelques morsures, cela n'enleva rien au plaisir éprouvé. Arkezia devenait sa déesse, si toutes les drows étaient ainsi, il se lancerait aussitôt la guerre fini à la conquête du Puy et de ses merveilles. En éliminant les mâles bien entendu ...

Puis l'itinérante remonta le long de son torse, sans l'épargner, et tenta de l'étouffer avec sa poitrine, sa merveilleuse poitrine. Quelle douce mort cela aurait été. Tout en ondulant des épaules, elle lui caressa le visage avec, et lui y téta, laissant sa langue jouait avec ses monts de chaires mais le moment ne dura pas plus longtemps à son grand mécontentement. Mais lui laissa mener la danse, c'est ce qu'il avait demandé après tout alors autant en profiter. Le torturant d'avantage qu'il ne l'était déjà, elle colla son bassin tout contre le sien, il pouvait sentir son antre encore humide contre son membre fièrement dressé. D'un geste il pouvait la pénétrer de nouveau, se sentir en elle comme il ne s'était jamais senti en une humaine. La drow était plus petite que lui d'une dizaine de centimètre uniquement, elle était la première femme à pouvoir le contenter ainsi par son corps adapté à ses besoins. Puis à force d'onduler contre son entre-jambe, il pouvait se sentir la pénétrer petit à petit mais encore trop en surface. Ses lèvres prirent possession d eceux de l'humain, passion, volupté et fougue. Sa lèvre fut mordu elle aussi, et Norman ne put s'empêcher de poser ses mains sur la croupe de la belle et de descendre vers ses fesses. Il en avait pas le droit apparemment à vue de son regard, elle lui saisit les mains et les posa contre le sol, et les maintint ainsi avec sa paume. Elle accéléra le mouvement au niveau de son bassin, poussant Norman à un grand effort pour se retenir et finalement, il força sur les bras de la drow. Le sentant, Arkezia le fit pénétré en elle et mordit son téton droit le faisant grogner de surprise et de douleur. Il la punirait plus tard pour cette témérité. Elle se montrait dominante et sauvage à son plus grand régale, elle porta les mains du géant vers sa poitrine qu'il ne se fit pas prier pour masser avec délicatesse, puis avec férocité, jouant et tirant sur le mamelon durci depuis bien longtemps maintenant. Elle avala complètement son membre, et après quelques mouvements horizontaux, elle alla de mouvement verticaux crescendo. Il n'était jamais aller aussi loin, ou éprouver de telles sensations.
Elle fit changer de place à ses mains, elles glissèrent sur son adorable fessier, dont elles épousèrent la forme et éprouvèrent la dureté. Lorsqu'elle se pencha en avant, lui permettant d'embrasser et de mordre à son tour ses seins. S'accrochant à ses épaules, Arkezia continua ses mouvements verticaux et pour la soulager quelques peu, Norman l'aida dans ses mouvements en la soulevant par ses fesses. Les ongles de la belle s'enfoncèrent dans ses épaules. Un premier orgasme arriva chez la noirelfe, mais son appétit ne semblait pas rassasier à son bonheur. Lui faisant lacher prise, elle lui tourna le dos, elle put revoir de nouveau cet immense tatouage à l'image de celui de son front sur son dos. Dos dont il embrassa les omoplates, toujours en elle. Il lui massa à nouveau la poitrine, en embrassant son cou offert, sentant ses cheveux tout contre sa peau. Des mouvements du bassin la firent aller vers de nouveau sommet qu'il sentait son antre chaude et humide contre son pubis. Son corps connu l'orgasme et elle se laissa tomber contre lui, après être parcouru de spasme et frissons de jouissance. Il posa ses deux mains sur son dos, le caressant tout en largeur et longueur. Il décida de pousser la provocation encore un peu.

- Non pas assez, petite déception quand même ...

Mensonge, et elle pouvait clairement le lire dans ses yeux. Il l'embrassa avant de la faire basculer son dos, il descendit le long de son cou puis sur sa poitrine dont il enveloppa la pointe, les mordant même dans le seul but d'entendre ses cris à elle. Sa tête continua de descendre, sur son nombril, qu'il baisa de ses lèvres, puis vers son entrecuisse encore humide, il gouta à son nectar pour la première fois et ne fut pas déçu avant d'y mêler sa langue, se saisissant de ses cuisses pour les poser sur ses épaules, il embrassa sa vénusté et son intimité avec fougue et longuement avant de la libérer. Il décida de la prendre à nouveau par la voie interdit quelques secondes seulement, posa ses mains sur sa croupe et ses va et vient se firent plus puissant avant de se libérer de son emprise. Il l'aida à se relever et la dirigea vers le canapé basculé et tomba avec elle, continuer d'épouser la naissance de son cou de ses lèvres et baladant ses mains sur ce corps enivrant.