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 Alwin de Karlsburg

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Alwin de Karlsburg
Humain
Alwin de Karlsburg


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Âge :  50 ans (né en 957)
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Niveau Magique : Non-Initié.
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MessageSujet: Alwin de Karlsburg   karlsburg - Alwin de Karlsburg I_icon_minitimeLun 10 Nov 2014 - 14:08

Nom/Prénom : Alwin de Karlsburg
Âge/Date de naissance : 50 ans, Oglicos de la 7ème ennéade de Favriüs d’Automne de l’an 957 du 10ème cycle.
Sexe : Masculin
Race : Humain
Faction : Péninsule
Particularité : Bourrue mais brillant combattant. Ambidextre.

Alignement : Loyal Neutre
Métier : Comte d'Arétria
Classe d'arme : Corps à corps

Équipement :

L’équipement d’Alwin est de première qualité pour un Arétrian, sortit tout droit des forges naines de la ville de Kulm la rocailleuse.
Son armure complète de plate ne le quitte que rarement, à un tel point qu’on pense qu’il dort avec, les ragots ne sont pas bien loin de la vérité. C’est un trésor d’artisanat qui lui sauva la vie à de nombreuses reprises, il y tient comme à la prunelle de ses yeux. Il délaisse le casque depuis ses vieux jours, préférant ainsi montrer son visage à tout le monde et ainsi prouver un certain courage (bien que cela soit plus la marque de la bêtise que du courage pour d’autre).
Bien que possédant une épée, Alwin aime se battre avec un marteau d’arme possédant un ergot d’une quinzaine de centimètre en acier. Une arme peut apprécier de la noblesse en générale pour son manque de style, mais personne dans tout  le Malelande n’oserait critiquer l’habilité d’on il fait preuve au combat avec. L’arme possède d’ailleurs un nom, « Nourrit-les-vers », ainsi qu’une certaines renommé parmi le bas peuple qui la considère comme magique, enchanté par les nains, bien sur, il n’en est rien si ce n’est qu’elle est de bonne fracture. A sa ceinture, il accroche un poignard d’ont il se sert en seconde main. Il porte parfois un bouclier bien que la plus part du temps, il le laisse à la charge de son écuyer.

Bon cavalier, il possède un destrier de guerre, sélectionné  dans le meilleur élevage du comté. L’armure complète du cheval lui fut offerte par son frère. Il est souvent accompagné de deux énormes chiens de garde qu’il a dressé lui-même, Ratsam et Mausen.
Parler de sa garde robe prendrait trop de temps, mais il s’habit généralement très sobrement, bien loin des frasques de beaucoup de noble. Le noir, le rouge, le brun son ses couleurs favorites.  Le tabard aux armes de Karlsburg est son second vêtement préféré

Alwin possède aussi un petit château de campagne accolé à une bourgade offerte par son neveu, Kulmehele non loin de la ville de Kulm. Construit dans les règles de l’art, l’édifice est vieillissant mais il suffit au besoin du chevalier, il s’y retire des qu’il le peut.


Description physique :

Alwin est un homme au physique impressionnant. Âgé de la cinquantaine il est en (presque) parfaite forme, chose rare. Mesurant le mètre quatre vingt six pour soixante quinze kilo, il ne c’est jamais laissé allez à l’excès. Son corps est toujours sculpté même si sa peau à perdu de son élasticité. Suivant depuis tout jeune un entrainement quotidien, il dispose d’une certaine force et de l’agilité nécessaire au combat. Porter l’armure le plus souvent possible contribue au maintient de sa forme. Il ne l’avouera à personne mais sa jambe droite commence à légèrement l’élancer les jours de grands froids. Malgré son âge, il reste un très bel homme pour une certaines catégories de femme. Ses longs cheveux lui tombent jusqu’aux épaules, poivre-sel au reflet gris, ils sont de même couleur que sa barbe. Bien entretenue elle lui mange la moitié du visage. Ses yeux sont d’un vert pâle argenté. Sa mâchoire est anguleuse et son menton dominant. Son visage est entaillé de nombreuses cicatrices. Une vie à guerroyer laisse des traces mais Alwin en est plutôt fier. Que dire de plus ? C’est un homme qui inspire le respect rien qu’a travers son physique.


Description mentale :

On pourrait dire de cet homme qu’il est droit comme un « i ». Alwin tentera de toujours agir au mieux et il tiendra toujours parole. Le mensonge et les tromperies lui hérissent les poils, ce n’est pas un conspirateur mais un homme franc, peut être parfois trop franc ce qui dans certaines situation,  peut lui jouer des tours. Avec l’âge il a apprit tempérer son comportement, il sait prendre le pouls d’une situation et agir en conséquence. C’est un bon stratège bien que peu enclin à la concession. Ses conseils son généralement écouter car juste. Pour lui l’honneur est primordial et il ne possède qu’une parole, il en attend ainsi autant des autres. La trahison lui est insupportable ainsi que le manquement au devoir. Pourtant, bien qu’ayant reçut une éducation de noble, il reste un homme du nord, bourrue et au parler bien loin des frasques du médian ou du sud. Il aime être proche du peuple et de ses hommes ce qui à conduit à lui créer une meilleur réputation parmi les roturiers qu’auprès des nobliaux royaux. Alwin est  taillé pour l’action, sachant garder son sang-froid en toute situation, il aime combattre. Depuis le décès de sa première femme il garde en lui une mélancolie constante et reste convaincu qu’il ne pourra jamais être plus heureux qu’il l’était durant sa jeunesse. Cela lui donne un coté assez sombre, surtout à l’approche du jour fatidique ou son épouse perdit la vie. Bien qu’il ne croie plus réellement en l’amour, il garde un sens de la famille très élevé.


Capacités magiques :
---

Histoire :

Frère puîné de la fratrie des Karlsburg, Alwin née le jour d’Oglicos par une brumeuse matinée d’Automne. Il est donc le second fils de Wihelm et Oda et sûrement celui possédant la place la plus  ingrate qu’il soit dans une lignée de trois frères et une sœur. Le nouveau né ne pouvait pas encore le prédire mais il vivrait indubitablement dans l’ombre de son ainée et bien loin de l’amour que porteront ses parents à ses cadets. On dit dans le Malelande que les augures n’étaient pas favorable à la grossesse, que l’enfant viendrait au monde avec une tare qui le rendrait faible – pied bot selon certains, manchot selon d’autre, ou encore à l’esprit embrumé pour plus médisants-  et ferait de lui un réel boulet au prestige de sa famille.

Pourtant, aucunes de ces sombres et injustes prédiction ne se réalisèrent.  Alwin était normal, entièrement normal. Mais le mal était fait et il semblerait que les ragots qui ravagèrent un temps la cours et eurent raison de l’attachement de la mère à l’enfant. Ainsi, toute son enfance on redouta qu’il développe sur le tard une maladie incurable ou qu’il soit frapper de mort foudroyante. Son père, un homme austère et qui ne montrait pas ses sentiments ne lui accorda presque aucun regard du temps de sa jeunesse, celui-ci fondait ses grands espoirs sur son frère Sigurd. Tout petit déjà, il accepta sa condition avec flegme : « C’est ainsi que va la vie » ne cessait de lui répéter le précepteur en charge de son éducation.  Onas de Kumehle lui était un homme bon et qui portait un grand intérêt à l’enfant en plus d’être excellent pédagogue. Il se fixa pour objectif de dispenser son savoir des lettres et de la bienséance avec une grande douceur. Ainsi, Alwin apprit les droits et devoirs d’un noble, il fut un élève assidu car même s’il s’était résigné à devenir un des héros de sa maison, il gardait pour ambition celle de rendre fier ses parents.

A huit ans, il saisit pour la première fois une épée d’entrainement sous la direction du maitre d’arme familial, Meistre Winfried Taillefer. Un vétéran à la retraite, une fine lame ayant jugé bon qu’il était préférable de quitter les champs de bataille et que le travail pour une maison noble serait tout aussi rentable et bien moins dangereux. Winfried était quand à lui un homme droit comme un « i », juste mais dur. Il n’hésitait pas à frapper fort faisant regretter amèrement n’importe qu’elle erreur du jeune combattant. Si Alwin était doué pour les lettres, le maniement de l’arme fut pour lui une véritable révélation, à un tel point qu’il négligea ses études pour se consacrer en priorité à l’entrainement. En technique il dépassa rapidement son ainée, une confession que lui fit le Taillefer une fois qu’il perça pour la première fois les défenses de son maitre d’apprentissage : « Tu es bon Alwin, bien meilleur que ton frère Sigurd mais aux yeux de tous, tu resteras toujours le second et lui le premier, tâche de ne pas l’oublier. »

Et Alwin n’oublia pas. Toujours doté de sa patiente légendaire, il entreprit de poursuivre un seul et unique but, celui de briller par les armes. Ainsi, il s’entraina plus de trois heures par jours une fois l’âge de douze ans atteint. C’était à vrai dire un de ses seuls plaisirs, ses parents ne prenant toujours pas la peine de le considérer comme le digne fils qu’il était. Son ainée non plus ne le traitait pas avec respect, heureusement, ses deux cadets avaient un comportement bien différent avec lui. Sa jeune sœur Holda était un rayon de soleil qui ne cessait de lui sourire à longueur de journée, quand à son petit frère Almar il ne loupait aucune de ses séances d’entrainements, même s’il avait tendance à s’ennuyer avant la fin. Cela l’aida grandement à supporter cette vie dans l’ombre. Sa vie fit un grand pas en avant quand il atteint l’âge de quatorze ans.

Son père décida qu’il était temps pour lui de devenir écuyer, il l’envoya donc au service du Seigneur de Wenden, Gerulf dit le Jovial afin de raffermir les liens avec se proche allié. Alwin ce révéla pendant cette période qui dura trois ans, il fut avenant, attentif et respectueux des coutumes et de la bienséance. Le chevalier lui fit souvent des compliments auquel il répondait par un digne : « Messire. » Pendant cette période il fit la connaissance du jeune Ganelon, âgé du même âge que son ainé, c’était un jeune homme au caractère bien plus joyeux que le taciturne Sigurd. Avec lui il apprit les joies de la fête et participa à ses premiers concours de boissons, l’ambiance à la cours des Wenden étant bien plus animé que celle du Château de Karlsburg. Il rencontra aussi la douce Alyna, d’un an sa cadette.

Très satisfait de l’apprentissage du jeune homme, Gerulf adouba se dernier en l’an 974. Il organisa en suite un tournoi qui réunit différentes maisons alliés des Wenden. Les parents d’Alwin étaient présents ainsi que quelques familles venus du Médian. Il participa à sa première joute, dévoilant ainsi ses nombreux talents acquis au fil du temps. Il reçut à cette occasion les faveurs d’une jeune femme  du nom d’Amélia de Motteclair. Si le coup de foudre existe, il frappa à cet instant précis. Alwin prouva enfin aux yeux de tous qu’il n’était pas un être chétif. Il gagna trois manche jusqu'à qu’un chevalier dit « noir » le désarçonne. Mais le puiné de la famille était satisfait, en plus d’avoir gagné un certains respect parmi ses paires –Son père n’avouera pourtant jamais que son second dépasse son ainé sur n’importe quels plans-, il trouva aussi l’amour, le véritable amour.

Enhardit par son adoubement et les victoires du tournois, il annonça son intention de se marier avec la jeune femme. Wihelm n’accorda pas sa bénédiction, jugeant que ce mariage ne rapporterait aucun bien à la famille de Karlsburg car la famille de Motteclair était sans terre. S’en fut trop pour Alwin qui décida contre l’avis de son père de suivre ses sentiments. Il quitta donc l’Arétria pour se rendre en Missède afin de pouvoir vivre son idylle avec Amélia sans le poids constant du regard mauvais des siens.

Ce fut la plus belle période de sa vie, en plus de connaitre les joies du réel amour, il fut très bien considéré par sa famille d’accueille, heureuse de pouvoir compter dans ses rangs un chevalier. Pendant deux ans il connut un bonheur atteint par bien peu de monde. Sa vie le satisfaisait pleinement, il se sentit enfin entier pour la première fois, à sa place. C’est se moment précis que choisit le destin d’Alwin pour le rattraper. Un matin de Verminios alors que le coq chantait, il trouva le corps sans vie de son épouse à ses cotés. L’instant était terrible, en un battement de cil il se sentit rattraper par le poids de la prophétie qui lui avait été destiné. Amélia fut emporté par un mal inconnu, une hémorragie interne localisé dans le cerveau selon les savants. Alwin tomba dans une profonde dépression, il devint un homme rongé par la mélancolie à un tel point qu’il en devint bientôt indésirable pour sa belle famille qui le considérait comme un poids mort.

Coïncidence, son père mourut l’année qui suivit, il fut alors rappeler à la cour de Karlsburg pour devenir le conseiller de son ainé. Cela le sauva surement du suicide. Délester du lourd regard du patriarche retourné à la boue, Alwin n’en perdit pas sa mélancolie mais ses bons conseils prirent le pas sur son humeur noir, Sigurd reconnut en son petit frère l’homme émérite qu’il était réellement. Il fut fort heureux d’apprendre l’union des maisons de Wenden et de Karlsburg. N’ayant toujours pas de descendance, il  s’unit très vite après son retour à une jeune noble du comté, Katrin de Piclair. L’amour n’était pas présent mais et le spectre de son ancien mariage planait constamment sur le jeune couple, pourtant Alwin tenta aussi bien qu’il le put de respecter la jeune femme. Quand elle lui donna son premier fils, les blessures du passé semblèrent moins douloureuses à supporter.

Aussi, il retrouva un peu de sa joie de vivre au contact de son neveu le jeune Daric. Il reçut la confiance de son frère pour l’initier lui-même au maniement des armes dans lequel il excellait en tant que maître d’arme. Il tenta d’être un aussi bon professeur que fût Meiste Taillefer. C’était un brillant guerrier et qui deviendrait meilleur que son père et peut être même meilleur que lui avec les années. Son seul défaut était d’être l’ainé, car tout comme Wihelm, Sigurd ne dénia considérer son second fils qu’il jugeait faible. La pomme ne tombant jamais très prêt de l’arbre, Alwin n’accorda pas beaucoup plus de considération au second né, les affaires de la cours étant trop prenante et les ambitions de Sigurd démesuré.

En l’an 994, il envoya son ainé à Diantra, ce fut une décision qui couta la vie au fils tant aimé. La peste avait été répandue dans la ville par les Drow et malgré sa solide constitution, Daric fut foudroyé par la maladie. Karlsburg était en deuil, son frère ainé rongeait par le chagrin et Alwin ne put que partager sa peine, lui-même très au courant de ce genre de sentiment. Wenceslas devint ainsi l’héritier et attira enfin le regard de son père qui c’était bien trop battu pour abandonner le rêve de donner une meilleur image à la maison de l’aigle. Alwin partageait de facto les mêmes ambitions, œuvrant jours après jours aux bonnes relations des Karlsburg.

Vint la guerre civile. Il conseilla à son ainé de se ranger dans le camp des royaliste, trahir la couronne n’était jamais un bon investissement à long terme, car tout le monde en temps voulut se souvenait des traitres. Sur le champ de bataille il prouva une nouvelle fois ses grandes compétences dans le maniement des armes, il sauva la vie de son jeune neveu dans la mêlée, ne le lâchant pas d’une semelle, il représentait l’avenir de la famille. Les marquis de Serramire et de Sainte-Berthilde se rebellèrent à leurs tours, une nouvelle fois, Alwin défendit le fait qu’il ne fallait en aucun cas suivre des félons et ce fut une bonne décision de la part des Karlsburg. Pourtant alors que les hommes de la maison c’était démarqué sur le champ de bataille, la couronne préféra céder le comté à un noble aux origines plus lointaines. Alwin fut révolté par cette décision qu’il jugeait complètement injuste pour tant de sang versé.

Le temps passa, érodant la confiance de son frère à voir un jour la maison de Karlsburg brillait, Alwin lui ne fut pas dévoré par se sombre mal même si la déception était présente. Il se contentait de remplir son rôle comme il l’avait toujours fait.  Il se démarqua encore de nombreuses fois en débarrassant de ses terres des bandits et autres racailles. En digne homme d’action, il n’en restait pas moins très humble et gagna bien vite l’amour du peuple : « Ou l’Sir Alwin pass’, la souffroyance trépasse ainsi qu’la vinasse ». Un dicton qui devint populaire, Alwin ayant pour habitude de fréquenter certaines auberges peu recommandés pour un noble et d’y tenir très bien la boisson.

Vint la fin du cycle et l’arrivé du Voile. Ce fut un grand évènement pour Alwin, il fallait se considérer chanceux de pouvoir connaitre un tel moment qui ne se produisait qu’une fois tous les 1000 ans.
Peu de temps après, son ainé mourut. Wenceslas hérita alors de la seigneurie. Alwin n’hésita pas un moment quand ce dernier lui demanda de mettre à son service son plus jeune fils Ewald.

Bientôt, le vent tourna enfin pour la maison de Karlsburg. Anseric de la Rochepont l’actuel comte fomenta un complot pour supprimer la marquise de Sainte-Berthilde. Les bons choix et les liaisons du jeune Wencelas permirent  à la maison de Karlsburg de s’élever  en ralliant une nouvelle fois la couronne et en prenant les armes contre le Comté félon. Ce fut le choix décisif, la place une nouvelle fois vacantes, les Karlsburg atteignirent enfin la place convoités par tous les ancêtres de la maison au fil des cycles. Alwin fut fier, très fier de son neveu. Maintenant assez âgé pour avoir un certains recul, il resta un digne chevalier des armes de sa famille, défendant l’honneur des siens et bénéficiant d’une renommé sur le champ de bataille acquis par peu d’homme dans le nord.

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MessageSujet: Re: Alwin de Karlsburg   karlsburg - Alwin de Karlsburg I_icon_minitimeLun 10 Nov 2014 - 14:16

C'est moi qui vais m'occuper de toi Wink
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MessageSujet: Re: Alwin de Karlsburg   karlsburg - Alwin de Karlsburg I_icon_minitimeJeu 13 Nov 2014 - 17:58

Très bien.

Voila l'histoire :) fiche finit !
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MessageSujet: Re: Alwin de Karlsburg   karlsburg - Alwin de Karlsburg I_icon_minitimeJeu 13 Nov 2014 - 18:17

Validé, tu connais le chemin.
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MessageSujet: Re: Alwin de Karlsburg   karlsburg - Alwin de Karlsburg I_icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 13:10


Décédé en Verimios de l'an 8 du XIe Cylce


Nom : Alwin de Karlsburg Comte d'Arétria
Age : 51ans

Mort avec les Honneurs face à l'ennemi drow.
Son fils puis sa fille lui succédèrent au titre du Comte et Comtesse d'Arétria.

Code:
Mort en Verimios de l'an 8

[Métier] : Ancien Comte d'Arétria

[Alignement] : Loyal Neutre

[Lieu de repos] : Arétria
 


Lien vers le RP fatal : Une campagne comme oncques ne vit
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