Particularité, c’est là un terme qui sied tout à fait à Drizz’th comme l’appel ceux qui ont suffisamment de courage et de chance pour survivre à ses manies. Drizz’th est un être à part, il ne faut pas voir en cela une quelconque singularité héroïque ou un aveu de supériorité, non, il est à part du fait qu’il est l’archétype du Drow fanatique, un être sombre et fait de noirceur et de rien d’autre. Son surnom d’enfant de Kiel est parfaitement mérité, sujet aussi bien à des crises de colères froides, il prend un grand plaisir à tous ses actes de sadisme et de cruauté. Pour cela, il porte un masque mais loin d’être grimaçant ce dernier ne porte aucun signe d’émotion, il est simplement taillé dans de l’ivoire. Il a aussi imposé ce masque sans émotions à tous les soldats du 2ème Ost; en faisant leur signe distinctif.
Le masque:
Alignement :
Neutre Mauvais, disons-le il est tout simplement sans cœur, faire de lui un méchant serait bien trop manichéen, Drizz’th n’a tout simplement pas la notion de bonté et de générosité, il n’éprouve aucun besoin d’aider son prochain ou de lui apporter du bonheur. Seul son bonheur personnel compte, et malheureusement pour les autres ce dernier passe souvent par le cri de détresse et de souffrance des autres. Métier : Ancien Vel'xunyrren puis maître de la torture au sein de la Dothka, à présent Obok Senger du 2ème OST
Classe d'arme :
Corps à corps (Deux cimeterres) / à distance (Dagues empoisonnées)
Équipement :
Drizz’th se voit comme un artiste, il est un chef d’orchestre, un maitre de cérémonie, et lorsqu’il entre en scène, il veut que tous les regards se tourne vers lui, vers lui et vers ses soldats. Fin stratège et adepte de la guerre psychologique il s’évertue aussi à construire une véritable identité d’épouvantail autour de son armée, il a choisi comme couleur la couleur pourpre, celle du sang, pour ne pas que leur adversaires ne voient ses soldats saigné, une couleur que l’on ne peut rater ni oublier, se rajoute à cela les arabesques dorée cousues sur leur torse, l’or n’est-il pas la couleur des rois ? Et bien entendu il ne faut pas oublier l’accessoire qui leur a donné leur surnom d’armée des Immuables, ce masque d’ivoire, qui cache le visage des soldats, taillés individuellement pour permettre à chaque soldats de maximiser la vision bien que celle-ci n’en est pas moins réduites. Ce simple masque à causer de nombreux problèmes à Drizz’th mais il a tout de même finit par l’imposer à ses soldats. Et aujourd’hui nul ne pourrait imaginer le 1er OST sans ce signe de mauvais augure.
Pour sa part Drizz’th à pour équipement ses deux cimeterres, qu’il range dans son dos pour plus de mobilité, ses dagues sont-elles rangées sur deux bandoulières en cuirs qui se croisent sur son torse, au nombre de six en tout. A cela se rajoute une petite sacoche dans laquelle se trouvent des échantillons de poisons, reliquat de sa vie au sein de la Dothka et très utile avec ses dagues.
Description physique :
Le Seigneur fou est un individu très superficiel, il accorde énormément d’importance aux apparences, en cela il est toujours impeccable, soigneusement coiffé, les cheveux toujours lissés et détachés s’abattant dans son dos tel une cascade blanche, ces derniers ne se retrouve plaqué et attachés que lorsqu’il revêt son armure de guerrier. Les couleurs de la maison Do'Maeiryquar sont le bleu et le vert, pourtant tel en signe de défiance envers toute coutume qui oseraient s’opposer à ses gouts personnels les couleurs qu’arbore le Drow sont le violet et le doré.
Tenue Civile:
Ainsi si il se laisse souvent allez à la coquetterie, rien n'ai jamais laissé au hasard, et Drizz’th connait l’importance de l’étiquette, ainsi, si en dehors de tout événement officiel ses tenues sont toutes plus originales et frivoles les unes que les autres, les sorties publiques sont, elles, minutieusement préparé, ils arborent toujours en temps de paix une tenues composé ingénieusement de plaques d’orichalque et de soies le tout soigneusement ornés d’arabesque dorées la couleurs de l’ostentatoire. Cette tenue est bien entendu un symbole de la richesse de la maison Do’Maeiryquar étant extrêmement rare par la présence d’orichalque mais aussi une intelligente manière de s’habiller élégamment tout en s’assurant une protection subtile contre toute tentative… malveillante.
Tenue Martiale:
A cette tenue s’ajoute sa tenue plus martiale, Drizz’th reste après tout un général et de ce fait de nombreuses sorties publique implique un contexte militaire. De plus, depuis les événements du voile et la transition plus que chaotiques qui a secoué le royaume du Puy, sa position a fait de lui l’une des personnalités centrale d’Elda, si ce n’est la plus influente après le Karliik Glenn, les hauts prêtres n’étant à ses yeux qu’une puissance du passé. Pour cela il a demandé à ce qu’on lui taille une armure des plus esthétique, certains osant même en rire dans son dos le traitant de femelles aux goûts plus esthétiques que pratiques, et pourtant son armures elle aussi faîtes entièrement en orichalque teinté est à la fois souple, solide et lui donne une liberté de mouvement digne de ses jours au sein du Dothka. Cette armure se complète donc avec son masque d’Immuable identique à celui que portent ses soldats, une étrange et paradoxale touche d’austérité au sein de tant de luxe et d’apparence.
Après sa capture et sa torture ainsi que ses nombreuses blessures de guerre, son corps c’est retrouvé perclus de cicatrices, certaines atroce au regard, ses doigts, légèrement tordus à force d’être brisé heureusement pour lui son visage a été sauvé du massacre seules quelques balafre de guerre le marque. Son attribut le plus marquant est le jaune félin de ses yeux, ces derniers rendent très difficile de se détacher de son regard qui est presque hypnotique.
Description mentale :
C’est là une tache assez compliqué que de comprendre la psyché d’un individu tel que Drizz’th, il fût longtemps une personne très creuse, sans véritable profondeur, un miroir de son entourage, se comportant tel que l’on s’attendait d’une personne de son rang. Il n’avait pour la première partie de son existence ainsi dire aucun caractère, aucun espoir, aucune ambition, et pour ainsi dire n’existait pas en tant qu’individu. Cependant, par la suite il est devenu le symbole même de l’individualisme, il est passé d’un extrême à l’autre, bien décidé à rattraper toutes ces années.
Les conséquences de son séjour en geôle et de ses séances journalières de tortures ont été des plus radicales en cela. Son corps mutilé la poussé à rechercher une beauté et un esthétisme qui à ses yeux pourrait masquer l’horreur de ses cicatrices. A cela se rajoute un sadisme acquit comme seul rempart de ses souffrances physique. Ces mois de tortures l’ont poussé à élever une barrière psychologique embrassant la douleur plutôt que de la rejeter, et de même faisant de sa sensibilité envers autrui quelques peu une notion distordue par la douleur.
Bien qu’il puisse agir comme un individu totalement normal et sain d’esprit, il ne faut jamais se laisser allez à son jeu d’individu aimable et sociable. Sa véritable nature reste celle d’un montre sadomasochiste qui prend plaisir à voir les autres souffrir, en cela les théâtres d’action de son armées sont une visions souvent macabres. Si un champ de batailles est souvent macabre et morbide, ceux qui succèdent aux batailles du second OST depuis ces dernières années sont de véritables charniers, les survivants ennemie sont exécuter sur place, toute femme est déshumaniser, humilier et prise en esclavage, les corps sont mis en scènes sur des piques, une véritable représentation de la sanité plus que branlante de leur Obok Senger.
Rajouter à tout cela la conviction religieuse du Drow que sa déesse de la torture, Kiel la choisit comme son messager et vous obtenez un fanatiques dangereux et intelligent, un sociopathe du premier ordre. Cette voix qu’il croit entendre est probablement sa principale motivation et encore plus certainement son unique moyen de résister à la folie qui couve à l'intérieur.
Capacités magiques :
Aucune initiation à la magie, Drizz’th a cependant une véritable sensibilité spirituel qui lui permet de ressentir l’utilisation de la magie.
Histoire :
Verimios, premier mois de l’hiver, an 805 du 10ème cycle, Tour du Dragon, Capitale de l’Empire, Nisétis l’écailleuse.
Le garde regardait la silhouette étalée sur le sol froid de la cellule, les barreaux rouillés illuminés par le feu derrière lui étendaient leurs ombres sur le captif, Simore était impressionné, et il en fallait beaucoup pour l’impressionner. Cela allait faire très exactement une ennéade qu’il travaillait sur ce sujet. Les espions les plus talentueux s’ôtaient la vie au bout de quelques jours de peur de divulguer des informations, mais celui-ci, celui-ci semblait être prêt à dévoiler tout, la première fois il avait divulgué son appartenance à la Dohtka, ce qui n’avait rendu les interrogations que plus intenses, et douloureuses. Simore était un bon nisétien, il adorait toujours les grands dragons bien qu’ils aient disparu, et pour cela, chaque sujet torturé était une tourmente morale pour lui, mais il faisait son boulot, pour gagner cette guerre. Et cette engeance du puy en face de lui détenait des informations sensibles, voir même stratégique. Il se devait de le faire parler !
«Drizz’th, toujours rien à me dire?»
Le Drow sursauta dans sa cellule, les longues journées de maltraitance l’avaient rendu peureux, le moindre bruit le faisait sursauter.
«Non seigneur Simore, je vous ai tout dis, pourquoi ne me laissez-vous pas partir? J’ai été coopératif!pitié, ne me faites plus mal!»
L’humain soupira et s’accroupit en face de la cage pour être au même niveau que le Drow replié dans un coin de sa minuscule cellule. Il s’éclaircit la voix.
«Drizz’th» Commença-t-il d’une voix presque compassionné, comme le ferais un adulte avec un enfant «Tu as toi-même admis appartenir à la Dohtka, nos propres espions en ont appris suffisamment sur cette organisation pour que nous passion le restant de tes jours à t’interroger, tu ne sortiras jamais d’ici, du moins pas vivant. Cependant, tu peux passer le reste de ta vie avec trois repas par jour, et un minimum de confort, ou alors je peux rendre ces quelques mois qu’ils te restent… des plus désagréable… et tu le sais.»
Une lueur soudaine traversa les yeux du Drow, tel un félin il s’approcha à quatre pattes de la grille qui le séparait de la nuque de l’humain et d’une voix d’outre-tombe murmura.
«Très bien… Je vais tout vous dire...»Il se mît à sourire et il lui manquait les molaire au fond de sa bouche, à chaque fois qu’il parlait un peu de sang remontait jusqu’à ses lèvres, ses doigts étaient tordues, tous, brisé jusqu’au dernier, et l’état de ses pieds étaient pire. Mais il souriait… un mélange de frayeur, d’adrénaline et de folie l’obligeait à sourire. «Mon nom est Drizz’th de la maison, Do'Maeiryquar, je suisVel'xunyrren au sein de la Dothka, je suis né en l’an 678 du 10ème Cycle, c’était le jour de Panahos, en plein Karfias, il faisait froid, très froid, même au Puy. J’étais un fils de noble sang, ma maison n’était peut-être pas l’une des première mais elle avait sût acquérir respect et autorité, un Karliik Glenn en était né, des hauts prêtres, des Barras, de puissant sorciers et de valeureux guerriers, prêt à mourir pour la cause» Drizz’théclata de rire, un rire de dément, assez glaçant « ils sont tous mort d’ailleurs, ces imbéciles! Croire que le Puy respecte encore la fierté et l’honneur, Ha haha! Des imbéciles!»
Le nisétien soupira et se leva, le Drow se remettait à délirer, à chaque fois qu’il lui demandait de parler, il se mettait à parler, à raconter son histoire, encore et encore, comme un poème dûment appris par cœur. Peut-être un moyen de se protéger, de garder les informations plus importantes enfouies, il laissa l’elfe continuer à bredouiller dans sa cellules et se dirigea vers son atelier. Ses outils y étaient tous entreposés, une organisation méticuleuse témoignant d’un grand professionnalisme, l’humain faisait son métier depuis longtemps, et il aimait le faire bien, minutieusement, il commençait souvent par une torture gratuite, durant quelques heures, sans poser de questions, sans menacer ni négocier, cela permettait à ses sujets de faire connaissance avec cette nouvelle douleur. Une souffrance calculée, cultivée, élevée au rang d’art, et après, seulement après, ce mettaient ils à parler.
Pendant ce temps Drizz’th était allongé dans sa cellule, toujours en train de ricaner, il savait que le moment allait bientôt arriver, l’humain lui balancerait de nouveau l’une de ses fioles emplit d’un mélange soporifique, le sombre s’endormirait puis se réveillerait attaché à l’un de ces nombreux outils de tortures, et ce serait de nouveau partit pour une longue nuit de divertissement, il en frémissait d’avance, pourquoi avoir peur, quand on pouvait en prendre plaisir, transformer la douleur en une jouissance sans nom, qui lui durcissait le membre et le faisait monter aux cieux. La torture n’était plus une épreuve, il en était venu à l’accepter les bras ouverts.
*J’ai longtemps attendu ce moment mon enfant.*
Le Drow sursauta de nouveau et chercha la provenance de la voix qu’il venait d’entendre… l’avait-il rêvé, devenait-il plus fou qu’il ne le pensait ?
*Je suis Kiel, Déesse des pénitents, déesse des endurants, déesse de ceux qui cherchent.*
«Ceux qui cherchent?»
*Ceux qui cherche la vérité enfant du Puy, et tu dois endurer, faire pénitence, et rendre, rendre au centuples, et je ferais de toi mon messager, je ferais de toi mon enfant. Car ma vérité est impénétrable.*
Drizz’th entendit la voix s’effacer, et les vapeurs l’envelopper, il commença à s’assoupir, à perdre connaissance, mais il savait, il savait qu’il endurerait, qu’il ferait pénitence, et qu’il rendrait au centuple.
Favrius, Premier mois du Printemps, An 806 du 10ème cycle, siège de Nisétis
Le Karliik Glenn et le Barra regardait la ville, le siège avait commencé depuis une semaine, et si tout allait comme prévu la ville ne devrait pouvoir tenir beaucoup plus longtemps, le général suprême de l’armée sombre regarda le Barra à ses côté.
«Votre agent est en place?»
Le vieillard lui rendit son regard avec une certaine malice.
«Nous n’avons plus de contact avec lui depuis son entrée dans la ville humaine, mais malgré sa jeunesse c’est l’un de nos meilleurs éléments, il mènera sa tâche à bien. Ne vous en faîtes pas Karliik.»
Le général grogna, Drizz’th Do’Maeiryquar il avait lu les rapports, le dernier survivant de sa maison, une vieille maison, noble, puissante à une époque, plus que ruine aujourd’hui. Détruite par la main de la Dothka, et voilà que sa seule engeance servait cette même Dothka fidèlement et efficacement. L’ironie du sort probablement, l’enfant avait été conditionné par ses parents à toujours être obéissant, sans une once d’individualité, il ne vivait que pour sa famille. À présent sa famille était la Dothka semblait-il. Le regard du Karliik se posa sur la tour dragon au loin qui déchirait le ciel de sa hauteur, La victoire dépendait donc d’un orphelin.
4 jours après le début du siège, rues de Nisétis, tombée de la nuit.
Drizz’th avançait recouvert d’un drap sale lui couvrant les cheveux et une partie du visage, les pieds nu, le corps brisé mais le cœur heureux. Il avait réussi à se libérer depuis le premier jour du siège, mais comme lui avait demandé sa déesse Kiel, il avait enduré, et rendu au centuple, son geôlier humain était assis dans sa chaise, les ongles arrachés, les bras écorchés vif et les yeux dans ses mains. Vivant certes mais il ne tarderait probablement pas à s’ôter la vie. S’était la première fois que le Drow s’essayait à la torture, et il devait admettre que c’était beaucoup plus plaisant et facile qu’il ne le pensait, il ne fallait que se laisser aller à son imagination, et s’assurer que sa victime ne meurt pas. Le reste n’était pas important. Il serra la petite fiole dans sa main encore recouverte de matière fécale, elle ne s’était pas brisée dans ses boyaux et c’était une chance inouïe, c’était la seule partie du plan qui le laissait sceptique mais la fiole était aussi solide qu’on lui avait promis.
Drizz’th s’arrêta et regarda la fiole, il n’y avait que l’équivalent de 4 gouttes à l’intérieur, mais ces quatre petite goutte pouvait annihiler la population entière d’une ville. Le poison du Chitulhia Belcheri, ou comme il s’était plu à l’appeler, le baiser du serpent. Un poison si puissant qu’une goutte dilué dans plusieurs litres d’eau restait mortel pour toute personne la buvant. Une petite goutte dans les différents puits de la ville, et bientôt il n’y aurait plus suffisamment d’homme en âge de protéger les murailles de la ville encore debout. D’abord les bébé serait les premiers à mourir, ils avaient besoin de boire souvent, et de l’eau propre et potable, ensuite viendrait les soldats, qui étaient prioritaires au niveau de l’approvisionnement, ils mourraient vite leur métabolisme étant beaucoup plus actifs, si les soigneurs ne se rendaient pas vite compte du danger, les femmes et les vieillards seraient les suivants à périr.
Le Drow laissa échapper un ricanement et continua à claudiquer vers le puit le plus proche, un massacre, il adorait les massacres.
2 jours après la prise de Nisétis la Déchue
Drizz’th pénétra sous la tente de son Barra et le trouva en pleine discussion avec le Karliik, cela faisait 3 jours que le jeune Drow avait rejoint les siens et s’était faufilé en dehors de la cité nisétienne en proie à une véritable pandémie de mort subite. Il était loin d’être guérit et si il ne remettait pas bientôt ses os brisé en place il finirait probablement malformé à vie, mais son devoir était d’aller se présenter à ses supérieurs d’abord.
*Tu n’as de devoir qu’en vers moi mon fils*
La voix de Kiel s’estompa tandis que celle du Karliik Glenn s’élevait.
«Soldat, vous avez été d’une aide sans égale pour votre peuple et avez apporté grande joie à Uriz et Teiwon, vous serez dûment récompensé à votre retour au Puy avec les titres, richesses et offrandes qui vous sont dues. Votre nom ne figurera peut-être pas dans les annales de notre histoire mais jamais un Karliik Glenn ni un Barra n’oubliera le nom Drizz’th Do’Maeiryquar.»
L’enfant de Kiel baissa la tête en révérence pour toute cette considération, le rire de Kiel résonnant dans ses oreille, Barra, Karliik Glenn, l’enfant de la pénitence n’en avait cure, tout ce qu’il voulait s’était enduré, et rendre au centuple.
An 3 du 11ème cycle, Puy d’Elda
Le Karliik Glenn fit entrer son invité dans la petite pièce à l’abri des oreilles indiscrète, le Drow était élégant, sa chevelure argentée impeccablement coiffé, ses yeux dorés plein de malice et un sourire mesquin aux lèvres, il était comme on le lui avait décrit.
«Seigneur Glenn, vous m’avez fait appeler?»
Malag'eyl Zuhak posa sur la table les titres du second OST, celui qu’il avait mené à la bataille tant de foi, l’OST qui l’avait vu atteindre le rang de Karliik, il était cependant temps de passer la flamme à un nouveau Glenn, Do’Maeiryquar n’était pas son choix, mais la Dothka ainsi qu’une partie du clergé supportait la candidature de celui qui était connu au sein de la cité comme l’enfant de Kiel. Et pour s’assurer le support de toutes ces factions durant la guerre à venir certains sacrifices étaient nécessaires.
«Drizz’th Do’Maeiryquar, Obok Senger du deuxième OST, acceptez-vous de vous placer sous mes ordres et mon autorité de Karliik Glenn?»
Le sourire mesquin se transforma en grimace cruelle, un sourire de victoire *Mon enfant, endure, et rend au centuple, ma vérité est impénétrable*, Drizz’th posa son genou au sol.
«Mon épée est à votre service mon seigneur.»
Dernière édition par Drizz'th Do'Maeiryquar le Lun 23 Fév 2015 - 17:36, édité 8 fois
Drizz'th Do'Maeiryquar
En attente de validation..
Nombre de messages : 3 Âge : 31 Date d'inscription : 15/02/2015
Sujet: Re: Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche - Dim 22 Fév 2015 - 16:30
MAJ - Fiche terminé :D
Blanche d'Ancenis
Ancien
Nombre de messages : 1046 Date d'inscription : 21/07/2011
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 31 ans. Dans ces zones là. Taille : Niveau Magique : Apprenti.
Sujet: Re: Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche - Mar 24 Fév 2015 - 14:44
Bonjour, bienvenue, je prends.
Blanche d'Ancenis
Ancien
Nombre de messages : 1046 Date d'inscription : 21/07/2011
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 31 ans. Dans ces zones là. Taille : Niveau Magique : Apprenti.
Sujet: Re: Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche - Mar 24 Fév 2015 - 18:23
Donc la correction :
déjà pas obligé de tout détailler dans les particularités.
Alignement : Je trouve ça justement pas logique que tu dises qu'il soit neutre mauvais alors que tu parles de fanatisme. Je dirais qu'il est loyal mauvais. Le mot "loyal" ici n'a pas forcément une connotation positive. C'est selon moi illogique avec ce que tu décris dans tes particularités et ta description mentale.
Equipement : 1er OST sans ce signe de mauvais augure --> Petite faute. 2e Ost.
Description physique : "sa position a fait de lui l’une des personnalités centrale d’Elda, si ce n’est la plus influente après le Karliik Glenn, les hauts prêtres n’étant à ses yeux qu’une puissance du passé." --> Pour ceci, c'est complètement faux, c'est toujours le Karliik Glenn et les deux HP des cultes centraux qui sont les personnages centrales du Puy.
Description mental :
"Si un champ de batailles est souvent macabre et morbide, ceux qui succèdent aux batailles du second OST depuis ces dernières années sont de véritables charniers, les survivants ennemie sont exécuter sur place, toute femme est déshumaniser, humilier et prise en esclavage, les corps sont mis en scènes sur des piques, une véritable représentation de la sanité plus que branlante de leur Obok Senger." --> Y'a pas eu vraiment de batailles depuis. A part celle de Yutar et actuellement la quête de Bol, le Haut-prêtre de Kiel.
Histoire :
Verimios, premier mois de l’hiver, an 805 du 10ème cycle, Tour du Dragon, Capitale de l’Empire, Nisétis l’écailleuse.
"je suis Vel'xunyrren au sein de la Dothka, je suis né en l’an 678 du 10ème Cycle, c’était le jour de Panahos, en plein Karfias, il faisait froid, très froid, même au Puy." --> Tu dis que ton drow à 360 ans. Or si je fais le calcul, j'arrive à 322 + 8 = 330
Lorsqu'il entend la Déesse Kiel, c'est bel et bien un délire ? Car les Dieux drow ne communiquent pas avec les drows. Éventuellement dans les rêves ou en transe. Et plus généralement ce sont les hauts-prêtre(sses) qui ont droit à ce privilège.
"Détruite par la main de la Dothka" --> Pourquoi la Dothka aurait détruit cette maison ?
"Drizz’th s’arrêta et regarda la fiole, il n’y avait que l’équivalent de 4 gouttes à l’intérieur, mais ces quatre petite goutte pouvait annihiler la population entière d’une ville. Le poison du Chitulhia Belcheri" --> Personnellement je ne valide pas ce passage que j'appellerais gros bill :p. Je vais tout de même en discuter avec les autres membres du staff pour l'existence de ce dit poison même si je suis contre.
"véritable pandémie de mort subite" --> L'oeuvre du poison ? Si oui, je ne valide pas ^^. Désolée. Si c'est juste une figure de style pour dire que les drows les ont massacré, ca me va :).
"ses yeux dorés" --> Ca n'a pas d'incidence mais les yeux des drows sont rouges.
"Karliik" "Glenn" --> Ca se retrouve plusieurs fois dans ton histoire. C'est pas soit l'un soit l'autre. C'est Karliik Glenn tout en entier car un mot sans l'autre ne veut rien dire. Donc ca sera à rectifier n_n.
Sinon en général, y'a un petit problème au niveau de ton histoire. Donc déjà, ok il fait partie de la Dothka qui est une institution plus ou moins indépendante même si elle est employée par pas mal d'Ost. Donc jusque là, ca va. Par contre, tu n'expliques absolument pas comment il devient "Maitre de la torture". Ensuite, je ne vois absolument pas pourquoi l'ancien OBok Senger, devenu Karliik Glenn nommerait un mec de la Dothka Obok Senger. Surtout que tu ne parles même pas de grades. Il n'est ni Streea Jabuuk ou D’aron (Capitaine), Veldruk (Lieutenant) ou Kyorl (Sergent). Éventuellement, puisque la Dothka est sous les ordres directs du Karliik Glenn, on peut éventuellement imaginer que Malag nomme un mec qu'il a directement sous ses ordres et encore. Non, je trouve que la transition Dothka - Ost est pas trop logique. A la limite, ton personnage peut avoir changer "section". Même si habituellement, ce sont les gens talentueux dans les Ost qui sont recrutés par la Dothka. Puis on ne sait pas trop pourquoi Malag le nomme Obok puisqu'il n'a pas de "grade élevée" dans la Doktha
De plus, ton drow est vraiment trop jeune pour acquérir un si haut post, il te faudrait vieillir d'au moins d'200 ou 300 ans en plus.
Sinon, j'ai très appréciée l'utilisation de l'histoire dans ta fiche, elle est à revoir dans les dates mais, c'est une bonne idée. Tu peux aussi utiliser le conflit qu'il y'a eu récemment à Yutar aussi.
Voila bonne correction à toi. Et si tu as des questions, je suis à ta disposition. Je joue aussi la Haute-Prêtresse de Teiweon du Puy.
Drizz'th Do'Maeiryquar
En attente de validation..
Nombre de messages : 3 Âge : 31 Date d'inscription : 15/02/2015
Sujet: Re: Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche - Mar 24 Fév 2015 - 23:28
Ca marche je fais ça d'ici ce week end
Azhar Tahwi Salougan
Ancien
Nombre de messages : 195 Âge : 30 Date d'inscription : 06/04/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 93ans (né en 914) Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche - Mar 24 Fév 2015 - 23:43
Pour le poison, on peut imaginer un poison rare et très efficace qui peut faire tomber un homme en quelques secondes, mais pas une ville entière Sinon Miradelphia risque de disparaitre en quelques ennéades
Blanche d'Ancenis
Ancien
Nombre de messages : 1046 Date d'inscription : 21/07/2011
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 31 ans. Dans ces zones là. Taille : Niveau Magique : Apprenti.
Sujet: Re: Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche - Mar 10 Mar 2015 - 16:17
Reviens nouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus ! I m so sad
Ca en est ou ^^ ? Je t'ai fait fuir é_è ? Tu sais, je peux paraitre brusque mais je peux être là pour aider. Donc n'hésite pas :).
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche -
Drizz'th Do'Maeiryquar; [Obok Senger] Fini - Blanche -