Un Nain solitaire. [Libre aux nains]

Une autre journée au soleil levant, une autre matinée qui commençait par le traditionnel bruit de ses artisans qui montrait leur bout de nez en se dirigeant vers leur commerce pour tout ouvrir. L'ambiance commence déjà à se faire sentir et les gens expriment leur sourire, malgré la température légèrement fraîche en ce début de journée. Certains sont propre à leur habitudes en se levant de manière très tôt pour profiter des vivres fraîchement exposer, comme une majorité dorme encore à l'heure qu'il est. Les artisans quand à eu sont propre à leur routine, de manière à préparer leur magasin, ouvrir les fenêtre pour laisser pénétrer la lumière de ce splendide soleil et partager les odeurs de leur chef d'oeuvre à tout le monde. Puis il y à dans la ville, les vagabonds qui errent tels la poussière, à se trouver des coins pour dormir, peinant à dormir, sans se soucier de la garde qui parfois les avisent de ne pas rester là où ils sont, les obligeant à changer de recoins. Sauf que dans un coins en hauteur, la sécurité est toujours privilégiée. Ouvrant lentement ses yeux, Zaraz peut sentir l'odeur fraîche du pain qui sort tout droit du four, l'imaginant en trains de devenir doré et avec le mélange du beurre frais qu'ils ajoutaient à la recette, ça devait être excellent. Il se réveilla lentement un peu plus en se grattant la barbe, observant autour de lui et rien n'avait bouger, ce qui était un excellent signe. S'étirant lentement le dos, un bâillement colossal se fit entendre jusqu'en bas où quelques passant était sur leur route, soulevant leur tête pour voir d'où ça venait.

Enfin, une fois un peu plus réveiller, encore légèrement engourdis des jambes, le nain attrapa dans sa veste une petite gourde en métal légèrement teinter de bleue et prit une gorgée. C'était le reste de ses vivre en eau qui venait d'être bus et il le savait très bien, ce qui voulait dire qu'il n'aurait d'autre choix que de descendre de là, histoire d'assumer un peu. L'ancien héritier, se redressa lentement en observant un peu le soleil, avant de se dire qu'il était temps de descendre de là, il prit donc l'écharpe qu'il avait autour du cou, enroula l'extrémité autour de ses mains pour avoir une bonne résistance et s'en servis comme un grappin autour d'une corde à linge, pour descendre en glissant vers le sol. Une fois près du sol, il relâcha le tout et tomba comme un poids en plein milieu de la place publique. À cette heure, de toute manière, qui l'aurait remarquer autre que certains commerçant. Il récupéra son écharpe en la remettant à sa place et se mit donc en route, errant dans les ruelles surtout pour ne pas avoir encore d'autre problème avec la garde militaire. Ils ne sont pas méchant en soit, mais sont simplement quelque fois avec un égaux démesurée, ce qui rendait les conversation vite lassante avec ses caïd sur deux pattes. En général, Zaraz n'avait jamais eu de conflit, n'avait jamais combattus la garde royale, les avait déjà même aider à attraper ce qu'ils cherchaient, mais il n'empêche ni plus ni moins qu'il est vagabond, ce qui accorde à la garde de le surveiller. L'héritier avait déjà penser à se trouver un emplois, à remporter des pièces d'or comme tout le monde et se payer des habits, une habitation, de la nourriture fraîche, comme il la sentait à tout les matins!

Mais malheureusement, il était hors de question qu'il trouve quoi que ce soit, si en plus de ne pas être dans son village, il devait travailler pour un autre village nain que le sien. Il avait déjà essayer quelques travaux ici et là, mais généralement il se faisait remercier pour sa journée et on lui demandait de quitter, vus ses traits de caractère royal. Imaginez un forgeron qui à peur de se salir les mains, pourtant son père qui avait été grand guerrier était le genre d'homme qui avait prit de grandes initiatives, trancher de nombreuses tête et sût comment protéger son village. Même Zaraz durant le voile, il avait été capable de repousser bon nombre de gobelins, ce qui lui à valut son surnoms de tueur-de-vert, mais c'est comme-ci une fois tout cela terminer, il était avide d'action et avait laisser l'ennuie l'endormir. Un peu comme-ci cette vie était trop ennuyante pour l'avoir garder réveiller, que ses réflexes étaient partit et qu'il était maintenant devenus inapte à combattre pour le moment. Le nain marchait donc dans les ruelles, portant attention de ne rien croiser sur sa route d'indésirable, lorsqu'il aperçus un puits au milieu de la place qui n'était pas utiliser par les autres nains. Il s'étira pour regarder derrière lui, autour de lui et se gratta la barbe en hésitant. C'était trop facile, comme-ci quelqu'un lui avait tendus un piège pour voir si il tomberait dans le panneau. Mais il était assoiffer et sa gourde n'avait plus d'eau! En même temps hier, si il avait bût seulement une ou deux bières, il n'aurait pas à chercher de l'eau aussi assoiffer. Il s'avança donc doucement à pas de souries en observant autour, s'assurant ne pas faire de bruit et ne remarquait réellement personne.

Ni en hauteur, ni au sol, ni même derrière un mur cacher sur un coin. Pas de risque, autant en profiter, il se rua donc sur le puits. Au diable les bonnes manières, si il se faisait repérer, il trouverait une solution au fur et à mesure, une improvisation qui serait sans nul doute assez drôle à voir puisqu'un nain qui tente quelque chose d'aléatoire n'es jamais bon signe! Grommelant que l'eau ne coule pas assez rapidement, il se met à pomper plus rapidement, laissant un vacarme en même temps, mais parviens à faire couler de l'eau, remplissant sa gourde et s'aspergeant le visage. Il glissa doucement l'eau entre ses mains et s'en barbouilla le visage en soupirant, rien n'était meilleur qu'une douche froide pour se réveiller. Une fois l'eau dégager de son visage, il en profita pour s'essuyer du revers de sa manche et en ouvrant les yeux, tomba nez à nez avec un garde qui l'observait. Fuir aurait pût être une option, combattre aussi, mais pour de l'eau, allait-il même réagir? Le garde s'approcha lentement de Zaraz et lui posa une mains sur l'épaule.

-Mendier pour de l'eau, je vais fermer les yeux à tout ses services que tu as rendus à la garde jeune nain. Mais la prochaine fois je ne veux pas te voir rôder autour d'ici! Le roi aurait sa colère sur toi, si je devais te conduire au château pour une broutille comme celle-ci!

Silencieux, les deux nains s'échangèrent un regard et Zaraz rebaissa la tête, quelques peu gêner de la situation, lui qui était habituer à un tout autre mode de vie. Le garde qui avait connut le père du jeune nain, lui offrit quelques pièce pour aller s'acheter quelque chose à manger.

-Je lui doit bien cela à ce bon vieux Izril! Aller file.

D'une voix rauque par la fatigue accumuler et la soif surtout, Zaraz trouve la force de répondre.

-Tu as connus mon... Euh... Me... Merci hein... Je n'oublierai pas ce g... geste.

Se raclant la gorge, il observa les quelques pièces qui tintait dans sa mains et ne perdit pas une seule seconde, ouvrant la marche en l'observant. Au fur et à mesure qu'il s'éloignait, il s'assurait de garder un contact avec le garde, ne comprenant pas exactement pourquoi il avait été autant gratifiant avec lui, mais ce dont il ignorait, c'est que le garde avait été au service de son père durant de longues années et que sans son père il ne serait pas ici aujourd'hui, lors du voile. D'une démarche rapide, il se dirigea vers ce qui ressemblait le plus à une boulangerie et s'empressa de déposer sur le comptoir, les pièces qu'on venait de lui donner. Le marchand observa la petite sommes, mais malgré tout lui dit ce dont il avait droit. Zaraz fit une sélection plus qu'acceptable qui constituait deux brioches et s'empressa de partir avec celle-ci. Se faufilant comme une sourie dans les ruelles, il aimait autant pas qu'on puisse le reconnaître vus son état. Il mangeait avec appétit en ne se plaignant pas de ce qu'il avait enfin droit, malgré que s'était encore grâce à son père et même pas grâce à ses propres talents. Il mâcha de plus en plus lentement en réalisant ce qu'il était devenus. Partir d'héritier pour tomber aussi bas quand même.

-Si père me voyait il serait peiner de me voir ainsi...

Il perdit appétit en se rendant compte de tout ce qu'il était devenus, mais se caressa la barbe en réfléchissant. Son père avait toujours le mots juste et les actions pur, alors comment savoir ce qu'il aurait pût dire ou faire. Il observa vers le ciel et soupira en s'appuyant contre un mur et se glissant le long de celui-ci pour se laisser tomber contre le sol. Se posant la tête contre le mur il referme doucement les yeux et se met à penser à son père en se demandant comment il avait pût survivre ici alors que son destin était déjà tracer, lorsque le voile à frapper. Il ferma simplement les yeux pour oublier tout ses souvenirs qui remontait et glissa une mains sur chacune de ses tempes en soupirant. Comment le destin avait-il pût écrire des lignes aussi noir pour un enfant de son âge qui avait encore tout à apprendre. Il attrapa sa petite gourde en métal et bût l'eau en soupirant nerveusement.

L'eau qu'il buvait avait pour effet habituel de remplacer l'alcool qu'il avait prit habitude de boire, alors qu'il gouvernait avec son père et ses frères! Chaque jour, l'alcool coulait à flots et pour son effets rendait tout le monde beaucoup plus heureux! Mais dans ce cas initial, il donnait à Zaraz, l'effet de ne plus se cacher derrière une bouteille et d'affronter la dure réalité qu'était la vie. Il entendit des bruits de pas s'approcher de lui, mais préféra les ignorer, se rassurant intérieurement que ce devait encore être un garde qui passait pour une ronde à cette heure matinale, rien qui ne l'aurait réellement surpris, de toute manière, il ne faisait pas réellement rien de mal à cette heure-ci. Il referma les yeux, attrapa sa gourde de métal et comme il allait en prendre une autre gorgée, ce qu'il n'entrevit pas de se produire arriva. Une personne, sans qu'il ne puisse la voir arriver, lui recula entièrement dessus, simultanément qu'un cris ambiant s'était produit. Ce qui eu pour effets qu'il tenta de se reculer, mais comme il était acculer au mur, ne pût s'empêcher de littéralement se faire marcher dessus.

L'inconnue, s'écrasa tels un atterrissage forcer en pleins sur les fesses, laissant la gourde de Zaraz se déverser entièrement sur ses propres vêtements. Détremper, le nain ne porta pas immédiatement attention à qui son inconnue pouvait être et il serra les poings en se redressant d'un coup, tel un prédateur qui se fait réveiller par l'odeur du sang d'une victime qu'il traque depuis des semaines. Il tentait intérieurement de maintenir sa respiration, étant reconnus pour ses crises de colères assez extravagante. Observant son lige il se contenta de soupirer, grinça des dents et se dirigea vers l'inconnue en nouant les bras contre son torse tel un père qui se prépare à réprimander un enfant. De première vue, lorsqu'il observait sa carrure, il ne songea pas à chercher plus loin et il était même claire que c'était un enfant qui avait voulût lui faire un mauvais coups, se penchant lentement pour venir lui faire une morale, il tomba à sa grande surprise sur un visage d'une jeune femme radieuse, mais perdues, qui projetait l'anxiété sur son visage. Pourtant, elle n'est pas en territoires ennemis ici, pourquoi avoir peur, pourquoi craindre dans cette ville qu'est Lante!

Surtout reconnus dans les parchemins pour être citer de sa perfection, son accueil chaleureux et surtout sa sécurité renforcer par son bon roi qui veille sur tout. Intérieurement, drôlement toute la rage s'était éteinte, puisqu'il considérait plus la théorie de l'accident. Après tout, il à aussi été jeune et pouvais donc comprendre que peut-être elle avait été surprise par autre chose! La distraction peut parfois avoir des effets surprenant. Il se pencha donc lentement à sa hauteur avec un air plus calme et surtout plus approchable que ses joues rouge pleine de colère et l'observa au fond de ses yeux.

-Si c'était l'heure de ma douche, il aurait été plus sage de me le dire plutôt que de m'asperger de ma propre eau... M'enfin, grâce à vous, je suis tout propre et surtout prêt pour la journée... Moi qui me plaignait que je ne savais pas comment commencer cette journée du bon pieds...

Il se mit à rire doucement de bon coeur, preuve qu'il n'allait pas l'attaquer ou quoi que ce soit. Il observa d'où venait le cri qui se répéta encore une fois et on pu apercevoir par la ruelle, un enfant et son père circuler en se chamaillant, criant de joies. Zar observa la scène avec un certains pincement au coeur, mais s'assura quand même de ne rien laisser paraître. Il s'empressa plutôt de reposer ses yeux sur l'inconnue qu'il venait de rencontrer, elle était très étrange et quelques peu différente d'eux. Il lui offrit doucement la mains, pour l'aider à se relever.

-Zaraz, c'est mon nom. Faut pas oublier la courtoisie après tout. Ce serait quand même bête de ma part.

Il aurait pût lui en dire plus, mais il avait peur de ses mêmes réaction encore, encore et encore. Surtout que ça concernait toujours le rôle d'héritier qu'il avait perdus depuis ce fameux jour.

-Si je peux t'aider en quoi que ce soit, dit le moi... Surtout si tu cherches un commerce en particulier.

Il laissa un sourire se dessiner sur ses lèvres, chose plutôt rare qu'on avait pas vus depuis le voile. Il la fixa au plus profond de ses yeux et garda un sourire sympathique au bord de ses lèvres.

La ville se réveillait de plus en plus et la congestion commençait à se remplir dans les rues, on pouvait entendre les marchants essayer de vendre leur produits et attirer les clients à leur commerce. Quand à la température ambiante, les rayons de soleil qui était encore frais vus le vent, commençait lentement à grimper dans les quelques degrés plus chaud, apportant un petit réconfort aux villageois. Une belle journée s'annonçait plus douce qu'elle n'avait commencer et les gens était beaucoup plus prier à sortir de chez eux. Toutefois, dans cette ruelle se tenait encore deux personnage qui donnait l'allure d'une tirade entre deux nains, vus la froideur des premiers mots qui sortaient de la bouche de la jeune naine. Elle n'avait pas comprit le jeux de mots légèrement mal placer de Zaraz et semblait beaucoup plus caractérielle qu'elle ne le laissait entrevoir! Surtout lorsqu'elle se releva comme une grande fille, refusant son aide.

Zaraz gardait ce petit sourire en coin, pour démontrer beaucoup plus d'accueil que la jeune naine qui semblait réellement confuse face à son caractère. Après il était certains que si elle le comparait à la majorité des gens du coin, elle serait assurément cogner contre un mur, puisqu'ici tout le monde mène sa petite affaire et moindrement vous êtes perdus ou autre, personne n'ose même pas vous regarder. Vous pourriez crier, que les gens sont plonger dans leur univers, oubliant le reste du monde. Toutefois, malgré l'accueil plutôt dur comme fer qu'elle lui avait offert, elle démontra qu'elle n'était pas non plus une de ses naines paysanne qui viens de son champs sans manière et ayant que leur nombril en vue. À voir le vouvoiement qu'elle employait, elle non plus n'était pas du coin et semblait choquée plus que tout à voir son entre-aide être offert.

Il est vrais que la localité et les nains de l'extérieur on des habitudes qui s'étalent sur deux tranche de niveaux. Zaraz était quand même fasciner d'essayer de comprendre pourquoi elle cherchait l'absolut motif de son aide. La réponse dans sa tête raisonna en répétant...Et si j'en ai simplement envie... Replaçant ses hanches à sa ceinture qui s'était déplacer durant la chute, le nain se racla la gorge pour enfin prendre la parole, après toutes ses réponses qu'elle lui avait offert, surtout qu'il était rester silencieux tout au long.

-Eh bien Lyora, vous saurez qu'il m'en faut beaucoup pour me faire mal, toutefois, pour ce qui regarde l'aide, vous m'aviez l'air légèrement confuse dans la ville et comme je sais que dans le coin il faut s'y connaître un peu quand on viens... Je me dis que c'est mieux que de rester là à vagabonder dans une ruelle.

Il l'observait discrètement de la tête au pieds, ayant un meilleur aperçus sur son apparence et il devait la catégoriser dans ce qui s'approchait de son ancienne garde royale. Armée, bien vêtue en cas de combat et surtout traînant rien qui n'ai l'air lourd, comme un bagage encombrant par exemple. Peut-être une espionne, une assassine ou encore simplement une chasseresse qui récoltait du gros gibier pour son époux. Après tout, il n'est pas rare de voir dans la culture naine que les femmes récolte une partie du butin. Comme il était debout, il replaça ses accoutrements qui ne le catégorisait vraiment pas dans la richesse qu'il avait connut, mais plus dans la pauvreté, la misère et le besoin. En même temps, Zaraz n'était pas connus des citoyens, seulement des marchands, des ancêtres et des autres vagabonds qui avait connus son histoire pour les occuper et oublier leur malheur. Alors qu'il allait dire autre chose, il sentit quelque chose venir lui cogner la jambe et se retourna pour voir au-dessus de son épaule. Un jeune garçons d'environs une dizaine d'année, seul et abandonnée dans les rues qui s'était perdus dans ses pensées. Il releva la tête en regardant Zaraz et les deux se reconnurent instantanément. Zaraz lui ébouriffa doucement les cheveux

-Dit donc Grumir, encore seul à te balader dans la ville? Je t'avais pourtant dit de rester dans l'endroit secret!...
-Je sais bien, mais j'ai faim et je suis seul parfois... Ça deviens long... Tu aurais quelque chose à manger?
-Hmmm... Laisse moi voire petite tête!

Il attrapa sa veste et fouilla une des poche avant d'en sortir une pomme, ce qui fit sourire le jeune garçon. C'était tout ce qu'il avait à manger pour aujourd'hui outre ce qu'il avait eu un peu plus tôt, mais vus la situation, le jeune homme était une priorité avant lui. Il la nettoya rapidement contre sa veste, jeta un coup d'oeil à Lyora et s'accroupit pour lui donner la pomme doucement.

-Aller bonhomme va manger et régale toi, mais reste où je t'ai dit... Histoire qu'un ancien t'offres de finir tes éducations.
-Promesse de nains... Sinon elle... C'est ton amoureuse Zaraz?

Amoureuse, le mots qu'il ne fallait pas employer devant lui. Ressentant ses joues rougir légèrement il ébouriffa les cheveux du jeune homme.

-Non, c'est... Une amie tu vois, elle n'est pas de la région. Aller maintenant file.

Le petit nain fit signe de la mains à Lyora en souriant et gambada lentement pour retourner avec les autres, content de sa découverte. Zaraz se redressa doucement et se racla la gorge en observant Lyora du coin de l'oeil. Il posa donc lentement ses mains sur ses hanches en inspirant et lui dit.

-Alors, Vous aviez une destination particulière?...

Un sourire ornait ses lèvres prêt à emboîter le pas.