La tombée de la déchéance.... [Sysiphe/PNJ]

Est-ce le coup du sort qui voulait frapper une famille entière à cause de l'acte d'un père ? Les enfants paient le prix fort, ni plus, ni moins que le bannissement de l'engeance masculine. Mon époux n'était pas au courant des desseins commis au palais ducal du soltaar. Nous nous consacrons à l'autre comme un époux épris envers sa femme, ma grossesse ne faisait que compléter ce bonheur conjugal, mes jumeaux auront une petite fille pour grandir avec eux je l'espère, un garçon sinon mais le premier me ferait plaisir. Un garçon et deux fillesseraient l'idéal. Ils connaissaient nos gens, les respecter en donnant une image naturelle de lui-même. Un homme réfléchi, loyal et fier montrant de l'intérêt à prendre ses prochaines fonctions avant le mariage, Marsilli le guider sur les rouages de la politique et la diplomatie. Il est mon conseiller le plus proche ainsi qu'un soutienindispensable à mon règne, je fus surpris qu'il m'annonce en personne au domaine des hiles les atroces nouvelles survenues du brillant soleil. 

Mon beau-père a apparemment été bannis, destituer de toutepossession s, titres de noblesse et droit d'approcher sa descendance. Non seulement un mauvais rêve, le crime qu'il a commis touchait directement à Sa Majesté. Sisyphe conservait son calme pendant qu'il poursuivait ce discours, le suicide d'Oschide et Azenor derrière lui àSainte Berthilde alimentent ma tristesse et colère à travers ses mots. Nous tenions nos mains entrelacées ensemble, je ne comprenais pascet acharnement à rajouter plus, il encaissait deux décès et la disgrâce de devenir simple roturier. La rayure du nom Anoszia parmi les lignages nobles. Je devais être forte en ce moment au nom de notre couple, je suis dévastée mais succomber ne changera rien, j'ordonne au haut trésorier de retourner au palais afin de tempérer leurs esprits.

Sarina : je ne peux croire que nous soyons accablés,  je ne te laisserai pas affronter cette période seul, je suis ta femme.

Sysiphe : Je suis tellement en colère contre eux,  mon père a toujours assumer son devoir auprès du roi. S'il a fait l'erreur je le déplore.

Dit-il en songeant aux nouvelle d'un air calme,  ce ne fut qu'une façade devant ceux ne sachant sa personnalité au privée. Il se blotti dans mes bras.

Sarina : Tu n'es pas ton père Sysiphe, ce qu'il a pu faire rejaillit sur la famille entière mais ne pense pas a mal. Tu sais que je suis la avec notre enfant grandissant en mon ventre, je crois en toi. Tes frères et sœurs le vivent pareillement, déception, colère, dégoût peu importe tu dois t'en sortir pour nous deux, nous aurons besoin de toi même si il ou elle ne porte ton nom.

Sysiphe : J'ai été béni par Neera pour me tenir à côté d'une épouse si forte, me réconfortant malgré ma déchéance. Je m'inquiète à propos de Lucrezia, la connaissant elle est sûrement bouleversée. Je ne veux pas te laisser derrière, ni céder délaisser nos gens.

Sarina : Je sais que tu veux donner libre court a ta colère, tu as le, droit d'accuser le choc comme n'importe qui ferait à ta place. Cependant, ta sécurité est plus importante a présent, notre belle-sœur Meliane semble disposé a te recevoir en terre langecine, ça me coûte de le dire. Accepte le comme un choix pouvant me rassurer.

Dis-j'en caressant ses beaux cheveux blonds d'or d'une main douce, je pensais à sa sécurité pour son propre bien, son emprise se resserait que ses larmes coulaient le long de ses joues doucement. Personne ne verra son état en dehors de moi, nul courtisan n'est invité a le contempler en ces instants.

Sarina : Je demanderai a l'un des mes commandant de préparer une navire pour le langecin, Marsilli et moi serons les seuls au courant avec le commandant sous mon allégeance, tu vas te rendre au quai indiqué demain après-midi sans risque de reconnaissance.

Sysiphe : Tu sais comment me rendre à la raison, je refuse de fuir en fils de traite à la couronne, seulement je le fais parce que je ne veux t'inquièter, j'ai été gracié de ses actes en perdant beaucoup, mes sœurs grand merci subissent moins. J'estime qu'on aurait eut pire sentence.

Sarina : Tu peux encore te déplacer soyons reconnaissants. Je ne saurais faire quoique ce soit contraire à mes principes, nous avons la nuit et le lendemain matin avant ton départ. Profitons en ce soir veux tu ?

Dis-j'en recevant un doux baiser qui perdure quelque minutes, j'en savourais la saveur dans ses bras chaud jusqu'à le rompre.

Sarina : Tu n'auras rien a préparer, je m'assure que tu reçois une partie de vêtements, complément d'affaires soit pris. L'autre va rester au domaine, une tenue de voyage l'attendra sur le bureau, tu passera pour un bourgeois. Tu es contre te teindre les cheveux temporairement, le temps du voyage.

Sysiphe : J'aimerai conservé ma couleur naturelle cela dit on peut me reconnaitre, la teinture est temporaire donc je peux concéder, quel couleur as-tu pensé ? J'ai épousé une stratège dites moi.

Dit-il d'un ton taquin pour m'embrasser avec plus de passion cette fois. Je dessine un doux regard.

Sarina : Les tons brun clair te rendront méconnaissable car il te sait un beau blond aux yeux bleus, tu retrouvera ta couleur en les lavant à l'eau. Jusque la ne les mouilles pas. Je vais te manquer un certain temps.

Sysiphe : Je ne pense qu'à ma dulcinée, tu me comble comme un époux et amant, comment demander davantage pour l'homme. La chambre nous attends ma dame.

Dit-il en me guidant a nos appartements privés afin de poursuivre l'échange à l'abri des regards.