Aléandra di Systolie, Comtesse d'Ydril

Identité

Nom/Prénom : Aléandra di/de Systolie
Âge/Date de naissance : 20 ans (996)
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Faction : Péninsule
Alignement : Neutre Bon
Liens notables : Fille de Kalgar di Systolie et de Judith d'Aphel, nièce de Maciste de Soltariel, soeur d'Alastein di Systolie

Particularité : Aléandra raffole des fruits sucrés dont les fraises. Elle est aussi très intelligente et apprend avec une grande facilité, idéal pour une fille si importante. Elle aime beaucoup la littérature et l'art.


Métier : Noble de Naëlis, diplomate
Classe d'arme : Corps à corps / Epéiste

Possessions & Equipements : Ayant perdu ses domaines en Péninsule, et n'ayant pu emporter sur elle qu'une robe d'or et d'azur, une armure aux couleurs des Systolie et l'épée courte de son père Kalgar, Aléandra dût se refaire à Naëlis. Le Roi lui mit à disposition un quartier modeste mais amplement suffisant dans son Palais. Une chambre, une salle d'eau, un salon et un bureau, ainsi que quelques tenues locales. Elle put par ailleurs se racheter une belle collection de livres et savoirs en tout genre. Un palefroi et un destrier.


Apparence : La Comtesse n'est plus l'adolescente rayonnante que connût Ydril. Durant l'année qui suivit la guerre, les flammes de sa chevelure s'éteignirent pour laisser placer à un blanc grisonnant. Elle prit aussi quelques centimètres afin de terminer sa croissance avec brio. Son visage quant à lui s'est mûri, par l'âge et par l'expérience. Son charme n'est plus le même, de la fillette chaleureuse aux jolies formes, elle est devenue la jeune femme froide et prestigieuse. Durant les dernières années, elle a gagné en endurance et résistance physique de part son entraînement quotidien.

• Taille : 1m68
  
• Couleur des yeux : vert
  

Personnalité :
Lorsqu’on est une enfant on subit généralement l’influence de ceux qui nous entoure. Ballottée entre Ydril, Aphel et Soltariel, Aléandra a apprit de ses tuteurs plus qu’elle n’aurait voulu. D’Inès elle aurait acquis la prestance et l’arrogance ; de Kahina la passion et le désir ; d’Arichis la malice et la méfiance. D’apparence si douce et ingénue, le temps aurait forgé une jeune femme solide qui a vu tous ses proches disparaître les uns après les autres dont son frère jumeau emporté par une guerre civile qu’il avait subi, ainsi que son bien-aimé Altiom qu'elle prit comme un oncle. Et finalement Glenn qui l'avait recueillie alors qu'elle avait tout perdu. De tous ces malheurs, Aléandra en fut étonnement sortie plus stable qu'auparavant, mais il lui fallu du temps. Du temps pour mûrir, du temps pour vaincre la colère, le regret, le ressentiment. Pendant des années l'on avait tout décidé pour elle, et lorsqu'enfin elle fit ses propres choix, celui d'une guerre juste aux côtés d'hommes d'honneur, on ne le lui laissa point mourir pour cette cause comme elle l'aurait voulu. Désormais, elle a mis de côté toutes les émotions que lui ont fournie la guerre pour devenir une femme méticuleuse, autoritaire et obsédée par le travail que Naëlis lui propose. Elle n'est pourtant pas à l'abri que tout revienne lui exploser à la figure..

Capacités magiques :
Aucune, elle souhaite s'y intéresser pourtant.

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Histoire

Les jumeaux Systolie sont nés orphelins.Son père Kalgar, fut officiellement emportée par une maladie avant sa naissance. Sa mère, Judith d'Aphel, est morte en lui donnant vie. Bersabée devint la seule figure maternelle à laquelle une fillette pouvait se rattacher bien que cela lui suffisait à l’époque, aujourd’hui Aléandra aurait préféré avoir la protection de ses parents plus que tout autre chose. Elle grandit en entendant des choses sur la famille qu'elle ne connut pas : que son père était un ours, un colosse plein d'honneur et de charisme, que sa mère était douce mais paraissait froide, que son oncle Adhémar était surnommé la Vipère d'Ydril pour avoir tuer un homme avec du poison lors d'un duel, et qu'un mystérieux maître d'armes du nom d'Hannibal Acherbas avait grandit parmi eux et les avait servis fidèlement jusqu'à la mort de Kalgar II di Systolie. Tous ces gens qu'elle n'avait pas connus, et qui pourtant lui semblaient familier.

La famille Systolie malgré son étendue, regorgée d’individus aptes uniquement à servir leurs besognes. Un oncle usurpa en premier les jumeaux lorsque chargé de la régence, il tenta d’assassiner ses neveux et nièces placés sous la protection de la duchesse Inès de Soltariel. L’oncle Diogène perdu heureusement face à la puissante suzeraine. Aléandra qui essayait de marcher sur les pas de sa protectrice fût soulagé d’apprendre que le trône de son frère était sauf. La période à Soltariel fût la plus tranquille pour la Systolie, alors que toute la pression reposait sur les frêles épaules de son frère, elle paradait aux côtés de la duchesse comme un trophée intouchable. Elle était si insouciante du monde qui l’entourait, si déconnectée de la réalité qu’elle ne réalisait pas l’enjeu que sa présence représentait.  

Car elle était un trophée qu’on pointait du doigt. La représentation humaine de la victoire de Soltariel sur Ydril. Obligée de se protéger contre les remarques acerbes et les chuchotements moqueurs de la cour, Aléandra s’est inspirée de sa tutrice pour se murer derrière un voile d’arrogance et de fierté. Pendant qu’on régentait le comté de son frère, on la préparait non pas à être un outil au service du prochain comte mais un au service de Soltariel. La domination de la nation suzeraine devait être nette sur le vassal vaincu afin que plus jamais celui-ci ne revienne la défier. Mais ceci Aléandra ne le vit pas, elle observait sans réellement comprendre car là n’était pas sa destinée.

Lorsque son oncle Maciste d'Aphel fût couronné duc, Aléandra se senti respirer pour la première fois. La protection du parent, même éloigné, était bienvenue. Son épouse Kahina à peine plus âgée qu’elle lui fit découvrir les secrets de l’adolescence et fût la première à la traiter comme une amie, une égale, plutôt qu’un trophée. Sa disparition tragique laissa un goût amer à la petite fille qui venait de perdre son frère suite à la guerre orchestrée par des vassaux ambitieux. D’aussi loin qu’elle s’en souvenait, son frère avait toujours été à ses côtés et sa mort lui donnait pour la première fois la réelle signification du mot orpheline. Le tuteur d’Alastein demeura son régent, un Anoszia. Elle ne savait qu'en penser, Arichis était un personnage qui lui avait tant pris et tant donné. Encore secouée par les morts et disparitions de ses proches, Aléandra tentait tant bien que mal de demeurer forte face à ses nouveaux vassaux. A peine eut-elle le temps de faire connaissance avec celui qui avait survécu à son frère qu’Arichis d’Anoszia fût à son tour écarté.

Son règne commença enfin, et elle prit soin de bien s'entourer. Elle garda auprès d'elle la jeune génération issue des familles restées fidèles aux Systolie, nomma Scipion di Bartuliossi sénéchal du comté, ainsi que les chevaliers Eris di Iduma et Cassius di Meltor (dit le Dragon Rouge) comme garde rapprochée. Bien vite, ses ambitions de reprendre le pouvoir sur l’entièreté du Comté se manifestèrent et elle mit la pression à Théodebald d'Arseflèse, Haut-Viguier Scylléen de Marcalm-La-Blanche, pour qu'il lui remette le vicomté qu'il revenait de droit. La tension toujours croissante entre les deux camps, les deux s'étaient préparés à l'affrontement direct. Mais c'est une menace d'un tout autre genre qui surprit toute la Péninsule. Marcalm fut reprise par une armée venue de l'autre côté de l'Olienne, Altiom Zadar, ex archonte d'Ydril accompagné de son frère d'armes Glenn Hereon, roi de Naëlis, défirent et tuèrent Théodebald. Alertée par la nouvelle, Aléandra fit préparer ses troupes pour affronter les hommes d'Ithri'Vaan, mais fut finalement conquise par les mots d'Altiom lors de leur échanges épistolaires et l'opportunité qu'un tel événement offrait à Ydril. Oui, la rouquine fut prise par la folie des grandeurs. De son point de vue, son choix était parfaitement justifié : d'une part Altiom était l'un des seuls membres de sa famille qu'elle connaissait et elle le savait plus légitime sur le trône qu'elle-même, de l'autre Tibéria et les régents n'étaient pour elle que des étrangers qui continueraient de profiter du comté d'Ydril à ses dépends. Ils firent alors alliance et reprirent le comté au complet, arrachant le Curzio et le Calozi des mains de la soit-disante couronne.

La petite rousse reconnut Altiom comme Comte d'Ydril et prit le titre d'Archontesse et de Vicomtesse de Marcalm. Leur petite gloire, petit âge d'or fut de courte durée. Très vite le blocus d'Ydril fit rage, mais il fut vite repoussé par une ingénieuse manœuvre de brûlots, marquant les esprits d'une victoire symbolique. Tandis que les deux seigneurs de guerre se chargeaient de sa stratégie, Aléandra avait pour mission de gérer la métapolitique ainsi que les liens diplomatiques entre Ydril et les comtés voisins soumis à Soltariel. Elle sut se rapprocher de Victoria di Maldi, sa cousine, bien qu'elle ne put la convaincre de rejoindre leur camp. Puis l'armée du Soltaar accompagnée de l'armée royale vint. La guerre était perdue d'avance, le Nord avait vaincu trop vite le Médian pour permettre à Ydril de vaincre Soltariel individuellement. Les troupes étaient aux portes de la cité chérie par l'Archontesse. Elle savait qu'elle serait défaite mais comptait se battre jusqu'à la fin, comme elle l'eût promis à Altiom. Elle prit l'épée courte de son défunt père, elle qui n'en n'avait jamais tenu une seule. Peu importe, elle voulait mourir l'arme à la main, pas comme une vulgaire princesse cherchant à fuir son tragique destin. Néanmoins, les dieux en décidèrent autrement. Sous les ordres de Glenn Hereon, Damons captura l'adolescente pour l'emmener à Naëlis. Le Roi de la cité d'Estrevent avait de sombres projets derrière la tête. Altiom fut lui aussi capturé, mais livré aux autorités royales par les Aigles Noirs. Cela, Aléandra ne l'apprit qu'en arrivant à Naëlis.

Pendant une année entière, elle n'adressa pas la parole à Glenn Hereon. Pour elle, il n'était plus qu'un sale traître, celui qui avait condamné son propre frère d'armes, celui qui l'avait privée elle d'une mort glorieuse..ou simplement d'une mort. Elle avait juré de suivre Altiom jusque dans la tombe. Lorsqu'elle apprit la mort de ce dernier quelques mois plus tard, son cœur se meurtrit de nouveau. Naëlis ne représentait qu'une prison dorée pour elle. Le Roi lui avait donné un quartier dans son propre palais et veillait à ce qu'elle ne manqua de rien malgré la crise, mais rien de tout cela ne la consolait. La noble dame déchue préférait se laisser mourir. Puis vint Hannibal Acherbas, enfin revenu de la dernière mission que lui avait confié Altiom. Le Loup Noir accomplit enfin la promesse qu'il avait faite à Judith d'Aphel, et s'occupa de sa fille. Doucement, à force de conversations avec le maître d'armes, Gliniana et d'autres nouveaux visages, elle reprit peu à peu goût à la vie. Naëlis se préparait à une menace bien réelle : celle des Drows. Lorsqu'elle comprit enfin le rôle qu'elle pouvait jouer de part son sang et son expérience, Aléandra débuta l'apprentissage. A l'épée avec Hannibal. A la géopolitique d'Ithri'vaan et de ce qui l'entoure avec Gliniana. A la stratégie militaire avec Glenn, à qui elle décida de parler de nouveau.

Le Roi conquérant mourut 2 ans plus tard, ce qui la toucha fortement. Elle avait réussi à pardonner et à comprendre la trahison qu'il avait commise envers le véritable comte d'Ydril. Mais cette fois-ci, elle ne se laissa point abattre par la mort d'un nouveau proche et travailla d'autant plus auprès de ses mentors. En 5 ans, l'Ydrilote déchue fit des progrès exceptionnels dans le maniement des armes et de la langue. Elle se rapprocha des nobles marchands Sybronds qui remplissaient à eux seuls un quartier. Certains d'entre eux commencèrent à l'appeler "la Demoiselle Blanche", originellement pour plaisanter. Néanmoins la population indigène ne la portait pas dans son cœur, et c'était un euphémisme. L'arrivée d'une petite noble Péninsulaire ne les ravissait point.. une de plus. Une bouche qui mangerait comme 10 à nourrir. Aléandra s'en tenait éloignée afin de ne pas faire de vague. Acquérir la confiance de ces gens prendrait du temps et n'était pas sa priorité. Eris di Iduma vint retrouver sa dame à Naëlis pour offrir de nouveau les services de son épée, et lui apprit la mort au combat de Cassius di Meltor. Forte de cette retrouvaille, Aléandra entama quelques temps après une relation amoureuse avec le jeune chevalier.

Afin de parfaire sa formation, Hannibal prit Aléandra durant ses derniers voyages en Zurthanie et à Thaar, jugeant la Péninsule encore trop dangereuse pour elle. La Zurthanie consistait à un aguerrissement intense tandis que la cité-Etat servait de terrain de jeu pour l'éloquence, la dissimulation et le complot en tout genre. Si Ydril lui manquait, les délices des cités d'Ithri'vaan ne manquaient pas de lui plaire en tout cas. L'heure n'est pourtant pas aux réjouissances...Des rumeurs de dragons, le siège de Sol'Dorn par le Puy d'Elda et le royaume Péninsulaire ayant repris de ses forces : Naëlis est menacée, convoitée. Et au-delà de Naëlis, l'humanité entière. L'ancienne Comtesse y revint afin de se glisser dans le jeu politique de la Cité. Depuis la défaite à Ydril et la mort de Glenn, elle n'avait plus rien pour faire le poids, si ce n'est des contacts et de l'éloquence. Pourtant cela ne suffirait pas, il fallait s'adapter à Naëlis, il fallait penser Naëlis, vivre Naëlis, et cela demandait de grands efforts à la Péninsulaire discrète mais toujours fortement attachée à sa terre natale. Voilà une Aléandra di Systolie parée de 5 années d'apprentissage et qui se demande si cela suffira pour le combat qu'elle devra mener, aussi bien au niveau politique que physique..

HRP:

Hello

C'est court mais qualitatif. Il y'a en effet beaucoup de reprises de la fiche originale mais bon ... Il n'y a pas non plus 36 choses à dire sur un personnage aussi jeune.

Je te prierai de bien prêter attention aux RPs, même s'ils sont peu nombreux, qu'avait joué l'ancienne joueuse. Notamment le RP avec Franco où elle se présentait comme une fervente défenseuse des droits de succession de sa famille.

Je te valide, je te laisserai me consulter pour toute question éventuelle que tu pourrais avoir concernant le jeu de la noblesse ou concernant le Sud de la Péninsule

Code:

[Métier] : Comtesse d'Ydril, Dame de Peyredrac

[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : Aucune

[Alignement] : Neutre Bon

Je t'épargne les liens habituels

Fiche déplacée en présentoir pour mise-à-jour.

Ancienne fiche:

Hoy o/. Donc pour un premier passage, rapido de ce que j'ai pu voir

Citation :

En une nuit, ses cheveux virèrent au blanc, sans doute de crainte d'être faite prisonnière.

Certes, je ne suis pas médecin, mais je pense très sincèrement que le niveau de stress qui serait requis pour qu'en une nuit l'intégralité de la chevelure de quelqu'un blanchisse... aurait de grandes chances d'être mortel. Si l'idée c'est d'obtenir de jouer une Aléandra avec les cheveux blanchis, pourquoi ne pas plutôt simplement utiliser les 6 ans que tu couvres pour que le changement se fasse petit à petit ?

Citation :

Le Roi lui avait donné un petit manoir dans les beaux-quartiers de la ville, des servants, des offrandes, mais rien de cela ne la consolait.

En particulier durant les années ayant suivi la guerre d'Ydril, Naélis est pas mal appauvri ( faute à la mauvaise publicité que lui a fait la guerre d'Ydril puis à une purge des marchés Thaaris du Royaume ). Du coup, quand les Centaures de Glenn ponctionnent déjà pas mal des richesses du territoire, qu'une petite nouvelle arrive et reçoive son manoir personnel, ses servants et soit couverte de richesses alors qu'elle n'apporte strictement rien en retour serait extrêmement mauvais non seulement pour la réputation du couple royal, mais aussi pour Aléandra elle-même qui prendrait des airs de parvenue et se retrouverait à la merci de la pègre.

Quitte à ce qu'elle soit choyée par Glenn, autant qu'il l'accueille au Palais. À ce moment-là elle se retrouverait sous son giron et pourrait profiter des avantages du couple Royal sans se mettre une cible sur la tête.

Citation :

Elle commença même à prendre plus d'importance dans la cité, se rapprochant des nobles marchands Sybronds qui remplissaient à eux seuls un quartier. Sa chevelure et sa froideur lui valait le surnom de la "Dame Blanche" parmi ses pairs et le peuple.

Que les Sybronds se rapprochent d'elle - surtout vu ses liens avec Victoria - n'a rien d'étonnant. Par contre de là à se faire une réputation au sein du "peuple Naélisien" quand au final il n'y a eu aucun événement de grande ampleur pour lui en donner l'occasion serait un peu gros. Naélis est très cosmopolite, on y trouve des hommes, des elfes, même quelques rares drows, l'occasionnel nain et tous les hybrides qui vont avec. Le truc c'est que toute cette population vient aussi avec non seulement l'identité purement Naélisienne, totalement indépendante de la Péninsule, mais parfois aussi des subsistances des mentalités de leurs patries d'origines. Ce qui rend finalement la tâche extrêmement difficile lorsque l'on veut se construire un nom dans le Royaume, parce qu'il faut composer avec des background extrêmement différents.

Puis en plus, les grandes pontes Péninsulaires, parce qu'elles ont justement souvent été pourries gâtées par Glenn, ne sont pas particulièrement populaires chez les Naélisiens ( même ceux d'origine Péninsulaire mais restés plus modestes d'ailleurs ! )





Au vu des temps qui se profilent, il y a pas mal de chances que Naélis (re)devienne un territoire particulièrement disputé, et que du coup naissent pas mal d'occasions de se distinguer auprès de sa population. Je pense très sincèrement que pour l'instant, il serait plus sage de concentrer les dernières années d'Aléandra sur son adaptation à sa vie dans un nouvel univers ( peut-être plus modeste qu'un manoir personnel et des toilettes à foison ), et sur les nouvelles décisions prises pour sa vie pour finalement laisser son nom gagner en traction plus organiquement au fil des RPs. Ce qui permettrait finalement de donner à la position ainsi gagnée un véritable poids.

Et hop ! Bon retour !