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 Sorsha [Terminée]

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Sorsha
Humain
Sorsha


Nombre de messages : 89
Âge : 38
Date d'inscription : 29/12/2018

Personnage
:.: MANUSCRIT :.:
Âge :  23 ans
Taille
: 1m70
Niveau Magique : Apprenti.
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MessageSujet: Sorsha [Terminée]   Sorsha [Terminée] I_icon_minitimeLun 7 Jan 2019 - 0:21

Identité
Nom/Prénom : Sorsha
Âge/Date de naissance : 23 ans, née le 5ème jour de la troisième ennéade de Vérimios en l’an 992
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Faction : Wandraise
Alignement : Chaotique Bon
Liens notables : Aucun

Particularité : La couleur de ses yeux. D’un vert très clair, certains croient qu’elle peut voir des choses que d’autres ne voient pas. On la surnomme « Celle qui voit » bien que ses présumés ‘aptitudes’ ne soient pas un fait avéré. Cela suffit à garder les autres à distance et à imposer le respect.


Métier : Guérisseuse/Sage-Femme
Classe d'arme : Corps à Corps et à distance


Possessions & Equipements :
Sorsha possède une hutte dans laquelle s’entasse ses possessions. Des gris-gris en tout genre, une collection d’herbes séchées qui lui sert à préparer des toniques et des potions pour soigner les gens. Elle sait faire une potion qui fait venir le sang pour les femmes qui souhaitent se débarrasser d’un bébé, mais ce n’est pas sans risque. Si la femme tarde trop, elle peut en mourir.

Elle possède un arc, son arme de prédilection, ainsi qu’une épée. Toutes les femmes de son clan ont apprit à se battre, Sorsha ne fait pas exception. De plus, elle porte toujours une dague sur elle peu importe où elle va.

Son focalisateur prend la forme d’une croix blanche qu’elle porte à son cou. Elle a trouvé l’objet après avoir assisté à son premier accouchement alors qu’elle n’était qu’une enfant. Il lui rappel la vie et la mort sont intrinsèquement liés et que l’un ne peut pas exister sans l’autre.

Apparence :
Dans un monde où la vie est rude, elle est une fleur à la fois délicate et pleine d’épine. La première chose que l’on remarque chez elle est son regard. Il vous transperce, vous cloue sur place. Il vous met à nu et donne l’impression de lire en vous vos secrets les plus profondément enfouis. Ce n’est pas pour rien qu’on la surnomme « Celle qui voit » même si on n’est pas certain de ce qu’elle peut voir en réalité. C’est la couleur de ses iris qui surprend. D’un vert clair saisissant, ils imposent le respect et inspire la crainte chez les plus superstitieux. Voilà pourquoi personne ne l’a jamais touché même si elle attise la convoitise des hommes. Sensuelle et féminine, forte et fragile, elle incarne la beauté terrible des Wandres. Là-bas, la coquetterie n’a pas vraiment sa place, mais elle aime, comme les autres femmes de son clan, se couvrir de colliers de perles que les plus vaillants des siens auront cueillis de la mer. De même, elle pare son épaisse chevelure de breloques en tout genre dont des plumes d’oiseaux qu’elle aura ramassées dans la nature. Ses vêtements sont composés de plusieurs couches de peaux d’animaux et de tissus pour se protéger des éléments qui sont particulièrement cruels dans cette région du monde. Le côté pratique prend rapidement le dessus.

Sorsha n’est pas particulièrement grande, mais elle n’est pas petite non plus. Elle a le corps d’une guerrière et des mains aussi capable de préserver la vie que de donner la mort. Ayant rapidement compris comment garder les indésirables à distance, elle se barbouille le visage de pigment foncé pour faire ressortir l’étonnante couleur de ses yeux.

Personnalité :
Féroce, fière et intelligente, voilà les trois mots qui décrivent le mieux Sorsha. Féroce, car celui qui osera la défier ou mettre en péril les siens ne fera pas cette erreur une seconde fois. Elle sait se battre et n’hésitera pas à prendre les armes contre les envahisseurs et tout ce qui menace le fragile équilibre de la nature. Fière, car elle refuse de courber l’échine devant ceux qu’elle juge indignes. Un homme bien est un homme d’honneur et celui qui en fait preuve et qui n’hésite pas à se battre pour ce qui est juste gagnera tout son respect. Au contraire, celui qui use d’intrigues et qui manipule les siens pour faire tout le travail à sa place n’aura aucune valeur à ses yeux. Elle n’hésitera pas à arrêter une telle personne. Intelligente, car Sorsha a un esprit vif et un redoutable sens de la répartie. Elle analyse le monde autour d’elle pour en comprendre les mécanismes qui lient les choses entre elles. Elle sait que son univers est régi par des lois qui sont elles-mêmes dictées par les esprits. C’est à cause d’eux que les hommes existent et c’est pourquoi elle leur voue le plus grand des respects. Enfant, lorsqu’on lui découvrit un don pour la magie de la vie, on lui dit que les esprits l’avaient choisi et qu’elle devait s’en montrer digne tout au long de sa vie. Ce n’est pas quelque chose qu’elle prend à la légère, même si le fardeau est parfois très lourd à porter.

Sorsha n’aime pas les gens. Son don et son apparence un peu particulière l’ont grandement isolé des autres membres de sa communauté. Ironiquement, ils font quand même appel à elle et la jeune femme répond, car c’est sa responsabilité de le faire, mais elle ne cherche pas à entretenir de vraies relations, même avec son frère qui lui adresse que très peu la parole. Malgré cela et ses allures froides et distantes, Sorsha cherchera toujours à faire le bien autour d’elle même si ses actions ne sont pas nécessairement en accord avec ce qui est admis. Elle croit en l’équité et en la justice, qu’elle soit humaine ou divine et que si l’on pose une mauvaise action, il faudra payé tôt ou tard. Elle se pose en observatrice. Les gens l’appellent « Celle qui voit », car ils la croient capable de voir les esprits et les choses qui échappent au commun des mortels. Ils ne peuvent pas être plus éloignés de la vérité, mais elle perçoit le monde, son évolution et ses changements. Sorsha comprend que certaines choses seront impossibles à empêcher et que les vieilles traditions seront mises à rude épreuve. Elle ne sait pas quelle forme cela prendra, mais Sorsha sait que le jour viendra où un choix devra être fait.


Capacités magiques :
La magie de Sorsha est centrée principalement sur ses mains et sur sa relation avec les esprits. Ses rituels prendront souvent la forme d’un massage durant lequel elle chantera des prières aux esprits qui lui ont accordé ce don. Ces massages sont effectués avec des huiles qu’elle fabrique elle-même et des herbes médicinales. Elle les utiles autant durant les accouchements que lorsqu’elle doit s’occuper d’un blessé. Chacun de ses gestes est calculé, chaque soin sera un peu différent selon ce qu’elle doit traiter (un accouchement versus une blessure). Aux yeux de l’inculte, tout cela peut paraître mystérieux et effrayant, mais ce sont des gestes qui l’aident à se concentrer. Parfois, elle fait brûler des herbes aux vertus apaisantes, une drogue douce qu’elle utilise seulement pour les patients agités. Elle arrive à sauver une femme qui est en hémorragie ou à refermer les blessures graves d’un guerrier, mais ces soins prennent du temps et de l’énergie.

Lorsqu’elle n’a pas ses effets ou qu’elle se trouve dans une situation où il faut agir rapidement, Sorsha pourra éventuellement stabiliser le blessé en arrêtant ou en diminuant le saignement. Toutefois, il doit impérativement être déplacé en lieu sûr pour qu’elle puisse le soigner efficacement sans être dérangée.

Ce qu’elle peut faire :

— Traiter des blessures mineures (hématome, coupure superficielle, entorse)

— Réparer les fractures (une fracture simple sera nécessairement plus facile à soigner qu’une fracture ouverte et un os égrainé)

— Arrêter les saignements

— Refermer les plaies (Plus la plaie est importante, plus il lui faudra du temps et de l’énergie.)

— Redonner de la force à un bébé naissance qui manque d’énergie. (Une tâche assez difficile pour elle, surtout si l’accouchement a été pénible et lui aura demandé préalablement beaucoup de concentration)

Elle n’a pas encore essayé de remettre en place un membre qui aura été séparé du corps.





Histoire


L’accouchement est sans doute le moment à la fois le plus beau et le plus terrifiant dans la vie d’une femme. Il est brutal, sanglant et la fin n’est pas toujours heureuse. Lorsque notre vie est en jeu, nos instincts les plus primaux se manifestent sous leur forme la plus crue. Il y a des hurlements, des plaintes et des larmes. Voilà pourquoi les hommes ne sont jamais admis lors des naissances. C’est une lutte, un combat contre la vie pour la vie ainsi que la manifestation la plus juste de ce qu’elle est : magnifique et terrible. Ces mots, Sorsha les a entendus de nombreuses fois durant sa vie. Sa mère Vassa était sage-femme comme sa mère avant elle et sa grand-mère. De génération en génération, ce précieux savoir fut transmis par les femmes pour les femmes. Elle était très jeune à l’époque, mais elle se souvient parfaitement du premier accouchement auquel elle a assisté dans une tente surchauffer où se mélangeait l’odeur des bêtes et des corps entassés. Sa mère était là ainsi que sa grand-mère. Les deux femmes assistaient une toute jeune parturiente. Trop jeune sans doute, mais Sorsha ne le voyait pas. Non, elle voyait plutôt une femme se tordre de douleur et maudire les esprits. Son ventre gonflé et tendu menaçait de se fendre. Pendant des heures, Sorsha entendit ses cris et ses hurlements quand, soudainement, une tête monstrueuse jaillit entre ses jambes dans une giclée de sang rouge vif. Trop clair, avait dit sa grand-mère. Le garçon vint au monde, mais le sang ne s’arrêta pas. Il imbiba la couche et souilla les fourrures. Elle voyait encore la main poisseuse de sa grand-mère se refermer sur le poignet de sa fille qui essayait encore de la sauver en appuyant fermement sur le ventre flasque. Inutile, les esprits l’ont rappelé. Juste comme ça, la jeune femme mourut. Juste avant de rendre son dernier souffle, le regard de la mourante se fixa au sien. À cette époque, elle ne comprenait pas encore les émotions des grandes personnes, mais la peur est instinctive et elle se transmet facilement d’une personne à l’autre. Sous l’effet de la terreur, ses pupilles se dilatèrent avant de se figer dans la mort. Avait-elle vu quelque chose ou était-ce simplement les derniers soubresauts d’une vie que l’on refuse d’abandonner ? Nul n’avait de réponse, mais longtemps Sorsha repensa à ce moment.

Sorsha a grandi sans son père dans la région que l’on appelle la grève de Mitfel, une région qui s’étend depuis les côtes de l’Eris jusqu’aux contreforts des montages et les abords du lac d’Aegir. Il n’est pas mort de façon tragique. Il ne l’a pas non plus abandonné, sa mère et elle. Non, Vassa était l’une des femmes les plus fières et les plus indépendantes à n’avoir jamais foulé cette terre. Elle était aussi terriblement têtue, assez pour qu’on le souligne dans ce village peuplé de pêcheurs rompus aux éléments les plus rudes. Vassa croyait ne pas avoir besoin d’un homme dans sa vie et que si l’un d’eux partageait son lit, c’est parce qu’il le méritait. Elle eut quelques amants qui donnèrent quatre grossesses en tout. Seuls deux enfants survécurent, Jolf un garçon issu de sa seconde grossesse et Sorsha, sa petite dernière. Aujourd’hui, le jeune homme n’entretient que très peu de lien avec sa sœur. C’est qu’il fut la victime de l’idéologie de sa mère : Vassa préférait les filles et voyait les garçons simplement comme d’éventuels reproducteurs. Ce n’était pas courant parmi les gens de son clan et ça ne lui rendait pas tellement service. Elle confia son rejeton à quelqu’un d’autre pour s’occuper de Sorsha. Enfant curieuse, mais aussi bornée que sa mère, leur tempérament ne s’accordait pas toujours. Cela dit, la gamine apprenait vite et comprenait l’importance de ce savoir, mais plus importante encore, elle possédait un don. C’est l’aînée du village qui décela dans le cœur de Sorsha cette petite étincelle qui rendait ses mains si précieuses. La magie de la vie coulait dans ses veines. Bien sûr, ce don ne saurait se développer si la jeune fille ne le travaillait pas. On ne devient pas un guerrier en tenant simplement une épée dans sa main. Avec l’aide des anciens et les quelques rares personnes possédant une magie semblable à la sienne, elle apprit à apprivoiser cette étrange énergie qui vivait en elle, une force qui lui permettrait d’être une bien meilleure sage-femme que ses ancêtres avant elle.

Mais, si la magie est une bénédiction, elle inspirait tout de même la crainte dans le cœur des hommes. Aux yeux de l’inculte, Sorsha pouvait défier la mort par un simple toucher et quelques chants mystérieux. Dans un monde où la mort se côtoie de façon quasi quotidienne et où on apprend à l’accepter non pas comme une fatalité, mais comme un passage vers autre chose de plus grand, ça n’a rien de très naturel. Surtout que les wandrais gardaient encore un souvenir très net du Voile. Elle avait 7 ans à l’époque, mais en gardait un très net souvenir. Les chamanes en perdaient presque la tête. Lorsque le ciel obscurcit pendant un mois, tous croyaient à la fin du monde. Les esprits étaient en colères et ils punissaient les hommes. Il fallait revenir aux anciennes traditions et combattre les hérésies. Surtout, il fallait être attentif aux signes. C’est pourquoi Sorsha vivait relativement isolée du reste du groupe qui continuait pourtant à profiter de ses aptitudes, mais qui se méfiait de la personne et de son allure particulière. Certaines rumeurs circulaient à son propos. On disait qu’elle pouvait voir ce qui est invisible. Évidemment, c’était faux, mais Sorsha laissait volontairement planer le mystère pour garder les indésirables à distance. Les esprits avaient jadis manifesté leur colère violemment, que pouvait faire Sorsha avec sa magie qui défiait la mort? Ainsi se passa une bonne partie de sa vie, entre apprentissage et solitude.

Sorsha continua son apprentissage aux côtés de sa mère en assistant les femmes de son clan lors des accouchements. En parallèle, elle apprit à manier l’arc et l’épée, formation obligatoire dans cette région du monde où la valeur d’une personne se mesure souvent par son aptitude à se battre. Si elle se débrouille bien avec une lame, elle a choisi l’arc comme arme de prédilection. Les choses allaient bien jusqu’à ce que les rumeurs sur la présence d’un dragon dans la forêt de Soccor commencent à se répandre parmi les clans. Comment interpréter la présence de la bête dans les terres sauvages? S’agissait-il d’un test commandé par les esprits? Les Wandrais sont peut-être de féroces guerriers, ils ne sont pas de tailles pour affronter de telles créatures. Heureusement, la bête ne semblait pas particulièrement agressive et une cohabitation relativement paisible s’installa. Cela dit, il suffisait de peu pour que cela bascule.

L’élément qui allait tout chambouler ne tarda pas à se manifester. Lorsqu’un groupe armée venue d’un sud — du royaume des hommes — foula le territoire des Wandres, ses habitants ne s’arrêtèrent pas pour leur demander la raison de leur présence. Ils furent reçus avec les armes. Sorsha y était, ainsi que son frère Jolf, leur clan étant pratiquement aux premières loges de cette folle entreprise. Les combats furent sanglants, l'adversaire semblant particulièrement désorganisé, mais la victoire sans équivoque pour les clans permit à Jolf de s’affirmer un peu plus en tant que leader parmi les siens. Malheureusement, cette croisade alimenta également le dragon en agressivité et ses attaques forcèrent bientôt des clans à se déplacer pour le fuir. Sur un territoire où les ressources se font rares et où les pillages sont nombreux, la pression ne pouvait que s’accentuer. Pour plusieurs, les hommes du sud étaient les responsables et ils devaient payer pour cela, mais est-ce que le royaume des hommes allait accepter sa part de responsabilité? Pour Sorsha, du moins, ça ne faisait aucune différence que ces hommes aient agi contre la volonté de leur chef. Au mieux, ça prouvait qu’il n’était pas assez fort pour le rôle. Elle préférait se poser en tant qu’observatrice, mais la jeune femme savait qu’un jour où l’autre, elle sera forcée d’agir.
HRP:


Dernière édition par Sorsha le Mar 15 Jan 2019 - 1:26, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Sorsha [Terminée]   Sorsha [Terminée] I_icon_minitimeDim 13 Jan 2019 - 2:41

Fiche terminée !
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Artiön Laergûl
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MessageSujet: Re: Sorsha [Terminée]   Sorsha [Terminée] I_icon_minitimeMar 15 Jan 2019 - 2:08


Sorsha [Terminée] Tampon13

Wandraise ! Ton but si tu l'acceptes est de devenir l'amie du dragon vert et de l'envoyer ravager la Péninsule °-°

Code:
[Métier] : Guérisseuse

[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : Corps à Corps / Distance

[Alignement] : Chaotique bon

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

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MessageSujet: Re: Sorsha [Terminée]   Sorsha [Terminée] I_icon_minitime

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