La Vengance de Rayla Main-Rouge

Identité

Nom/Prénom : Rayla Main-Rouge
Âge/Date de naissance : 21 ans
Sexe : Féminin
Race : Humain
Faction : Wandres
Alignement : Neutre Bon
Liens notables :

Particularité : Rayla possède des tatouages guerriers le long de ses bras, dans le dos, sur l'abdomen et sur les épaules, des tatouages qui témoignent de ses exploits martiaux au cours des cinq dernières années. De plus, en règle générale, elle porte des peintures de guerre noires sur le visage. Elle es très douée au maniement de l'épée longue (et équivalent) et, du fait de son éducation, a appris les bases des arts rhétoriques, bien que désormais, sa mentalité wandraise ait quelque peu pris le dessus.


Métier : Autrefois demoiselle de cour, aujourd'hui guerrière.
Classe d'arme : Corps à corps

Possessions & Equipements :
Rayla possède une épée longue sertie d'un petit rubis au pommeau, héritage de son passé péninsulaire. Outre cela, elle possède un écu en bois portant les couleurs de son clan, une armure de cuir garnie d'une fourrure d'ours. Cette armure a une très grande valeur à ses yeux, puisque l'ours qui a permis sa réalisation a été tué lors du rite d'initiation de Rayla pour rejoindre son premier clan. Elle possède également une jument morelle nommée Kelpie, ainsi que l'équipement qui va avec : une selle d'équitation, le mors, la bride, les rennes et les fontes. Cette formidable bête a participé à d'innombrables combats, et est actuellement la dernière amie de Rayla. Enfin, elle possède un léger barda de survie, contenant un couteau de chasse, un briquet à silex, une couverture en fourrure, une outre d'eau et une corde.

Apparence :

• Taille : 1m72
  
• Couleur des yeux : Verts
  

Rayla a un physique assez singulier sans pour autant être extraordinaire. Elle est assez grande et élancée. Comme précisé dans les particularités, elle possède de nombreux tatouages et des peintures de guerre. Elle est assez musclée, bien que très svelte. Elle a de longs cheveux blonds qu'elle laisse libres. Son visage est grave, ternissant légèrement sa beauté, ses yeux sont brillants de détermination même s'ils ont perdu l'éclat de l'innocence qui les animaient quelques temps auparavant. Mais la chose la plus singulière concernant Rayla est son maintien : elle se déplace de façon nonchalante, propre à la plupart des gens de son clan mais, lorsqu'elle se tient immobile, debout, elle prend de temps à autres une posture impérieuse qu'on lui a enseignée lors de son enfance à Froissart.

Personnalité :
Ses années auprès du clan ont quelque peu changé sa façon de voir les choses et, de fait, elle est passée de la jeune bourgeoise coincée dans les règles de l'aristocratie à une jeune femme ayant soif de liberté, de vengeance, mais aussi de soif d'aider son prochain. Ce désir de liberté a toujours existé en elle, puisque les hommes de Froissart lui ont souvent répété qu'elle n'était pas assez féminine, qu'aucun homme ne voudrait l'épouser à cause de so' temperament... Bref, ils essayeront de faire d'elle quelque chose qu'elle n'était pas. Toutefois, lorsqu'elle est arrivée au clan, elle vit qu'ici les femmes avaient autant de droits que les hommes et sa vision du monde a changé, et de fait aussi sa personnalité. Elle a toujours tendance à se dresser face aux hommes qui voudraient la dénigrer, mais chez les Wandrais, elle a pu profiter d'une nouvelle vie où elle n'avait pas à se battre constamment pour faire valoir la légitimité de ses paroles ou de ses gestes. A la place, elle s'est trouvée d'autres traits de personnalité que sa simple détermination, comme la bonté, la patience et la compassion.

Capacités magiques :
Aucune

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Histoire

Fille de Guillaume et d'Aliénor de Genlis, Rayla est née à Froissart, une froide nuit d'hiver. Les conditions furent telles que sa pauvre mère périt lorsqu'elle la mit au monde. Tandis qu'elle reçut une éducation de jeune fille noble, apprenant la broderie, le chant, la danse, les arts oratoires, bref, tout ce qui ferait d'elle une bonne épouse, elle trouva son modèle, son héros, en son père, un chevalier de très grand renom (malgré son âge avancé), et mit tout en œuvre pour lui ressembler au plus haut point. Au grand bonheur de la jeune fille, Guillaume tint à ce qu'elle fut formée au maniement des armes en plus des enseignements ordinaires des jeunes fille de cour, pour pouvoir défendre sa vie si la situation le nécessitait. C'est alors qu'elle se découvrit un véritable goût pour cette activité. Non pas dans une perspective belliqueuse, mais en raison du sentiment de liberté que cela procurait. Son épée entre les doigts lui donnait le sentiment de faire quelque chose de bien plus importants que les futiles broderies.Toutefois, elle n'échappa pas à tous les enseignements qui convenaient à une jeune fille de son rang, même si elle passait tout le temps libre dont elle disposait à s'entraîner à l'escrime. A l'âge de seize ans, elle était devenue incroyablement douée au maniement des armes, et avait trouvé son arme de prédilection en l'épée longue. Malheureusement pour elle, Guillaume s'en rendit compte, et décida de l'envoyer un temps chez sa sœur, Dame Ygerne, une Dame hautement respectée résidant à Carleon, afin de calmer les humeurs de Rayla, la sensibiliser à son futur devoir d'épouse et, pourquoi pas, rencontrer quelques prétendants. Mais les choses ne se passèrent pas comme prévu.

Ils se mirent en chemin dès la fonte des premières neiges, et le début du voyage se déroula sans encombre. Toutefois, alors qu'ils progressaient dans une clairière à flanc de falaise, Rayla remarqua que la nature environnante était soudain étrangement silencieuse. Elle s'apprêtait à en faire part à un des gardes, lorsque des cris sauvages retentirent. C'est alors que des flèches fondirent sur la délégation, et abattirent un grand nombre des soldats. Ni une ni deux, Rayna se saisit d'une épée et sortit de la diligence pour prêter main-forte aux gardes. Elle se battit comme une lionne, surprenant autant ses alliés que ses ennemis. Les pertes furent nombreuses, autant chez les péninsulaires que chez les Wandrais, mais, malgré les efforts de la jeune fille, les sauvages semblaient avoir l'avantage. Soudain, Rayla entendit un cri provenant de derrière elle. Elle fit alors, sur le bord de la falaise, des doigts qui s'accrochaient désespérément à la roche escarpée. Sans attendre, elle se jeta au secours de cette personne, et, à l'instant où elle vit les doigts de la personne disparaître dans le vide, elle se jeta et parvint à se saisir du poignet de la personne en détresse. Elle se permit alors un regard en contrebas pour voir de qui il s'agissait, et son sang ne fit qu'un tour : une wandraise ! Elle s'apprêtait à lâcher prise, mais elle vit alors dans dans les yeux de la malheureuse une volonté de vivre farouche, et familière. Familière, car Rayla était animée de la même flamme sauvage et inextinguible. La péninsulaire soupira, songeant que cela était une énorme erreur, avant de hisser la wandraise sur le bord de la falaise. Elle fit alors volte-face pour retourner sur le champ de bataille, mais fut aussitôt cernée par une quinzaine d'archers, qui l'avaient tous en joue. Elle jeta un regard à la wandraise qu'elle venait de sauver et, avec un grognement de rage, lâcha son arme.

On lia ses mains dans son dos, et on la conduisit à travers les montagnes à travers le Sigolsheim jusqu'à un petit village au sommet d'une des montagnes septentrionales, à l'est. Là, elle rencontra le chef du clan, auquel on raconta l'embuscade. De nombreux guerriers étaient morts, mais tous les péninsulaires avaient été abattus, à l'exception de la prisonnière, Rayla. Le chef, Bjorn, fut alors d'avis de faire de la jeune fille une esclave, mais la wandraise que Rayla avait sauvé s'interposa alors. Elle raconta la façon dont Rayla lui avait sauvé la vie, et, bien que cela lui en coûte, elle désirait donner une chance Rayla de devenir une des leurs. Elle ne pouvait décemment pas laisser la femme qui lui avait sauvé la vie devenir une esclave pour le reste de ses jours. Ainsi, Rayla commença à imaginer un plan pour s'échapper, et potentiellement causer de nombreux morts. Mais très vite, elle s'aperçut que ce que l'on disait au sujet des wandrais n'était que pures fables. Ils étaient, certes, moins civilisés que les péninsulaires, et ils vénéraient d'autres dieux. Mais hormis ces différences, ils étaient parfaitement humains (et montraient même beaucoup plus d'humanité que beaucoup de péninsulaires qu'elle connaissait). Au bout d'un certain temps, elle parvint à comprendre, puis à parler leur langage, et dès lors, ce fut un tout nouveau monde qui s'ouvrit à elle. La jeune fille fut tout d'abord désarçonnée par la franchise avec laquelle ils se parlaient entre eux, ne laissant aucune animosité s'installer s'installer entre eux et préférant y mettre fin de façon expéditif, même si cela signifiait en venir aux armes. Si une personne leur déplaisait, ils n'avaient, en règle générale, pas peur de le faire savoir, et elle appréciait cet état d'esprit. De même, elle fut surprise de constater que les femmes avaient le même statut que les hommes, et avaient la possibilité de se battre sans recevoir insultes et humiliations de la part de ses pairs. Elle renonça donc assez vite à ses désirs d'évasion. « Ils me donnent une chance, songeait-elle, autant que je leur en donne une, moi aussi. » Les mois s'écoulèrent, et elle finit par se rapprocher de la wandraise qu'elle avait sauvé, qui portait le nom de Skäald, si bien qu'elles finirent à tomber amoureuses l'une de l'autre. L'hiver se prolongea et les sorties se firent de plus en plus rares, si bien qu'elles passèrent beaucoup de temps ensemble, dans leur petite chaumière, à rêver de la façon dont elles allaient refaire le monde. C'est lors de cet hiver que Skäald raconta à Rayla les nombreuses légendes des Wandres, dont celles de Maugrim, dit le Loup-Gris, qui émerveilla Rayla au plus haut point. Lorsque le printemps revint, Bjorn décréta que Rayla allait avoir l'occasion de devenir véritablement membre du Clan du Dahad. Elle allait devoir rester un trois jours et trois nuits seule, dans la nature, et survivre par ses propres moyens. Si elle y parvenait, elle pourrait partir en raid avec le reste du Clan, et serait véritablement acceptée. Elle fut donc soumise à l'épreuve, et les jours se passèrent sans encombre. Elle réussit à trouver de quoi se sustenter en chassant, et parvint assez facilement à trouver une rivière dans une vallée. Toutefois, lors de la dernière nuit, elle fut attaquée par un grizzly gigantesque. Elle le combattit alors de toutes ses forces, et le combat dura toute la nuit, si bien que les cris des deux combattants se répercutèrent dans toute la montagne jusqu'à l'aube. La troisième nuit était passée, et tous les membres du Dahad attendaient donc Rayla avec impatience, ayant hâte de savoir si elle avait survécu ou non. Le soleil commençait à lentement se lever, et Skäald commença à désespérer. Et c'est alors qu'elle la vie. Dos au soleil levant s'avançant fièrement vers le village, une peau d'ours sur le dos, le corps couvert de sang et de traces de griffes et de crocs. Elle tenait dans sa main droite ce qui semblait être un cœur, et Skäald remarqua alors que les deux endroits qui portaient le plus de sang était sa bouche et ses mains. Rayla s'avançait d'un pas conquérant, et, à bout de force, présenta le cœur du grizzly à Bjorn, lequel la reconnut sans équivoque comme un membre du clan, et elle fut nommée Rayla Main-Rouge. Quelques jours plus tard (le temps qu'elle se remette de ses blessures) elle partit en raid avec ses nouveaux frères d'armes. Cela lui parut étrange de piller des villages et des fermes péninsulaires, mais elle comprenait que cela était nécessaire à la survie du Dahad ; or elle tenait à ce que Skäald survive, à n'importe quel prix. Mais ce qui lui sembla le plus étrange fut la façon dont le visage des fermiers se figèrent d'horreur en la voyant, et elle comprit alors qu'elle avait désormais autant le physique que le mental d'une wandraise. Étrangement, cette idée la conforta dans son choix. Cinq années s'écoulèrent, et Rayla était plus heureuse que jamais. Elle s'était unie devant les dieux à Skäald, était devenue une des meilleures guerrières du clan, et avait même réussi à faire porter sa renommée jusqu'aux autres clans du Sigolsheim. Le printemps et l'été était rythmé par les raids et les pillages, l'automne à la gestion du bétail, et l'hiver aux longues soirées à se raconter des histoires et des légendes toutes plus incroyables les unes que les autres. C'est d'ailleurs lors d'une de ces soirées que Rayla apprit la présence d'un dragon dans le Soccor. Elle songea alors que cela ferait une merveilleuse chasse, mais remit à plus tard l'idée d'un affrontement aussi titanesque.

Mais ce bonheur ne pouvait pas durer. Le printemps tardait à poindre, et l'aube fainéante apparaissait lentement, lorsqu'un escadron de péninsulaires fondit sur le village, massacrant quiconque sur son passage. Cette nuit là, Rayla était partie chasser, profitant des premières fraîcheurs de l'automne pour profiter du gibier le plus courageux pour sortir, et n'était donc pas là lorsque l'attaque survint. Lorsqu'elle revint au village, elle sut tout de suite que quelque chose de terrible s'était produit : une épaisse fumée noire se dégageait des rares habitations encore debout, et l'endroit était parfaitement silencieux. Elle lâcha aussitôt ses prises de chasse et courut aussi vite qu'elle le put au village, et commença à chercher des survivants tandis que son visage était baigné de larmes. Elle déambula à travers les cadavres des personnes qu'elle avait aimé, des êtres qui avaient partagé sa vie au quotidien depuis maintenant cinq ans. Ses sanglots se firent de plus en plus intenses à mesure qu'elle progressait à travers les corps, et elle crut défaillir lorsqu'elle la vit. Skäald était étendue sur le dos, une plaie béante au travers de la gorge. Rayla pleura alors toutes les larmes de son corps et hurla à la mort. Elle se laissa ainsi dépérir des jours durant, immobile, tenant le corps de Skäald dans ses bras, comme pour empêcher la mort de s'en saisir. Durant ces jours, elle se remémora tout ce qu'elle avait vécu auprès de son aimée, tous les bonheurs qu'elles avaient partagé, tous les projets dont elles avaient rêvé, toutes ces nuits à se raconter des légendes toutes aussi merveilleuses les uns que les autres. C'est alors que l'histoire du dragon revint en tête à Rayla et, avec ce souvenir, un plan germa en son esprit.

Séchant ses larmes, elle voyagea à travers le Sigolsheim, allant vers l'ouest. Elle arriva bientôt auprès d'un autre clan. Mais à peine eut-elle franchit la frontière du village qu'elle s'évanouit, autant de fatigue que de faim. Lorsqu'elle revint à elle, un vieil homme se tenait au-dessus d'elle. Il se présenta comme étant Sidhi, le chef du clan des Siquoïs. Rayla sourit tristement, et répondit que c'était justement lui qu'elle cherchait. Elle lui raconta toute son histoire, en achevant par ces paroles : « C'est pourquoi je veux me venger des péninsulaires, à n'importe quel prix. Je suis prête à absolument tout pour obtenir ma vengeance, mais aussi pour me battre pour que nous, les véritables habitants du Landnörten, ayons une vie meilleure que ces misérables qui nous persécutent. Je sais que vous avez jadis conseillé Loup-Gris lorsqu'il dirigeait la grande horde. J'aimerai porter un coup à la Péninsule, et pour cela... Pour cela, il me faudra une nouvelle horde. » Le regard de Sidhi sembla un instant plongé dans le vide, tandis qu'il se remémorait les batailles passées, les victoires, les festins et surtout, son ami, Maugrim. Il plongea alors son regard dans celui de Rayla et répondit : « A l'époque, je lui ai accordé mes hommes et ma confiance parce qu'il avait fait ses preuves, qu'il avait les moyens d'accomplir son projet, et surtout, parce qu'il avait un plan. Alors je te le demande : qu'as-tu à proposer ? » Rayla soupira, et sembla alors épuisée et vieillie de plusieurs années. Elle répondit, lasse : « J'ai tout perdu. La femme que j'aimais, mon clan, ma famille. Il ne me reste que mon épée. Qu'ai-je à proposer ? » En un instant, elle redevint la jeune femme vigoureuse et au regard flamboyant. Elle se redressa et clama :« Ce que j'ai à proposer, c'est un plan. Un plan aussi fou que mon cœur est meurtri, un plan si fou qu'il pourrait causer la perte de la Péninsule dans le Landnörten. Un plan si fou, que je risque de ne pas en revenir. Mais pour ce plan, j'ai besoin de votre aide, Sidhi. J'ai besoin de votre aide pour porter un message aussi loin que vos messagers peuvent aller, demandant aux plus grands guerriers du pays de me rejoindre. » Sidhi afficha une mine plus que perplexe, et répondit : « Cela me paraît, au mieux, hasardeux. Puis-je savoir quel est ton plan ? » Un sourire mi-hystérique, mi-terrifié parcouru alors le visage de Rayla : « Mon plan, dit-elle, est d'aller chercher de l'aide auprès du seul être capable de nous aider, et qui, d'après ce que j'ai compris, nourrit une haine au moins aussi farouche que nous envers les péninsulaires : le dragon du Soccor. »

HRP:

Bonjour !

Je viens à la chasse aux nouvelles! Es-ce que ta fiche est terminée?
Si tu as la moindre question, n'hésite à nous MP ou à nous poke sur Discord.

A bientôt  

Ahoy Rayla ! Vu que le Staff a beaucoup d'ostrogène en ce moment, en l'absence d'El Sessouel je viens apporter un peu de testostérone dans ta correction à sa place ^^"

Rayla Main-Rouge a écrit:

Elle reçut donc une éducation essentiellement masculine, que lui a fourni son père, un chevalier de grande renommée, malgré son âge assez avancé.

Rayla Main-Rouge a écrit:

Elle reçut une éducation de jeune fille noble, apprenant la broderie, le chant, la danse, les arts oratoires, bref, tout ce qui ferait d'elle une bonne épouse.

Je t'avoue que l'enchaînement des deux passages m'a laissé un peu perplexe. Du coup je me demandais si je ne me trompais pas en me disant qu'à la fin, ce que tu cherchais à faire passer, c'est que même éduquée comme une fille noble, elle a gardé des manières "garçonnes" parce que son premier modèle restait son père ?

Rayla Main-Rouge a écrit:

A l'âge de seize ans, elle était devenue bien plus douée que tous les écuyers de son âge, bien qu'elle n'en sût jamais rien.

Qu'un personnage soit doué - même très doué - est une chose. Qu'il soit "le plus doué" par contre est un problème. Je sais que ça peut paraître lourd, mais c'est un absolu qu'on essaie d'éviter un maximum... parce qu'au final, à ce compte-là on se retrouverait assurément avec cinq "meilleurs chevaliers de Péninsule", dix "meilleur guerrier des arènes d'Ithri'Vaan" et vingt-cinq "meilleur mage de Miradelphia".

Rayla Main-Rouge a écrit:

Elle fut tout d'abord désarçonnée par la franchise avec laquelle ils se parlaient entre eux, ne laissant aucune animosité s'installer s'installer entre eux et préférant y mettre fin de façon expéditif, même si cela signifiait en venir aux armes.

Petit détail par rapport à cette découverte, mais détail important quand même : les peuplades Wandraises ne parlent pas la même langue que les Péninsulaires ( et ne parlent même pas forcément le même dialecte d'une peuplade à l'autre ).

Sinon en dehors de ça, de mon côté ça me paraît une fiche rondement menée.

Aller titiller le dragon vert... Huhu, c'est que ça pourrait être marrant.
Bienvenue par ici jeune wandraise !

Code:

[Métier] : Guerrière

[Sexe] : Femme

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Neutre Bon

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.