Nimir le Rouge

Vint alors le temps, ou ils se prosternèrent tous.

Patronyme: Nimir, fils de Trim de la lignée de Gimir
Surnom : Le Rouge
Âge & Date de naissance : 167 an, An 850
Sexe : Masculin
Race : Nain
Faction : Zagazorn
Alignement : Loyal Mauvais
Liens notables : Les survivants au Voile qui gravitaient autour de son clan ; quelques prêtres de Mogar en exile ; des capitaines mercenaires en Itrhi'Vaan ; nombreux nains à Külm et plutôt de la racaille ; des nobles mineurs du nord et du médian et du sud de la Péninsule; quelques liens avec la pègre de naelis et des entremetteurs aux Septmonts et pour finir, des fieffés canailles de La Dross.
Particularité : Une facheuse tendance à psalmodier

Clan : Croasse-Chronique, dresseurs de corbeaux du Zagazorn et porteurs de message depuis les anciens jours sur le Kadrinin, le clan est aujourd'hui détruit. Sa loge abandonné gît à la neige et aux vents, sa roukerie silencieuse, déserté de tout bruissement. Nimir est le Thane fantoche d'une vision du passé.


Métier : Capitaine Mercenaire de la Fraternité du Marteau ; Prêtre de Mogar défroqué ; Thane.
Classe d'arme : Magie Runique (Scriberune Élémentaire) / Corps à Corps

La Fraternité du Marteau:

« Depuis les jours du Voile, moi et mes compagnons formons la Fraternité du Marteau. Derrière ce prestigieux nom, ce cache une belle bande de fieffé coquin. Si nos parcours sont différents, nous partageons néanmoins deux points communs principaux : l'amour de l'Or et notre inébranlable foi, celle en notre unique créateur, Père-de-Tout, Mogar. On nous reconnait à l'utilisation de maillet et autres marteaux, qu'ils soient maniés à une, deux, voir trois mains. Nous allons la ou l'offrant ce trouve, nous allons la, ou le besoin s'en fait sentir. Point plus d'une trentaine, notre rôle se cantonne à du harcèlement de choc. J'aime nous comparer à notre outil de prédilection : quand vient l'heure, nous nous abattons sur l'enclume, battons le fer, chassons les scories et nous retirons tout aussi sec. Je doute que l'entièreté de mes frères partagent ma vision, mais ils acceptent mon autorité et cela me suffit Je guide mes frères avec l'aide de mes lieutenants, le taciturne Portedeuil ainsi que la douce et mortelle Oda Mange-Magma. Parmi ces gaillards, je suis l'unique manieur de runes et maître de l'ether ; mes compagnons naines et nains sont pour la plupart d'anciens guerriers et chasseurs, mais nous comptons aussi quelques anciens artisan ayant laché la pioche ou le ciseau pour le marteau. »


Possessions & Equipements :

« Il ne sert pas à grand chose de posséder plus que ce que peut transporter le corps. A quoi sert donc grande bâtisse et immense loge, quand ceux qui l'habitent savent à peine manier une lame ? Ma richesse me vint de mes pères, qui la tirèrent de leurs pères et des pères de leurs pères, elle est la seule et unique qui compte : le reste n'est que fioriture. Pourtant, comme tout mes frères, je serais menteur en affirmant ne pas apprécier ces quelques babioles qui me collent au cuir quotidiennement. Le poids rassurant de mon marteau de guerre qui me ceint la taille me rappel mes engagements ; ses frictions répétés me ramènent à ma foi; les tâches qui le parsèment sont autant de sanglants souvenirs. Manier de la dextre, je réserve ma senestre à une targe d'acier. Petite, cabossée mais vaillante, j'y fis ajouter quelques crochets sur son umbo par un forgeron de Külm me laissant ainsi loisir d'y accrocher les tablettes de bois gravés des runes qui me serviront au combat. Plastron de cuir, jambières et gantelets me servent de protection proche, ils ne camouflent qu'en apparence, ma soutane rougeâtre et usé d'on je n'ai point réussit à me séparer. Mon or ce trouve lui bien en sécurité et je ne serais en décrire son emplacement exacte. A travers mes périples, j'acquis quelques masures, simple point de replis, dans divers endroits de ce monde : Une se trouvant dans l'Enclave de Lante, la ville-forge de Külm, un tripot dans les bas-quartier de Diantra, une demeure acceptable à Naelis et pour finir, son repaire de La Dross. Cette baraque est en réalité celle de Gror le Gras, une fripouille de bas étage, demi nain de son état et dirigeant une quinzaine de lurons peu recommandable ; des amis peu recommandables, mais toujours prêt à accueillir Nimir et les siens. Pour sûr, j'emporte la ou je vais, mes instruments de copiste : un ciseau à bois et un stylet à pointe de charbon. Enfin, il m'est impossible de ne pas citer Akvar.
Il est mon fidèle compagnon, peut être encore plus proche de moi aujourd'hui, que ne le sera jamais aucuns de mes frères. Véritable Kronriksmote du Zagazorn, un Aigle géant comme les nomment les malfaits. J'en suis le dresseur et il est ma monture, ensemble, nous formons une unique maille. A  travers lui, survie les brides de mon passé, tout ce qu'il reste de mes racines. »


Apparence :

• Taille : 1m42
  
• Couleur des yeux : Gris
  

« Suis-je différents de mes frères ? La réponse est non. Car tous nous fûmes forgés dans le même moule sacré. Loin d'être aussi grand que ceux des plaines, loin d'être aussi petit que ceux des boyaux, j'aime me qualifier de trapu du grand air. Aucuns de mes pères ne culmina jamais plus haut que le linteau de notre antique loge et je ne fais pas excaption à la règle. Mes épaules sont larges, mes bras noueux et mes guiboles robuste bien que ma gauche me fasse claudiquer quand les jours froids pointent à l'aube : une vieille blessure qui me poursuit depuis mes jeunes années. La rudesse de mes errances me dote d'un fumet particulier ; les renifloirs les plus fins ne se privent jamais d'une bonne lamentation : selon eux, je sens la merde. Je n'en ai bien sur, pas grand chose à clancher. Le teint cireux de mon visage ce pare d'une multitude de rune tatoué ; si elles ne sont ue symbolique, elles racontent néanmoins les secrets de ma formation au sein du Grand Temple de Mogar. Je les portent avec grande fierté. Enfin, mes favoris imposants sont bien plus imposant que ma barbe que je porte courte et nouée en une longue tresse rousse. Si quelques bijoux viennent se loger dans mes cheveux et mes poils,  je ne leur accorde point grande valeur. »

Personnalité :

« Nous nains, fûmes créer dans la violence. Enfant de la forge, le Père-Créateur nous modela sous les coups de son divin marteau et notre braise s'éveilla dans gerbe d'étincelle et métal en fusion. Comment moi, simple et humble croyant, suiveur du Père, pourrais-je me retrouver dénuer de ces attraits ? Il est dificile de se décrire avec précision, mais disons alors, que la brutalité, la colère et la hargne définisse mes contours. Sous cette première couche, ce trouve l'avidité et la quête de toutes les richesses matériels de ce monde. Mogar nous l'a offert, à nous d'en profiter. En ce rapprochant encore plus du centre, la notion de l'ordre, des lois et des traditions se nichent dans mes recoins les plus anciens, car ils sont mon héritage. Une fois arrivé au noyau même de mon être, vous trouverez la foi. La seule et unique, celle qui modela mes pères, leurs pères et les pères de leurs pères. »

Capacités magiques :

« Des jours anciens d'avant que le Zharrat n'éclaire les crânes chauves de nos plus vieilles barbes, nous vint le savoir secret. Si par mes ancêtres je ne fus pas destiné à ce chemin, il s'imposa néanmoins à moi et je l'empruntais sans siller. Éveillé qu'ils m'appelèrent, et c'est ce que je fus. Mon mentor, Hilmar Cogne-Roc, loué soit sa braise, fut un guide sévère mais juste. Il m'aiguilla sur les sentiers ésotériques de notre peuple en m'inculquant le savoir des runes par l'art des scribes ; les sous terrains du Grand Temple de Kirgan servirent d'écrin à ma formation, j'y passais autant de temps que sous les voûtes de la chapelle et les terrains d'entrainements.
L'Esprit aussi fort que le Corps, Acier dans le Bras, Feu dans la Caboche, soit tel que le Père le dit, inflexible et intraitable, répétait le Maître. Hilmar n'était qu'un prêtre parmi d'autres, mais il possédait le savoir chtonien antique et on disait de lui qu'il n'acceptait comme élève que les barbes les plus dur à mal. J'éprouvais son traitement tout le long de mon sacerdoce, car même une fois ordonné, le Cogne-Roc me fut aussi proche qu'une sangsue pouvait l'être d'un croupion traitant dans quelques marres vaseuses.  
S'il me faut m'étendre sur mes propres pouvoirs, sachez alors qu'ils sont brutaux. De tout les champs de l'élémentaire, c'est la puissance du Feu qui coule en moi ; et tel son avatar, j'en maîtrise et canalise la violence. Mon énergie ce matérialise dans la force de mes prières, par la fougue de ma foi. Quant à mon alphabet, il provint du savoir de Maître Hilmar, son écriture est rapide, ses lettres vives et leurs transcriptions faites pour être utiliser dans un but : le cœur des batailles.
Je ne suis pas de ceux qui apprécient les longues liturgies, mes runes sont celles de la guerre, faites pour causer dégâts et douleurs. Générateurs de brasiers, concentrateur de magma, allumeur d'incendie et incinérateur de chaire, voici mes talents. Ma magie n'est point faite pour la beauté et la gloire, mais pour la destruction et la victoire. Voici mon héritage. »

Histoire

Depuis l'aube des temps, le Kadrinin ne fut jamais un endroit convenable.
Sentier de pierres et de rocailles, les nains le conquirent à force de lutte et n'en payant le prix du sang. Par le fer et l'acier, ils tracèrent un sillon  sous l'ombre des monts qui menaçaient entres les cités. Et malgré cela, les ans réservèrent moults épreuves à ceux désirant en entreprendre le chemin. Alors, dans un passé trop lointain pour qu'autres récits que ceux des chroniques ne les relèvent encore, des nains se réunirent et s'unirent pour contrer ce fait. Ils furent nombreux dans tout le Zagazorn, mais parmi eux, citons ici les Croasse-Chronique.
Ils furent de ceux qui s'organisèrent au Nord de Kirgan. Une loge simple, taillé à même la pierre et disposant d'une unique mais imposante tour. Une roukerie comme seul les nains savaient le faire. D'ici ils pouvaient transmettre et recevoir des messages, jouxtant la capitale, c'est avec rapidité que ces dernières pouvaient être acheminée. Dresseur de corbeaux, sachant connaitre les oiseaux, montagnards au moral des cimes, aussi résistant que la pierre.
D'ici venait Nimir, fils de Trim, descendant de Gimir l'Ancien.

S'il connut quelques temps ou la douceur l'accompagna au quotidien, la réalité le rattrapa bien vite, peut être même, trop vite. Dans cet endroit du monde, la faiblesse n'avait pas sa place et tout jeune nain qu'il fut, on le mit vite a contribution. Nettoyer les fientes, préparer les alcôves et les nids, remplir les mangeoires, voici les tâches qu'on lui imposa en premier. Bien qu'elles fussent difficile, il s'en contenta comme tout ceux de sa génération. Nimir appréciait le contact des oiseaux qui allaient et revenaient sans cesse ; il apprit leurs noms, leurs différents détails, leurs qualités et leurs défauts. Eux qui n'avaient aucunes entraves, représentaient à ses yeux, la clé d'un vaste monde,  qu'il n'apprendrait lui,  que dans ses fantasmes. Alors, quand venait la fin des jours, le jeune nain se perdait en contemplation, appréciant la fin de l'aste depuis une vue imprenable.

On le traita bien et les anciens ne tarirent pas d'éloge sur lui, tout serviable qu'il était. Un en particulier, portant le nom d'Odrim, ce décida à lui transmettre son savoir. Lui permettant de l'accompagner dans le Septentrion, ensembles ils parcoururent des sentiers escarpés et dangereux afin de dérober quelques œufs sauvages. Odrim lui appris à habituer les oisillons à sa venue, à masquer sa main et à faire croire qu'ils étaient leurs mères ; quelques techniques simples bien loin des savoirs ancestraux du clan, mais que Nimir imprima loin, loin dans sa caboche. Plus que ses sortis en compagnie de la vieille barbe, c'était les nombreux contes qu'Odrim lui faisait quand venait la nuit qui le passionné. Il lui contait la création du monde, les récits des Dieux et leurs aventures à travers quelques épiques fresques.

Son destin l'appela alors qu'il parcourait pour la première fois la route qui le menait à la capitale.

En compagnie de son père et de ses cousins, ils prirent la route de Kirgan avec pour but, celui de participer aux longues cérémonies religieuses qui s'étendaient à la fin de l'année. Ce fut une première pour Nimir qui bien vite, se retrouva noyé sous la beauté de la cité antique des nains. Cette majesté resta gravé en lui, l'étreignant au plus profond de sa braise. Mais pis encore, sut-il que la roukerie et l'art des messagers ne seraient pas son existence, car quand il passa les portes du Grand Temple de Mogar, alors il entendit Son appel.
Marqué par le fer rouge, Nimir but les paroles du prêtre qui officiait. Sans voix, sans réellement comprendre, son être entier l'appelait à rester en ce lieu et peut être, pour toujours.
Le trouble l'assaillit vite quand ils regagnèrent leur loge, si puissamment qu'il ne put faire autrement que de l'avouer à ses aïeux : il souhaitait créer sa propre voix et rejoindre les ordres.
La nouvelle fut bien accueillit, bien mieux qu'il ne l'avait pensé. Son père le conduisit une deuxième fois entre les murs de la capitale et le laissa aux bon soins d'un dénommé Hilmar, celui qui fut et resterait à jamais son Maître.

Alors Nimir débuta un long et contraignant apprentissage. La liturgie, le dogme et les rituels en premier, l'art des lames et la force du corps en second, puis vint les runes et l'ésotérisme.

A dire vrai, ce quotidien devint pour lui comme un mantra. A chaque jours sa peine, à chaque moment son récit, à chaque temps son savoir. Le Grand Temple devint son foyer et s'il recevait toujours quelques nouvelles des siens, il n'en porta pas grande attention. Car les préceptes de Mogar avait envahit sa vie, le Père-Créateur devint son Père, comme il aurait dut en être ainsi pour tout les nains. Hilmar, son Maître, fut un mentor difficile et bougon, aussi violent que les préceptes qu'il tentait de lui inculquer. Nimir appréciait pourtant se rapport de force, se perdant dans les méandres du savoir runique. Il appréciait plus les terrains d'entrainements et les enseignements des flammes que ceux du théorique de l'accompagnent des fidèles. Pourtant, lui ne voyait dans sa démarche, que les agissements du Père.
Vint le jours de son ordonnance, le jours de la concrétisation de ses quarante années d'inculcation.

Une journée ritualisé pour Nimir dut, en compagnie de son Maître et du Haut prêtre, prouver sa foi par moult épreuve. Psalmodier les livres, prouver sa force, démontrer les bases de son pouvoir, voila ce qu'il dut entreprendre pour qu'enfin on l'accepte et qu'il puisse ceindre la robe rouge. Commença alors la deuxième partie de sa vie. Être ordonné lui donna plus de liberté et bien qu'il fut lié au temple de la capitale, il décida par lui même d'entreprendre les routes du Zagazorn pour en connaitre son peuple. Bien qu'il donna moult sermon, Nimir préférait l'action. La ou on recommandait une bénédiction guerrière, il se trouva. La ou on manda l'aide de la force du Père, il accompagna. La ou les ennemis des nains se firent trop nombreux, il combattit. Une vie de violence, mais une vie pieuse, tel était sa façon de prier.

Les choses auraient put durer ainsi jusqu'à que l'aube ne s'éteigne derrière les cimes, mais le Père-Créateur avait pour ses fils, d'autres projets. Quand vint le Voile, alors Nimir bascula dans la folie.

Aux premiers jours de chaleurs, il comprit d'instinct le trouble de l'ether. Dans sa caboche résonnait une menace sourde qui le poussa à se rendre parmi les siens. Pas ceux du Temple non, mais ceux des Croasse-Chronique. Le voyage fut périlleux car partout pointait l'Ire du Père, mais Nimir, imperturbable, continua sans faillir. Il gagna la Loge antique alors que la tension se voulait à son paroxysme dans l'air et, quand il déambula dans son ancien hameau, il n'y vit que mort et cendre. Nombreux des siens gisaient au sol, tuer par la hache de leurs propres frères. Du corps de son père et de sa mère, il ne trouva trace, mais, quand il se rendit dans la tour de la roukerie, il tomba sur le cadavre gisant d'Odrim. L'Ancien, défiguré, tenait dans une main une large hache et dans l'autre, une besace de cuir. On pouvait lire dans son cheminement, que le vieux nain avait fuit, cherchant un dernier endroit ou se terrer avant que sa braise de s'éteigne. Nimir fouilla la besace et en sortit un œuf gigantesque, à coté de lui se trouvait un jumeau brisé d'où s'écoulait un liquide blanchâtre.

Assaillit de doutes, il tourna les talons pour ne plus ne plus jamais revenir en ces lieux.

Et son instinct le sauva. Il se trouvait sur les sommets du Brissazilf quand au Nord, la roche fut fendu par le Père et que le feu primaire vint décorer l'antique Kirgan. Cette vision de destruction ultime lui noua l'esprit et l'estomac. Dans ce terrible acte, Nimir y vit le plus clair des messages. Mogar avait punit ses fils pour leurs actes. Cela ne pouvait en être autrement. Le Créateur avait maudit le Zagazorn et ses habitants. Alors, bien que ce considérant chanceux, Nimir fuit et prit la direction de la terre des hommes.

Ce fut dans ses sombres années qu'il édifia la Fraternité du Marteau. Regroupant certains exilés autour de sa bannière, il devint le chef d'une troupe de mercenaire pour qui ne comptait que les souverains cliquant pouvant remplir leurs bourses. Bien qu'il ne se considérait plus comme un prêtre du Père-Créateur, Nimir ne pouvait renier totalement sa vie passée. Ses discours restaient lourdement teinté d'une foi pervertis, d'ou il ne tirait aujourd'hui plus que vengeance et violence. Il acquit le surnom du Rouge car sa venue était teinté de la couleur et la chaleur des flammes. S'ils résidèrent longtemps dans la ville forge de Külm, le chemin de Nimir et de sa famille de fortune les conduisirent loin au Sud, jusqu'à dans les bois sombre de Naelis. Cette vie de cocagne n'avait rien de gratifiant, mais Nimir y trouvait un quotidien rassurant, entre le sang et l'or que lui conférait ses contacts.

Quand vint l'appel du Seigneur des Ruines en Zagazorn, Nimir n'en entendit les échos que plusieurs ans après, car lui et les siens avaient engagés une folle séance de dépense de leurs avoirs dans la malfamé cité de La Dross. De cette brume floue, ils ne se réveillèrent que bien trop tard. Mais aussi loin soit t'il, Nimir ne put omettre plus longtemps les évènements.
Il se rendit en Zagazorn en catimini, ne passant pas les portes de l'Enclave de Lante. La, il y apprit les dernières nouvelles, le sort réservé aux croyants et la révolte des Almiens. Cette visite le rendit sombre et violent à son retour, dans sa caboche mûrissait déjà une idée auparavant inaccessible.

Puis disparut Hardrek Poing-de-Fer et l'Athinkalan nomma Harald Barbe-Sanglante.
Les nains possédaient un nouveau dirigeant, mais de quel fer serait t'il forgé ? Nimir souhaitait activement le savoir par lui même, mais pour l'instant encore, son marteau et celui de toute sa fraternité, avait fort à faire loin de leur frontière.

HRP:

Bouh o/

Je viens aux nouvelles ! Toujours sur le perso' ? Un peu charrette en ce moment ?
Si nous restons sans nouvelle de ta part, ta fiche sera archivée d'ici une semaine ^^

Hey o/

Où en es-tu avec la rédaction de ta fiche ? N'hésite pas à nous solliciter si tu as des questions, nous y répondrons avec plaisir !

En l'absence de retour de ta part d'ici une semaine, nous devrons archiver ta fiche. Tu pourras bien-sûr la récupérer pour la terminer si le coeur t'en dit !

Il noiera la terre de leur sang, laissera leurs carcasses fumantes pour quelques pièces sonnantes et trébuchantes ! Tremblez coquins, le Rouge est en chemin !

Code:

[Métier] : Capitaine mercenaire, scriberune

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps, magie

[Alignement] :  Loyal Mauvais

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.