Contes zurthan : Zohael et la marche du désert | Terminé
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Zohael
Humain
Nombre de messages : 48 Âge : 35 Date d'inscription : 17/08/2020
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 28 ans Taille : 1m79 Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Contes zurthan : Zohael et la marche du désert | Terminé Dim 30 Aoû 2020 - 16:11
Possessions & Equipements : La propriété personnelle est un concepte abstrait dans son clan, toutefois il y a certains équipements dont le zurthan est le seul à en avoir l'usage. Ainsi l'on peut, en un sens, les considérer comme ses possession :
Une armure de cuir, d'écailles et de métal confectionnée à partir de composants issus de chasses et de métaux troqués par la tribu
Divers armes de bonne facture dont en particulier deux Khopesh, un poignard zurthan et une épée courte
Des habits de qualités et d'autres pour se fondre dans le désert, tous de style centre-zurthan.
De plus, fidèle à sa culture, le zurthan peut compter sur de fidèles compagnons animaux dont en particulier ceux qu'il a lui-même dressé, telles que ses montures reptiliennes.
Apparence :
Taille : 1m79
Couleur des yeux : Marrons (avec un léger reflet doré à la lumière du soleil)
Cheveux : Noirs et bouclés, presque crépus
Ni grand ni petit au regard de ses semblables, ce n'est qu'en côtoyant d'autres peuplades ou au sortir du désert que le zurthan se distingue de par sa taille. Si la plupart des humains de l'Ithri'Vaan sont plus petits que lui, ceux des races elfiques et drow le surplombent pour la plupart d'au moins une tête. La couleur de sa peau, pourtant ordinaire dans le désert Zurthan, le différencie du commun des vaanies : bien que mât de peau, son teint est bien plus foncé que les humains d'en dehors du Zurthan, tirant sur l'ébène de ses semblables si la forte luminosité du désert ne l'éclairait pas. D'une silhouette fine, ses muscles n'en sont pas moins fermes et toniques, éprouvés et entraînés par la dure et hostile vie qu'est celle des tribus des dunes.
Son visage est long et effilé et sa chevelure épaisse, longue, noire de jai et fortement bouclés, presque crépus. Ses yeux fins et enfoncés, encadré par des arcades profondes, sont dotés d'iris marrons foncés. Il se dit qu'à la lumière du désert ses iris se dotent d'une couleur dorée, une particularité héritée de la lignée de son père. Son nez fin est aquilin, et ses lèvres d'un rose sombre sont encadrés d'une barbe aussi noire que ses cheveux, souvent taillée courte. Trois légères cicatrices traversent son visage, d'autres encore parcourent son corps.
D'ordinaire vêtu d'un ample manteau et d'habits au style zurthan du centre, l'homme se pare également de nombreux bijoux lors de sorties officielles. En d'autres moments, comme en temps décontractée ou en bataille, le zurthan se contente du nécessaire et des quelques bijoux qui ont pour lui une valeur particulière, sentimentale ou traditionnelle.
Personnalité : Fier et sans pitié, voilà ce que dirait un étranger la première fois qu'il le verrait. Car c'est là ce qu'il se dit de son peuple, et Zohael en est un digne représentant. Pourtant la personnalité d'un zurthan est plus complexe qu'il n'y paraît, et celui-ci n'en est pas exempt.
Dur et intransigeant en public, se montrant fort devant les siens, le zurthan sait pourtant se montrer doux au couvert de sa tente, lorsqu'il est en privé avec sa famille ou, parfois, ses amis. Ces derniers ont d'ailleurs une place importante dans sa vie, voir la plus importantes pour sa famille. Son clan venant après, et sa tribu juste derrière.
Homme d'honneur, il fera toujours tout pour honorer sa parole, quitte à parfois mettre sa vie en jeu pour cela. Pourtant le zurthan n'en est pas moins prudent, et d'une grande méfiance envers les étrangers, ceux qui ne sont pas du désert. Il sait que pour la plupart leur parole n'a de valeur lorsque l'argent est en jeu, et ne fait que difficilement confiance à ceux qui vivent dans les grandes villes de pierre.
Le zurthan ne comprend d'ailleurs pas bien ce qui plait aux vaanis dans cette vie bien souvent oisive, bien qu'il soit curieux d'en apprendre plus sur leur culture. Sans doute est-ce par curiosité, tout simplement. Il n'en n'oubliera pourtant jamais sa propre culture, qu'il respecte d'ailleurs avec grande fierté. Les traditions transmises depuis des générations dans son clan sont pour lui un guide qu'il suit sans douter, du moins pour la plupart. Car le monde grandit, et un jour peut-être la tribu devra à nouveau s'adapter.
Capacités magiques : Lorsqu'il était enfant les chamans leur ont appris, à lui et aux autres enfants, à ouvrir leur esprit au monde mystique, ce afin de reconnaître les djîins et leurs interventions. Bien qu'il suivait leurs enseignements Zohael ne comprenait pas, alors, ce que cela signifiait. Et cela dura jusqu'à ce qu'il ne rencontre, bien plus tard, celui qui devint son maître.
Le zurthan vagabond lui enseigna alors plus que de simplement percevoir les essences que véhiculent les djîins : alors que les shamans et les sorciers apprenaient à convoquer la magie des djîins, Zohael appris, lui, à les manoeuvrer. Ainsi, au lieu de faire appel aux djîins pour user de leurs pouvoirs, le djîin'ymnarib les appelle pour dévier et réorienter ceux de son adversaire, voir les disperser lorsque cela est possible. Car tel est le but de cet art que peu connaissent : apaiser les djîins, les libérer de leurs courroux, et non pas les asservir.
Et pour cela la méditation fut la première phase. Qu'il soit immobile ou en mouvement Zohael sait calmer son esprit afin d'entrer dans un état de méditation, lui permettant de percevoir une partie du monde mystique occupé par les djîins - ce que les sorcier étrangers appellent, d'après son maître, "ressentir la Trame". A partir de là le djîin'ymnarib peut détourner et réorienter ces flux, et parfois même les dissiper lorsque les djîins lui sont favorables. Pour ce faire Zohael les guide de par ces mouvements, semblables à une danse martiale.
Afin de lui rappeler son enseignement et l'importance de la méditation, mais aussi pour ne pas se laisser aspirer dans le monde mystique, le zurthan a reçu de son maître un anneau qu'il garde comme point d'ancrage dans le monde réel - un focaliseur, comme l'appellent les sorciers étrangers. Marqué d'une sorte de clepsydre couché surmonté de deux croissants, Zohael le porte tantôt à son doigt, souvent en pendentif à son cou sous sa chemise pour ne point le perdre.
Histoire
Suivez-moi au pays où mystère et magie ont des pouvoirs qui vous ensorcellent. Ils serpentent la nuit au détour des ruelles ; Sésame, ouvre-toi ! Nous voilà ! Car il vient d'un pays de désert infini, où les caravanes rêvent et flânent. Où, pendant ton sommeil, les jafaris t'ensorcellent ! C'est bizarre çà ? Mais, eh, c'est chez moi ! Ô nuits de Zurthanie, mille et une folies, insomnie d'amour plus chaude à minuit qu'au soleil, en plein jour. Ô nuits de Zurthanie, au parfum de velours, pour le fou qui se perd au cœur du désert, il n'est point de retour.
Son histoire commença un matin, en automne, dans le campement du clan nomade Motahessi, appartenant à la tribu Abatamundi. Sous les palmiers d'un oasis modeste, dans la tente du chef, raisonnèrent soudain les cris d'un enfant. Il était potelé et peinait à ouvrir les yeux, mais il était en bonne santé : le premier enfant du chef venait de naître. Il fut nommé Zohael, un nom porteur de force et de sagesse dans la tribu zurthane. Deux jours plus tard naquit un second enfant, Wanya, sa soeur. Car il n'est pas rare chez les Abatmundi qu'un membre important ait plusieurs épouses (ou, plus rarement, plusieurs époux), et la providence a voulu que deux des épouses du chef enfantent presque le même jour.
Ainsi Zohael et Wanya grandirent en même temps, et leur lien ne fit que se renforcer au fil des ans. Presque fusionnels, tel des jumeaux, les deux enfants étaient à la fois compagnons de jeux, amis et rivaux. Et bien que l'aîné se destinait à reprendre la suite de son père, la seconde n'en montrait pas moins d'effort dans sa participation à la vie communautaire de la tribu. Les dangers du désert faisant loi, ils apprirent ainsi rapidement les règles essentielles à la survie, tel que la chasse, lire l'arrivée des tempêtes ou encore se repérer grâce aux lumières du ciel nocturne. Et parmi tous ces apprentissages, Zohael montrait tout particulièrement son assiduité pour le Wudambe, un style de combat propre à certaines tribus du centre du territoire Zurthan, ainsi que dans l'art de dresser les melzoar, la monture emblématique des Abatamundi.
Outre ces nécessités, l'éducation des enfants du chef ne manquait rien de la culture et des traditions du clans, auxquelles s'ajoutèrent plus tard l'apprentissage de l'Oliyan. Si cette langue étrangère n'était pas utile dans le désert, elle était essentielle pour les caravanes qui partaient faire commerce avec les peuples du Sud et de l'Est, et il était important pour le chef que ses enfants puissent la comprendre et la parler. Ainsi Zohael appris, en plus des principaux dialectes zurthan du centre du désert, la langue d'un peuple qu'il n'avait alors encore jamais rencontré.
Vint alors la longue nuit, celle qui dura si longtemps que l'on pensa ne jamais revoir l'astre lumineux. L'on dit que les Djîins se mirent en colère, l'on dit aussi qu'ils affrontèrent les divinités des peuples lointains. Le climat des oasis se déréglèrent, les animaux devirent fous, la tribu dû malgré tout s'adapter à cette période de ténèbres. Ils durent s'adapter pour survivre, et c'est ce qu'ils faisaient de mieux. L'épreuve fut passée, non sans difficulté, et le jour fut accueilli avec une joie et un respect retrouvé. Ce soleil si brûlant, qui depuis des générations faisait la rudesse du désert, avait rappelé qu'il était aussi une bénédiction dont les zurthans ne devaient point oublier la valeur.
Avec la longue nuit du début de cycle, certains oasis ne fournirent pas les ressources qu'elles avaient l'habitude d'apporter. Alors des tribus s'en retrouvèrent appauvries, et des guerres éclatèrent entre clans, s'étendant aux tribus. Encore trop jeune, Zohael ne put y participer. Mais il vit son père, ses oncles, et certaines de ses tantes aller au Nord, partis rejoindre les clans Abatamundi et leurs alliés attaqués par des tribus Fellyadah. Et c'est avec fierté que le fils du chef, alors âgé de douze ans, vit revenir les guerriers de la tribu, vainqueurs. Deux territoires avaient même été pris aux Fellyadah, alors même que ces derniers avaient initié cette guerre.
Nul au centre du désert ne l'ignorent, tous connaissent cette cérémonie traditionnelle : A chaque hiver, les jeunes guerriers les plus prometteurs sont réunis dans le Grand-Oasis afin d'y participer. Au cours de différentes épreuves leur bravoure, leur sagesse, leur volonté et leur force seront éprouvés, mais seuls les plus doués obtiennent un titre qui montrera la reconnaissance des anciens. Cette cérémonie marque pour eux le passage de l'enfance à la vie adulte, et il est usuel que les futurs chefs de tribu y participent afin de montrer leur légitimité en tant qu'héritier, car atteindre seulement les dernières épreuves suffit à avoir le respect des habitants du désert.
Lorsque le temps fut venu Zohael s'y rendit, accompagné d'autres guerrier prometteurs de la tribu mais également de sa soeur. Au cours des épreuves successives le futur chef se lia avec ces dernier, noua ses premières amitiés avec des guerriers d'autres tribus, et se trouva de redoutables rivaux. Se montrant d'une persévérance proche de l'entêtement, et montrant également des capacités que les anciens jugèrent prometteuses, le jeune Motahessi parvint à réussir jusqu'à la dernière épreuve. Et bien qu'il n'avait pas surmonté toutes les épreuves de manière extraordinaire, certaines lui ayant donné plus de mal que d'autres, ses performances parvinrent tout de même à impressionner ses aînés. Il fut ainsi remarqué, notamment, par celui que l'on nommait Qenozwanga Rui'faronta, le "Sans-tribu Chasseur d'esprits ".
Ermite solitaire reconnu par les zurthan pour être un redoutable combattant, Rui'faronta décela chez Zohael un potentiel qu'il reconnut. Il en fit alors son élève et débuta alors le difficile entraînement du guerrier désormais adulte. Malgré les prédispositions qu'avaient apporté les enseignements des chamans combinés aux traditions culturelles particulières des Motahessi, ce qu'avait décelé le guerrier vagabond chez son élève, développer son affinité avec les djîns s'avéra une tâche plus ardue que ne l'avait espéré le disciple. Trois ans durant Zohael avait suivi son maître, supportant son entraînement éprouvant. Nombre de fois le jeune guerrier avait frôlé la mort, et cela n'était rien comparé à ce qui l'attendait dans les Terres Stériles. Car c'est là qu'ils voyagèrent, loin de tout, après que le maître eut considéré son disciple comme prêt. Trois ans avant que l'enseignement ne se concrétise, ce par la manifestation ridiculement brève d'un faible djîin. Trois ans, et Zohael n'avait détourné qu'un faible sortilège. Ce fut toutefois pour lui la consécration de tout son entraînement, la concrétisation de son dur labeur, et le zurthan n'en devint que plus fier.
Lorsqu'il rentra dans sa tribu, à la veille de l'an cinq, Zohael n'était déjà plus le jeune guerrier naïf et prétentieux qu'il était. Accompli en tant que Djîin'ymnarib, quoi qu'encore aux prémices de cet art, il était prêt à suivre le chemin du guerrier comme celui de futur chef de la tribu, le futur zeki. Ainsi il honorerait les traditions de son peuple, de sa tribu et de son clan. Le jeune zeki appris alors, peu après son retour, que ses parents lui avaient trouvé une épouse, sa première. Un choix qui ne devait pas être pris à la légère tant ce rôle est important dans leur culture, la première épouse d'un chef bénéficiant d'un statut particulier dans la tribu. Non sans une certaine réticence, au départ, le jeune zeki accepta de rencontrer cette inconnue qu'on lui avait promise. Une fille du désert elle aussi, évidemment, ayant pour père le chef d'une tribu alliée. Cette union devait alors renforcer l'alliance déjà présente entre ces deux tribus du Désert, et les jeunes époux y veilleraient avec fierté.
Le guerrier du désert quitta sa terre natale pour la seconde fois au début de l'été 6:XI. En cette période le clan Beekali, marchands de la tribu Abatmundi, s'en allait négocier les marchandises des dernières années, et fournir les acheteurs d'en dehors du désert. La protection de la caravane marchande fut alors confiée à Zohael et aux guerriers Abatamundi, sous les ordres d'un grand guerrier de la tribu. Alors le nomade découvrit pour la première fois les grandes cités vaani et leurs cultures, si différentes de celle des peuples du désert. Ils voyagèrent ainsi de principauté en principauté, de bazar en bazar, écoulant peu à peu les marchandises zurthanes. Et si d'inconscients malfrats tentèrent bien quelquefois de s'emparer des richesses de la caravane, c'est au cours de leur passage dans les plaines de Valmar que l'attaque fut la plus rude : de vils bandits, visiblement bien renseignés, avaient préparé une embuscade. Tout indiquait qu'ils étaient attendus, pourtant la force des guerriers abatamundi avait été sous-estimée. Et bien que la bataille fut serrée, Zohael ainsi que ses frères et soeurs d'arme vinrent à bout des bandits, sauvant ainsi la caravane du clan Beekali. La bravoure du jeune zeki fut reconnue au cours de cette bataille, et sans doute le chef Beekali lui fut reconnaissant car, quelques mois plus tard, il lui accorda la main de sa plus jeune fille, dont le jeune guerrier s'était épris et réciproquement.
L'an 17:XI marqua un tournant dans l'histoire de Zohael, mais aussi de la tribu Abatmundi. Guerrier réputé comme djîin'ymnarib qu'il n'a cessé de parfaire grâce aux visites récurrentes de son maître, meneur d'hommes respecté depuis que son père lui a confié l'une des unités de guerriers de la tribu, et également père de quatre jeunes enfants, Zohael menait sa vie de nomade dans l'honneur et le respect des traditions. Mais il n'est rien de plus capricieux que le désert du Zurthan, et cela ne dura pas. Un jour en visite à sa famille, dans la tribu dont elle était originaire, la première épouse de Zohael fut tuée, sauvagement égorgée. Les Rhétules venaient d'attaquer, par surprise, le village de la tribu de l'Est où ils s'étaient arrêté. Une guerre éclata alors dans le désert, une guerre que les Abatamundi rejoignirent rapidement. La guerre dura près d'un an : des villages furent détruits, des oasis furent pris, perdus et repris, et tant d'enfants du désert périrent. Jusqu'à la bataille décisive, celle que les guerriers du désert nommèrent "la bataille de la plaine noire". Là, au prix de grands efforts, les Rhétules et leurs alliés furent défaite, et la guerre pris fin.
Pourtant, et bien qu'il ait été l'un des contributeurs de cette victoire, zohael n'eut pas la tête à la fêter. Sa première épouse, mère de deux de ses enfants, avait rejoint l'autre monde. Et comme si cela n'avait pas suffit, deux autres enfants du chef de la tribu de sa défunte épouse avaient été capturés dans la guerre. Honteux de n'avoir su protéger son épouse, et se sentant quelque peu coupable de ne pas avoir été suffisamment fort, le guerrier Abatamundi fit alors une promesse à son beau-père : celle de lui ramener ses enfants faits captifs. Peu de temps après la fin de la guerre, Zohael entrepris alors un nouveau voyage qui le mènerait encore une fois hors du désert : car l'interrogatoire de prisonniers rhétules lui avait appris que les prisonniers avaient été vendus par les hommes de Brâa à un marchand d'esclave. Réunissant un groupe réduit de guerriers de confiance, Zohael pris donc la route d'Esion, où le marchand d'esclave s'était fait acheteur des prisonniers zurthans.
HRP:
Dernière édition par Zohael le Dim 30 Aoû 2020 - 17:34, édité 3 fois
Zohael
Humain
Nombre de messages : 48 Âge : 35 Date d'inscription : 17/08/2020
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 28 ans Taille : 1m79 Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Re: Contes zurthan : Zohael et la marche du désert | Terminé Dim 30 Aoû 2020 - 17:11
Ebauches du clan et de l'animal mentionnés, pour en donner une idée (ils seront soumis à validation séparément ).
Taille moyenne : 1m50 à 2m au garrot selon l'espèce
Longévité moyenne : 30 ans
Description : Le melzoar est un grand reptile vivant le plus souvent dans des zones chaudes, et parfois arides, tels que le désert zurthan ou les terres stériles. Mesurant en moyenne d'1m50 au garrot pour la plupart des espèces, certaines peuvent atteindre les 2m. Ils ressemblent à d'énormes lézards recouverts d'écailles aux tons sable, bruns ou parfois noir pour se fondre dans leur environnement.
Les melzoars vivent en petits groupes familiaux d'une dizaine d'individus et sont plus actifs de jour que de nuit, étant des animaux à sang froid. Ovipares, la femelle enterre ses oeufs dans le sable et les y laisse jusqu'à leur éclosion. Puis elle nourrit ses petits avant de les apprendre à chasser.
Certaines espèces bien adaptées au désert sont élovés comme montures par quelques rares tribus zurthanes.
Densité dans la nature : Moyenne (toutes espèces confondues)
Mode de défense : Crocs et griffes, camouflage..
Composant notable : /
Domptable : Oui, certaines tribus zurthanes en élèvent.
Fiche rédigée par : Zohael
T'sisra Do'ath
Modérateur
Nombre de messages : 1516 Âge : 129 Date d'inscription : 13/08/2016
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 124 ans Taille : 171 cm Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Re: Contes zurthan : Zohael et la marche du désert | Terminé Sam 12 Sep 2020 - 20:25
Et un coup de tampon sur le front du Zurthan, un ! Ça lui fera une jolie marque de bronzage ! Je te laisse ouvrir en un topic pour ton clan dans ce QG ci, et un second pour ton lézard dans ce QG là !
Code:
[Métier] : Mercenaire, nomade
[Sexe] : Masculin
[Classe d'arme] : Corps à corps & Magie
[Alignement] : Loyal neutre
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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T'sisra en bikini :
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Contes zurthan : Zohael et la marche du désert | Terminé