Marc-Aurèle de Terrefière - Réparer les pots casser [En attente de modération]

Identité

Nom/Prénom : Marc-Aurèle de Terrefière
Âge/Date de naissance : 25 ans, né durant le premier mois d'été de l'an 991:X
Sexe : Mâle.
Race : Humain
Faction : Péninsulaire
Alignement : Loyal neutre
Liens notables :

• Magnus de Terresang : Comte d'Arétria, et protecteur de Terrefière.
  

Particularité :
Il est porteur d’une hétérochromie à l’œil gauche : ses deux yeux sont bleus, et la moitié gauche de son œil gauche est verte. Il porte également une cicatrice au-dessus et au-dessous de l’œil droit.

Métier : Seigneur de Terrefière.
Classe d'arme : Corps à corps.

Possessions & Equipements :

Marc-Aurèle possède le domaine de Terrefière, légué par feu son paternel après que celui-ci ait quitté ce monde. Petit village agricole, disposant surtout de champs de céréales, de quelques lopins boisés, un peu d’élevages et des potagers, Terrefière est en quelque sorte le grenier de Terresang, et tout ce qui est produit à Terrefière finit dans les greniers de Terresang. Marc-Aurèle possède également une demeure, centrale au village, dont les murs sont faits de pierres mais dont le toit est en chaume. Pour rendre tout cela étanche, c’est le torchis qui fut utilisé. Le village contient plusieurs autres demeures dans ce genre, souvent plus petites que celle de Marc-Aurèle qui est loin de mener la vie de château, bien que sa demeure dispose de plusieurs pièces, et procure ainsi une sorte d’intimité. Dans ce village on trouve aussi deux greniers, une grange qui sert aussi d’écurie, un lavoir, et quelques poulaillers. Evidemment, la majorité des habitants travaillent aux champs, mais on trouve quand même un maréchal-ferrant, des éleveurs, un boulanger et des chasseurs.

En termes d’équipement, Marc-Aurèle possède une armure de cuir qu’il porte à l’envie pour la chasse, les travaux aux champs, ou pour voyager sur les routes sans alourdir son cheval. Il possède aussi une armure de plate qu’il affectionne tout particulièrement, car achetée sur les deniers de la famille. Il la porte lors des combats, ou dès que la situation exige une lourde protection. Pour se battre, il privilégie la claymore, cette longue épée aux deux saillants tranchants. Lourde, il faut une certaine aisance pour pouvoir la manier, en plus d’une solide constitution. Mais il peut aussi compter sur une magnifique dague, en cas d’ultime nécessité, ou s’il devait se battre sans avoir sa fidèle claymore à proximité. Il garde également un arc qu’il utilise pour la chasse.

En termes de possessions diverses, Marc-Aurèle se targue de posséder une penderie fournie de quelques belles pièces de tissus, des habits chauds pour l’hiver, et des fourrures. Son cheval est d’une race plutôt noble, endurante et rapide, et possède une belle robe noire, et une tâche blanche entre les deux yeux. Il le nomme « Roc », car c’est une monture solide qui aura déjà réchappée à plusieurs combats.


Apparence :

• Taille : 1,83 mètre.
  
• Couleur des yeux : bleus, avec une hétérochromie verte dans l'oeil gauche.
  

La première chose qui frappe chez Marc-Aurèle, c’est cette épaisse musculature. Fier soldat combattant à l’arme longue et lourde, il ne compte plus les séances d’entraînements durant lesquelles il passait des heures à manier la lourde claymore qu’il affectionne tant. Cela, additionné à des travaux dans les champs – puisqu’il n’est point le dernier à mettre la main à la pâte – expliquent comment Marc-Aurèle aura réussi à se forger un tel corps. Des épaules larges, des trapèzes développés, un cou de taureau – qui lui aura permit à une ou deux reprises d’éviter le KO lors de combats – des bras dotés de muscles longs, et des cuissots en guise de jambes, font de Marc-Aurèle un seigneur au physique impressionnant, adoucit par sa personnalité lumineuse.

Il possède également une longue chevelure couleur brune, tombants jusqu’au milieu de son dos, ou jusqu’au bas de sa poitrine ; cheveux qu’ils soit en une longue queue de cheval, soit qu’il ramène en arrière avec quelques nœuds savamment tressés pour éviter de les voir retomber jusque devant ses yeux. Sa barbe n’est d’ailleurs pas en reste. De la même couleur que ses cheveux, il la peigne régulièrement mais ne la garnie d’aucun artifice d’aucune sorte. Il préfère la voir pousser et tomber jusqu’à sa poitrine. Une allure bourrue donc, qui sied à son rôle d’homme à tout faire du Comte d’Arétria.


Personnalité :

Marc-Aurèle est un personnage dont la personnalité est aux antipodes de son apparence physique. C’est un être relativement doux, qui apprécie certaines petites choses de la vie, comme un bon repas, une discussion intéressante devant l’âtre, et même voir pousser les récoltes de ses terres. Cette dichotomie entre son physique impressionnant et son altruisme bienveillant, lui donne l’image d’un ours au cœur tendre.

Il porte l’honneur en haute estime, tout comme les responsabilités qu’il possède envers ses gens, ou envers ses seigneurs. Le serment qui le lie à Magnus est donc aussi important qu’il est un fardeau terrible. Fin diplomate, doté d’un charisme certain, Marc-Aurèle est souvent celui que Magnus de Terresang envoie pour réparer les pots qu’il aura cassé. Sa fidélité, son sens de l’honneur, sa propension à taire les secrets et à dispenser ses conseils, font de Marc-Aurèle un valet qualifié et un conseiller de qualité.

Bienveillance, gentillesse, sens de l’honneur et des responsabilité, courage et diplomatie, sont quelques-unes de ses qualités, qui compensent allégrement ses défauts. S’il n’est point le plus ambitieux des hommes, il reste d’un tempérament aussi dur que l’acier. Guerrier doué, il voit en la guerre une sorte d’art qui possède une certaine beauté, bien qu’il n’apprécie point d’user de cruauté envers un ennemi défait, une population innocente. Il déteste l’insubordination, la trahison et il porte les drow en horreur !

Être l’homme à tout faire du Comte d’Arétria, n’est pas une sinécure, pas même pour lui. Si l’honneur lui dicte de réaliser tout ce que son souverain lui demande, Marc-Aurèle ne fait pas tout de bon cœur. Il n’hésite pas à critiquer certains ordres, sous la forme de conseils éclairés et de prises de positions lentement explicitées auprès du Comte… Mais lorsque le Comte ordonne, alors, il exécute.


Capacités magiques :
Aucune.

Histoire

Marc-Aurèle est né en l’an 991 du cycle X, au sein de la famille de Terrefière. Il est l’ainé d’une petite fratrie faite de 2 filles et 1 garçon, malheureusement mort dans ses premiers mois de vie. La benjamine se nomme Allia, et la cadette Frida. Son père, Auguste de Terrefière, et sa mère, Aurora, l’éduquèrent dans la plus pure tradition Malelandaise : la guerre. Mais aussi l’agriculture. Car Terrefière, bien que petit bourg, petit hameau au nombre d’âmes tout à fait respectable sans pour autant en faire une véritable cité, était le poumon vert et le grenier de la Malelande. Et là où son père lui apprit la rudesse, le combat et la violence, sa mère, elle, lui apprit la patience. La patience de voir les céréales, les potagers et les bois pousser, la patience des semailles bien faites et des moissons prolifiques. Elle était également un véritable rayon de soleil apprécié des habitants. Aurora ne rechignait point à relever sa robe pour travailler dans les champs et les potagers, se mêlant à la populace de Terrefière et assurant le relationnel, la douceur et l’entraide, là où Auguste, lui, assurait la rudesse et le côté rustre d’une vie de paysans ayant prêté serment à un Comte belliqueux.

A l’âge de 6 ans, Marc-Aurèle démontra d’ores-et-déjà des capacités physiques admirables. Bien qu’il soit aussi turbulant et aussi actif que tous les enfants de son âge, Marc, lui, semblait ne jamais pouvoir se fatiguer d’aucune manière que ce soit. Il adorait participer aux travaux des champs, aidant sa mère durant les semailles, et son père lors des récoltes. La brouette, la pelle, la bèche et la charrue, ne suffisaient point à fatiguer Marc-Aurèle, l’enfant hyperactif. Du lever au coucher, de la traite des vaches à la manutention des fourrages, Marc-Aurèle apprenait de son père, il apprenait de sa mère, il apprenait du vieux paysan au dos arcbouté par toute une vie de forçat, il apprenait de la vieille femme qui avait éduqué une fratrie de six ou sept enfants. Il apprenait du jeune écuyer qui brossait les chevaux, et du maréchal ferrant qui frappait le fer à longueur de journée pour changer les fers des sabots des chevaux de labours. Curieux insatisfait, enfant débordant d’énergie, l’agriculture était pour lui une seconde nature qui, il l’avouerait lui-même plus tard, lui apprit toutes les qualités nécessaires pour contrebalancer avec son caractère bien trempé, et son côté sanguin. Point impulsif, mais sanguin tout de même.

Le Voile apparût lors de sa 8ème année d’existence. Les évènements qui apparurent, furent la première source de violence quelque peu traumatisante. Avec la Malenuit, les esprits s’assombrirent. On dit que partout, sur les terres Miradelphiennes, les esprits vacillent sous les assauts insoupçonnés d’une force mystérieuse. Il paraît que là-haut, dans les lointains monts du Nord, une sombre colère aura fait trembler la terre. Il paraît que plus à l’Ouest, chez ceux qui sont doués de l’immortalité, la forêt aura repris ses droits sur certaines cités, les faisant disparaître sous les frondaisons. On entendit que plus loin, à l’Est, les Humains s’étaient abandonnés à leurs pires instincts. Bien-sûr, rien de tout cela n’avait d’importance pour Marc-Aurèle qui, bien qu’il entendît tout cela le soir, lors des repas, ne comprenait point réellement les tenants et aboutissants. Heureux, il se complaisait dans son ignorance infantile, dans sa naïveté qui, bientôt, allait disparaître et s’effriter sous la violence paysanne.

Car la Malenuit, comme dit plus haut, libéra certains instincts parmi les plus sombres et les plus obscurs des cœurs des hommes. Et à Terrefière, comme pourtant dans la Malelande, cette obscurité se vit dans les révoltes paysannes. Paysans et artisans de basses lignées, s’armèrent de fourches, de bêches et de pioches, et combattirent les seigneurs locaux – et ils se combattirent même entre eux d’ailleurs – et c’est lors d’une de ces journées sans soleil, que Marc-Aurèle vit la violence.

Auguste, son père, dû faire face à un groupe de paysans déterminés à brûler la demeure familiale, et à faire Othar-seul-savait-quoi à ceux qui y vivaient. Sans faiblir, sans faillir, Auguste le fort, le fier et le rustre, empoigna son épée longue et sans autre forme de procès, combattit… Jusqu’à anéantir les paysans. Quelques-uns survécurent et demandèrent pardon pour ces affronts. Auguste voulut les passer par le fil de l’épée, mais ce fut Aurora qui, dans sa douce clémence, parvint à convaincre Auguste d’épargner les survivants… Chose qu’il fit, non sans mal.

Tout ce sang fit sortir Marc-Aurèle de sa torpeur enfantine, avant même sa dixième année. Dès lors, les tensions ne cessant de grandir, de disparaître, pour mieux réapparaître, Auguste s’enquit d’enseigner à Marc-Aurèle, tout son propre savoir martial. Les années qui suivirent, Marc-Aurèle les passa aux champs et dans les cultures, et l’épée à la main, faisant face à son père. Ce dernier le faisait combattre face à des épouvantails de pailles, puis de bois, puis, pour s’habituer au contact de la lame contre la chaire et dans les entrailles, Auguste obligeait Marc-Aurèle à frapper les corps des sangliers et des cerfs chassés dans la journée, pendus à des crocs de bouchers. Le bruit de la chaire s’ouvrant sous les assauts de la lame aiguisée, ceux des entrailles chutant au sol, l’odeur du sang, devinrent bien vite aussi habituels que l’odeur de la terre fraîchement retournée, de la paille séchée et du foin des vaches.

En l’an 6, peu de temps avant la Guerre de l’Atral, cette énième révolte, Marc-Aurèle entrait dans sa quatorzième année d’existence. Et depuis déjà deux ans, Marc-Aurèle accompagnait régulièrement son père et les chasseurs, durant les chasses quotidiennes. Ainsi s’ouvrit-il à l’art de la traque : sangliers, cervidés et petits rongeurs, ne tardèrent point à ne plus lui échapper. Chaque trace de patte dans la boue, l’herbe, les broussailles ou les branchages, et toutes les manières de les reconnaître et de les suivre, lui furent inculquées. Une chose qui l’aida grandement, car lorsque la guerre arriva, Auguste, son père, dû se rendre à la fois à Terresang, et à Arétria, en tant que banneret, laissant à Marc-Aurèle le rôle de chef de famille. Bien que les bans n’aient point été mobilisés, l’absence du père de famille obligea Marc-Aurèle à assumer une partie de son rôle. Aussi travaillait-il aux champs, réalisait la chasse… Et s’adonnait-il aux débuts de la régence seigneuriale, sous l’égide de sa douce mère.

Le retour de son père, quelques temps plus tard, fut rapidement suivi par l’arrivée de soldats Berthildois. Ratissant le pays à la recherche de soldats adversaires, des bannerets ayant levés leurs lames contre eux, ils mirent à sac une partie de Terrefière, brûlèrent le moulin à grains, et un des deux greniers. Auguste n’eut d’autres choix que de baisser le visage et de laisser faire, tant les soldats étaient nombreux. Repéré pour sa robustesse physique, un officier Berthildois tenta de faire de Marc-Aurèle un exemple. C’est alors que sa mère, Aurora, tenta de le défendre… Au péril de sa vie. Sauvant Marc-Aurèle, elle fit condamner à mort sans réelle forme de procès… Et exécutée dans le champ dans lequel elle avait apprit à Marc-Aurèle l’art des semailles et des récoltes. Atterré, attristé, Marc-Aurèle pleura sa mère durant deux jours entiers, et encore devant le bûcher funéraire, avec tout l’amour d’un fils reconnaissant… Et se jurant de ne plus jamais devoir compter sur qui que ce soit pour sa propre survie. Sa mère était morte dans l’honneur, l’honneur de sauver la chaire de sa chaire, l’héritier de Terrefière, l’honneur d’avoir été fidèle face aux divinités, face à son époux. Un honneur qui guidera la vie de Marc-Aurèle, à n’en point douter.

La fin de la guerre de l’Atral, ne signifie point pour autant la fin de toutes les guerres. Malheureusement pour Marc-Aurèle. Car encore une fois, il dû voir son père quitter le foyer pour suivre les troupes de Magnus de Terresang, seigneur à qui Terrefière devait allégeance, lors de la Guerre d’Oësgard. En l’an 7, c’est d’abord contre les rebelles de Goar Ier que les troupes furent mobilisées, et les troupes de Terrefière se trouvèrent dans les forces de Magnus de Terresang. Le Comte d’Arétria, Wancesclas de Karlsburg, meurt cette année-là. Marc-Aurèle, lui, poursuit son apprentissage martial, notamment de l’épée longue que d’aucun nomme claymore. A l’aise avec cette arme à deux mains, il se spécialisa dans la manœuvre de cette imposante lame, devant un véritable maître en la matière, au fil des mois et des années.

Car l’apprentissage continuait, et la vie aussi. Lorsqu’un jour de l’an 8, une terrible nouvelle lui parvint, de la bouche de nul autre que Magnus de Terresang. Ce dernier s’était en effet déplacé jusque dans le bourg de Terrefière, fidèle banneret. Le vieux seigneur indiqua alors à Marc-Aurèle que son père avait périt lors de la reconquête d’Oësgard, l’arme à la main. Alors à l’aube de sa dix-huitième année, et orphelin de père et de mère, Marc-Aurèle devint, sous l’égide de Magnus de Terresang, le nouveau seigneur de Terrefière.

Comme le voulaient les usages, Marc-Aurèle, tout juste nommé seigneur de Terrefière, dû présenter ses hommages aux souverains dont il était dorénavant le banneret. Elevé dans l’honneur de la parole tenue, ce fut tout naturellement que Marc-Aurèle prêta serment auprès du Terresang qui, bien que rustre, violent et désagréable, prit sous son aile – d’une certaine manière – le jeune Marc-Aurèle. Il pu être le témoin privilégié du sens de l’honneur du fils d’Auguste, et surtout, de ses qualités physiques. Marc-Aurèle était en effet fort, grand – même si moins que Magnus lui-même – et très musclé. Sous la tutelle d’un maître d’arme, Marc-Aurèle terminait son apprentissage de la claymore, arme qu’il parvint à maîtriser avec maestria. D’un coup d’un seul, il parvenait à décapiter une biche, et un coup franc d’estoc, il transperçait le sanglier le plus dodu.

Et ses compétences martiales, il dû bien vite les mettre à profit lorsque vint la guerre civile pour le trône, après la « soi-disant » mort de Roderik. Sous la régence de Aliénor de Wenden, seigneur légitime, Magnus lève son ban, et Marc-Aurèle prend les armes pour ses premières batailles. Fort, il lève sa claymore avec facilité. Endurant, il se bat sans relâche et sans faillir. Résistant, il se relève du coup d’épée lui infligeant sa balafre au-dessus de l’œil droit. Plein d’abnégation, il démontre à ses seigneurs – et notamment à Magnus – qu’une promesse de Marc-Aurèle vaut comme acte déjà accompli, alors qu’il promet d’anéantir tout une section adverse. A l’instar de certains de ses sujets combattant dans le Guet Noir, Marc-Aurèle démontra la parfaite maîtrise de la stratégie, et son agressivité au combat.

La guerre du Médian fit ensuite rage, immédiatement après la mort de Roderik. Mais tout comme Magnus, Marc-Aurèle n’y participa point, tenant la promesse faite à son seigneur. Mais tandis que la guerre se déroulait dans cette partie de la Péninsule, Marc-Aurèle, lui, fut adoubé à Arétria-la-ville par le Comte en place. Il recevra une magnifique armure de plate dont il aura gracieusement participé au financement, un financement qui amputa une partie des coffres de la très petite seigneurie. Mais dorénavant, il pouvait se battre dans une épaisse armure de plate, posséder la protection d’une telle acquisition… Et se montrer plus redoutable encore.

Les années qui suivirent, Marc-Aurèle les passa à régner sur son fief, et à répondre aux appels de Magnus de Terresang, devenu, à partir de l’an 17, Comte d’Arétria. Lorsqu’il est présent en sa seigneurie, Marc-Aurèle partage son temps entre la chasse, les passes d’armes et le travail aux champs. Un travail qu’il affectionne, car cela le change drastiquement des missions ordonnées par Magnus, et des combats sanglants. Lorsqu’il est en mission toutefois, où qu’il se présente à Terresang, ou à Arétria, Marc-Aurèle est un chevalier en armure clinquante, sa claymore dans le dos, et réalise toutes les missions que Magnus décide de lui donner, y compris celles où Marc-Aurèle doit user de toute sa diplomatie pour tenter de réparer les erreurs, et les dégâts causés par Magnus l’irrévérencieux, le mal poli, l’outre percé. Et bien qu’il y ait du travail pour dix hommes, Marc-Aurèle relève chaque mission, même les moins ragoutantes. Car la fidélité et l’honneur, sont deux des principaux piliers qui rythment la vie de Marc-Aurèle.

HRP:

Fiche très sympathique, toutes les modifications ont été apportées. Go !

Code:

[Métier] : Seigneur de Terrefière

[Sexe] : Masculin & Humain

[Classe d'arme] : Corps-à-corps

[Alignement] : Loyal Neutre

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