[Rues] Danse et musique.

Orelindë sortit sur son cheval du grand chateau de Diantra. Elle venait d'y passer plusieur jours pour dicuter de différentes choses avec le roi des hommes. C'est sa fille qui aurait du y aller mais celle ci était encore trop jeune pour pouvoir tenté ce voyage. Ainsi Orelindë l'avait fait a sa place en tant que reine d'Aleändir.

Elle chevauchait donc tranquilement pour sa dernière matinée a Diantra. Elle devait en effet repartir dans l'après midi vers son pays natal. Enveloppé d'une cape blanche, elle avait rabbatu le cauchon sur son visage pour cacher son identité. Un sort de dissimulation faisait croire au gens qui la voyait qu'ils se trouvaient en face d'une jeune humaine, ordinaire, monté sur un cheval noir. En fait, Ancalimë, le cheval bai que son mari lui avait offert était loin d'ètre un cheval ordinaire. Ainsi, avait-elle du jetter aussi le sort sur sa monture.

Orelindë venait d'entrer dans une rue assez large de la cité portuaire d'Ydril lorsqu'une douce musique monta a ses oreilles. L'air ne lui était pas inconnu... Une étrange mélancolie monta au coeur de la reine et celle ci biassa la tète. Elle se souvenait. Lors de son mariage avec Telrunya, le prince reignant, des musicien elfe avait joué cette musique. Seul des elfes pouvait jouer aussi bien et faire monter tant d'émotion grâce a un simple instrument.

La reine descendit de cheval et s'avança au milieu des badaux vers la source de cette merveilleuse musique. Comme elle s'y attendait, elle découvrit deux jeunes elfes. Son déguisement ne marchant qu'avec les humain, elle devina que ceux ci savait qu'ils avait devant eu une de leur compatriote. Mais avait il reconnu leur reione ? Elle écouta attentivement les deux musicien, laissant un torent d'émotion et de souvenir submerger son coeur.

Lorsqu'Orelindë entendit la populace applaudir, elle fixa son regard sur celle qui semblait ètre le chef du groupe. Elle fit un signe si discret que seule d'autre elfe aurait pu le remarquer et désigné une taverne un peu plus loin. Sans attendre, elle guida Ancalimë vers la demeure en question et entra. Elle demanda a l'aubergsite d'indiquer au musicien qui entrerait qu'elle se trouvait au fond et alla s'installer dans une alcove sombre mais discrète. D'un geste, elle leva le sort qui la dissimulait et attendit patiamment que les deux prodige viennent la rejoindre.

Fenrir resté en retrait regardait Alasia avec un air morose, pour ne rien changer a ses habitudes. Lorsque celle-ci eut fini, il vit un elfe faire un signe, mais ne comprit pas très bien, c'était assez abstrait, puis dans tous les cas il suivrait Alasia.

"Cette elfe... Que te veut elle ?"

Il avait dit cela d'une voie froide, après tout il n'était pas un assassin pour rien, et gardait toujours cette air froid lorsqu'il parlait, ne dévoilant jamais ses pensées ou sentiments.

Orelindë attendait patiamment que les deux elfes la rejoigne. Les regard que lui lançait de temps en temps l'aubergiste lui démontrère que ce tripo n'était que très rarement fréquenté par des femmes. Ce qui n'était d'ailleur pas très étonnant, vu l'odeur et le désorde qui y régnait. La rien murmura quelques mots et une douce odeur de forêt apparu autours d'elle. Bien pratique quant mème la magie !

A ce moment, un homme, ivre mort s'approcha d'elle, la regardant avec un regard bien trop appuyé. Avant qu'il n'ai atteint sa phrase, elle loui dit d'une voix froide et menaçante.

-Ne t'avise pas de me toucher gros porc !

Elle détestait en effet voir les hommes s'ennivrer car c'était de l'autodestruction. Mais l'homme n'(eu pas l'air dfe l'avoir entendu. il n'avait probablement pas remarquer qu'elle était une elfe, mais il savait que c'était une femme. Lorsqu'il eu atteint sa table, il posa sa main sur le bras de la jeune femme. Aussi rapide qu'un souffle, Orelindë se dégagea, attrapa un poignard pendu a sa ceinture et cloua la main de l'infortunné ivrogne a la table. Elle souleva imméditament sa dague et sans prendre gare au hurlement qu'il poussait, elle murmura :

-Je t'avais prévenu...

Elle entendi alors la porte s'ouvrir et quelques instant après, les deux musicien se tenait devant elle. Ils s'assirent et attendirent que la jeune femme se présente. Orelindë leur sourit gentiment et tout en posant son poin replié sur son coeur, elle optempéra.

-Bonjours a vous ! Je suis Orelmindë d'Alëandir. Et vous ? Quie faites vous en ces terre si loin de votre patrie ?

Fenrir trouvait le lieu vraiment dégoutant, meme si c'était un grand guerrier, il n'aimait pas ces endroits, comme tout lieu fréquenté d'ailleurs. Fenrir voyait que cette elfe inconnue était de noble lignée, mais elle ne lui inspirait pas confiance, et lorsque celle-ci planta sa dague dans la main d'un ivrogne, il ne cilla pas, restant impassible. Il trouvait cela hautain et maniéré, aussi, il s'assit a la table. Il prit la parole avec un air peu aimable qui déplut surement a Alasia:

"Il est évident que nous ne sommes pas d'ici, mais rien n'indique que notre patrie est éloignée... La question serait plutot a vous retourner, que faites vous ici, vous qui semblez de noble lignée ?"

Il n'avait pas confiance, il était de nature méfiante. Il regardait l'elfe, ses yeux a l'obscurité de son capuchon resté sur son visage, les bras croisé et légérement courbé en arrièrre. Orelmindë d'Alëandir... Ce nom ne lui disait rien. Son sourire gentil ne lui attirait aucune sympathie, peut etre était il trop méfiant...

Fenrir n'appréciait pas l'air que prenait la princesse des elfes, et il voyait qu'elle ne s'adressait qu'a Alasia ce qui le laissait indifférent. Fenrir ne la reconnaissais pas comme sa souveraine, c'était un demi-elfe...

"Vos sujets... Je suis un demi-elfe, et je n'ai ni patrie, ni allégence..."

Il n'était le sujet de personne, il préférerait mourir plutot que de s'incliner devant qui que ce soit, il avait trop d'honneur et de fierté pour sa, le rendant sans doute orgueulleux...

"Je ne suis le sujet de personne !"

Il releva la tete, dévoilant son visage qu'il avait caché avec son capuchon jusqu'a present.