Arashkam, Le Fils du Chaos

De moi je vous offre mon nom, Dakshil Arashkam, un nom simple, sans signification pour vous. Mais pour les miens il est symbole de raliment, quand je parle, on m’écoute, quand je marche, on suit mes traces… Car je suis celui qui l’entend.

En 29 ans de vie, je n’ai trouvée qu’une autre personne capable de l’entendre.

Cette autre personne est une femme, moi qui suis homme je peux le dire, elle est la voix du Chaos au même titre que moi.

Je suis un être différent, certes je suis humain mais mon sang est celui du Chaos. Mon père est cette entité que je vénère, ma mère le Néant. De ce fait je suis différent des autres, à ma façon je suis unique et pourtant je suis aussi légion, car nous sommes nombreux.

Particularité :
- Peut entendre les murmures du Chaos
- Enfant de la nuit, il ne supporte pas les rayons du soleil, il sont pour lui tout aussi mortel qu'une épée.
- Il souffre d'un mal qui lui enlève toute sensation de douleur (neuropathie sensitive de type 4)

Alignement : "Enfant du Chaos"
Métier : Dirigeant D'Abysséa, Fils du Chaos.
Classe d'arme : Magie / Défensif.


Pour tuer en son nom, je porte « Ombrage » une épée longue forgé par les entrailles de la terre. Les sombres artisans de cette œuvre ne son plus et l’oublie les a dévoré aussi surement que le temps transforme tout en poussière. Elle est d’un métal sombre que l’on nomme obsidienne, sa garde est d’acier sombre, donnant une teinte argentée au mélange si nocturne. L’acier est recouvert d’un velours pourpre ainsi que d’une fine cordelette, pour une meilleure prise et surtout pour que jamais mes mains ne glissent.

A cela viens s’ajouter « Misère », un bouclier du même métal abyssal, signe de protection et de dévouement au Chaos. Caché dans les divers entrelace de l’obsidienne, le symbole de notre culte est visible, une étoile a huit branche sombre.

Ma plus grande fierté, c’est l’armure que je porte avec honneur. Cette armure se compose de plaques de métal conformées à la morphologie de l'utilisateur et fixées les unes aux autres à l'aide de rivets. Boucles et lanières répartissent harmonieusement le poids des plaques, avec pour conséquence un harnois offrant une plus grande liberté de mouvement que la clibanion, même si cette dernière pèse moins lourd. Chaque harnois doit être adapté aux mensurations de son porteur par un maître artisan. Le vrai nom de cette armure est harnois complet. Elle se compose d’un casque rouge vif, englobant l’arrière de mon crane mais laissant libre mon visage bien que ma mâchoire soit protégée par le métal. De gantelet sombre, d’un rouge sang séché, avec de fin pique sur le dessus de sa main. Enfin il y a sa cape qui tel une promesse de sang qui coulera, vol aux grés de ses pas et du vent.

Je possède aussi un lien puissant et incroyable avec Asmodée, ma jument, elle fut mienne depuis toujours et a l’époque lointaine ou la lumière coulait encore sur mon visage, était ornée d’or et de blanc. A présent elle porte avec panache le rouge et l’argent. Sa robe sombre mettant en valeur les couleurs de sa selle, sa crinière tout aussi sombre laisse voir tout de même ses yeux d’un bleu divin.

Enfin, je possède une sacoche, qui jamais ne me quitte. A l’intérieur se trouve mes rêves, rêves que je déroule rarement au pied d’inconnu mais que Ma chère et précieuse ‘Voix’, me voit sans doute ouvrir trop souvent. A l’intérieur se cache des opiacé, des drogues, permettant a mon esprit de s’élever plus facilement, pouvant ainsi communiquer plus librement avec le Chaos.


Je suis un homme, un humain mais aussi un être de sexe masculin. De beaucoup on me dit attirant, intriguant ou effrayant. Sont-ce mes yeux d'azure, qui tel deux perle infini scrutent avec attention et froideur tout ce qui m’entoure ? Ou bien mes cheveux de sang et d’ébène, glissant sur ma peau pale, avec cette témérité et cette liberté qui leurs sont propres. Je ne pense pas non plus que se soit mes lèvres, fine et pourtant dessinée avec insistance ou mon menton volontaire qui attire ses regards sur moi.

Non, je pencherais plutôt pour cette carrure large, que mes épaules ont prit avec le temps et l’entrainement. A se torse musclé et viril, ou un fin duvet sombre apparait ça et la sur des pectoraux ma fois plutôt dessiné. A se ventre aux muscle saillant, a la pilosité visible, du nombril et disparaissant sous l’étoffe de mon pantalon. Le chemin des dames comme on plait a le nommer… ce chemin qui conduit soit disant a l’extase, lui il prouve bien que je suis humain. Les elfes et les drows sont imberbe… mais moi, je ne suis qu’humain. Des fois l’ombrage de ma barbe sur mes joues est visible, la peau deviens râpeuse, elle est désagréable. Je suis de haute stature, mesurant bien un bon mètre quatre-vingt dix neuf.

Sur mon corps, corps battit par un maçon plutôt rustre, de nombreuse cicatrice vagabonde, se faufilant sur ma peau comme les goutes d'une eau invisible. La plus impressionnante est sans aucun doute, celle qui barre mon visage. Une cicatrice si profonde qu'elle me défigure. Mais personne ne la voit, aucun n'est capable de voir ce que je dissimule par le chaos. Après mon passage au titre de chevalier du chaos, j'avais le visage mutilé par la noirceur du monde , le chaos m'as donné le don de cacher cette horreur aux yeux de tous... la seule a savoir la vérité, est la voix. Elle seule a vu cette moitié de mon visage brulée qui n'est en rien admirable.

Mes mains son celles d'un guerrier, d'un combattant, aux paumes endurcie par la corne, jaunissant un peu l'intérieur de mes mains la ou elle se fait plus épaisse, mais au doigt long et souple. Ses mains trop large, puissante et grande a la fois, prouve sans mots que je suis un homme d'épée et non un magicien ou un quelconque prêtre. Mais en bref, je suis une Homme simple d’apparence, mais impressionnant. Un charisme et un charme naturel se dégage de mon visage impassible, visage incapable d’exprimer la moindre émotion. Il ne cherche même pas a donner le change et préfère garder son casque rouge, plutôt que de devoir donner son explication a son expression de marbre, a jamais figé dans un moment de neutralité.


Mon esprit, un véritable labyrinthe. Je suis depuis quelques années incapables de ressentir la moindre émotion humaine. Je ne ris pas, ne pleure pas, ne me fâche pas, non, mon cœur est un véritable morceau de pierre et de glace. Je suis donc incapable de montrer les choses, mais aussi de me laisser emporter par mes sentiments. Je ressens tout de même certaine chose, comme le plaisir, oui, le contacte du corps d’une femme me fait bel et bien quelque chose, mais uniquement a mon corps. Mon esprit définitivement clos, je me suis fait une raison et accepte bon grés malgré de vivre ainsi. En plus de cela, je suis incapable de ressentir la douleur, me donnant à moi-même l’impression d’être une coquille vide, dénué de tout. Je n’en souffre pas, je ne sais pas ce que signifie se mot, mais cela m’est difficile.

Mais malgré tout j’ai mon caractère, froid et de marbre, mais il est présent. Je suis dévoué corps et âme au Chaos, imprégné de lui a un point que vous ne pouvez qu’imaginer difficilement. Je crois en lui avec toute la ferveur de l’inconscient, je suis pour lui, vie pour lui et mon seul but est devancer pour lui offrir une place de choix en se monde, quitte a tout détruire sur mon passage pour cela. Mon but ultime étant d’être capable de ressentir a nouveau un sentiment, je voudrais a tout prit être à nouveau humain. Loin de me prendre pour quelqu’un d’important, je suis celui qui mène les enfants du Chaos, étant nommé par ses derniers Fils du chaos, mais j’ai été choisit, je ne me suis en rien imposé comme dirigeant de cette confrérie.


Histoire :

« Qui je suis ? Je suis le Fils du Chaos. »

Dit’ il de sa voix de marbre, donnant la chair de poule à sa future victime. Lentement, très lentement, il laisse son épée s’abattre sur sa nuque, tranchant sa chair avec facilitée. Doucement il ferma ses yeux, puis il tourna ses mains, paume vers l’extérieur, dans un signe de dévouement à son dieu. Le chaos, oui il était la, il pouvait sentir ses effluves alors que l’opium coulait dans ses veines et que l’énergie vital de la carcasse rejoignait son maitre. Fermant les yeux, il se souvint de sa vie passée… Laissez-moi vous la conter, car pour comprendre qui il est aujourd’hui, il faut savoir qui il a été bien avant.


On dit que la naissance d’un enfant est la plus belle chose au monde, et bien c’est vrai. La naissance d’un enfant au sein d’une grande famille de la noblesse de Diantra fut un véritable avènement pour la lignée des Dakshil. L’enfant était un petit garçon, les joues pommelées, un duvet sombre sur son crane rond et des pupilles bleu. Un véritable petit prince, du moins c’est se que pensa sa mère après tout les efforts qu’elle avait du faire pour lui faire voir le jour.

Mais voila, l’enfant était « spécial », plus que ses parents ne l’aurait désiré d’ailleurs. Le couperait tomba comme une condamnation a mort pour l’enfant : Il ne pourrait jamais voir la lumière du soleil, sans quoi sa vie serait mise en danger. Un enfant de la nuit, voila bien qu’une maladie aussi rare et étrange touchait une personne aussi importante que cet enfant. Funeste destin qui ne s’arrêta pas la. En plus de cette tare, ses parents se rendirent bientôt compte que l’enfant ne pleurait pas. Ou du moins pas aussi souvent qu’il le devrait.

Vous savez, un enfant normale, joue, se fait mal, pleure. Non, lui il jouait, tombait, se brisait un os, sans même s’en rendre compte. Mais ce n’était pas tout, non. Sa température montait anormalement par temps de chaleur et baissait avec violence par temps froid. Son organisme ne faisait qu’as peine son devoir et il ne transpirait ni ne grelottait, refusant ainsi a son corps toute régulation naturel. Inutile de vous préciser qu’il fut alors obligatoire pour sa survit qu’il soit en permanence surveillé et prit en charge par divers nourrice.

Mais malgré tout cela, sa mère l’aimait, son père le chérissait et il ne manqua de rien ses premières années. Pourtant, avouons le, un tel enfant n’aurait jamais du voir le jour… Pourtant il a vécu oui. Il a eu un an, puis deux, trois… Il grandissait comme tout humain, bien que sa vie soit celle de la nuit. Il avait ses propres domestiques, ses nourrisses, tous vivant la nuit comme lui et dormant le jour pour pouvoir suivre son rythme. Aucun ne se plaignait de cette étrange contrainte, non, ils subissaient, veillant sur l’enfant avec amour et patience.

Pour lui cependant, tout changea à l’aube de ses quatre ans. La nouvelle fut un véritable choc pour lui. Sa mère, la jeune comtesse, appris à son fils qu’elle portait un enfant et donc, qu’il deviendrait l’ainé de la famille et qu’il devrait veiller sur le futur bébé.

Bien sur au début, il fut un peu jaloux des mouvements de tendresse pour le ventre rond. Puis, il pu en profiter un peu, quand sa mère l’y autorisait. Sentir ainsi le bébé dans son ventre, sous sa peau, bougeant et remuant, donna à l’enfant une impression de grandeur et de fierté. Il serait son grand frère protecteur, et qu’importait sa maladie !

Et quand l’enfant vint au monde, il était excité comme une puce. Terriblement impatient et intrigué, faisant les cent pas. Les serviteurs durent fermer les rideaux de velours et les volets de bois pour éviter que l’enfant ne soit mit en contacte avec les rayons de l’astre solaire. Puis, enfin le médecin poussa la double porte, s’approchant de son père pour déclarer d’une voix inquiète et voilée de tristesse.

«- C’est une fille mais…»
«- Et Louise ? Comment vas ma Femme monsieur de Pousignant !?»
«- j’ai fait tout ce que j’ai pu. Mais elle était fébrile, sa vie avait déjà faillit lui échapper lord de la naissance de Arashkam… Cette fois si la petite lui a pris ses derniers flots de vie en poussant son premier cri.»
«- J’aurai du… si j’avais pu…»
«- Elle avait perdu trop de sang… aucune miracle n’aurai pu sauver Madame Louise.»

L’enfant ne comprit pas tout de suite, il lui fallut du temps, beaucoup de temps et surtout l’explication de sa nourrice, Cathio, pour enfin mettre en ordre le flot de parole de docteur. En se jour, sa mère était morte en donnant la vie a une petite fille, enfant qui fut nommée Shaniisharam. De mémoire, jamais personne n’as utilisé son prénom dans toute sa forme, même pas l’enfant, seul Shanii fut gardé pour une raison évidente de simplicité.

La petite grandit sans mère, le lait qu’on lui donna était celui d’une toute jeune femme qui avait perdu quand a elle son enfant, mort née. Elle prenait plaisir à donner son sein, soulageant sa poitrine du lait qu’elle créait de cette sorte en nourrissant une petite fille. La jeune demoiselle se nommait Gaëline, elle avait des cheveux roux, des yeux d’ébène et une frimousse espiègle. Des taches de rousseurs lui mangeaient le visage et pourtant, lui donnaient aussi un charme certain.

C’est donc avec cette mère de substitution de grandit la petite fille et son frère. Loin d’en souffrir réellement, ils s’attachèrent à la nouvelle mère avec la possessivité de tout enfant et elle leurs rendait cette tendresse d’amour, comme l’aurait fait une vrai mère. Au bout de plusieurs années, elle finit par s’attirer l’attention du père e famille qui la prit pour femme, lui offrant un rang et une place de choix dans la magnifique demeure.

L’éducation des deux enfants fut au début la même, puis différa lentement pour finalement changer du tout au tout. Le fils, grandissant et se fortifiant à la plus grande surprise de tous, avait toutes les prédispositions pour la guerre. C’est ainsi que son apprentissage dévia de celui d’église a celui du paladina. Il apprit à vénérer le dieu de sa mère, Arcamael, puis devint pour lui un Chevalier, pourtant son écusson sur sa poitrine.


Sa sœur elle, continua sur la voie de l’église, et devint à l’âge de 15 ans, prêtresse de la même divinité. A l’image de se dieu elle fut affublée d’une beauté juvénile, de long cheveux noir, d’yeux bleu bien plus clair que ceux de son frère et d’une peau dorée par le soleil d’été. Ils étaient différents mais terriblement semblable. D’ailleurs, entre le frère et la sœur était née une véritable fusion. Jamais vous ne pouviez voir l’un sans l’autre une fois que le soleil avait quitté son zénith. La sœur aimait a vivre la nuit en compagnie de son frère et lui même ne concevait pas une nuit sans sa divine prêtresse.

Ho mais je vous y vois venir avec vos gros sabot. Ce n’est pas ce que vous pensez, jamais il n’a tenté de poser sa main sur elle et leurs sentiments n’étaient qu’amour fraternel. Tout deux dévouer a Arcamael, ils avaient plus de raison encore de chercher la présence de l’autre. Mais pour preuve de cette fraternité pure, sachez qu’il fut celui chargé des fiançailles de sa sœur.

L’homme qu’il trouva, un jeune riche, un fils de duc mais marchand, cherchant à prouver à son père sa valeur, était un homme dans la moyenne. Il n’était ni trop bon, ni mauvais. Il payait ses dettes mais n’hésitait pas à en contracter si jamais le besoin s’en faisait sentir. Un homme honnête en somme et tout à fait convenable pour son trésor, du moins le pensait’ il.



Ce qu’il ignorait c’est que cet homme était le pire des monstres. Il prenait femme, volait la dote et le cœur de la jeune femme pour n’en laisser que son cadavre derrière lui. Il l’apprit bien trop tard, beaucoup trop tard… rongé par le chagrin et l’horreur de ne pouvoir la rejoindre à l’église avant qu’il ne fasse nuit. Il finit par se haïr lui-même et enfilant son armure sortir sous les rayons du soleil meurtrier, brulant sa chair a quelques endroits mais il finit par arriver a l’église…

Plus personne ? Quoi de plus normale, la cérémonie fini il était sans aucun doute chez lui. Non… sa sœur ! Il priait pour qu’elle ait été assez forte pour lutter. Toutes ses forces se concentrant sur sa prière envers son dieu. Dieu qui lui fit défaut en se jour, car quand il poussa la porte entrouverte de la demeure des marier ce qu’il vit lui arracha le cœur.

Sa mère adoptive avait été tuée, éventrée, les viscères jonchaient le sol. Son père non loin n’avait pas connu meilleur sort, son bras tranché, il avait du cherché à se défendre et sa défendre sa compagne avant d’être égorgé comme un porc. Sa sœur, cette pensée lui serra la gorge et son estomac sembla enclin a vouloir lui faire recracher son contenue, un quelconque repas passé.

Les marches lui semblaient infinies alors qu’il les gravissait. Il souffrait en silence, sil avait mal, si mal… Puis enfin la porte de la chambre, un cadavre… celui de sa sœur. Sa moitié, son soleil… elle était morte après avoir été violée. Il ne l’avait pas épargné et lui avait fait subir des sévisses qui n’avait pas de nom que je ne puisse prononcer sans avoir envie de les cracher. Il prit le corps, fermant son cœur à double tour, ne pleurant pas, ne criant pas… plus rien.

Il porta le cadavre de celle qui fut si proche de lui jusqu’au palier et fut arrêter par les gardes qui le frappèrent et le mirent a terre. Trop choqué il ne fut pas capable de leur répondre et ce n’est que le lendemain qu’il fut libéré après avoir reçu de plate excuse de tous. Mais ça n’avait plus aucune importance, plus rien n’en avait après tout.


C’est à partir de cette période que le Chevalier de la lumière sombra dans l’autodestruction. Il prit des drogues, terriblement forte, son esprit se brouillant alors qu’il passait ses journées et ses nuits prélassé à regarder les tableaux de sa sœur. Il la trouvait belle parmi le flot de souvenir flou qui l’assaillait. Mais dans ce vertige d’idée incohérente, une voix, une vois unique le sortie de sa torpeur.

« Bonjour à toi, Arashkam. »

Il fut d’abord surpris, puis il laissa l’entité parler, comme si son rêve lui échappait.

« Tu n’as rien à craindre de moi. Si je suis venu à toi c’est parce que tu as besoin de moi. »

Craindre ? La peur, réaction normale pour tout autre que lui mais les drogues et les images dans son esprits ne lui permettait plus d’avoir se genre de pensée.

« Tu ne t’es jamais demandé pourquoi les dieux sont si cruels avec toi ? Pourquoi t’empêchent-ils de ressentir des émotions ? De ressentir la douleur ? De te permettre de te promener au soleil ? Les dieux s’amusent avec toi. Ils jouent pour voir combien tu peux supporter avant de craquer. Tu n’as aucune émotion, aucun but dans la vie, moi je peux t’en donner un. Je peux te donner une raison de vivre. »

Ho oui il se l’était demandé tant de fois qu’une vie ne suffirait pas, mais une raison de vivre ? hum…

« Parce que je peux te donner tout ce qui t’as été refusé. Je ne suis pas comme ces dieux dans leur palais doré, un menteur ou un manipulateur qui se joue de ceux qui le servent. Non, moi je suis honnête et je t’offrirais ce qui te fait défaut : des sentiments, la douleur même, et le plaisir de sentir le soleil sur ta peau. Mais tu devras faire quelque chose pour moi. »

Le prix… que serait’ il ? Son âme ? Il n’en avait déjà plus.

« Sers-moi. Répands la mort en mon Nom. Tues, pilles, violes, dédies moi des carnages, voues ta vie à détruire ce monde pathétique créés par des dieux qui n’ont jamais rien fait pour toi hormis te maudire. Fais-le et tu seras récompensé. Saches que tu n’es pas le seul. D’autres personnes sont comme toi, maudites par les dieux. Convaincs-les de se joindre à ta cause, et amusez-vous, même si ce mot t’est inconnu. »

Il acceptait. Après tout il avait raison, il ne devait rien à ce monde, ni à ces dieux qui n’avaient rien fait pour lui, hormis rendre sa vie plus pénible que tout. Mais une question demeurait, qui était-il donc ? Un sourire sadique naquit sur les lèvres de l’Oublié. Il avait attendu cette question avec impatience, et doucement il lui révéla le nom qu’il s’était lui-même choisit, et qui symboliserait ce qu’il ferait à ce monde.

« Je suis le Chaos ! Maintenant réveilles-toi mon fils ! Ta nouvelle vie t’attend. »

A partir de cette minute, de se jour, Arashkam changea du tout au tout. Prenant son argent, vendant la demeure et les terres familial, il partie de Diantra, quittant se beau monde pour voyager a la recherche de ceux qui devait l’aider dans l’accomplissement de son destin. Le chaos lui montra comment lui offrir l’énergie de ses victimes et comment guérir ses plaits par le sang de ceux qu’il tuait. Des sorts bénin mais qui avaient leurs importances au sein du Chaos.



Il voyagea durant presque une année avant de trouver une personne capable de le suivre. Arashkam avait alors dix neuf ans, ce n’était encore qu’un jeune homme, mais il avait fini par chevaucher des jours et des jours en compagnie de sa douce et sombre Asmodée. Asmodée était une jument aussi sombre que la nuit, une créature a la noirceur aussi délectable que la nuit. D’ailleurs il ne voyageait que sous la lueur de l’astre nocturne, inutile de vous préciser pourquoi.

Foret Aduram, une nuit parmi les autres, pourtant il y fit une bien étrange rencontre. Alors qu’il flattait sa jument, se penchant sur la selle pour caresser son encolure, il fut attaqué par une créature, du moins c’est ce qu’il pensait au début. Tombant a terre il eu tout juste le temps de porter sa main a son épaule pour prendre l’épée dans son dos que déjà, le monstre planta avec rage ses crocs dans sa chair.

Mais pas un cri, pas une expression de douleur, rien, pourtant il avait mordu profondément. Profitant de cet instant, il prit son bouclier, un pavois sombre, qui était tombé a son coté, frappant de toute sa puissance la bête avec. Une fois cette dernière repoussée, il comprit une chose… ce n’était pas une bête non, c’était un être vivant, un humanoïde même si a le voir, il ressemblait plus a un amas de lambeau de et crasse, mais c’était bel et bien un être intelligible.

Hélas il n’eu pas le temps d’observer d’avantage et du rapidement se relever, car remit se sa surprise, l’homme se jetait à nouveau sur lui. Bloquant son attaque il le repoussa de nouveau. Le bouclier est rarement considéré comme une arme, cependant c’était bel et bien la façon de combattre de l’ex-paladin. Au bout d’une vingtaine de riposte, il fini par avoir suffisamment le dessus sur l’inconnu et le bloqua contre la paroi rocheuse d’un antre, son épée sous sa gorge.

« Je t’ai dérangé dans ton antre n’est ce pas ? »

Sa voix était monocorde, son visage figé dans une expression toujours égale. Mais pas de réponse, du moins pas de verbale, le ventre du jeune homme grogna sa faim et son mécontentement d’avoir été privé de sa proie.

« Je vois… Tu a faim n’est ce pas ? Attend… »

Il posa le bord de son bouclier sur le sol, gardant l’épée sous sa gorge alors qu’il défaisait les lanières d’une bourse de cuir d’où une odeur étrange s’élevait. Puis tournant son regard azure vers lui, il lui envoya le conteneur et lui annonça.

« Tiens, j’étais censé finir dans ton estomac, j’ai contrarié tes plans et t’ai privé de nourriture, alors je t’offre la mienne. Ce n’est surement pas aussi bon que ce que tu comptais dévorer, mais sache que c’est tout ce que j’ai à t’offrir. »

Il ne répondit pas plus, dévorant avidement la viande sèche et salée, apparemment le contenue lui plaisait. Bien, il enleva l’épée de sa gorge et la rangea dans son fourreau, faisant de même avec l’écu. Il s’accroupie ensuite a sa hauteur, posant ses mains sur ses genoux.

« Qui est tu jeune demi-drow ? Car c’est ce que tu es n’est ce pas ? »

« Erik… Erik Hargorn. »

« Bien, enchanté jeune homme, je suis Arashkam, seulement Arashkam. Maintenant que les présentations sont faites je vais te proposer quelque chose. Je t’offre la possibilité de quitter la vermine et la fange dans laquelle tu te vautre, pour me suivre.»

« Et pourquoi ferais je cela ? »

« Parce que je t’offre une vie descente et correcte. Tu es haïe et rejeté simplement pour tes différences, non ? Et de ton coté tu es pleins de colère et tu désire te venger, pour cela je t’offre une place parmi ceux qui vont détruire se monde et rependre le Chaos. »

« Que devrais-je faire pour cela ? »

« Tuer au nom de notre Seigneur tout puissant, Tuer au nom de L’oublié… Tuer pour le Chaos.»

« Tu m’offre une vie correcte seulement si je tue en ton nom ? Ou plutôt en celui de ton dieu ? »

« Oui… c’est exactement ça. Sache que le chaos est généreux avec ses enfants, il m’a donné les moyens de faire régner la peur et la destruction, a des degrés que tu peux a peine imaginer. »

Erik soupira.

« Tu es la première personne à me traiter comme un être vivant et non comme un animal. Tu ne me crains pas et m’offre la possibilité d’avoir une vie plus… attrayante. Pour le respect que tu me porte, je veux bien te suivre. »

C’est ainsi que d’un, ils furent deux. Au début, le jeune Erik ne croyait pas en se soit disant dieu nommé Chaos. Mais après une démonstration du héraut du don qu’il maitrisait, celui se donner l’énergie vital a son maitre et de se soigner par le sang, le demi-drow chercha alors a suivre la voix du dieu sombre. Avec toute la patience du sage, Arashkam lui appris l’histoire du Chaos, il lui apprit aussi comment se servir de son don pour offrir la vie a son dieu et surtout, comment se soigner par le meurtre.



Il s’était écoulé quelques mois, 5 ou 6 touts au plus. Les deux comparses avaient apprit à se connaître, a évoluer ensemble. Arashkam avait offert un cheval a Erik, un simple cheval de ferme, mais robuste et suffisamment fort pour voyager au coté de sa magnifique jument sombre. Le jeune demi avant eu quelques difficulté au début mais, finalement, il s’en était plutôt bien tiré.
C’est par une nuit du mois de Barkios, que nos deux adeptes du Chaos firent une rencontre bien étrange. Pendant qu’Erik était partie remplir les gourdes d’eau et abreuver les cheveux, Arashkam était de son coté partit trouver un lieu qui leurs permettrait de se reposer avant que le soleil ne ravage leurs peau si fragile. Il repoussait buisson et branche lorsqu’il entendit des sanglots. Une voix fluette, s’élevait d’une créature recroquevillée sur elle-même et pleurante.

Ses cheveux était sale, un véritable amas de nœud. Cela lui rappellait un peu sa rencontre avec Erik et doucement, il déposa sa main sur l’épaule de la jeune femme avant de ramener son visage vers lui. Elle avait des yeux magnifique, de véritable joyaux, mais nul de vous dira la couleur ou la forme. Tout ce que vous pouvez savoir d’elle, c’est qu’elle fut effrayée par lui, au début. Puis elle commença à balbutier des mots, sans queue ni tête pour l’hérétique, mais pour lui tout prenait un sens.

« Il me l'avait dit...Oui, oui, il m'avait prévenue...Entre ses mains je trouverais ce pourquoi je vis...Il me l'avait chanté...La lueur...La lueur rougeoyante...La nébuleuse...Les cris...Chut, chut...Il me l'avait dit...»

« Oui, il m’as envoyé pour toi. »

Ses yeux s’illuminèrent et elle se jeta à son cou. Son corps maigre et blessé se colla à l’armure rouge sang et elle chercha sa protection. Il lui donna en l’entourant de sa cape, la cachant ainsi au regard. Puis, relevant la capuche fit disparaître son visage dans cette ombre.

« Tu n’es plus personne, tu n’as plus de race et plus de visage. Tu es la voix, celle qui l’entend et lui parle. Pour ça je te protégerai, quand bien même je devrais y laisser ma vie. »

Pourquoi avoir agit ainsi ? Il n’était pas fou, son premier partisan était un demi –drow et elle, une femme au sang ennemi. Comment pourrait’ il ne pas chercher sa mort ? Ainsi naquit la voix. Quand Erik les trouva, il fut surpris de sa présence, il détailla la jeune femme qui se blottissait avec crainte contre l’armure rougeâtre, la cape la cachant totalement, de visible il n’y avait que ses mains, frêle, osseuse et abimée.

« Elle viens avec nous. »

Sa voix froide tomba à nouveau avec ce tranchant et cette noblesse qui lui était propre.

« Qui est-ce ? »

« Elle est la Voix du chaos. »

Voyant que son maitre n’était pas disposé à en dire plus, il ne chercha pas à insister.

« Je souhaite que tu la protège. »

« Que je la protège ? »

« Oui… protège la avec la même ferveur que celle que tu as pour moi. »

« Il en sera fait selon tes désirs. »

Il nourrit la jeune femme, s’occupa d’elle à l’ abri du regard de son ami et le lendemain, après un passage nocturne en ville, prirent une chambre dans une auberge. La il la nettoya, la coiffa et lui offrit se qui serait son plus grand symbole. Une voile grisâtre qu’elle portait avec affection. Ce jour la Naquit la Voix.



Enfin à Diantra, cela faisait presque un an qu’il était partie de chez lui. Il n’avait plus rien a voir avec ce qu’il avait été Jadis, il portait une armure rouge sang, forgé a sa demande en des contrés qu’il avait visitée. Son visage s’était durcit et ses traits affirmé. Il avait à présent vingt ans et était accompagné de deux étranges personnes. L’une, un homme aux cheveux gris et a l’allure noble, l’autre, une femme vêtue de voilage léger qui masquait presque tout d’elle, n’offrant qu’une vague silhouette.

La jeune femme ombre, était assise en amazone dans le dos du chevalier, ses mains frêle sur l’amure rougeâtre, posé la comme celle d’une amante. Mais entre eux il n’y avait rien de physique, non, juste l’amour du Chaos. De l’autre coté, Erik était lui aussi à cheval, habitué a présent par le mouvement régulier du trot. Il n’avait plus de courbature et ne souffrait plus après chaque voyage nocturne. Bref, il s’arrêtait en ville, pour trouver un refuse pour le jour, quand des bruits provenant d’une ruelle s’élevèrent.

Lentement il descendit de cheval, offrant les rênes à la voix qui se penchait vers lui. Saisissant son menton il déposa ses lèvres sur les siennes, l’embrassant tout simplement. Elle avait comprit ce qu’il allait faire, nul besoin de mot. Pourtant de sa voix rêche, il murmura.

« Je reviens… reste avec Erik, il te protégera à ma place. »

Et c’est ce qui fut fait, Erik après un regard entendu avec son maitre, se rapproche sa la jeune femme et commença à porter son attention sur son environnement, prés a en découvre si il le fallait. De son coté Arashkam lui, se faufilait dans la ruelle, sortant son épée et son bouclier, prés à devoir jouer de ses armes dans l’étroit couloir que formait les murs de deux bâtisses. La il y avait deux gardes, deux hommes, l’un tenait les cheveux d’une femme brune dans sa poigne de fer, l’autre lui maintenait les jambes alors que ses vêtements était à demi arraché. La vision qu’il eu de son corps lui parmi de savoir que celui qui tirait ses cheveux était surement déjà passé dessus et que le second s’apprêtait a renouveler la chose.

Une vision s’imposa à lui, sa sœur, morte, couverte de sang et de substance infâme. Ce souvenir fit bouillir son sang mais même ainsi, pas de colère, pas de chagrin, rien. Il frappa de son bouclier le premier, le projetant a terre, le second lui surprit releva son visage pour observer quelque chose que nul n’aurait du voir. Dans la pénombre, une immense silhouette s’élevait, dans son dos, 6 tentacules sombre, tel des ailes d’un démon, s’élevait et bougeait avec souplesse. De sa voix froide il murmura.

« Tu es indigne du Chaos. »

Et il planta son arme sans même ciller dans le crane du garde, le sang et la cervelle giclant joyeusement pour finir leur course sur les vêtements de la jeune femme et sur son armure. Lui tendant la main, il prononça comme brise, alors que ses tentacules s’écroulaient autour du garde plus ou moins conscient. Vous savez, le premier qui avait fait voler un peu plus loin.

« Lève toi… »

C’était un ordre, plus qu’une demande, et la jeune femme surement bien trop apeurée fit un non de la tête. De la il reprit la parole, plus dur et froid que jamais.

« Tiens-tu tant qu’on te trouve en compagnie de deux cadavre de la garde ? Je ne pense pas… viens. J’ai beaucoup de chose à te montrer et à t’expliquer. »

Elle mit finalement sa main dans la sienne et il l’aida a se relever. L’homme entre ses membres sombre, fut étouffa puis relâché comme un vulgaire sac de pomme de terre. La suite ? Il la conduisit à ses compagnons qui l’acceptèrent bien sur. La voix fut heureuse de ne plus être la seule femme du groupe et l’aida à comprendre le Chaos. La voix était bien meilleure pour convertir les esprits, sa façon d’amener les choses saurait surement fait sourire Arashkam s’il en avait été capable. Quelque part, elle lui faisait penser à sa petite sœur.

Apres les explications de la voix, la Jeune Lenalee rejoignit le groupe, visiblement heureuse de trouver auprès de ses gens étrange, un semblant de famille.


Une des nombreuses soirées passée a Diantra, Arashkam et Erick, ayant choisit a présent le nom de Jiv’undus, marchait tout deux, ayant laissée leurs deux compagne a l’auberge pour se reposer. Les deux amis marchaient calmement, quand dans une ruelle sombre, vint à être aperçu une jeune femme étrange, un homme la secouait, la malmenait, mais rien, aucune réaction. S’approchant alors l’homme prit ses jambes à son cou pour des raisons que les deux enfants du chaos avait un mal fou a comprendre.

D’un regard ils se mirent d’accord et s’approchèrent, jusqu’as voir une jeune femme ayant sans doute été magnifique… il y a longtemps. Des cheveux noirs corbeau emmêlée en une crinière sauvage, une peau laiteuse mais sale, deux yeux divin mais vide. Elle avait tout d’une poupée et malgré la voix des deux hommes qui lui parlaient quelques minutes, aucune réaction. Jiv’undus, déclara avec aplomb et amusement.

« Si tu veux la faire réagir t’as qu’as la violer… haha… mais… qu’est ce que tu… Je plaisantais ! »

Finit’ il indigné alors que doucement Arashkam posait ses mains sur le corps de la jeune femme.

« Moi pas… »
« Tu ne vas quand même pas faire ça ?! »
« Et pourquoi pas ? »

Jiv’ ouvrit la bouche pour donner la moindre raison mais pourtant aucun son n’en sortie et il soupira, se retournant pour sortir de la ruelle et s’adossa au mur en l’attendant. De son coté Arashkam prit lentement la jeune femme dans ses bras puissant, lui passant ses bras autour de son cou. Son premier bras servait à la maintenir, la soutenant au niveau des fesses, l’autre ouvrant son pantalon, délassant les liens pour accomplir sa basse besogne.

Il la prit lentement, avec la patience de l’homme qui ne cherche rien et a sa grande surprise elle se mit a réagir, une larme, puis un mouvement de sa par, elle tourna son visage vers lui et l’observa dans les yeux, passant sa main sur sa joue en murmurant un nom qu’il ne connaissait pas mais chercha à comprendre. Avant même qu’il ne puisse le faire elle l’embrassa, le prenant par surprise et même si aucun sentiment ne pouvait vivre en son cœur, le plaisir et la tendresse était des choses qu’il était capable d’accomplir presque tout autant que la violence de ses coups de reins. Il fini par se laisser aller en elle, soufflant de manière saccadé contre son épaule en murmurant doucement.

« Qui est tu ? »
« Freyja… Freyja… simplement… j’ai tout perdu… je n’ai plus que mon nom. »
« Non… Si tu as tout perdu il te faut tout reprendre et avancer… viens avec moi, et ne soit plus seule. »

Pour toute personne saine d’esprit, après un tel geste nul doute qu’elle refuse. Pourtant, après plusieurs minutes à plonger son regard dans le sien, elle accepta. Les jours suivant il apprit d’elle toute son histoire, lui parlant de manière a ce qu’elle soit en confiance et qu’elle accepte sa place au sein de la petite famille qui était a présent formé de cinq personnes. La relation qu’eu Arashkam avec Freyja fut tout aussi complexe et ambiguë que celle qu’il avait avec la Voix.



Par une nuit sans lune, dans une auberge miteuse, dormait Arashkam aux coté d'une jeune femme aux cheveux sombre et a la peau pale. Elle était la, aux creux de ses bras puissant dormant a poing fermer. Ce contacte il le connaissait bien et s'y était fait doucement.La dangereuse Freyja tout comme la Voix, dormait a ses cotés quand elles le désiraient sans qu'il au vraiment a donner son avis. Mais avait'il vraiment envie de donner son point de vue la dessus? Cherchant le repos dans le sommeil, il semblait calme, sa respiration soulevant a peine son torse lui donnant un aspect presque mort. Dans ses songes pourtant, une voix… une voix et un murmure si familier que le fils du chaos ne put qu’écouter sans résistances.

« Mon Fils, tu es près. Je vais t’offrir quelque chose de plus, quelque chose que tu seras seul à pouvoir transmettre. Tu seras celui qui portera mon nom sur ton corps et en échange de ma marque, je t’offrirais des pouvoirs qui ne seront que ceux des tiens. L’oracle, dit lui les mots, apprend lui le rituel et subit le. »

Ce qui fut dit fut fait et des son éveil, il se dirigea dans la chambre de l’Oracle, la trouvant en tenue légère pour lui expliquer sa requête.

« Le Chaos m’as parlé à nouveau, il faut que tu m’aide, je vais t’apprendre un texte et un rituel et tu devras le faire subir à mon corps. Ainsi je serait son héraut, son chevalier, son fils, le plus proche du Chaos qu’il me soit possible d’être. »

Sa voix sombre et monocorde, il semblait a peine s’intéresser a ce qu’il disait. Mais la voix le savait, elle savait qu’il le fallait. Alors avec patience elle apprit par cœur les paroles de l’intronisation du chevalier du Chaos et les gestes a faire. Puis, au bout d’un mois décida qu’il était l’heure.

« Toi enfant du Chaos, toi qui cherche dans les ténèbres à trouver ton chemin. Laisse le sang et les cris guider tes pas et rejoint celui qui t’as donné ta seconde vie. »

A cet instant elle dessina l’étoile à huit branches sur le front du Fils et déposa ses mains sur son visage. A se moment une chose horrible arriva, son visage, sa peau se déforma, comme brulé par une force inconnue. Sa joue, son front et une parti de sa mâchoire droite était totalement défiguré, laissant a la vue une chair flétrie et plissée. Il n’avait pas bronché, gardant son regard dans celui de la voix. Pas de voile pour lui, pas maintenant. Lentement elle caressa sa peau et s’approcha pour déposer un baiser chaste sur sa joue fripée. Puis elle reprit de sa voix monocorde.

« Mais parce que le Chaos t’aime, parce que tu n’as pas hurlé ou gémit sous sa marque, il t’offre le secret, car nul ne dois savoir que tu as passé l’épreuve. »

Et elle passa sa main sur son visage une nouvelle fois, plus de plait visible, plus rien… Pourtant c’était toujours la mais, un sort habile offert Aux seuls Chevaliers leurs permettaient d’être ce qu’ils voulaient. Sa peau au touché était comme celle qu’il avait à présent perdu et nul ne pouvait se douter ce cela. La seule a savoir ne dirait rien, elle ne le pouvait pas. Ils étaient a égalité, lui savait ce qui se cachait sous le voile et elle a présent savait ce qui se cachait derrière le visage bien fait de son maitre.

A partir de se jour il pu se servir de dons différents, il apprenait avec la lenteur de l’inconnue, mais il ne s’était jamais sentit aussi proche du Chaos. Maintenant le voila qui ère avec son étrange cortège, au sein de Miradelphia. Il continue de recueillir ceux dont la souffrance est trop grande ou rejeté pour leurs offrir une famille en échange d'une allégeance au chaos.

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Comment trouves-tu le forum ? : Toujours aussi beau
Comment as-tu connu le forum ? : par moi

Je te valide, au nom du tout puissant Chaos. ^^

Tu connais le chemin. ^^

O.O
Magnifique, j'adore... que dis-je, je suis addict
*J'ai tout luuuu*

merci...