Nom/Prénom :Ssins’Dael Kor’Elggur, mais ses proches l’appelle Ssin
Âge : 105 ans (d’apparence 21 ans)
Sexe : féminin sans aucun doute possible
Race : Drow
Particularité : Elle est ambidextre.
Alignement : Tueurs de l'Ombre
Métier : Assassin et Espionne (en tant que Veldruk de la Dothkas, enfin si c'est possible ^^")
Classe d'arme : Corps à corps
Équipement : Ssin possède une épée courte à la lame courbe et irrégulière qu’elle garde généralement à la ceinture et un poignard denté dans une de ses bottes. De plus, elle emmène aussi quelques couteau à lancer et des fioles de poisons dans une petite boite qui trouve sa place dans son sac en bandoulière. Mais elle n'a pas forcément besoin d'arme, tout son corps est une arme.
Description physique :Ssin passa devant un miroir qui trônait sur un des murs de sa chambre. Elle portait une courte robe légère qui camouflait à peine ses formes généreuses. Son décolleté mettait sa poitrine plus qu’agréable en évidence, moulait sa taille fine et ses hanches bien dessinés, dévoilait ses jambes délicatement galbé. Sa peau sombre, assez pâle, était aussi satinée que le tissu de sa robe. Ses longs cheveux argentés cascadaient sur ses épaules nues. Son visage était fin et ses lèvres étaient pulpeuses. En regardant ses yeux, la drow sentit son sang bouillir dans ses veines car lui rappelant la faiblesse de sa mère, une honte qui lui pesait sur les épaules. Ses iris étais blanc de neige et ses pupilles avaient perdu leur couleur. Cela dit, en regardant ses ongles, elle sourit, enfin un héritage de sa mère qu’elle acceptait, ses ongles noirs étaient aussi acérés et dur que des griffes au bout de ses longs doigts fins et agiles.
Description mentale :Ssins’Dael est une femme déterminée et têtue. Elle ne supporte pas qu’on lui tienne tête et jamais quelqu’un ne lui manquerait de respect car on peut encore trouver les corps mutilés de ceux qui s’y sont oser dans la cave de son manoir. Lunatique, elle peut passer du calme le plus froid à une colère si noire que ceux qui se mettraient au travers de son chemin ne verrait même pas la mort arrivée. Ssin n’a jamais eut confiance qu’en elle-même et elle ne respecte que peu de gens, et ses parents n’en faisaient pas partis. Elle méprisait les faibles et les races inférieurs, jamais elle ne tolérerait qu’un faible ne la touche. Elle aimait tout les plaisir de la vie, le sexe, la torture, la richesse, le pouvoir et surtout se battre, tuer, voir le sang couler des plaies de ses adversaires et de ses amants.
Histoire :Ssins’Dael est née dans une famille noble du Puy d’Elda. Sa mère, Isytel’Cahl, était une fervente partisane de la déesse de la luxure, Ishten, d’où le nom qu’elle donna à sa fille. Alors qu’elle était enceinte de Ssin, Isyt tomba malade, une maladie très rare qui altère les forces la personne qui est atteinte ; aussi ses yeux changèrent, ses yeux et sa peau avait perdu de leur couleur et de plus en plus de force au fur et à mesure que le temps passait. Elle vécut encore une petite vingtaine d’année après l’accouchement. En fait, Ssin sut plus tard que sa maladie était due à un de ses amants qui n’avait pas supporter qu’Isytel’Cahl, une de ses possession, aille voir d’autre hommes, il avait donc voulut l’empoisonner mais le poison mortel n’était pas suffisamment efficace. Pour sa fille, c’était une honte qu’elle eut vécut aussi longtemps aussi faible.
C’était sans doute pour ça que la jeune drow n’avait jamais respecté son père, Isstun’Alack, il avait laissé sa femme vivre, lui laissant le loisir d’amener la honte sur le famille. De plus, il semblait complètement déboussolé par sa mort, comme s’il avait été réellement amoureux d’elle, sa fille en frémissait de dégoût en y
pensant. C’est pourquoi Ssin n’avait jamais passé beaucoup de temps chez elle, elle restait souvent dehors à s’entraîner au combat. Elle s’ennuyait à mourir toute seule, aussi elle essayait de se trouver des occupations qui puisse faire monter son taux d’adrénaline. Alors, la nuit, elle allait cambrioler des manoirs, sans jamais rien prendre cela dit, elle aimait le danger, elle faisait d’ailleurs de grands progrès en discrétion. Cela l’amusait beaucoup de se balader dans l’ombre sans que quiconque ne se rende compte de sa présence.
Un soir qu’elle rentrait chez elle, elle avait alors 80 ans, elle trouva son oncle, le frère de son père et son cousin, Usstan de 50 ans. Il comptait rester quelque temps chez eux et Ssin n’en sut jamais la raison. Et encore un fois, Isstun se faisait ridiculiser par son frère Sar’Alack. Lui était un guerrier respecté de l’armée, et son fils prenait le même chemin, ils avaient tout ce qui faisait un vrai guerrier, ils avaient le même éclat meurtrier qu’elle dans leur yeux. Son père à elle, n’était qu’un lâche, un faible, il ne méritait pas d’être un drow, elle ne supporterait pas qu’il continue à la ridiculiser ainsi. Ainsi, alors qu’il était allez se coucher dans sa chambre, elle le suivit silencieusement comme elle avait appris à si bien le faire. Elle ne prit même pas la peine de fermer la porte, en voyant son père, toute la rancœur, le mépris qu’elle éprouvait pour lui
remonta à la surface. Elle réprima un cri de rage qui aurait réveiller tout le quartier. Elle interpella le faible
qui lui faisait si honte, elle refusait de l’attaquer par derrière, il était quand même de son sang, et c’est une fois qu’il lui fit fasse qu’elle lui planta sa dague dans le ventre et la remonta jusqu'à la gorge. Le flot de sang qui l’éclaboussa fit bondir son cœur, tuer lui avait fournit se qu’elle désirait, elle se sentait soulager d’être enfin débarrasser de lui, et le simple fait de sentir la peau céder sous sa lame avait quelque chose de jouissif. Elle était libre maintenant. Elle voulait entrer dans l’armée et redoré le nom de sa famille. Elle voulait faire se qui lui plaisait tant : tuer.
Son père aurait au moins servit à faire ça.
Sar’Alack et Usstan s’installèrent chez elle. Son oncle avait entreprit d’entraîner son fils et Ssin qu’il trouva d’ailleurs trop douée pour dire qu’elle était la fille d’un incapable. D’ailleurs, elle doutait de plus en plus d’être la fille d’Isstun’Alack, et elle préférait l’imaginer, elle n’aimait pas l’idée d’être la fille d’une telle larve. Elle valait beaucoup mieux que lui. Elle ne respectait que son oncle et son cousin, elle trouvait d’ailleurs qu’elle et Usstan se ressemblaient étrangement, un visage tout aussi fin et un caractère semblable. Il avait le même sourire, le même petit air hautain. Elle allait même jusqu'à l’apprécier ce petit adolescent arrogant a la même peau sombre et aux belles boucles blanches indisciplinés.
Sar’Alack lui avait parlé de la Dothkas en lui disant que là serait sa place. Elle entra rapidement dans la Dothkas, en tant que simple assassin sous les ordres du Veldruk Kor’Khaless, rapidement elle devint sa maîtresse. Elle avait remarqué qu’elle plaisait énormément aux hommes, et elle prenait grand plaisir à user et abuser de ses charmes. Bientôt, alors qu’elle avait passé la nuit avec Kor’Khaless, elle l’assassinat proprement, elle était la plus recommandée pour le remplacer et rien ne pouvait l’empêcher de monter
dans la hiérarchie.
Quand elle devint Veldruk, Sar’Alak mourut assassiner par un autre guerrier qui se sentait menacer par son rival. Ssins’Dael voulut venger celui qu’elle avait considérée comme son père. Elle avait alors séduite ledit meurtrier et l’avait invité chez elle. Elle l’attacha nu sur le lit en faisant passer ses actions pour un jeu érotique. Mais il comprit rapidement qu’il faisait fausse route quand elle sortit une dague à la lame
irrégulière et denté. Elle se retourna vers la porte qu’elle avait entendu s’ouvrir. Elle vit son cousin dans l’encadrement, son visage d’ordinaire si calme avait pris une toute autre expression, une colère noire l’avait envahit. S’excusant auprès de son cousin, elle lui proposa d’en finir lui-même avec cet ordure qui avait tué son père. Usstan saisit la lame qu’elle lui tendait et éventra sauvagement le drow étendu sur le lit, le jeune homme perdit tout contrôle de lui même et réduisit son ennemi en charpie tellement la fureur avait pris possession de lui.
Elle s’occupa alors de son cousin, continuant l’entraînement que Sar’Alack avait commencé et lui apprenant a se mouvoir avec la même agilité, tel un félin, avec la même discrétion qu’une ombre meurtrière.
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Comment trouves-tu le forum ? : Il a l'air super
Comment as-tu connu le forum ? : C'est une amie qui m'en a parlé ^^
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : http://charlie140588.deviantart.com/gallery/, un dessin de Charlie Bowater XD
sa galerie est superbe !!!!!!