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 Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-

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Phar'roos
Drow
Phar'roos


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MessageSujet: Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-    Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-  I_icon_minitimeMer 11 Mar 2015 - 13:32


      « Une Naine, Azza. »

      La nuit était tombée sur le manoir décadent que s’était arrogé Khatib, à la pointe de l’épée, depuis plusieurs années déjà ; les derniers rayons de lumière poudraient son despotat étriqué, aux portes de Sol’Dorn. Dans la grand’salle de ce qu’il appelait son château, l’ancien du Quatrième Ost avait ouvert la vanne aux souvenirs – enfin ! Azza, assise non loin, devait écouter.
      Alors, ces premiers mots arrachés, le grand récit commença :

      « Tsabrak, mon géniteur, ton aïeul, s’était entiché d’une catin humaine ; mais si petite, et si gondolée, que du sang de Nain devait se nicher dans ses veines : une Ibbe, ou peut-être Ibde, ramassée dans la fange vivotant aux premières profondeurs. J’étais né depuis trente ans à peine ; le Puy alors drainait toutes les races, la tourbe du monde venait s’amasser en haut d’Elda, dans la poussière et les crachats. C’était une marotte pour les seigneurs des grandes maisons d’aller rafler quelques bêtes là-bas ; elles seraient esclaves la journée, cul nu la nuit. Ca doit être là que Tsabrak a récupéré son Ibbe, une bâtarde mêlée de sang Nain, et qu’il a fait entrer dans la maison Noqu’th, pour qu’elle en récure les sols. Et Tsabrak, lui que la pureté du sang obsédait, voilà qu’il a eu cette étrange attirance pour la difforme.
      Ibbe a été engrossée, puis elle a craché au monde l’enfant. Je ne me souviens pas que Tsabrak, ni nul autre dans la maison Noqu’th, ait relevé la naissance d’une bâtarde. Je n’ai pas non plus souvenir qu’un nom dans la langue des humains, ni dans celle des Nains, lui ait jamais été donné ; on l’appelait Phar’roos, dans notre langue d’Elda. Elle a rejoint la cohorte des esclaves de la maison Noqu’th. Plusieurs décennies, elle a dû vivoter dans l’ombre de nos tentures. Je lui ai moi-même dégrossi les reins, lorsque je suis entré dans l’âge du désir : c’est vrai que la chair de Nain offre un étrange plaisir…
      En 651 de l’ancien cycle, tu le sais, Azza, j’ai rejoint l’Ithri’Vaan et le Quatrième Ost. Brylyan n’y était alors même pas soldat, c’est un temps lointain. Je n’ai plus vu Elda, ni la maison Noqu’th, plusieurs siècles durant. Phar’roos a dû continuer de servir toutes ces décennies-là. J’ai appris, longtemps après, qu’au lendemain de la bataille d’Uraal, Tsabrak avait fait immoler Ibbe. Il fallait alors nourrir Natha, la féconde, pour qu’elle repeuple les lignées clairsemées d’Elda.
      Ca a peut-être été un siècle encore, avant que j’entende à nouveau parler de Phar’roos. Tsabrak n’avait pas perdu son goût pour le peuple mineur : du croupion de la bâtarde, il avait tiré deux fils déjà. Il me les a cédés comme esclaves. Ils n’avaient pas trente ans, c’étaient des bêtes trapues, râblées et frêles ; j’ai même oublié leurs noms, si jamais ils en eurent un. Le Quatrième Ost tenait alors Sol’Dorn impitoyablement, et dans le quartier militaire, la terre du Bae’d ne s’asséchait jamais. J’ai envoyé les bâtards combattre dans l’arène, ils ont été cisaillés certainement ; ces souvenirs-là sont loin à présent… »


      Khatib s’arrêta un instant. De la main il saisit une coupette de vin thaari, il s’en baigna la gorge. C’était le mauvais fruit des terres stériles, âpre et râpeux ; mais le despote avait retrouvé sa salive :

      « Alors seulement, j’ai appris que Tsabrak quittait Elda, qu’il venait à Sol’Dorn. La cité était alors bien différente de ce qu’elle est aujourd’hui ; c’était le bastion de l’Ost, le Quatrième. L’Ithri’Vaan presqu’entier, de loin en loin, n’était que notre pré carré, dominé rigoureusement. Pourtant nous n’étions déjà plus eldéens. Vois ces terres, Azza ! Il y a sur l’Ithri’Vaan un parfum de sel et de sable, qui n’est pas la fumée rance du Puy. Nous étions un peu doebens, déjà. Ici les métisses, les bâtards zurthans, pouvaient vivre quelques années, alors même que le sang d’Elda était lointain dans leurs lignages, et que leurs oreilles n’étaient plus même effilées. Aussi, lorsque Tsabrak s’est présenté à Sol’Dorn, et avec lui de nombreux servants et esclaves de la maison Noqu’th, j’ai fait le vœu qu’il affranchisse Phar’roos.
      J’avais craint de longs débats, il n’en a rien été. Tsabrak m’a cédé Phar’roos, et je l’ai alors libérée. Lui avait depuis longtemps trouvé à satisfaire ses plaisirs dans des chairs plus jeunes ; et comme il découvrait Sol’Dorn, les femelles des taudis du quartier doeb attrayaient déjà son désir.
      Phar’roos était à présent doebenne et libre. C’était il y a deux cents ans encore… »


      La voix de Khatib se tut une nouvelle fois, mais sa main ne se porta pas sur le vin ; il laissait simplement les souvenirs passer devant ses yeux. Il est parfois long de faire le récit d’une vie de Drow.

      « Un quart de cycle séparait déjà Phar’roos de sa naissance. De visage, elle était de notre race, car le sang de Tsabrak semblait s’être arrogé la plus grande part contre le sang d’Ibbe. Mais son corps était encore si petit, qu’elle ne m’atteindrait jamais l’épaule. Elle n’a jamais accepté sa bâtarde parenté : elle se pressait les côtes dans des corsets de fer, pour ne pas prendre la large carrure des Naines ; et ses joues, sur lesquelles couraient quelques poils, elle les rasait avec une rageuse méticulosité. C’était en somme, du moins elle se voulait ainsi, une Drow de courte stature ; et quand on grognait sur sa lignée bâtarde, elle préférait se dire difforme, plutôt que de sang sale.
      Le mépris contre notre géniteur, Tsabrak, nous liait intensément. J’aurais voulu que Phar’roos aussi, comme moi, s’emparât des multiples opportunités de Sol’Dorn. Comme la fin du Cycle approchait, la cité commençait à s’ouvrir sur le monde. Les marchands d’Ithri’Vaan affluaient, certains trésors thaaris s’échangeaient aux portes de la ville, loin du Quartier militaire. Comme d’autres dans l’Ost, j’avais mes arrangements avec quelques bougnats zurthans, et les premières denrées exotiques trouvaient leur chemin jusqu’à l’intérieur du bastion. Il y avait une fange bâtarde qui s’amoncelait devant Sol’Dorn, une glaise d’avortons crasses et avides ; et Phar’roos aurait pu s’en emparer aisément, la soumettre et la tenir.
      Mais il faut croire que la pureté de Tsabrak trouvait un écho en elle, plus qu’en moi. Pourtant trop courte, et difforme aux yeux de beaucoup, elle a forcé les rangs du Quatrième Ost. Au Puy, on l’aurait rejetée dans la bourbe ; mais Sol’Dorn avait cet autre parfum, qui insufflait la souplesse dans nos principes. Déjà plusieurs bâtards de Zurthanie servaient aux tâches médiocres, creusaient les travées, vidaient les fosses d’aisance ; et certains, parce qu’ils se montraient féroces dans le Bae’d, savaient gravir quelques échelons jusqu’à intégrer pleinement l’Ost, quoiqu’à un rang minable. Phar’roos a pareillement franchi les portes du Quartier militaire, pour faire ses classes. Ses bras épais, ses mains robustes, lui ont permis de vite maîtriser les armes. Toutefois je n’ai pas souvenir qu’elle soit jamais descendue dans le Bae’d ; à cette époque, l’arène n’était plus qu’un cirque dégénéré, où s’affrontaient les curiosités dont regorgeaient les étendues d’Ithri’Vaan.
      Le parcours de Phar’roos dans le Quatrième Ost avait été médiocre, et sa difformité pesait sur elle comme un couvercle. C’est à cet âge, il y a seize décennies d’aujourd’hui, que Tsabrak a conquis la place de Grand-Prêtre au Temple de Teiweon ; enfin, il faisait percer la maison Noqu’th dans Sol’Dorn. J’ai fait barrage à ce que l’avidité de Tsabrak s’infiltre dans l’Ost, mais ailleurs son influence commençait de ramper sur tous les murs. Phar’roos a tempêté un moment derrière les remparts de la cité, puis son tempérament l’a emporté : elle a quitté la ville.
      La Sol’Dorn d’alors était bien différente, Azza. Les marchands vivotaient sous la botte de l’Ost. C’est le Quatrième qui jaillissait hors des murs, qui étendait son emprise sur les terres alentour, et qui refermait ses mâchoires partout où il le pouvait. Chaque jour apportait ses esclaves, raflés dans quelque province ; et certaines escadres de l’Ost se donnaient pour mission d’amasser ces vies grouillantes, pour les enchaîner à Sol’Dorn. C’est là que Phar’roos s’est développée, que dis-je ; s’est imposée. Ils partaient vers l’Est, ils brûlaient et ravageaient les lointains hameaux, et revenaient en tirant une longue colonie de zurthans. Quelquefois, ils sont descendus profondément au sud, jusqu’à saisir des cercles épars de Bisher nomades, dans les environs lointains d’Hurza. Et plus d’une fois, Phar’roos a mené la traque jusqu’aux zurthans les plus orientaux, dans les terres de sel ; on disait ceux-là élus par l’Ilharn Baoht Dal Serakh’Ahn, et leur sang faible s’était épaissi de quelques gouttes eldéennes. Ah, ces razzias ont dû être féroces …
      Cet âge de massacres a eu son temps, quelques décennies au plus. Ces détachements sauvages, formés par les plus féroces de l’Ost, allaient et venaient depuis Sol’Dorn jusqu’aux terres lointaines. Tu as sûrement connu Phar’roos dans ces années-là, Azza, entre deux saccages qui l’appelaient hors de la cité, vers l’Est ou le Sud. Puis les campagnes se sont faites moins régulières ; quelques bandes se sont définitivement établies hors de Sol’Dorn, choisissant une vie de pillardise, et on ne les revit plus. L’Ost, s’il ne se disloquait pas, se fendillait déjà. Les monceaux d’or en ont séduit plus d’un, et quelques grognards se sont faits vendeurs d’esclaves. Phar’roos a encore mené des assauts lointains, sans plus ramener de grandes richesses. Le commerce ruisselait déjà dans les taudis de Sol’Dorn, sans qu’il ne soit plus besoin de l’Ost pour l’alimenter.
      Bien sûr, nous conservions une main d’airain sur l’Ithri’Vaan ; deux décennies plus tard, lorsque Maxence de Clary a voulu soustraire Thaar à notre emprise, le Quatrième Ost lui a brisé la nuque – littéralement. Mais plusieurs, dans Sol’Dorn, avaient doucement convenu de démanteler les escadres rustaudes ; c’étaient des tractations veules, dans les recoins du Quartier militaire. Tsabrak lui-même a ordonné à Phar’roos de se retirer hors de Sol’Dorn, et rejoindre le Puy. Ton aïeul était, c’est encore, un être puissant ; le Temple de Teiweon parlait avec lui. Je … j’aurais peut-être pu faire barrage à sa volonté, mais je me suis couché devant ses ordres. Phar’roos a disparu en un seul jour. »


      Un troisième silence, et cette fois la voix de Khatib semblait éteinte ; du haut de son manoir, ses yeux balayaient froidement son despotat de pacotille, comme s’ils jugeaient en opportunité tout cela. Un cœur Drow est souvent hermétique aux regrets, alors cela dessinait sur le visage de Khatib une étrange moue.
      Après un instant, il reprit :

      « Les décennies restantes me sont mal connues, Azza. Il est établi que Phar’roos a retrouvé le manoir de Noqu’th dans les profondeurs du Puy ; qu’elle a ressaisi les esclaves qui y somnolaient, qu’elle a évincé les avides qui avaient étendu leurs ongles jusqu’à la maison. Ceux qui ont raillé sa difformité, ceux-là ont probablement reçu le fer et perdu la vie. Dans l’Elda impitoyable, Phar’roos aura sûrement bataillé rude pour faire taire les lazzis. Le reste, ce sont des ouï-dire, mais je les tiens pour authentiques.
      Phar’roos aurait rencontré, là-bas, dans l’Elda, les sinistres goules de la dothka, des espions et des assassins. Il est difficile de percer les voiles qui pèsent sur la sixième profondeur, là où se niche la Qu’ellar d’veldrin. Plusieurs auront colporté que Phar’roos avait approché Shar Omareth, lui dont le visage reste inconnu ; tous deux étaient de petite stature, et je ne doute pas que les brimades les auront liés. Quant à savoir jusqu’à quelle intimité Phar’roos s’est liée avec la dothka … C’était la fin du dixième Cycle, et j’ai perdu plus d’une fois toute visibilité sur les affaires qui se jouaient au Puy.
      Mais ici, à Sol’Dorn, j’ai vu se flétrir le Quatrième Ost. J’ai vu les premiers zélateurs quitter notre armée moribonde, et rejoindre Elda dès avant que Brylyan ne succombe. Ces grognards-là, qui demeuraient fidèles au Puy, connaissaient pour la plupart le nom de Phar’roos ; et il est certain qu’elle les aura vite récupérés, et rameutés autour d’elle. Ce reflux a explosé lorsque l’Ost a été démembré, que la Quatrième a totalement cessé d’être ; et quand moi, je bataillais avec les autres vétérans pour saisir un coin de terre, ils étaient nombreux à quitter Sol’Dorn pour rejoindre le Puy, la hargne au sang. Même parmi ceux demeurés ici, il en reste pour regretter le temps où l’Ost tenait la province tout entière. Cela fait six ans à présent ; c’est court, pour oublier notre gloriole perdue…
      Le reste, Azza, tu le connais déjà. »


      Khatib s’était retourné vers sa fille. Il était certain que, comme lui, elle avait vu ces sombres masques reparaitre dans Sol’Dorn. Personne n’aurait manqué ces trognes féroces, qui rôdaient autour des baraquements délaissés du Quartier militaire.

      « Phar’roos semble bien revenue à Sol’Dorn ; et d’autres viendront encore après elle. Certains sont d’anciens vétérans de l’Ost, reparus soudain, venus toiser les despotes que nous sommes. Mais d’autres, plus sinistres, se sont faufilés dans la cité ; je ne doute pas que ces bêtes-là soient des assassins forgés dans l’Elda. On parle d’une deuxième dothka, ici à Sol’Dorn ; quelques dizaines à peine, mais nourris par la hargne que porte Phar’roos.
      A présent il ne me reste plus qu’à tenir mes portes closes, et toi à veiller sur tes pas, Azza. Car j’ai un vieux compte à apurer avec Phar’roos ; et elle viendra, Isten m’en croit, elle viendra. »




Nom – Phar’roos, de la maison Noqu’th.
Âge – Née en l’an 588 du Xème Cycle, soit 419 ans.
Sexe – Femme.
Race – Daedhel abâtardie, mêlée de plusieurs sangs, humain et – possiblement – Nain.
Faction – Puy d’Elda.
Particularité – Métisse mais eldéenne.

Alignement – Loyal mauvais.
Métier – Matrone de la deuxième dothka.
Classe d'arme – Corps à corps.

Équipement – Guerrière farouche, formée au Quatrième Ost, Phar’roos porte et manie les armes. Celles-ci sont seulement plus courtes, plus petites que d’ordinaire, car la stature de la Daedhel manque d’ampleur.

Description physique – Aux yeux d’Elda, Phar’roos est difforme ; il manque à sa stature une bonne tête de haut, pour qu’elle égale les standards de sa race. Pourtant le sang vif de Tsabrak lui a légué une peau lisse et sombre, ainsi que la crinière d’ébène et d’argent qui marque certaines lignées du Puy ; et ses doigts sont longs comme des pattes d’arachne, et sa poitrine est opulente comme le sont les mamelles de sa race. Mais Phar’roos est courte, infâmement courte.
      Toutefois la vigueur d’Elda clapote dans ses veines, rehaussée d’autres ascendances plus douteuses. Elle a les épaules larges, le bras épais, et la poigne puissante ; elle sait porter de pesants fers. Cette carrure épaisse, si elle révèle à tous sa bâtardise flagrante, lui aura permis de conquérir sa place dans l’armée.

Description mentale – Être Phar’roos, rejeton bâtard de Tsabrak, c’est glapir et trouver toujours porte close. Phar’roos a vécu un quart de cycle dans l’Elda, là où triomphe le sang impérieux des plus purs ; elle a vu les splendeurs du Puy, et la grandeur des derniers parmi les Prima Sanguis ; son esprit n’est qu’un dépotoir à rêveries. Jamais elle ne sera une eldéenne de pur sang, jamais on ne la jaugera comme une égale ; toujours elle devra batailler, étouffer les rumeurs, égorger les médisants. C’est le prix à verser pour être née bâtarde, à jamais reléguée sur le seuil d’Elda.
      Dès lors, Phar’roos nourrit une hargne vivace, presque déraisonnable, envers les métisses : qu’ils soient de Zurthanie ou d’ailleurs, les bâtards aux oreilles trop courtes, aux doigts trop larges, alimentent sa rancœur féroce. Sur Sol’Dorn où elle vit, et sur la fange qui prolifère à côté des purs Daedhels, Phar’roos crache son mépris.





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MessageSujet: Re: Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-    Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-  I_icon_minitimeMer 11 Mar 2015 - 18:29

Hello.

Je prends. Par contre, le concept n'étant pas été discuté avec les admins. On va en discuter ensemble :).
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Blanche d'Ancenis
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MessageSujet: Re: Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-    Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-  I_icon_minitimeSam 14 Mar 2015 - 13:54

Bon jeu.

Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-  Tampon13
Validation de fiches, comment faire ?

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[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : Corps à corps.

[Alignement] : Loyal mauvais

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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MessageSujet: Re: Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-    Phar'roos, de la maison Noqu'th -Validée-  I_icon_minitime

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