Diamarth • La Lame des Lic'Adnar | En cours

Identité

Nom/Prénom : Diamarth, dame de la ruine
Âge/Date de naissance : 315 ans • 602:X
Sexe : Féminin
Race : Elfe Ornedhel
Faction : Noss Lic'Adnar (Clans Sauvages)
Alignement : Chaotique Neutre
Liens notables : ?? • Druide et ancien mentor dont elle a trahi les enseignements
Fenriggs • Mercenaire nain avec qui elle s'est associée, la dernière personne qu'elle considère comme son ami

Particularité : Diamarth s'est exilée d'Anaëh suite à de tragiques événements, reniant son lien avec la forêt. Pour cette trahison à ses croyances, elle fait depuis pénitence en portant les cheveux courts et en affichant son oeil gauche mutilé et aveugle.


Métier : Mercenaire
Classe d'arme : Corps à corps & Distance

Possessions & Equipements :
• Gwanath les épées jumelles : Idhegil & Niregil l'épée de l'âme et l'épée des larmes ; courtes et légères, taillées dans un grand os puis traitées et renforcées pour accroître leur résistance et en faire des armes viables au combat, chaque lame est gravée près du pommeau de leur nom respectif (cet ajout est bien ultérieur à leur fabrication)
• Arc de Chasse Noss ; long et très puissant, il est fabriqué dans un bois noir laqué mais l'emplacement pour le saisir ne brille plus depuis longtemps, à force d'usure
• Dague ; simple et de facture commune, elle n'a rien de spécial si ce n'est qu'elle coupe bien

• Fine armure en cuir renforcée d'ivoire
• Tenue de danse en étoffe blanche
• Masque d'Ivoire

• Matériel d'apothicaire
• Matériel de dessin

Apparence :

1m86 - Elancée - Yeux (dont un aveugle et voilé) Vert de givre - Cheveux courts et roux - Allure féline - Visage sévère

Silhouette élancée et sûre se découpant dans la brume matinale, Diamarth apparaît sans le moindre doute comme une elfe des clans sauvages. Malgré une peau un peu pâle pour une Ornedhel, sa chevelure aux couleurs de l'automne et son regard perçant où se lisent sa méfiance et son manque de considération pour les peuples des villes trahissent ses origines anëdhels.
D'autres indices permettent bien sûr de mener à la même conclusion : des oreilles en pointe se mouvant discrètement sous les mèches rougeoyantes, toujours aux aguets et attentives à son environnement, un corps gracile et souple, une taille élevée aux courbes discrètes ou encore une démarche féline ; souple et silencieuse la plupart du temps, prédatrice et inflexible quand la situation l'exige.

Il se dégage d'elle une aura pesante et désagréable, car il y a indéniablement un décalage entre son allure sûre et tranquille et le tumulte de son esprit. Cela se voit dans ses yeux clairs, semblables à une forêt figée sous le givre, et cela se devine aux petites lignes blanches qui couvrent son corps. Stigmates de combats passés et d'une vie difficile que son sang elfique n'a pas su effacer, à se demander d'ailleurs si ce n'est pas là le reflet de sa propre volonté quand on sait à quel point les états d'âmes des Anëdhels peuvent influer sur leur corps.

Malgré la laideur que peuvent représenter -pour les elfes- ces cicatrices, elle ne cherche pas à les cacher ; elles sont même importantes à ses yeux, représentant ses Faethanc, ses fêlures de l'âme. Pour elle qui ne laisse que rarement flotter sa voix sombre sur son passé ou ses états d'âme, son apparence lui permet de communiquer tout ce qu'il y a à savoir à ceux qui savent regarder : les siens.
Mercenaire et femme d'armes pour les Aryornlind, littéralement sans le chant des arbres -ceux qui sont sourds à la Symphonie ; Diamarth n'est autre qu'une Edledhron, une exilée, pour les Ornedhels. Ainsi elle a coupé ses cheveux et les porte désormais courts, souvent mal taillés, et les laisse encadrer son visage ou les relève à l'aide d'un cordon pour dégager son seul oeil valide. Quintessence de l'horreur pour les gens de son peuple en effet : son visage est marqué par une plaque de peau striée et rugueuse, semblable à de l'écorce, autour de son oeil gauche, lui-même figé sous un voile blanc, comme mort. Le prix à payer pour s'être coupée volontairement de son lien avec Anaëth.

 
Personnalité :

Fière • Amère • Solitaire • Méfiante • Sensible • Vindicative • Courageuse • Bornée • Perdue

Diamarth n'est pas quelqu'un de facile à aborder : son air prédateur et sa propension à sembler toujours perdue dans la mélancolie en font par définition une personne solitaire qui ne cherche ni compagnie, ni conversation. De nature secrète et très pudique quand il s'agit de ses sentiments et états d'âme, elle s'en tient le plus possible à des échanges cordiaux mais impersonnels quand elle ne peut pas esquiver une discussion. Il lui arrive même de relancer son interlocuteur sur sa vie, mais sans véritablement prêter attention à la réponse, de sorte qu'il se désintéresse de lui-même d'elle. C'est qu'elle a compris depuis longtemps que se montrer conciliante et d'une banalité affligeante apporte plus de tranquillité qu'exprimer frontalement son refus de communiquer.

Apparaissant comme une personne froide et distante, il s'agit bien plus de méfiance que de méchanceté. La tragédie de son clan l'a profondément marquée et ne pas savoir qui en est à l'origine lui a fait développer une sorte de paranoïa qui la pousse à cacher ce qu'elle a de plus précieux et de plus fragile : un coeur trop sensible.  Depuis son départ d'Anaëh, elle a donc appris à cadenasser ses émotions mais ce n'est pas chose aisée pour une elfe des Clans et elle ressent toujours le besoin viscéral de les extérioriser. Elle choisit simplement de ne pas le faire n'importe où, devant n'importe qui, se restreignant aux moment passés seule en pleine nature, à ses danses masquées ou sur le champ de bataille.

C'est là que rejailli le pire de son être. Toute sa colère et sa soif de vengeance. Les armes à la main, lâchée sur d'autres combattants, Diamarth est cruelle et impitoyable. Peu lui importe pour qui ou contre qui elle se bat, en tant que mercenaire, il lui suffit de savoir qu'elle sera payée, une date et un lieu, et cela lui convient. A ses yeux, aucun Aryornlind n'est innocent et ne mérite sa clémence ou sa compassion. Ainsi, elle ne prêtera jamais serment pour servir un camp ou un autre dans les diverses guerres menées loin d'Anaëh car c'est à la forêt qu'ira toujours sa fidélité. Quand un seigneur la paie, c'est son bras armé qu'il achète, jamais sa loyauté.       

Paradoxalement très peu attachée à l'argent et aux biens matériels (exception faites des artefacts de son clan), il lui arrive très souvent de dépenser ses paies pour aider les plus démunis. Non pas qu'elle se soucie véritablement du sorts des races civilisées, mais confrontée à la détresse d'un enfant ou de l'abandon d'un blessé, elle est incapable de rester indifférente. Que l'on puisse abandonner une partie de son peuple pour se focaliser sur des choses aussi futiles et inutiles que l'argent et le pouvoir tout en s'appelant "civilisation" la fait doucement sourire.

Depuis qu'elle a quitté sa patrie natale, elle n'a jamais été aussi fière d'être une Ornedhel. Sans se soucier ou non que l'on comprenne ses rites et sa culture, elle continue à perpétuer ses traditions et il serait bien mal avisé de s'en moquer ou de les dénigrer en sa présence. Cela n'enlève rien à la difficulté de vivre dans un monde profondément discordant où les arbres pleurent plus qu'ils ne chantent mais cela aide à le supporter un peu mieux.

S'infliger une telle agonie la ferait passer pour une folle aux yeux de n'importe qui, et peut-être l'est-elle un peu, au fond, mais c'est pour elle une pénitence qu'elle estime justifiée. Pour avoir un jour ressenti le besoin de quitter sa forêt, d'abandonner ses responsabilités, elle doit payer ses fautes, purger sa peine dans l'espoir qu'un jour, elle parvienne à se pardonner.

Capacités magiques :
• La Symphonie des Arbres : Diamarth est sensible aux chants des arbres depuis sa plus tendre enfance

Histoire

Clan Lic'Adnar

Mode de vie : Nomade
Caractéristiques : Clan de danseurs et amis des créatures humanoïdes d'Anaeth. Ils sont des spécialistes du camouflage et savent se rendre invisible même d'autres Noss.
Signes distinctifs : Ils portent tous un masque en ivoire ou en bois, parfois en écorce ou entrelacs de fleurs et ont pour coutume de teinter une étoffe pâle dans le sang de leurs ennemis tout au long de leur vie. Ils la portent pendant leurs danses et c'est ainsi que l'on reconnaît les dirigeants du clan : plus l'étoffe est rouge et longue, plus haute est la place de son propriétaire.
Démographie : Faible et suite à un massacre encore non élucidé presque inexistante

HRP:

Bouh o/

Je viens aux nouvelles ! Est-ce que tu t'en sors ? Est-ce que tu veux un petit coup de main sur ta fiche ? :)

Hello

Je viens aux nouvelles, où en est la fiche ?
En l'absence de réponse d'ici le 7, elle sera archivée. Mais pas de panique, il te suffira de nous contacter si tu souhaites la récupérer :)