[Demeure de Nhilantar] Des visiteurs

[Privé Nee'lan, Rhazad]

Il était enfin revenu au Puy... Le chapitre qui concernait Katalina était achevé et il pourrait savourer le repos et la victoire... Après l'entretien en compagnie de Brylyan, bien entendu. Il avait néanmoins récupéré et ramené plus qu'un coffre, même si ces nouveautés n'avaient pas été prévu, la sombre Nee'lan et son esclave fraîchement capturé. Il n'avait pas prit la peine de lui demander si elle vivait quelque part, ça n'était pas dans son intention de la ramener tout de suite chez elle, et ça n'était sans doute pas une priorité. Elle pourrait donc demeurer chez lui, au moins le temps de l'audience, ensuite... Et bien, il la ramènerait chez elle, avec son nouveau bien.
L'invitant à descendre il ouvrit la porte et fit appeler l'un de ses esclaves humains et lui ordonna de ramener Rhazad avant d'inviter Nee'lan à entrer... Sa soeur n'avait pas été attiré par l'agitation soudaine, sans doute dormait elle encore... Tant mieux.
Il la fixa, et poliment mais sans véritable douceur, il s'adressa à elle.

- Bon... Nee'lan, je vais vous laisser ici pendant quelques heures, si cela ne vous dérange pas, un rendez-vous des plus importants... Mon serviteur va descendre votre esclave dans une pièce conçue pour torturer... Vous pourrez donc vous en servir à votre guise. Si vous voulez vous reposer, demandez à mon serviteur, il vous amènera à l'une de nos chambre et enfin, si vous avez faim, encore une fois, faites lui part de ce besoin, il vous préparera un petit repas...
Je vous demanderais de ne pas trop faire de bruits en dehors de la pièce d'en bas, et je crois que c'est tout, si vous avez tout comprit, je vous laisse ici.

Il ressortit alors que son serviteur faisait descendre Rhazad dans la pièce du bas... Petite et circulaire, éclairée par deux torches où se trouvait incrusté dans le mur les chaines attachant poignets, chevilles et cou ainsi qu'une table avec diverses lames et un fouet.

[Désolé d'avoir été très long pour en arriver là, ce sujet est maintenant à vous...]

Elle l’avait détacher…Elle n’aurais sûrement pas dû faire cela, puisque le seul désire de Rhazad était de la mettre en morceau avec les instruments qui se trouvait sur la table. Lui aussi pourrait s’en servir. Sa haine ne cessant de grandir en entendant les paroles de la sombre. Il retint ses bras malgré lui lorsqu’elle s’approcha de lui pour susurrer quelques paroles à l’oreille. Il mis ses mains contre le mur en écoutant les paroles empoisonner de la sombre. Malgré la fait qu’il ai envi de la tuer, la proximité qui unissait leur corps à ce moment même, l’excitait grandement. Le fait qu’elle le considère comme étant à lui, faisais monter en lui quelque pulsion qu’il pensais révolu pour la demoiselle.

Il savais parfaitement qu’elle en faisais que jouer avec lui, mais pourquoi lui, ne pourrait pas jouer avec elle? Il serra cependant la mâchoire lorsqu’il l’entendit rire. Il détestais son rire…sa personne…TOUT. Il ne pouvait même pas supporter de la regarder dans les yeux, tellement sa haine était immense. Les yeux du jeune homme firent un rapide coup d’œil de la pièce et s’arrêtèrent sur un sceau rempli d’eau. Sans prête plus d’attention à la jeune femme, Rhazad se dirigea vers le sceau rempli d’eau et commença par se rincer les mains, ensuite il prit un petit chiffon qui avait déposer exprès pour nettoyer et commença à se laver le torse. Ainsi il serais un minimum présentable, si quelqu’un d’autre venait à entrer dans la pièce. C’était forcément inutile, puisque bientôt il allait être couvert de plait et incapable de se relever.

Lorsque son torse et le reste de son corps fut à peu près présentable, il déposa le chiffon sur le rebord du sceau et tourna son regard azur vers la sombre. Celle-ci se trouvait justement assises sur la table des outils. Il la fixa un long moment, sans acquiescer un geste d’approche ou de fuite. Ils se défiaient des yeux, l’un et l’autre. À quelque part, sa l’amusais le forgeron. Il sourit lorsque la jeune femme lui fit savoir qu’il n’était pas la par simple plaisir. Dans l’état de fatigue où elle était, elle ne pourrait rien faire contre lui. Il était toujours plus fort et plus robuste qu’elle, même après s’être fait trimbaler de la sorte. Un sourire vint naître au coin de ses lèvres en pensant à tout ce qu’il pourrait faire d’elle.

- As-tu peur ?

Maintenant, il éclatais d’un grand rire sans retenu. Avoir peur, d’une femme telle qu’elle?Jamais. Et même s’il aurais eu peur, jamais il ne lui aurait avouer, puisque de toute façon cela n’allait que l’exciter d’avantage, Il hocha doucement la tête avec un sourire moqueur sur les lèvres. Avec lenteur il s’approcha d’elle, avec une idée très simple en tête. Le jeune homme accéléra le pas, puis rendu près de la sombre, il passe une main derrière elle afin de retenir ses poignets.

- As-tu peur de moi?

Cette phrase ne servait qu’a la rendre encore plus en colère. Rhazad aimait lorsque les femmes se faisait résister. Il éloigna lentement les couteaux pour ne pas qu’elle l’attaque avec ceux-ci, puis vint coller son bassin contre celui de la demoiselle. Elle pouvait maintenant savoir exactement ce qu’il désirais. Il place ses larges mains sous la demoiselle et la souleva tout en la maintenant contre lui. Sans ménagement, il vint la plaquer contre le mur et commença à l’embrasser fougueusement tous en la caressant.