[Uberwald]Le vent du Nord [Norman]

Norman ne s'était pas attardé en Ydril où il ne resta qu'une journée avant de prendre la route et retourner en Uberwald, son fief natal. Il ne s'était pas attardé bien longtemps au comté et à vrai dire, il avait hâte de retourner chez lui auprès de sa futur épouse qui devait être bien arrivé en Oësgard. Le voyage dura sept jours à cheval, le colosse avait besoin d'un qui était capable de supporter son poids sur de longues distances, vous devez donc bien vous imaginer les kilos de muscles que devait avoir ce destrier.

Le lendemain de leur rencontre à Diantra, Norman avait envoyé une lettre à son intendant l'informant de l'arrivée de Lucrèce avec ses domestiques, rajoutant de bien l’accueillir et de lui faire visiter les lieux car la jeune demoiselle sera bientôt leur Dame. Cette dernière fut conduite à ses appartements à l'aile de la Forteresse qui est juste en face de celle de Norman, où elle logera jusqu'à leur mariage prochain. A Nebelheim, tous les domestiques avaient été averti par l'intendant et tous se montrait attentionné envers la femme du Sud. Certains Seigneur d'Oësgard qui avaient entendu la nouvelle s'étaient empressé de rendre visite à Lucrèce pour lui souhaiter la bienvenue à la baronnie la plus australe des terres humaines. A vrai dire, la belle Vicomtesse était très bien accueilli par les nobles et les domestiques -obligés de l'être-. Même si les paysans voyait en elle qu'une simple arriviste qui va encore plus les dépouillés de leur sous et les autres, bah ils n'avaient fichtre rien à en faire.

Au bout du septième jour, la Forteresse fut averti par le retour de son Seigneur. C'est en fin de journée finalement que Norman arriva aux pieds de l'édifice où l'attendait dans la cour les gens de sa maison et sur le perron, Lucrèce. Le vent soufflait sur ses cheveux libres et elle portait une fourrure d'hermine sur ses épaules. Le colosse quant à lui portait un manteau de fourrure et une cuirasse qui laissait ses immenses bras nus, son marteau trônait à sa ceinture. Le cheval franchit le pont-levis et dépassa la herse et s'arrêta au plein milieu de la cour, c'est là qu'il descendit de son destrier en s'exclamant.

- Lucrèce, comment vous portez-vous très chère ?

Il lui tendit son bras qu'elle prit, et ils rentrèrent tout deux à l'intérieur du château.

- Comment se sont passé ces trois jours seule en Oësgard ? Ce sont-ils montrés accueillant à votre égard ?

Tout en discutant, ils montèrent les escaliers qui menaient vers l'aile de leurs appartements.

- Si vous pouvez m'excuser, le voyage a été long. Vous pourrez repasser dans un quart d'heure à mes appartements ? Le temps que je prenne un bain ?

C'est là qu'il la laissa, alors que Norman tournait à gauche, là où il résidait ne se trouvait pour le moment aucun domestique. Il ouvrit la porte de la salle d'eau, se déshabillant rapidement, les cent quarante kilos de muscles plongèrent dans le bassin nu où l'eau le soulagea du voyage.

Le bain était plaisant et soulageant, les saletés du voyage glissèrent sur sa peau et allèrent échouer au fin fond d'une bouche du bassin. Norman ferma les yeux et sourit alors que sa tête reposait contre le bord du bassin, en ce mariage il avait conclu une très bonne affaire et il en était fier, en plus Lucrèce n'était pas déplaisante au regard.

Un quart d'heure s'écoula et le seigneur entendit frapper deux fois à la porte. C'était elle. Il n'était pas encore sorti de son bain mais il l'invita quand même à rentrer ce qu'elle fit sans attendre plus. Une nouvelle fois, elle lui fit une révérence, la tête inclinée et les yeux baissé timidement, une timidité qui amusé grandement le colosse qui ne pouvait s'empêcher de sourire.

- Ma Dame, si vous vous joignez à moi ?

Nu comme un verre, Norman se releva et monta les marches du bassin pour en sortir offrant alors la vue de son corps robuste à sa futur épouse, la laissant voir même le monstre qui dormait encore. Il se glissa derrière elle laissant sur son passage des traces humides et lui souffla.

- Laissez moi vous aidez

Norman commençait à être désireux, même si cela ne se voyait pas encore physiquement, au ton de sa voix on pouvait le deviner aisément. Le maître de ces lieux ne laissait pas grand choix à sa Dame et de ses mains mouillés il commençait déjà à dénouer un à un les fils du corsage de la robe. Cette fois-ci, il irait au bout de son entreprise sans se cacher derrière des excuses comme à Diantra.

Lorsque le colosse sortit de l'eau, la surprise était peinte en lettre rouge sur Lucrèce d'autant plus qu'elle fit un pas en arrière. La timidité de Lucrèce amusait grandement son futur époux et Norman constata que les joues empourpraient lui donnait un certain charme.

- Les joues rouges vous vont si bien Lucrèce.

Norman défaisait les fils l'un à la suite de l'autre jusqu'à ce que le corsage cède. Il comprenait et voyait bien que sa fiancée était mal à l'aise dans ce genre de situation, mais elle devra rapidement s'habituer à son souffle et ses caresses et d'y être plus réceptive. Elle devra également ravaler sa timidité en sa présence car même si Norman dans tout les cas fera ce qui lui plaira, au bout d'un certain temps il se lassera d'elle et ira voir d'autres femmes.

Lucrèce d'ailleurs se retourna et "tenta" de fuir, mais cela eut pour seule conséquence qu'elle se retrouve dans ses bras en révélant un magnifique pourtour de poitrine que Norman ne toucha pas encore, il ne voulait pas précipité les choses et prendre son temps en ce début de soirée. La jeune femme posa une main sur son torse et murmura d'une voix à peine audible son titre. Elle ferma ses paupières et le colosse posa ses mains sur sa taille nue alors qu'elle approchait sa tête pour l'embrasser et pour compenser sa petite taille elle devait se hisser sur la pointe des pieds et Norman se penchait légèrement. Cette fois-ci, contrairement à Diantra, le baiser était plus ardent plus passionné. Leurs langues se cherchaient, se trouver et se retrouvait en un ballet des moins salivant.

Norman glissa ses mains le long de la taille de la belle et fit glisser le reste de ses vêtements au sol. A présent tout comme lui, elle était nue. Le Seigneur retira ses lèvres pour admirer cette admirable sculpture. Puis sans aucun effort apparent, il la souleva du sol et se dirigea avec elle dans ses bras vers le bassin d'eau où il la déposa juste avant d'effleuré la rondeur de ses fesses de sa main caressante. Maintenant, on pouvait commencé constaté le désir de Norman physiquement. Il donna une éponge à Lucrèce et lui demanda de le laver en prenant sa main et la déposait sur son torse. Cette dernière pouvait également voir les quelques cicatrices qui ornaient son corps, mais que des petits dont l'une sur son bras droit, une autre au ventre et une dernière à l'un des pectoraux. La plus grosse était au dos. Celles-ci ne gâchaient en rien la beauté de son corps musclé, pour lui elels étaient des petits trophées de guerres.

Elle se redressa dans l'eau de façon à avoir l'eau qui lui arrivait jusqu'au nombril laissant à Norman tout le plaisir de la contempler et la dévorer littéralement du regard. Norman lui était assis sur ses jambes, complètement agenouillé pour pouvoir être plus au moins à la même hauteur que sa Dame. Celle-ci décida de commencer par le dos, elle effleura la longue cicatrice qui lui zébrait le dos du haut de l'omoplate gauche jusqu'au haut de sa fesse droite. A son contact, Norman redressa le dos, fier de ses vestiges de guerres, qui en Oësgard, permettent d'avoir le plus grand respect de la populace.

Elle plongea ensuite l'éponge dans l'eau tiède la gorgeant d'eau. Lucrèce releva la chevelure de son seigneur et se colla à son dos écrasant ainsi ses seins contre l'échine de Norman qui en appréciait le contact doux, et son souffle chaud sur sa nuque comme un léger vent de l'Ouest. Une fois le lavage dorsale fini, elle se déplaça de façon à lui faire face. Elle avait toujours cette timidité qui ne l'avait pas encore quitter. Elle avait une main sur son torse, à l'emplacement exact de son coeur et l'autre qui continuait sa besogne le long de son buste. Norman remarqua d'ailleurs les regards en biais que sa belle jetait de temps à autre à sa virilité, véritable monstre à moitié endormi, Lucrèce devait sans aucun doute en avoir jamais vu une aussi grande. En effet le colosse par sa haute stature, avait tout bien proportionné. Sa Dame avait toujours la tête baissé, Norman lui redressa le menton et il demanda.

- Ma Dame, lorsque vous êtes en ma seule présente, veuillez redressez la tête.

Elle finit son ouvrage sur son torse et lui demanda de se relever pour passer à ses jambes. Norman sourit et se releva, cette fois-ci sa virilité par la présence proche de Lucrèce et des envies du colosse était fièrement dressé.

- Un bain complet s'il vous plait.

Le complet était plein de sous-entendu qui ne pouvait pas échapper à la belle.

La belle coloration qui empourprait les joues de la Dame ne la quittait à présent presque jamais, parfois plus vive et en d'autre moment moins atténué. Elle commença à lui faire son bas local en débutant avec le haut de sa cuisse puis en glissant jusqu'au bout de son pied qu'il souleva au dessus de l'eau lorsqu'elle y arrivait. Elle fit de même pour ses deux jambes et elle devait à présent passé à cet endroit tant attendu. Lucrèce leva ses yeux d'émeraude vers ceux de Norman où ce dernier y lu une lueur de peur. Le Seigneur pouvait déjà avoir un petit aperçu de ce que fût la vie active de Lucrèce avec son ou ses précédents amants, sauf si sa peur n'était suscité que par le monstre que possédait Norman.

Sa main replongea une nouvelle fois dans le bassin pour gorger l'éponge d'eau puis elle la retira et avança sa main, tremblante, vers ladite zone et s'y arrêta à quelques centimètres avant de continuer. Elle posa l'éponge sur sa raideur puis pour mieux la nettoyer, posa main libre dessus au plus grand plaisir du seigneur des lieux. Puis les mouvements de va et vient de l'éponge commencèrent, mais peu assuré et toujours avec cette timidité qui était à présent propre à Lucrèce. Sa voix troublée s'éleva une nouvelle fois dans la salle d'eau, mais avec un regard toutefois moins apeuré qu'auparavant. Elle lui confia ne l'avoir jamais fait avant ce qui renforça les doutes qu'avait Norman précédemment quant à son expérience avec les autres hommes, ainsi Norman pourra tout lui apprendre.

- Je crains que non. Reprenez, et d'ailleurs, pour plus de confort agenouillez vous devant.

Norman attendit qu'elle s'exécute et qu'elle reprenne sa besogne avec l'éponge. Au bout de quelques secondes Norman lui attrapa l'éponge des mains et la jeta à côté sur le rebord du bassin. Il se saisit des deux mains de Lucrèce toujours agenouillé et les lui posa sur sa virilité et il l'encouragea.

- Allez-y

De l'une de ses mains Norman poussa délicatement mais surement, la tête de sa belle et notamment sa bouche vers sa raideur pour qu'elle s'en saisissent. Vous l'avez sans doute comprit, Norman est un homme qui aime la bonne compagnie et qui en profite en tout temps. Une nouvelle fois, Lucrèce devait vite s'y habituer et contenter son futur époux.

- Lucrèce ...

Elle leva des yeux suppliant vers son seigneur, le conjurant du regard de ne pas la forcer. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'était que Norman ne forçait pour l'instant rien du tout, elle devait le voir en plein ébat avec une femme qui essayait de se refuser à lui. Alors oui, lorsqu'une damoiselle repoussait ses avances, le colosse pouvait se montrer violent et très contraignant. Lucrèce pouvait lui être reconnaissant de se montrer compréhensible envers elle, et d'attendre avant de la faire entièrement sienne. En effet, même s'il ne pouvait pas se calait à son rythme, il essayait de ralentir le sien pour ne pas la froisser également.

La belle dame baissa ses yeux, se résignant à la requête du Seigneur puis ferma ses paupières et se rapprocha du monstre éveillé et dressé fièrement. Lucrèce déposa ses lèvres dessus, l'embrassant, un baiser puis un autre que Norman savourait un à un. Puis, comme encouragée, elle continua encore plus d'abord une caresse puis elle commença à donner des coups de langues, certes timides, mais qui contentait quand même grandement son maître et amant. Des léchouilles firent frissonner d'extase le colosse qui demanda à sa belle d'aller encore plus loin. Lucrèce ouvrit la bouche grandement, laissant pénétré sa virilité remplissant facilement toute sa cavité buccale mais elle ne put quand même la mettre entièrement en bouche tellement son épaisseur et longueur était grande - proportionné à la haute taille de Norman-. La futur mariée jouait de sa langue, comme lorsqu'elle embrassait son amant. Elle continua ses caresses de la langues avant de commencer des va et vient de la bouche lentement mais qui firent au bout de quelques secondes jouir Norman qui répandit sa semence dans la gorge de la belle et en retirant son glaive de chaire sur sa poitrine également.

- J'espère que cela vous a plu tout autant que pour moi. Avec un peu plus d'expérience vous le ferez encore plus efficacement.

Il aida Lucrèce à se relever et reprit l'éponge, à son tour il la gorgea d'eau puis il essuya le fruit de son extase sur la poitrine de la belle. Il commença par le haut puis descendit lentement vers ses seins, il commença par celui de droite dont il essuya toute la rondeur puis celui de gauche. Puis il laissa de nouveau tomber au fond du bassin l'éponge et posa délicatement ses mains sur sa poitrine, caressant ses seins d'une main experte en s'attardant légèrement sur les mamelons, il se pencha pour en prendre un en bouche et le mordillé légèrement puis il remonta sa tête le long du cou tout en embrassant jusqu'aux lèvres de sa belle qu'il ne quitta pas alors que son autre main descendit le long de son ventre, l'effleurant, jusqu'à son intimité qu'il titilla gardant ainsi sa raideur toujours aussi raide.

Il souleva juste après Lucrèce par ses hanches et la déposa sur le rebord du bassin, c'est à dire en hauteur par rapport à lui. D'une main pressante sur son ventre, il la fit allonger. Puis de ses mains, il écarta ses jolies cuisse et dirigea sa tête vers son entre jambe et à quelques centimètres s'y arrêta puis leva son regard vers la dame.

Elle fit exactement comme Norman lui avait demandé de faire silencieusement. Elle s'allongea, la tête sur le côté et les bras écartés avec ses mains à hauteur de visage. La tension dans le corps de la belle était palpable, elle devait sans doute avoir encore peur de ce qui allait suivre. D'ailleurs cela se fit sentir dans la légère résistance qu'elle essaya d'imposer à ses cuisses, mais le colosse les lui écarta facilement, encore une fois le rapport de force n'était pas égale entre ces deux êtres et Norman aura tout le temps le dessus sur ce terrain là. Norman, en s'avançant vers sa vénusté embrassa le bas d'une cuisse, il s'arrêta en face de l'antre du paradis. Le souffle chaud de l'amant caressa son intimité alors que celui de la belle se faisait rapide trahissant une nouvelle fois sa peur. Mais Norman ne comptait pas la pénétrer ce soir là, ils auront le restant de leur vies pour cela. Non ce qu'il souhaitait, c'était donner un avant-goût de ce que serait sa vie privée après leur mariage mais de surtout, s'amusait avec ses airs apeurés et effrayés. Le bassin de la belle était quant à lui légèrement cambrée faisant "saliver" d'envie le maître des lieux.

Lucrèce ferma ses yeux en mordillant un de ses doigts, mais ce qu'elle attendait ne vint pas. Norman donna l'assaut à son humide forteresse avec sa langue, titillant sa vénusté. Déjà les premières défenses tombèrent, la cambrure de ses reins se raffermi et petit à petit, elle se détendit et lâcha son pouce tout en ouvrant ses yeux. Arrêtant ces léchouilles superficielles, le colosse lui jeta un regard et pu voir qu'elle avait bien moins peur qu'auparavant et il se félicita et les tensions de son corps diminuait.

Norman reprit son assaut en soufflant sur son intimité, il mordilla doucement son clitoris, jouant avec lui en essayant de donner presque autant de plaisir à Lucrèce que ce qu'elle lui avait donné. Le lâchant, il pénétra sa langue à l'intérieur de son entrecuisse continuant durant de langues secondes son ballet à l'intérieur, il reproduit presque à l'identique ce qu'elle lui avait fait plutôt. Au bout d'un moment, il retira sa langue et déposa un baiser dessus. Faisant abstraction de sa faible pilosité, il remonta ses lèvres jusqu'à son ventre qu'il embrassa puis il se hissa en dehors du bassin. Ses bras de chaque côté de la belle, il continua de remonter ses lèvres jusqu'à l'un de ses seins qu'il vint flatter en jouant avec son mamelon déjà durci. Ses lèvres continuèrent leur course jusqu'à celles de Lucrèce où ils échangèrent un nouveau baiser plein de passions. Déjà il sentait en elle une plus grande aise qu'il y a quelques temps.

La virilité du colosse quant à elle toujours aussi raide se retrouver proche de l'entrecuisse de la belle, l'effleurant lorsque même lorsque Norman embrassait la belle, mais il ne la pénétra pas. Il baisa son cou une dernière fois avant de la relever après s'être redressé.

- Il est bientôt l'heure de souper. Aidez moi à me rhabiller je vous prie.

Ce qui était amusant avec Lucrèce c'est qu'elle n'arrivait pas à cacher ses émotions, ou alors elle ne faisait aucun effort pour le fort. Le soupir de soulagement qui s'échappa de ses lèvres était une autre manifestation de ce qu'elle ressentait une fois encore. Elle avait peur de passer à l'acte, enfin, complètement à l'acte. Mais ce soupir ne vexa pas le Seigneur d'Uberwald, il ne le fit que sourire. Pour l'instant Norman lui laissait le choix, mais bientôt elle ne l'aura plus et sera obligé de se plier aux envies de son futur époux.

Norman l'aida à se relever et elle s'assit sur le rebord du bassin avant de se relever. Elle s'enroula dans une serviette avant revenir enrouler son amant dans une encore plus large où il se sécha. Lucrèce revint vers lui et déposa un baiser sur sa joue en gage de remerciements dont Norman mit quelques secondes à comprendre la signification, il porta sa main à sa joue et du bout des doigts caressa l'endroit du baiser avant de se reprendre. Il se releva, et comme demandé elle l'aida à s'habiller alors qu'elle était encore enroulé dans sa serviette. Une fois Norman prêt, elle ramassa ses vêtements et fit de même avec elle, d'abord sa chemise puis ses bas puis son corsage et enfin sa robe. Le colosse la dévorer du regard ne manquant aucun instant de ce rhabillement.

Prêt, ils prirent la direction d'un salon où ils dînèrent. Les joues de Lucrèce avait toujours cette teinte rosée qui suscité de vives discussions chez les autres gens du castel. Au bout d'un moment, la Dame demanda à se retirer dans ses appartements et Norman accepta sa requête. Celle-ci avant de s'en aller lui baisa la main en guise de soumission. Il allait enfin avoir une femme rien que pour lui.

Au bout de quelques temps, Norman se retira à son tour dans ses appartements. Une jeune courtisane qu'il avait repéré lors du dîner le rejoignit au bout de quelques minutes dans sa chambre, il avait bu à la fontaine de Lucrèce mais pour ne pas la forcer et la froisser il n'avait pas pu étancher sa soif. Ce qu'il fera tout de suite avec la courtisane. Alors que l'orage grondait dehors, Norman se donnait entièrement aux jeux de la chaire avec elle. La faisant crier d'extase et gémir de bonheur. Le colosse s'y donnait entièrement, compensant ce qu'il n'avait pas pu avoir sa futur épouse.

En même temps qu'elle finit de jouir, il entendit des pas. D'un simple "Dehors", il congédia la courtisane. Et ses doutes se révélèrent exacte, ce fût Lucrèce qui s'avança dans la pièce. Norman devina qu'elle bien du entendre l'autre et espérait qu'il avait pu éveiller en elle une quelconque jalousie, ce qui la motivera sans doute plus la prochaine fois. Elle s'avança vers son lit, tête baissé avant de s'expliquer. Elle avait peur de l'orage disait-elle, et demander innocemment de passer le reste de la nuit avec lui.

- Mais non voyons, vous ne me dérangez pas. Venez donc là.

Elle vint rejoindre un Norman encore nu et toujours aussi raide, elle en simple chemise de nuit. Elle grimpant sur le grand lit en chêne massif et parcouru la distance qui la séparait de lui à quatre pattes. Elle finit par déposer sa tête sur son torse après s'être réfugié dans ses bras. Sa jambe nue remonta sur son bassin, collée à lui. Norman de son bras libre, déposa sa main sur sa chute de reins et s'endormit juste après Lucrèce en murmurant.

- Bonne nuit ma belle, nous ferons de grandes choses ensembles j'en suis certain ...