Morgane de Velteroc [Tius]

Nom/Prénom : Morgane de Velteroc
Âge : On ne demande pas à une dame le nombre de printemps qu’à mit sa beauté à éclore ! 41 ans. Mais on lui en donne souvent moins.
Sexe : Indéniablement féminin
Race : Humaine
Particularité : Toujours vêtue avec le plus grand soin, Chevelure d’une longueur impressionnante, Possède une fine arabesque tatouée sur l’une de ses chevilles.

Alignement : Loyal Neutre
Métier : Comtesse de Velteroc
Classe d'Arme : Magie (Nécromancie)

~Équipement~

Si ce n'est sa mise, Morgane ne possède que peu de choses sur elle. Je pourrais, certes, vous décrire des heures durant sa garde-robe, passant au crible ses robes de soie, ses toilettes de satin, ses manteaux de brocard, ses écharpes, ses châles ou encore ses bijoux, opales, rubis, émeraudes montés en bagues en pendentifs en tiares en boucles d'oreilles.
Mais la dame change de tenue plus vite qu'un messager de monture et il est mieux que vous découvriez vous-même dans quelles toilettes elle vous accueillera.

Si ce qui couvre sa peau semble en perpétuel changement, certains objets ne quittent toutefois pas la comtesse :
Une cloche d'argent, reliée en général à un ruban de soie accordé à sa tenue, ce petit objet lui permet d'appeler un serviteur sans pour autant interrompre une conversation. C'est un objet simple mais beau, d'un métal d'une pureté impressionnante et gravé délicatement de spirales - un ouvrage des joailliers de Christabel. Elle porte aussi en permanence un stylet, lui aussi d'argent, cette fine lame est d'usage commun, trancher la viande, couper un fruit... Ou bien encore se défendre - dira-t-elle en riant. Une bague aussi ne la quitte jamais, celle de ses fiançailles, un anneau magnifique, entièrement taillé dans une opale et fait sur mesure il est toujours sur elle, que ce soit à son doigt ou bien contre son coeur en guise de pendentif.



On ne demande pas son âge à une dame, car la féminité ne vieillit pas et que, si la beauté se fane, il n'est aucune fleur, malgré son éclat, qui n'ait la saveur du fruit mûr. Morgane est une femme, dans tous les sens que ce terme peut prendre. Elle a en elle la maternité, mère de trois enfants, elle a vécus le mariage, l'arrêt de celui-ci et c'est dans le bonheur, les épreuves et le temps qu'elle s'est forgée.

Magnifique du haut de sa quarantaine elle sait sa beauté mais sait que celle-ci ne sera pas éternelle. C'est toutefois une femme qui fait encore rêver les hommes et non sans raison. Plus grande que la plupart de ses consoeurs elle est impressionnante, elle possède l'aura de l'autorité, cette façon d'agir qu'ont ceux qui savent détenir le pouvoir mais qui comprennent la nécessité de s'incliner devant ceux qui en possèdent plus qu'eux.
Loin de la minceur fragile d'une vierge à marier, la comtesse affiche avec fierté ses courbes de femme, n'hésitant pas à laisser deviner la largeur appréciable de ses hanches et découvrant souvent l'abondance de sa gorge que ce soit par l'ouverture d'un décolleté vertigineux ou par l'ajustement qu'une robe de soie. Malgré ces courbes plus que généreuses, Morgane reste loin d'être grasse ; sans arborer une minceur elfique, cette femme s'entretient et sait garder un ventre qui, s'il n'est pas vraiment musclé, reste plat et le galbe de ses cuisses est loin de partir à vaux l'eau.
Comme vous l'aurez compris, le corps de la dirigeante du comté de Velteroc est loin d'être à jeter et plus d'un homme aimerait se glisser sous les draps de la « belle ».

Mais la beauté de Morgane ne tiens pas que dans son corps. Si elle n'a pas la blondeur de la reine, étant originaire d'une branche voisine mais pourtant éloignée de la famille - côté Estaria - sa beauté n'avait rien à envier à celle de sa lointaine cousine, feu Ariane de Christabel.
Son visage est finement dessiné, soutenue par un menton volontaire et des pommettes hautes, ces dernières mettant en valeur la profondeur de ses yeux d'émeraude, surlignés par une paire de sourcils parfaitement dessinés. Sa peau est pâle presque maladive, formant un fort contraste avec l'ébène de sa chevelure. Cette cascade de ténèbres est enviée par de nombreuses femmes de la cour, de par sa longueur - détachés, les cheveux de Morgane frôlent le sol - et pas sa qualité : d'une douceur sans égal c'est un plaisir de que passer ses doigts dans les lourdes ondulations de ces mèches satinées... bien que peu puissent se vanter d'avoir ce plaisir.
Souvent coiffés avec recherche, mais jamais laissé libre, la chevelure de la comtesse est un élément fondamental de sa beauté.

On notera que, tout comme sa mère, voir même plus encore qu'elle, on a tendance à trouver dans Morgane une représentation de la Déesse de la mort, le vert profond de ses yeux, la pâleur de sa peau et sa chevelure corbeau rappelant la description qu'en font les prêtres. Si le parallèle aurait pu être vexant, Tari n'étant pas la divinité la plus réjouissante, la comtesse semble plus s'en amuser qu'autre chose.

Au quotidien, Morgane est une personne assez impressionnante : sa beauté froide, ce pouvoir nouvellement acquis et sa force de caractère en font une personne qui sait s'imposer. Image même de la femme de pouvoir elle est toujours vêtue avec un soin extrême elle reste posée en toute circonstance et, chez elle, la douce chaleur de sa voix ne connais aucune opposition.

~Description mentale~

Morgane est une femme blessée.

Inutile de se le cacher, malgré la façade froide et autoritaire qu'elle arbore, la Comtesse ne s'est toujours pas remise de la mort de son mari et de son fils ainé. Certes, elle n'est plus en deuil et si elle ne passe plus ses journées tel un spectre de tristesse et d'apitoiement, il est encore bien trop tôt pour son coeur.
Malgré tout, elle le sait, la Dame de Velteroc ne peut se permettre de se laisser aller à ses sentiments. Elle se doit d'être une mère exemplaire, transférant toute son affection sur ses deux enfants encore en vie, elle est au petit soin pour Jesbel et Ania. Cette dernière arrivant en âge de se marier, sa mère hésite encore à lui imposer cette épreuve - car cela peut en être une - alors qu'elle la sent encore fragile... trop fragile. Quant à son fils, elle doit en faire un héritier et, sans le modèle du père, elle sent que la route sera longue pour le pauvre petit garçon.

Si c'est là ce qu'elle ressent, il est rare qu'elle le montre car, malgré sa douceur, Morgane reste une figure d'autorité auprès de sa descendance plus encore que ne l'était feu son mari. Elevant rarement le ton, quel que soit les circonstances, elle sait trouver les mots justes pour faire passer le plus énervé de ses sujets de la colère noire à l'excuse penaude. Mains de velours dans un gantelet d'acier elle préfère dissimuler sa douceur, préférant garder le peu d'autorité dont peu jouir une femme.
Le fait que le comté voisin de Christabel ai été, les années précédentes, gouverné par Ariane, vielle amie et tante de l'actuelle comtesse aide grandement cette dernière, le peuple ayant prit confiance dans la capacité des femmes à régner.
Et, après tout, Morgane est appréciée de la plèbe.

Dirigeante efficace, grâce à Hubert, son mari qui, de son vivant, pris beaucoup de plaisirs à lui enseigner les ficelles du pouvoir et de la gérance. Toutefois, un compté est bien plus complexe à administrer que de simplement gérer les serviteurs du château, comme elle le faisait auparavant, et il va sans dire que la quadragénaire n'hésite pas à s'entourer de comptables et d'aides pour cette tâche monumentale. Elle sait qu'elle ne peut tout faire seule et, loin d'un aveu de faiblesse, c'est une marque de sagesse à ses yeux d'accepter ses défaut. Après tout seuls les hommes et leur virilité se targue de n'avoir aucune imperfection.
Dans sa féminité Morgane sait user de sa fragilité pour attendrir - ou surprendre en montrant sa force. Femme de pouvoir par excellence elle ne se laissera pas marcher sur les pieds mais saura se soumettre a plus puissant qu'elle.

Si cette personnalité semble à première vue tout à fait agréable a fréquenté, quoiqu'un peu dur, la Comtesse a, comme tout un chacun, ses secrets. Récemment tombée dans une dépression profonde, Morgane ne s'en est sortie qu'à l'aide d'un mage, lui enseignant son art pour la détourner de son malheur. Si le dit art n'avait pas été la nécromancie, peut-être cela aurait-il été sans conséquence mais inutile de dire que cette magie n'est pas des plus appréciées et que le noble Dame n'as pas intérêt à dévoiler sa nouvelle occupation au grand public.
Loin d'être folle, Morgane sait bien qu'elle ne réveillera pas son mari d'entre les morts via la nécromancie, mais elle se complaît dans son utilisation, la concentration demander et le caractère interdit des arts sombres lui faisant oublier son quotidien harassant. Pour celle qui a toujours été la jeune femme puis l'épouse et enfin la mère « parfaite » sortir un peu des sentiers battus est une bénédiction.

~Histoire~

« Tu ne comprendrais pas fils, quand j'avais ton âge, le royaume était en paix... »

Cette phrase, dite avec un sourire amusé est sans doute celle que, récemment, l'héritier du comté de Velteroc a entendu le plus souvent. Ce dernier, du haut de ses 13 ans, rit de ce trait de sa mère, lui-même né en période de paix, mais malgré tout il reste assez perplexe. De quoi pouvait bien parler les gens avant le réveil des sombres ? Un doux sourire se dessine alors sur les lèvres de sa mère quand il pose cette question et, de sa voix douce, elle lui raconte pour l'énième fois cette histoire.

Morgane, née sous le nom d'Estaria, est de la branche « secondaire » de la famille : Petite fille de l'Oncle de Cédric d'Estaria, si elle semble plus de la génération d'Ariane de Christabel, elle est en vérité la cousine, au troisième degré, de la Reine Lilianna. Si vous vous demandez pourquoi les deux cousines ont une telle différence d'âge, cela vient simplement de Cédric d'Estaria, Marié et père très tard par rapport aux codes de la noblesse.
Celle qui est aujourd'hui comtesse est, à la base, la deuxième née, fille a marié qui ravisait ses parents, rassurés par la naissance d'un ainé mâle en pleine santé.

Petite fille des plus heureuses, entourée de parents aimant, Morgane d'Estaria vécut une enfance paisible dans le petit château campagnard de ses parents.
Elle passa beaucoup de temps avec sa « tante » Ariane, suivant comme un modèle cette ainée si proche, elle suivi les mêmes précepteurs et mit une application toute enfantine à être la parfaite petite nièce. Les années passèrent et celle qui, à la base, exaspérait la fille unique de Cédric et Victoire, devint la petite soeur qu'elle n'avait jamais eue.

Le mariage changea tout.

Encore jeune, Morgane ne comprit pas vraiment pourquoi sa « grande soeur » devait épouser l'antipathique Edward - car à ses yeux il ne pouvait être que cela, ne lui dérobait-il pas sa compagne de jeux ? - Puis, très vite, vint la naissance de sa cousine et cela effaça tout, la blondeur adorable de ce bébé séduit l'encore jeune Morgane, qui fut prise, elle aussi, de l'envie d'être mère.
Et cela vint bien assez tôt.

Effectivement, quelques années plus tard, devenue une jeune femme, elle fut mariée à son tour. Pour elle fut choisi le non moins jeune Hubert de Velteroc. Un futur Comte délicat aux immenses yeux bleus dont la douceur sut séduire la mariée qui accepta avec joie de se faire passer la bague aux doigts, à la fleur de ses seize ans.

Morgane décrit cette époque comme les plus belles années de sa vie. Le comté de Velteroc n'était pas une terre immense mais il n'était nul besoin d'être riche pour être heureux et, ne le cachons pas, Hubert était loin d'être pauvre. Mais ce ne fut pas sa fortune qui charma Morgane, non, mais bien l'homme sous l'habit du noble. Malgré sa faible constitution, l'héritier de Velteroc était un homme travailleur, courageux et intelligent qui gérait son domaine avec brio. Loin des considérations machiste, il apprenait à sa femme comment faire de même, partageant ainsi les tâches avec elle. Excellent professeur, Hubert fit de son épouse une gérante douée qui s'occupait de l'organisation sans aucun problème même sans son aide.
Le couple eut trois enfants :

Nimmio, le fils ainé, fruit de la nuit de noce, ressemblait à son père, quoiqu'il tienne des épaules dignes d'un Estaria. Ania, benjamine de neuf ans plus jeune que son frère et rayon de soleil dans le foyer, cette adorable enfant savait faire fondre le coeur de tout un chacun et usait de ce don sans modération pour passer tous ses caprices. Et, enfin, Jesbel, le cadet, obtenu à l'aube des vingt-huit ans de Morgane, il avait trois ans de différence avec sa soeur et ce petit bout de chou fut, cela va sans dire, affreusement gâté par toute sa famille.
Hubert de Velteroc était un papa gâteau, adorables en toute circonstance il laissait le manteau de l'autorité familiale à sa femme qui, malgré un tempérament doux, savait avec justesse comment calmer chacun de ses enfants et jamais une dispute ne brisa l'unité du sang.

Durant cette période, la Comtesse de Velteroc s'éloigna de sa lignée, certes présentes occasionnellement aux Banquets du comté de Christabel elle restait distante des autres nobles. Seulement proche d'Ariane, son amie d'enfance, avec laquelle elle entretenait une relation épistolaire soutenue. Mais la vie de sa tante n'était pas des plus heureuses et cela désolait la jeune femme, les fausses couches à répétition épuisait la comtesse tout comme l'Ambition insatiable de son époux. Son seul bonheur restait sa fille, l'adorable Lilianna. Morgane ne voyait d'ailleurs que rarement sa cousine, adolescente discrète à la chevelure d'or, la jeune comtesse passait la majorité de son temps à la cour, introduite las bas par son père, sans doute dans le but de sa trouver un parti qui apporterait plus de terres encore à la lignée.
La réalité dépassa les espoirs d'Edward qui avait attiré l'oeil - si l'on peut dire ainsi - d'un membre de la royauté.
Mais si cela était surprenant, les nouvelles qui suivirent le furent bien plus. Ces années furent, pour ainsi dire, fortes en nouvelles et le royaume se dégrada brusquement :

La peste tomba sur Diantra, si cela ne toucha pas directement les Velteroc, comme tout le royaume, ils retinrent leur souffle en apprenant cette nouvelle tragique, le pire des maux venait de naitre au sein de leur royaume. A cette époque, les visiteurs furent délaissé et l'hospitalité se fit à contrecœur, tout le monde craignait d'accueillir le mauvais vagabond et d'inviter la mort à se réchauffer à son âtre.
« L'hiver noir » Dura en réalité jusqu'en été. C'est durant cette période de chaleur, pourtant propice au développement du mal, que les habitants de Diantra firent le sacrifice nécessaire à leur survie, « amputant » la partie gangrenée de la population par le feu purificateur. Ce fut une grande période de deuil car, rare était ceux qui n'avaient pas au moins une connaissance parmi les victimes de la peste.

Mais la nation eut à peine une année pour se remettre de la peste, l'automne de l'année suivante, c'est un autre mal qui frappa les hommes : les sombre attaquèrent et ravagèrent Ydril. Et, à peine quelques semaines plus tard, Trystan fut reconnu publiquement comme le frère du Roi, devenu par son « échange » un symbole de la guerre. Si ces nouvelles restent lointaines pour le comté de Velteroc, tout le monde les suit avec attention, sentant dans ces évènements le parfum du changement.
Il ne faut pas deux mois au Roi pour abdiquer finalement, terrassé, selon la rumeur, par la mort de ses deux filles et le suicide de sa femme. C'est ainsi que, sans trop comprendre comment ni pourquoi, Morgane vit sa cousine lointaine se marier, la rattachant elle-même à la lignée royale.

Mais cette bonne nouvelle n'eut pas le temps de faire sourire tout le royaume que, dès les premières fontes de neige, les Drows attaquèrent de nouveau. Mais le jeune roi ne resta pas sans rien faire et, cette fois, c'est à un front unis que les Sombres durent se confronter. La nouvelle de cette victoire décisive fut encore renforcée par l'annonce de la grossesse de la reine, offrant au royaume un héritier. Il y eut une grande fête au château de Velteroc ou l'on célébra le retour des hommes - Hubert et Dimmio ayant participés à la bataille - et la naissance à venir du futur neveu ou de la future nièce au quatrième degré de Morgane.
Malheureusement, la dite naissance n'apporta pas tant de plaisir que cela car, malgré la victoire du Roi aveugle et des forces alliées a Alonna, une coalition de noble se rebella contre ce dernier et assiégea Diantra.

L'hiver de cette même année fut tragique.
Encore fier de leur victoire contre les sombre, c'est sans un instant d'hésitation que le Seigneur de Velteroc et son fils ainé s'engagèrent dans l'armée royaliste, déterminés à aider leur roi à reprendre son trône.

Aucun des deux ne revint.

Ce fut un coup extrêmement dur pour Velteroc et pour sa Dame.
Les mois qui suivirent furent pour Morgane un long cauchemar. Seule elle dut gérer son domaine et, bien qu'elle en fut parfaitement capable, chaque tâche lui rappelait l'homme qui avait su être sa moitié tant d'année. Son fils aussi lui manquait et sa fille était inconsolable, enfermée dans sa chambre la benjamine semblait décidée à inonder le château entier à la seule source de ses larmes.
Mais, finalement, après quatre mois de deuil insondable, Morgane émergea.

Ce fut grâce à une connaissance vielle d'y a quelques années, un ami de Feu son mari. Trengor était un mage itinérant qui décida, pour changer les idées de la Dame, de lui enseigner la magie. Il ne lui apprit que peu, juste assez pour qu'elle sache canaliser son énergie. Un exercice demandant une grande concentration qui permettait à la Dame de sa détacher du monde quelques instants pour prendre un recul salvateur lors de longues séances de méditation.

Trengor en serait resté là s'il n'avait pas senti l'affinité qu'avait la dame avec sa propre magie. Une magie... dont la réputation n'était plus à faire et qu'il hésita à enseigner à une noble. L'art sombre de la nécromancie.
Evidemment, le vieux mage ne le présentât pas ainsi à celle qui devint son apprenti pour quelques mois, non, au début, il s'appela lui-même messager de la vie. Après tout, rendre à un corps mort le souffle de vie, n'était-ce pas une bonne magie. Loin d'être stupide, la noble comprit bien vite de quoi il en retournait mais, malgré tout, elle continua son « apprentissage ». L'usage de la magie lui permettait d'oublier les malheurs qui l'accablaient et ses jeux avec la mort allégeaient le poids de celle qui pesait sur son coeur.

Le mage ne resta que le temps d'une saison mais, en partant, il laissa sa Morgane tous les livres qu'ils avaient eu le temps de recopier - inutile d'expliquer pourquoi ils n'avaient pas requis l'aide d'un scribe si ? - et c'est avec ce petit trésor d'ouvrages interdits qu'elle continue, seule, l'apprentissage des arts sombres.

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : Un contexte bien construit et un design travaillé, du plaisir pour les yeux et l'esprit !

Comment as-tu connu le forum ? : En me baladant sur le net

Crédit avatar et signature : L'image originale est de « scebiqu-d39aa8j » (artiste Deviant Art) j'ai modifié l'image (à la base plutôt vampirique)

Compte autorisé par : Premier compte

Voilà, l'histoire n'est pas vraiment finie, on ne lit pas comment elle hérite du Comté et pourquoi mais je pense qu'il est mieux que le Staff me conseil sur ce point, pour éviter de dire des bêtises.
Pour le reste, c'est terminé.

Coucou ^^,
C'est une très bonne fiche, mais je crois qu'il y a un malentendu. Comme je t'ai expliqué, le comté de Christabel est déplacé, mais il ne devient pas libre pour autant. En fait, sur son ancienne place, il y a un nouveau comté, sans nom et sans histoire. C'est celui-là qui est libre, et non pas celui de Christabel.

PS : https://i.servimg.com/u/f47/17/07/44/79/carteh10.jpg voilà ce que ça donne, en gros (merci Zigmounde !)

En somme, le comté de Velteroc serait le comté sans nom. Pour ton histoire, tu peux bien entendu garder des liens avec la famille d'Estaria, et tu peux également faire de ta comtesse une femme qui gouverne Velteroc depuis des années voire des décennies. S'il y a encore des zones d'ombres ou des choses mal expliquées, dis-le moi.

Je pense avoir corrigé tout les rapport au futur héritage de Christabel (mais si vous voyez des restes dites-le moi !), en fait, j'ai simplement transformé la chatelerie de Velteroc en comté ce qui, au final, ne change pas grand chose a l'histoire.
Si je suis validée, je rédigerais entièrement une description de Velteroc, mais j'ai déjà l'idée générale pour l'économie et l'armée - j'ai lu les descriptions des autres territoires pour me faire une idée - Donc je pense qu'on peut dire que ma fiche est finie.

Je suis assez soufflé par ta connaissance de la chronologie de la Péninsule, bravo ! Cependant, fais attention, il y a quelques fautes qui ternissent ta fiche.

Te voilà validée, nous verrons plus tard pour le militaire et l'économique de Velteroc. Ah ! Petit conseil, essaye de distinguer le nom de ton domaine et celui de ta "capitale", cela permet d'enrichir le bg de ton comté et de simplifier la vie à tout le monde (ex. nommer ton chef-lieu Velteroc et le pays la Velteroche, ou bien appeler le pays le Velteroc et le chef-lieu Roc, enfin je pense que tu m'as compris !).

Code:

[Métier & Classe] : Comtesse de Velteroc

[Race & Sexe] : Humain & Féminin

[Classe d'arme] : Magie

[Alignement] : Loyal neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet

Bienvenue, comtesse.

Merci beaucoup pour cette validation des plus rapide !
Je me met immédiatement au Bg de Velteroc, pour ce qui est du nom, le message est passé, je trouverais bien un nom qui sied a ma place forte.

Bienvenue sur le forum !

Raoul de Sentazygore prépare une petite fête pour célébrer la fin de sa purge. En tant que noble tu y es cordialement invitée ! Le topic de "lancement" verra bientôt le jour ! Je t'encourage à t'y inscrire !

De plus, cela fait toujours plaisir de voir une autre femme à poigne sur ce forum, toute nécromancienne qu'elle soit ! Bon courage dans le périlleux exercice du jeu de la noblesse !

Bienvenue par minou ^_^ !