[Palais] Appartement d'Aetherya | PV Ant'zar

Le géant des lieux s’approchait de sa destination, escortez de deux valets, l’un portant un coffret a bijoux, l’autre des documents. Ant’zar avait été convoqué par Aeth, il la connaissait assez pour savoir qu’elle devait avoir une raison, la dernière fois qu’il avait eu le plaisir de se voir Ant avait eu le droit a un vrai coup de sang, elle l’avait presque violé. Enfin, il ne s’en était pas plaint, mais depuis lors plus aucune nouvelle. C’était étrange qu’elle le fasse ainsi venir chez elle sans raison apparente, elle devait avoir des idées en tète.

Tiens j’y pense, j’ai oublié de vous décrire notre cher drow. Ses cheveux aujourd’hui, coiffé de manière suffisamment discipliné, enfin, autant que pouvait l’être ses cheveux courts et blanc comme neige. Sur sa peau couleurs de nuit il portait une tunique des plus riches et raffinée, de soie, d’or et de plume. Le tout ce couleur blanche, offrant ainsi au regard une légère ouverture sur son torse dénudé de manière savante, cachant ainsi le bas de son ventre ou trônait un tatouage des plus étrange pour un drow. Son pantalon en étoffe simple et blanche, moulant son corps sans la moindre honte et laissant apparent jusque très bas son ventre sous l’étoffe de la tunique. Enfin il portait des bottes de cuir blanchit pour s’accorder du reste. Ses mains fine, souple et délicate était ganté de soie blanche et douce…

Bref, le blanc mettait si bien en valeurs sa peau sombre, mais contrastait tellement avec son caractère et sa race elle-même qu’il s’en faisait une ironique lui-même. Une fois devant la porte il claqua des doigts et celui portant les documents frappa à la porte pour lui. Vous croyez bien qu’un noble de son importance ne se salirait pas les mains en frappant à une porte.

Le jeune homme qui frappa avait un visage fin, presque androgyne, il semblait frêle et assez craintif de nature, surement un grand timide. Il portait des vetements de valet relativement riche, hors de question bien sur qu’on voit Ant’zar avec des gens habiller comme des gueux. Il avait des cheveux blanc, long, terriblement long, et une peau grisâtre. Ses yeux, chose rare était vert jade. Surement une des raisons qui permettait a se drow de rester au service d’Ant.

Le second, un elfe de haute stature, moins que Ant mais tout de même, assez bien musclé et au visage sournois, il portait les mêmes vetements que le second valet. Sa peau était d’une couleur crème sombre, un étrange mélange, ses yeux rouge, comme tout les drows et ses cheveux mit long, noir, natté par endroit lui donnait un air vraiment spécial.
Le premier parla à son maitre d’une voix légèrement efféminée.

« Maitre, que pensez vous que Dame Aetherya vous veux, on dit d’elle que c’est une grande magicienne. »
« Tu as peur pour ma vie ? » demanda t’il amusé.
« Non maitre mais… cela m’intrigue. »
« Tu n’as pas a le savoir freluquet »

Le second avait répondu avant Ant’zar, qui le remercia du regard pour sa réponse des plus digne d’un serviteur. Quand la porte s’ouvrit enfin, le cortège fut accueillit par…

Alors que Dame Aetherya commençait à s'impatienter, on frappa enfin à la porte. Elle sut que c'était Ant'zar qui était arrivé. Elle l'avait fait mander pour quelque obscure raison, encore une fois. la dernière fois qu'elle l'avait vu, ils avaient failli coucher ensemble. Failli seulement, car la sorcière avait été appelée à rejoindre Tebryn pour une affaire urgente. C'était cette fois-ci que le Sombre lui avait demandé de travailler sur cette histoire de peste. Depuis le temps, elle n'avait pas pu recontacter le noble, trop occupée qu'elle était à essayer de trouver un moyen de retarder les effets de la peste.

Aujourd'hui Aetherya portait une longue robe de couleur blanche contrastant étonnament avec sa peau d'un violet sombre presque noir. Le décolleté était profond, laissant largement entrevoir ses formes voluptueuses, le tissu était sur son ventre découpé en rond, laissant voir le nombril, certi d'améthyste. Le bas de sa robe était ouvert sur le côté, jusqu'à une hauteur plus que provocante, le tout pour une robe qui n'avait de chaste que la couleur. Ses longs cheveux d'argent avaient été relevés en un chignon alambiqué laissant échapper des mèches rebelles et séduisantes qui tombaient sur ses épaules et sa gorge.

Lorsque les coups retentirent à la porte, la sorcière était installée dans un large fauteuil, auprès d'un feu de cheminée aux couleurs étrangement bleutées. Ce ne fut pas elle qui alla ouvrir la porte. Non, car elle avait bien évidemment des serviteurs pour cela. Enfin, disons plutôt des esclaves... Ce fut une jeune demi-elfe qui ouvrit au cortège, une jolie jeune femme, sans doute, mais qui était à présent défigurée par une large cicatrice le long de la joue droite. Elle portait des vêtements fort seyants et bien choisis, en velours et en soie, et ses cheveux blonds étaient relevés en un chignon sévère. Elle avait les yeux baissés, respectueuse et craintive. D'une voix brisée, elle murmura :

"Entrez, Messire, Dame Aetherya vous attend..."

Elle libéra le passage afin de le laisser passer. ses instructions étaient claires : Ant'zar devait venir dans le salon, et la jeune demi-elfe, du nom de Maëlys, allait en cuisine s'occuper des serviteur du noble. Aeth, de là où elle était, avait entendu qu'il s'agissait bien de son invité, aussi parla-t-elle sans bouger, l'enjoignant à la rejoindre.

"Ant'zar, mon cher... Viens donc près de moi..."

Quand la porte s’ouvrit, une demi elfe des plus adorables ouvrit la porte. Du haut de ses deux mètres Ant’zar la regarda avec un petit sourire amusé et lui releva la tête pour la regarder. Sa maitresse s’était amusé à lui offrir en gage une magnifique estafilade des plus disgracieuse, mais cela ne l’empêchait pas d’être tout de même adorable… tremblotante et frêle, c’était comme ça que les valets étaient amusant.

Doucement il déposa ses lèvres sur la joue blessé, par jeu sans doute, puis la laissa s’écarter, prenant dans la boite a bijoux d’un de ses sous fifre un pendentif de gemmes et pierres précieuse sertie sur de l’or blanc. Un magnifique présent, mais c’était tout naturel pour lui de l’offrir a la jeune femme. Les deux serviteurs suivirent la jeune demi elfe, peu importait a Ant’zar ce qu’ils allaient faire, du moment qu’ils n’offusquaient pas l’esclave de la divine femme a demi allongée prés du feu. De son pas princier il s’approcha de la jeune femme, seul, et doucement une fois a porté d’elle se glissa dans son dos pour y placer le pendentif et l’attacher.

« Bonjour Aeth… »

Il laissa la syllabe « eth » siffler sensuellement entre ses lèvres, prés de son oreilles avant de se redresser et de venir s’agenouiller devant elle, prenant sa main en l’embrassant avec douceur, comme le plus pure des chevaliers servant, ce que tous deux savait ne pas être le cas.

Le collier était magnifique et était fait pour se fondre sur la peau sombre de la jeune femme. Il avait bon gout et un souvenir imparable pour se genre de détaille, vraiment, c’était un homme attentionné si on se résoluait a l’idée de ne jamais être la seul a profiter de sa tendresse, de sa fougue et de son savoir faire. Prenant a nouveau la parole il demanda d’une voix calme et a la fois chaude.

« Quel est donc le motif que tu as trouvée pour me faire venir a toi ? Tu m’avais pourtant abandonné avec le sang en feu tout comme ma chair brulante. J’ai même du me calmer de ses impulsion sur une de mes pauvres servante, elle n’a même pas compris ce qu’il lui arrivait… la pauvre, j’ai du la tuer ensuite, tu sais bien que je n’aime assouvir mes désirs et ceux de mes amantes qu’avec des femmes digne de se nom. »

Un sourire carnassier aux lèvres, Ant’zar était vraiment un homme terrifiant quand il parlait ainsi.

La frêle esclave avait rougi jusqu'aux oreilles lorsque le noble avait posé son regard sur elle, et la douceur des lèvres d'Ant'zar sur sa joue meurtrie était encore pire souffrance que les douleurs provoquées par sa maîtresse. Elle s'en était allée en cuisine, suivie des deux serviteurs du Drow, laissant les deux maîtres ensemble, seul à seule.

Aeth avait sourit en sentant la caresse délicate des mains d'Ant'zar sur son cou alors qu'il lui mettait un collier magnifique autour du cou. Il était inutile de préciser que le Drow avait des goûts exquis. Le collier, une parure superbe, était réhaussé par la couleur de la peau de la belle et scintillait à la lumière du feu bleuté qui brûlait dans l'âtre.

"Quel est donc le motif que tu as trouvé pour me faire venir à toi ? Tu m’avais pourtant abandonné avec le sang en feu tout comme ma chair brûlante. J’ai même du me calmer de ces impulsions sur une de mes pauvres servantes, elle n’a même pas compris ce qu’il lui arrivait… La pauvre, j’ai dû la tuer ensuite, tu sais bien que je n’aime assouvir mes désirs et ceux de mes amantes qu’avec des femmes dignes de se nom."

La Drow rit franchement à ces dernière paroles. Ant'zar était délicieux, vraiment. Tout à fait charmant. La parfaite incarnation du Drow, sans aucun doute. Elle lui répondit avec sa sincérité coutumière, sans pour autant dévoiler les plans de son chef suprême, Tebryn. Elle n'avait confiance en personne, surtout depuis cette histoire de trahison avec l'autre, le renégat.

"Je ne m'excuserai pas pour ma longue absence, tu sais que ce n'est pas mon genre. Tebryn m'avait appelée, et mon devoir était de me rendre à ses côtés. Il m'a donné à m'occuper tout ce temps-ci, et maintenant que je suis libre de nouveau j'avais envie d'avoir à mes côtés mon noble et mon garde du corps préféré..."

Un clin d'oeil appuya ces propos. Un garde du corps très personnel, opérant la protection rapprochée. Très rapprochée... Elle avait maintes fois entendues vantées les prouesses du jeune Drow par certaines de ses compagnes de lit - oui, elle était bisexuelle, et alors ? - et avait eu envie de vérifier par elle-même. Y avait-il un mal à ça ?

Elle se mit debout et s'installa plus confortablement sur un grand tapis en peau de loup et invita d'un geste son invité à en faire autant. Les poils du tapis étaient doux, agréables au toucher. Une douceur qui incitait à la volupté...

La drow savait très bien comment parler a Dragan, c’était assez drôle de voir ce dernier un sourire carnassier aux lèvres ne plus le quitter pendant qu’il la déshabillait du regard de manière gourmande. Les paroles qu’elle prononça lui passèrent en partie au dessus de la tête, très loin au dessus. Mais il prit tout de même le temps de lui répondre en la regardant se lever et se diriger vers

« Bien heureusement que tu ne t’excuse pas, tu es la prime sorcière, il ne manquerai plus que tu ai a me demander pardon. Pardon d’ailleurs que je ne t’accorderai pas quoi qu’il arrive. Laissons ses coutumes barbares aux humains et préférons les nôtres biens plus raffinée. Apres tout, pourquoi demander pardon quand on a quoi qu’il arrive raison… je vous le demande… »

Il ne lui en voulait pas le moins du monde, il n’en que faire après tout. La regardant s’allonger sur la peau de loup il sentit ses sens le troubler et déglutit difficilement. Le drow était connue pour sa taille immense, et voila qu’il s’allongeant prés de la jeune femme, lui murmurant a l’oreille de manière sensuel.

« Hum… votre préféré ? Ne te moque pas de moi Aeth, tu sais bien que je ne te connais que trop bien. Tu es l’une des rare a avoir le droit d’oublier toute cérémonie avec moi tout comme tu m’accord se droit de te tutoyer sans honte. Dit moi directement le fond de ta pensée et si je le puis je la satisferais et si c’est une requête plus poussée et sérieuse, ce que je doute fort, je te promets d’y réfléchir. »

Il prit appuie sur son coude, étant ainsi allongé sur le coté le buste relevé. Doucement il passa une main sur le haut de la poitrine de la drow pour écarté une mèche de cheveux inopportune l’empêchant de plonger son regard sang dans l’échancrure du décolleté.

Ant'zar avait raison, le protocole, les manières pouvaient être oubliées chez elle, lorsqu'ils étaient réunis. La sorcière sourit lorsque les doigts du noble écartèrent la mèche rebelle de sa poitrine. Elle aimait déjà ce contact.

Il voulait qu'elle lui dise le fond de sa pensée ? Soit, elle était connue pour son côté direct, impulsif et déterminé. Aussi, elle se redressa légèrement, assez pour venir murmurer au creu de l'oreille du Drow ces quelques paroles :

"Ce que je désire en ce moment, c'est que tu réveilles ce volcan dans mon bas-ventre. Je veux que tu assouvisses tes pulsions les plus primales sur moi... Est-ce assez clair ?"

Un sourire éclaira son visage. On ne pouvait pas faire plus clair. Comme par jeu, elle souffla légèrement dans l'oreille de l'elfe noir après avoir prononcé ces mots. Puis elle lui mordilla l'oreille, doucement mais avec une légère sauvagerie. La belle était réputée pour être insatiable au lit. Et si Ant'zar faisait ce qu'elle voulait, il avait tout intérêt à être à la hauteur de sa réputation...
Elle s'écarta ensuite de lui, peut-être un peu brusquement, et s'appuya en arrière, sur les coudes, laissant sa poitrine presque nue, simplement recouverte à moitié par le fin tissu virginal de la robe... Un sourire étrange éclairait son visage.


"Alors, que décides-tu ? Te sens-tu de taille à me prouver que tes anciennes conquêtes avaient raison de te vanter ?"

Alors ainsi elle lui avoua sans détour ce qu’elle attendait de lui et un sourire prédateur pris possession de ses lèvres. Hum comme il allait pouvoir se régaler de se corps, comme il enviait déjà ses propres mains d’avoir le plaisir de la faire gémir et comme il enviait plus encore de la sentir se crisper sous ses assauts.

La suite le crispa et in afflux sanguin violent changeant de chemin, délaissant pour un temps le trajet de son cerveau pour alimenter son désir. La cause était de sentir les lèvres de la jeune drow sur son oreille. Il était de ses elfes qui gémissaient sans peine pour cette caresse. Mais bien sur au lieu de perdre tout contrôle et de s’en retrouver penaud il s’en enhardissait bien plus.

Mais la voila qui s’écartait, prenant appuis sur ses coudes en regardant on ne sait quoi. Ha non… elle ne s’enfuirait pas cette fois et peu importe qu’on la fasse demander, elle crierait et ploierait sous le désir et Ant’zar s’en faisait un devoir en cet instant même. Elle souriant étrangement et lui demandait si il était décider et si ni plus ni moins, il tiendrait le choc. C’était une femme qui osait lui dire cela ?

Sans Cérémonie le géant se déplaça, venant coller son corps contre le sien, l’agressant de manière sensuel pour venir plonger son visage dans son cou et remonter a son oreille. Il joua comme si il allait lui murmurer une réponse pour la déconcerter et surtout attirer son attention sur l’oreille. A cette instant précis il remonta son genou, forçant la robe a remonter suffisamment pour qu’il frotte a une zone du bas ventre sensible, guettant un gémissement, signe que sa surprise aurait réussit et lui murmura amusé.

« C’est a moi de te demander ça aethsss… »

Il avait prononcé de manière serpentant à nouveau et sensuel la fin de son prénom.

« Vas-tu supporter mes assaut, sera tu l’une des première à me rassasier totalement ? Sache que je suis connue pour une particularité bien spécifique. Mais je t’en laisse la surprise, te découvrira cela en temps et heure si bien sur tes compagnes de lit ne t’on pas tout dit… car oui, elle parle sans doute autant dans le tiens que dans le mien. »

Il ne se faisait pas prier et n’avait aucune retenue, portant son poids sur un bras, les muscles de se dernier se bandant prenant que l’autre venait repousser le tissu pour s’emparer d’un sein de taille plus qu’agréable. Doucement il faisait jouer ses doigts sur son sommet. Il prendrait son temp pour la faire sienne et lui refuserait jusqu’as ce que lui-même ne tienne la partie de son corps douloureusement moulée par son pantalon.

A nouveau il murmura d’une voix totalement différente, brisée et sombre, sans doute a cause du désir.

« Si tu as un désir inavoué… laisse moi en être l’auteur… murmure moi tes désirs et je les comblerais ou laisse moi découvrir ton corps et toute sa capacité à vibrer au gré du miens jusqu’as épuisement. »

Il la laissa parler, mais pris tout de même l’initiative de revenir dévorer goulument de sa gorge a son épaule la peau délicate et douce de la drow.

La drow avait eu l'agréable plaisir d'entendre un léger gémissement lorsqu'elle avait goûté à l'oreille de son comparse. Elle savait que c'était l'un des endroits les plus sensibles chez lui et pouvait remercier ses compagnes de nuitées pour cette information. Mais alors qu'elle attendait une réponse, il l'avait lui-même surprise par la caresse de son genoux contre son bas ventre, une caresse peu habituelle, un peu sauvage et tellement exitante...

Contrairement aux attentes du Drow, elle ne gémit pas. En revanche, elle sentit son intimité appeler aux caresses, son corps réclamait mille baisers, mille attentions qu'elle savait Ant'zar capable de lui offrir.

"Vas-tu supporter mes assaut, sera tu l’une des première à me rassasier totalement ? Sache que je suis connue pour une particularité bien spécifique. Mais je t’en laisse la surprise, tu découvrira cela en temps et heure si bien sur tes compagnes de lit ne t’on pas tout dit… car oui, elle parle sans doute autant dans le tiens que dans le mien."

A ces propos, le Drow n'eut comme seule réponse qu'un sourire mystérieux. En revanche, lorsqu'il lui demanda si elle avait des désirs inavoués, des préférences, en somme, son regard se fit plus pétillant. Dans un murmure, elle répondit :

"J'aimerais que, pour une fois, mon corps ne m'appartienne plus. Fais-le entièrement tien..."

Ses anciens partenaires n'avaient jamais été très doués au lit. C'était toujours elle qui avait dû prendre les devants. Cette fois-ci, elle voulait que cela change, qu'on s'occupe d'elle entièrement... Bien entendu, elle ne resterait pas de marbre face au corps du noble... Déjà, elle laissa échapper un léger gémissement alors que les lèvres d'Ant s'alanguissaient sur sa gorge et que sa main libre parcourait les courbes féminines de la belle sorcière.

Voila donc la seule demande qu’elle formulerait ? Dieu que c’était simple, et Ant’zar pourrais donc bénéficier d’un point pour lui. Elle voulait qu’il la fasse sienne toute entière, rien de plus simple, il pourrait même jouer de toute ses connaissances, de son charme et se jouer de chacune de ses réactions pour en créer de nouvelle.

« Si c’est la ton seul désir, il sera comblé plus que tu ne peu le penser. »

Il l’embrassa avec fougue, laissant ses mains glisser sur le corps vêtue. Ho que le tissus l’énervait, il le gênait dans son pèlerinage du corps de la jeune femme et c’était au combien intolérable. Glissant la main sur les courbes, descendant jusqu’as son ventre ou il s’appuya un peu pour continuer son chemin jusqu’as se cuisse, cherchant l’ouverture qu’il trouva d’ailleurs sans aucune difficulté. Tout en remontant cette main en remontant donc également la robe, il s’abaissa, passant sa langue sur chaque parcelle de peau se dénudant, sans la moindre exception, pour finir par se retrouver contre elle.

Il l’embrassa fougueusement, l’obligeant a s’allonger pou qu’il puisse prendre appuie sur son coude, laissant sa main caressant la poitrine pendant que ses lèvres dévorait la colline jumelle a ses doigts. De son autre main à présent libre de son poids il défaisait les liens de sa chemise rapidement, il ne voulait pas la faire languir trop longtemps sans caresse, et rapidement son torse fut mit a nue, il repoussa sa chemise pendant les caresses de ses mains qu’il lui prodiguait. Pas une fois elle ne se retrouvait pas l’objet de toute ses attentions.

Enfin il se retrouva a sentir la chaleur de son corps contre celui de la jeune femme, un dernier rempart que formait son pantalon le séparait encore de la jeune femme. Il s’était dévêtue avec tant de savoir faire que peu être la drow c’était demandée quand avait’ il pu agir ainsi ? Doucement il se glissa entre les jambes de la belle pour ramener son bassin au sien et la soulever. Non, il n’appréciait pas le sol, pas même si une peau de bête aussi douce était mise à disposition. Une fois encore sa taille le gênait dans se genre de folie.

La collant contre le mur de la pièce il l’embrassait de manière presque sauvage. Il n’y tenait plus de se refuser a chaque soubresaut d’excitation de la prendre, mais il voulait d’abord l’émouvoir le plus possible, que se soit presque elle qui le supplie que se soit par le corps ou la voix de la faire sienne. Ne l’avait t’elle pas dit ? Elle voulait de son corps ne soit plus a elle… mais a lui.

Le baiser du Drow, fougueux et passionné, donna des frissons à la belle. Il n'était pas rare qu'on l'embrasse ainsi, mais la manière de faire d'Ant'zar lui procurait des frissons étranges, délicieux. Les mains du jeune homme découvrait le corps de la belle avec fièvre, une fièvre modérée quoique palpable. Aetherya poussa un soupir de bien-être alors que les lèvres brûlantes de son partenaire dévoraient l'un de ses monts jumeaux. Qu'elle aimait ces sensations... Les mains de la belle ne restaient pas inactives, bien entendu. Elles parcouraient la peau du dos d'Ant'zar, profitant du fait qu'il ai rapidement ôté sa chemise. Ses ongles creusaient de légers sillons sur le dos du noble, s'enfonçant presque dans sa peau.

Il finit par ôter son pantalon avec tant de dextérité que la jeune femme se demanda comment il avait fait, et bientôt leurs bassins se trouvèrent réunis. Là, il l'avait soulevée et plaquée contre le mur, et Aeth poussa un léger cri de surprise : le mur était glacé. Glacé, mais néanmoins agréable. La taille d'Ant, plus grande que la moyenne, l'empêchait de toucher le sol. Aussi avait-elle passé ses jambes autour des hanches de son partenaire, se servant de son bas-ventre comme d'un moyen pour caresser ce qui faisait de lui un homme. Elle l'embrassa à son tour de ses lèvres parfumées avant de venir murmurer à son oreille :

"Repose moi à terre et laisse moi te faire du bien..."

Il existait mille et une manières de faire plaisir à un homme. Et notre savante sorcière les connaissait toutes sur le bout des doigts. Elle espérait qu'ensuite il lui rende la pareille...

Ses ongles sur sa peau, de nouvelles griffures s’ajoutant à celle qui n’avait pas encore cicatrisées. Ses derniers temps le drow cultivait sur son corps des sillons de diverse compagne avec une certaine fierté. N’était ce pas la un magnifique ornement pour le dos d’un homme ?

Par la suite il l’escorta contre le mur, sentant les jambes de la belle s’enrouler sur ses hanches et y prendre appuie, laissant au drow le plaisir de la sentir ainsi tout contre lui. Puis elle s’amusa à onduler, frottant ainsi leurs corps l’un a l’autre sans jamais les unir. Ho que c’était cruel de sa part d’agir de la sorte. Cruel et tellement bon…

Quand elle parla il donna un coup de reins pour la troubler à nouveau, venant mordiller l’oreille avant de murmurer.

« Hum… pourquoi te déposerais je au sol ? On a parlé de ton plaisir ma douce Aeth, pas du miens. C’est a moi de te combler, pas le contraire ma douce féline. »

Et tout comme pour argumenter ses dire doucement il s’abaissa, lui laissant toucher finalement le sol mais se retrouvant dans une position délicat ou la langue d’Ant caressait l’intimité de la jeune femme de manière gourmande, il savait y faire sans nul doute et il gardait même ses mains sur les cuisses de la jeune femme, surement de peur qu’elle ne choie.

Non il ne la laisserait pas s’occuper de lui, sauf si elle cherchait a le faire de force ou qu’elle le lui ordonnait, mais elle n’était en cet instant surement pas en état de le faire. Il se jouerait d’elle jusqu’au bout de son plaisir…

Lorsqu'elle parla, il lui donna un léger coup de rein qui rendit ses paroles moins assurées. Il savait y faire, c'était certain. Il vint ensuite lui mordiller l'oreille, lui arrachant un léger gémissement troublé et refusa sa requête. Elle allait répliquer lorsqu'il la déposa finalement à terre, mais sans lui laisser la liberté de mouvements qu'elle souhaitait. Au contraire, il la tenait par les cuisses, sa tête au niveau de l'intimité de la belle. Un sourire effleura les lèvres d'Aetherya alors que la langue gourmande de son compagnon venait doucement goûter au fruit défendu.

A un moment, elle crut défaillir. Les baisers appuyés de son amant sur son intimité lui arrachaient des gémissements qu'elle n'aurait jamais pensé pousser, et l'insistance de ses lèvres à cet endroit provoqua rapidement une explosion dans son bas ventre. Elle poussa un léger cri de plaisir alors que ses muscles commençaient à trembler légèrement. Elle se crispa toute entière, savourant les ondes de plaisir qui parcouraient sa chair. Ses ongles s'enfoncèrent un peu plus dans la peau d'Ant'zar, laissant à présent des marques ensanglantés dans le dos du Drow.
Dans un souffle, elle lui murmura :

"Fais-moi tienne, maintenant."

Elle le lui avait dit, son corps lui appartenait à présent. Il pouvait faire d'elle tout ce qu'il voulait, d'autant plus qu'il avait réussi - et il était bien là l'un des rares - à l'amener à la jouissance, ce qui lui octroyait tous les droits sur son corps superbe qui ne demandait plus qu'à être pris. Elle lui caressa la tête, enfonçant ses doigts dans les cheveux cendrés du géant. Elle le voulait. Ici et maintenant.

Il s’était jouer d’elle, l’avait conduit a l’extase sans même chercher le sien, c’était sans doute cela qui lui valait se titre d’amant hors paire. Il la sentait tremblante et totalement a sa merci. Se redressant il la souleva, il ne pouvait plus la prendre contre le mur, ses jambes tremblait trop et il n’avait pas le cœur de la maintenir au lieu de se concentrer sur ses mouvements, il la déposa donc sur la peau prés du feu, tant pis pour sa taille, il s’en formaliserait une fois de plus.

La déposant au sol il ne tint pas longtemps avant de s’unir a elle d’un coup de reins modéré au mieux. S’allongeant sur elle, il déposa son poids dans son bras replié au sol, l’autre main venant remonter la cuisse de la belle contre lui. Il la fit sienne, encore, encore et encore, et pas une fois il ne faiblit. Prés du feu, sur le canapé… de manière fougueuse, sauvage, sensuel ou simplement bestiale. Il n’acheva de la faire sienne que lorsque ses propres muscle pliait son l’effort et qu’il ne pouvait plus la contenter. Si bien sur il y avait eu quelque chose a contenté encore…

Quand tout fut fini il resta un long moment contre elle, cherchant son souffle, lui-même surpris que la belle ai tenue autant de temps. Se séparant enfin d’elle il se redressa doucement et s’assis, nue, admirant le corps humide de sueur de la jeune femme. Caressant machinalement ses courbes en fermant les yeux. D’une voix grave et profonde il murmura.

« Suis-je à la hauteur de ma réputation Aeth ? »

Il avait les yeux rouge sang, pétillant et a la fois prédateur, attendant le verdict de la magnifique drow.

Il avait fini par la déposer sur le sol, encore tremblante du plaisir qu'elle avait ressenti, et l'avait rapidement fait sienne. La suite, inutile de la détailler. Ils avaient longuement fait l'amour, partout dans le salon, sur le canapé, les meubles, le tapis, elle s'était laissé aller plusieurs fois au plaisir et avait même laché quelques cris lorsqu'il avait été plus sauvage, plus brutal.

Il était en effet un amant hors pair, ses compagnes de lit ne lui avaient pas menti. Lorsque tout fut terminé, il était resté un moment contre le corps alangui de la belle avant de se redresser sur son séant et de la contempler dans toute sa beauté. Il continuait à la caresser doucement, presque machinalement. Elle ne bougeait plus, essouflée et radieuse. Enfin un drow à la hauteur de son appétit... Elle sourit lorsqu'il lui posa la question.

"Je ne flatterai pas ton égo, Ant'zar. Disons que tu t'en es plutôt bien sorti, pour une première fois. Reste à voir si la performance sera réitérée par la suite..."

Elle ne pensait pas forcément immédiatement, ils étaient bien trop épuisés pour cela. Mais qui sait, dans le futur, peut-être... Pour l'heure... Aetherya s'assit à son tour, nue comme au premier jour et magnifiquement sensuelle, même décoiffée et en sueur. Elle passa une main dans ses cheveux pour dompter sa tignasse et se leva, se dirigeant sans pudeur vers la chambre. Arrivant près de l'entrée du salon, elle se tourna vers son hôte.

"Une petite douche à deux ?"

Un clin d'oeil, elle ajouta :

"En tout bien, tout honneur..."

Mon oeil... Enfin, après un effort pareil, le noble devait certainement avoir envie de se rafraîchir, avec ou sans elle comme compagnie...

Et non Ant’zar, c’était raté ! Elle ne flatterait pas ton égo surdimensionné en confirmant ce que l’on dit de toi… c’est con hein ! Mouhahahaha. Bref, *toussote* je m’égard. Alors nous disons donc qu’il venait de finir leurs étreintes après s’être unit un nombre de fois presque inquiétant. Mais pourtant la jeune femme se releva, se dirigeant vers la sortie de la pièce pour se diriger vers sa chambre, se retournant finalement pour proposer a Ant de partager son ablution.

Se relevant, toujours au mieux de sa forme bien malgré lui, il ne sembla pas plus gêné que la drow . S’approchant félinement d’elle il reprit comme un bon petit scott.

« En tout bien tout honneur, promis… »

Inutile de vous dire que bien sur, sa main droite sur son cœur avait les doigts croisés, bien visible ? Car c’est en effet ce qu’il fit, s’approchant de la demoiselle pour glisser ses mains sur ses hanches et se coller a elle en murmurant.

« Je te suis Aeth, mais je te préviens, si tu t’arrête trop vivement il risque de t’arriver a nouveau quelques soucis ou contretemps. »

Il tira la langue de manière taquine, il était de bonne humeur, au pris avec une femme divine et charmante qui plus est et comble du bonheur, elle était encore plus insatiable qu’il ne l’aurait cru… qu’elle plaisir d’être un homme sur cette terre !

La belle n'eut pas à attendre la réponse bien longtemps car il se leva rapidement et s'avança vers elle d'un pas félin. Il lui promit de se tenir à carreaux, mais il avait croisé les doigts de manière plus que visible. La sorcière sourit. C'était ainsi qu'elle aimait les hommes. Jamais rassasiés, comme elle-même...

Il se colla ensuite tout contre elle, la tenant par les hanches. Ses dernières paroles firent sourire la drow. Elle ne comptait pas vraiment s'arrêter d'ici la salle de bain, mais il eut été si tentant de le faire, rien que pour voir la tournure que prendraient les choses...

"Il se peut que je trébuche et que je tombe malencontreusement sur mon lit, tu sais..."

Un clin d'oeil vint appuyer ses propos alors qu'elle se libérait des bras de son amant pour se remettre en route, lui offrant par la même une vue imprenable sur sa croupe dénudée qui se déhanchait avec sensualité à chacun de ses pas.

Ils eurent tôt fait d'arriver dans la chambre, et bientôt la porte de la salle de bain fut ouverte, dévoilant une pièce au sol de marbre illuminée par des bougies. Au centre de la pièce trônait une grande baignoire dans laquelle deux personnes tenaient aisément. Le bain semblait déjà les attendre, à en juger par l'eau fumante qui clapotait dans la baignoire. Après un regard significatif au drow, Aetherya entra dans l'eau et s'assit, l'eau lui arrivant juste en dessous de la poitrine. Elle était chaude, agréable et parfumée. Un véritable délice... D'un simple regard, elle invita Ant'zar à la rejoindre.

Rho, provocante et divine, une femme digne de se nom rien a dire de plus. Il la suivait sagement jusqu’as la salle de bain et la regarda se glisser dans l’eau en se mordant la lèvre, laissant son sang tout aussi rouge qu’un autre couler sur son menton. Il fallait qu’il se calme, c’était pressant la…

Puis elle lui fit signe de la rejoindre, gardant son charme et son charisme sombre il glissa dans l’eau, il était trop grand une fois de plus et aurait pu paraître penaud ou pataud, mais non du tout, il se glissa dans l’eau et s’approcha félinement de la jeune femme.

Il glissa dans son dos sans la moindre gêne pour se blottit tendrement contre elle, embrassant sa nuque. Il appréciait de pouvoir profiter d’un moment doux, même si en général les femmes trouvaient ça étrange mais il avait sans doute besoin d’un peu de ça. Doucement il murmura a son oreille.

« Désire tu que se soit moi qui te lave ? De fond en comble… »

Une proposition a peine cachée, il devrait avoir honte tiens. Mais cela contrastait avec la douceur qu’elle avait put sentir durant un instant, redevenant le tombeur de ses dames. Prenant le savon il murmura doucement.

« Je promets de n’être ni sage, ni correcte. »

Un sourire taquin sur les lèvres, il se rappela du visage empourpré de la jeune femme quand il la faisait sienne et frémit. L’idée de la revoir ainsi ne lui déplaisait pas, mais d’ailleurs en repensant a cela… Si elle désirait se venger de lui, c’était le moment non ?

La belle le laissa prendre place derrière elle dans un sourire, étonnée toutefois de la douceur dont il fit preuve avec le baiser. Elle n'était pas habituée à cela et avait toujours connu les étreintes passionnées et brutales. Mais le baiser sur sa nuque la fit étonnament frissonner. Elle se dit que ça pourrait être amusant de faire l'amour avec douceur, à l'occasion...

Il proposa ensuite de la frotter avec le savon. de fond en comble avait-il ajouté avant de promettre d'être le plus irrévérencieux possible avec elle. Elle sourit, se tourna vers lui et lui prit le savon des mains. La dominatrice reprenait le dessus.

"N'est-ce pas à mon tour maintenant de te montrer mes talents, mon ami ?"

Elle trempa le savon dans l'eau sans attendre de réponse et le ressortit pour frotter doucement la peau d'Ant'zar, le faisant mousser contre son torse.
Elle s'approcha du géant et vint l'embrasser, doucement d'abord, puis avec fougue. Elle avait posé le savon et était maintenant collée au noble, ses mains savonnant chaque partie de son corps, appuyant déjà les caresses sur sa virilité montante.

Elle avait envie de goûter à cet engin de plaisir, mais se retenait. Elle le ferait plus tard. Pour le moment, elle se contentait de couvrir le cou et les lèvres d'Ant'zar de baiser et de le caresser avec fièvre.

Ses lèvres s'entrouvrirent alors qu'elle chuchota à son amant :

"Mets toi debout, que je te rince un peu..."

Elle comptait se rincer l'oeil au passage sur le corps superbe du drow. A peine fut-il debout qu'elle passa de l'eau sur lui pour le rincer, profitant de la vue bien agréable qu'elle avait. Ses baisers couvraient maintenant les cuisses d'Ant'zar, puisqu'il était debout et elle agenouillée dans la baignoire. Enfin, elle se saisit délicatement de la virilité du drow avec ses lèvres pour faire découvrir à celui-ci des plaisirs qu'il n'imaginait même pas.

Elle lui vola le savon des mains et commença à se jouer de lui. Il s’était à peine calmé que voila qu’elle ravivait ses sens et qu’as nouveau son sang changeait de trajectoire. Elle s’amusait avec ses mains et lui faire retrouver toute sa forme et ce ne fut pas bien dur. Ou plutôt si… a présent ça l’était…

Il restait pour le moment maitre de lui, calme son souffle était a peine perturbé. Qu’il aimait sentir les mains de ses amantes jouer ainsi sur lui. C’était une sensation aussi agréable que perturbante. Les baisers qu’il lui offrait était a la hauteur des siens, calquant la douceur, la fougue ou l’envie de ses derniers sur ceux de la belle. Il n’était pas inactif, ne pouvant pas le supporter, préférant caresser la peau de la jeune femme, chaque millimètre… Puis elle lui demanda de se lever. Il répondit d’une voix brisée par le désir.

« A tes ordres Aeth… mais sache que ma vengeance sera terrible. »

Il se leva, affichant sans vergogne ni pudeur son envie en se redressant totalement. Doucement il regarda la drow, observant son corps de manière gourmande. Elle fit glisser l’eau sur sa peau, le faisant frissonner quelque peu. La suite troubla sa respiration, les baisers sur sa peau… sa cuisse… son… Un gémissement a peine digne de cet homme s’échappa de ses lèvres. Il était resté calme jusque la et même dans l’acte n’avait pas émit un tel gémissement.

Qu’il détestait son corps trop sensible, qu’il détestait aussi cette drow qui venait de lui faire pousser un bruit d’extase alors qu’elle n’avait rein fait. Enfin, il tiendrait bon, peu de temps mais il tiendrait. Doucement il glissa ses doigts dans les cheveux de la jeune femme, se courbant un peu en murmurant son prénom.

Son ventre ondulait doucement, se contractant sous ses soubresaut de désirs il ne voulait pas… il ne pouvait pas se permettre de penser a son plaisir. Mais déjà il était trop tard, poussant un gémissement surprenant de la part d’un homme comme Ant’zar, la sorcière pouvait se venter d’être l’une des seule à avoir le plaisir de l’entendre. Elle était une des seules aussi à qui il avait laissé le droit de faire un tel cheminement de ses lèvres.

Il avait le souffle cours, la voix brisée et ses yeux étaient d’un rouge si intense qu’il en paraissait effrayant.

La belle sorcière s'appliquait à cajoler son amant, ses douces lèvres caressaient sa virilité avec envie, sa langue se jouait de son corps avec habileté et de ses mains elle caressait les cuisses et les fesses d'Ant'zar. Elle lui avait déjà arraché un léger gémissement, mais ce n'était pas assez. Elle était en train de se venger de lui pour tout à l'heure, quand il avait refusé de la laisser prendre les rênes. Maintenant, c'était elle qui dirigeait la danse...

Les baisers de la drow se firent plus appuyés qu'ils ne l'étaient déjà, et bientôt elle sentit les muscles de son partenaire se contracter. Il lâcha un gémissement tenant presque du grognement et là, elle sut qu'elle avait gagné.
Elle se releva, maintenant debout elle aussi, et embrassa doucement le drow. Puis elle s'éloigna quelque peu et lui sourit.

"Et si tu me faisais voir à nouveau ce que tu sais faire ?"

La belle n'était pas farouche, et ouverte à tout. s'il avait des envies particulières, elle saurait lui faire plaisir. Peut-être avait-il envie d'expérimenter un autre côté de la demoiselle. Au sens physique du terme, pourquoi pas...

Elle lui chauffait les sangs à le taquiner de la sorte, il n’était déjà pas bien difficile a le rendre fou mais la elle venait de faire la seule et unique chose qui lui faisait perdre contrôle. Le repoussant en l’embrassant il la déposa sur le regard de l’eau. Laissant ainsi sa peau, son ventre et sa poitrine profiter du contracte froid du carrelage.

Il posa ses mains prés des épaules de la belle, ses muscles tremblait tant il était énervé. Il la voulait, mais cette fois si se serait délicat, il devait se retenir d’être violent, il devait prendre sur lui pour ne pas la prendre comme une bête. Il grognait plus qu’il ne respirait, faisant frotter son bas ventre contre la croupe de la drow. Il regardait les formes avec envie, oui… une envie indéniable qui le fit frissonner et il glissa sa main en suivant son regard.

Ses doigts trouvèrent le chemin pour se glisser en elle, caressant de manière amusée la jeune femme. De son autre main il caressait son dos. Comme il avait envie de la faire sienne et comme elle le provoquait a chaque instant du regard pour l’inciter à faire ce que son corps lui demandait.

Puis il n’y tenu plus, venant se courber sur elle il vient mordre sa nuque, glissant en elle de manière plus douce et craintive. Une fois collé a elle il la caresse, la parsemant de baiser tout en imprimant le premier mouvement d’une longue série. Tout à son art il glissa doucement sa main sur le ventre de la jeune femme pour le caresser, puis s’y faufiler sans l’ombre d’un doute pour la combler de tout son être.

La prime sorcière l’avait totalement épuisé, aussi bien physiquement que… Ant pour l’une des premières fois était totalement rassasié, a tel point qu’elle lui aurait demandé encore, il n’aurait pu hélas la contenter. Enfin, pas tout de suite du moins et pas avec ce qui faisait de lui un homme. La sentant s’écrouler sur le lit, regardant le plafond le cœur battant il sentait le sien battre a ses tempes, le laissant totalement inerte, les yeux clos et la respiration saccadé.

Son corps était perlé de sueur, mais n’en était donc que plus sensuel. Doucement il se redressa enfin, prenant appuie sur son bras pour se pencher vers elle et déposer un baiser doux et affectueux sur les lèvres de la prime. Il caressa ensuite sa joue, repoussant quelques mèches de cheveux rebelles et sourit doucement.

« Aeth, que tu es belle quand tu crie de plaisir dans mes bras. »

Doucement il déposa ses lèvres dans le cou de la jeune femme et lui murmura.

« Aeth… t’ai-je repu ma terrible amante irascible ? »

Alors qu'elle avait les yeux clos, Aetherya ne vit pas le drow se pencher sur elle et accueilla donc le doux baiser de celui-ci avec la surprise la plus totale. Une surprise pas si désagréable que ça, au fond.

Il la complimenta et elle lui sourit, sans répondre. Après tout, elle avait conscience de ses charmes, et on lui avait souvent fait le compliment que le noble lui avait adressé.
Il lui demanda ensuite s'il l'avait repue. Dans un sourire, mais sans même le regarder, elle lui répondit tandis qu'il posait un baiser léger dans son cou.

"C'est sans doute la première fois que je répondrai par l'affirmative à quelqu'un..."

Elle tourna légèrement la tête pour le regarder. Il était beau, dans sa nudité pleine de sueur, et la belle devait être dans le même état que lui. Elle referma les yeux et ne dit plus un mot. L'affaire l'avait épuisée et elle avait envie de se reposer, maintenant, chose qu'Ant devait certainement comprendre et partager... La belle ramena les draps de soie sur elle et sombra rapidement dans un profond sommeil qui l'entraîna vers des contrées sauvages aux côtés de... Son amie et confidente, Alrunee, qui devait d'ailleurs rentrer quelques jours plus tard...