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 Néera la DameDieu

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Sapientia
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MessageSujet: Néera la DameDieu   Néera la DameDieu I_icon_minitimeMer 13 Juil 2016 - 23:18


Néera la DameDieu
Vie - Souffle – Famille – Choix – Justice –
Bienveillance – Guérison



Néera la DameDieu 224175themotheravat

Sommaire:
  1. Théologie
  2. Organisation séculaire
  3. Clergé



I. Théologie
Les péninsulaires sont pentiens, ils vénèrent les Cinq qu’ils nomment Kyria, Othar, Tyra, Arcam et Néera. Mais le culte principal est celui de la DameDieu, Néera. Pour les humains, elle est leur Déesse Mère, leur créatrice. Elle est la détentrice du Souffle, du Choix, mais elle est également associée à la fertilité et veille sur les mariages. En déesse de la vie, Néera est également une guérisseuse divine et certains voient dans les épidémies une punition divine. Elle veille sur les nouveau-nés, et assiste les sages-femmes.




I.2.1. Symboles associés :
·         Attributs: le calice et la plume
·         Symbole : deux ailes blanches entourant un calice d'argent
·         Couleur : blanc, argent, or
·         Élément : l'air
·         Magies associées : élémentaire de l'Air et Vie

I.2.2. Épiclèse :
La DameDieu (ou Dame-Dieu)
La Déesse Mère
La Bienveillante

I.2.3. Iconographie
Néera apparaît aux hommes comme une déesse bienveillante sous les traits d’une dame intemporelle ou d'une jeune mère, toujours en robe blanche et aux cheveux longs et clairs.

Chaque temple abrite une statue de la déesse respectant les canons de la cathédrale de Diantra : une femme ailée entre deux âges, les yeux clos, une pierre précieuse (souvent un diamant, une opale ou une pierre de lune) enchâssée au niveau de sa gorge pour symboliser la pureté de son Souffle et une seconde positionnée sur son front ou sa tête pour sa gloire et son pouvoir. Lorsque le temple est dévolu à son aspect de guérisseuse ou de déesse de la liberté, elle porte généralement les mains ouvertes dans la direction des fidèles. Lorsque c'est son aspect de déesse créatrice, elle porte dans ses bras un nouveau-né.

Néera la DameDieu 503894Nerastatue




Néera, déesse qui donna le Choix aux Hommes, est parfois interprétée comme le droit universel à la liberté, ce qui explique les périodes de l’histoire où l’esclavage fut interdit dans le royaume humain.
Néera est également la déesse de la vie, protectrice de la famille. En péninsule, elle fait figure de justice et réprouve le non-respect de la parole donnée, des lois de l’hospitalité, l’inceste et le parricide.

L'un des points importants de l'enseignement des Néerites est que les conséquences d'un acte sont rarement aussi simples que ce que les apparences laissent croire. Intervient la notion de 'globalité' afin de juger des pleines conséquences d'un acte, et le fait que le paraître est parfois à l'opposé de ce que sont réellement les conséquences.

Les valeurs du culte sont profondément ancrées dans la société péninsulaire, le plus souvent simplifiées par la notion de Bien et de Choix ou Libre-arbitre.

I.4.1. Dogme
Les principes du Dogme régissent certains pans de la vie des croyants, clercs ou simples profanes. Également désignés comme les "Neuf", ils sont au cœur de l'enseignement de Néera.

  1. En la Déesse tu auras foi, et ses conseils avisés tu suivras.
  2. Dans la mesure de tes capacités, au respect du Bien tu veilleras.
  3. Par les choix et non la condition tu jugeras, et tes bienfaits à tous tu prodigueras.
  4. Conseils et possibilités de Choix, à tous tu t'efforceras d'apporter.
  5. Les conflits tu aideras à bannir, privilégiant la sage médiation.
  6. A toute personne sincèrement désireuse de l'entendre, ton enseignement tu dispenseras.
  7. La vie tu respecteras et protégeras.
  8. Les lois terrestres et spirituelles tu respecteras.
  9. La Magie Divine et l'Energie de la Déesse tu ne gaspilleras point.



I.4.2. Interprétation
  • En la Déesse tu auras foi, et ses conseils avisés tu suivras.

  • Dans la mesure de tes capacités, au respect du Bien tu veilleras.
Ainsi, les temples par exemple offrent gîte et couvert, de même que tout membre itinérant se doit d'aider ceux qui en ont besoin (conseils, soins, etc). De fait, tous peuvent se présenter aux membres du culte - itinérants ou non - pour obtenir de l'aide (notamment soins médicaux dans le cas des prêtres). Ce principe doit être appliqué par la loi de l'hospitalité et de l’aumône.

  • Par les choix et non la condition tu jugeras, et tes bienfaits à tous tu prodigueras.
La discrimination n'est pas acceptée, tolérance et ouverture d'esprit étant maîtres mots. Tous ont droit à leur chance, et doivent être regardés comme ce qu'ils ont choisi d'être et non ce qu'ils sont sans l'avoir choisi. Cela peut paraître étonnant dans la noblesse où le sang continue de primer. Mais si le droit de prétendre à la noblesse est héréditaire, un noble sang ne suffit pas à faire une réputation… et bien souvent un sang de haute lignée ne fait que renforcer les attentes.

  • Conseils et possibilités de Choix, à tous tu t'efforceras d'apporter.
Ainsi, tous ceux privés de ce choix doivent être aidés afin de leur permettre de disposer d'eux mêmes et de faire leurs propres choix (Ceci implique bien évidemment que l'esclavage est réprouvé par le culte). Mais aussi que le clergé "pousse" d'une justice droite qui laisse chaque partie expliquer son choix avant de prendre une décision et le respect de la libre parole. Pour les profanes, cela est plus perceptible lorsqu'on touche au serment. Dans l'absolu, chaque personne doit pouvoir faire ses propres choix : le mariage, les serments de vassalité, les alliances, tout cela ne devrait donc jamais avoir lieu sous la contrainte au risque de déplaire à la déesse.

  • Les conflits tu aideras à bannir, privilégiant la sage médiation.
Que ce soit à grande ou petite échelle, tous les croyants doivent faire leur possible pour régler pacifiquement toute forme de conflit, excessivement destructeurs pour eux comme pour les autres, ce qui va à l'encontre de la Bienveillance enseignée par les écrits. Ainsi, tous les membres du culte sont disposés à servir de médiateurs dans les conflits impliquant des personnes des environs, et les villages proches des temples ont souvent recours à la sagesse des prêtres pour régler leurs conflits à l'amiable.

  • A toute personne sincèrement désireuse de l'entendre, ton enseignement tu dispenseras.
Sans avoir vocation à être des professeurs, les membres du cultes se doivent d'instruire toute personne le demandant sincèrement, qu'il s'agisse de l'enseignement de Néera ou de toute autre savoir que la personne pourrait transmettre. L'enseignement des Lettres (lire, écrire, ...) est aisément dispensable, car inculqué à chaque novice pendant son apprentissage. Ce point est également valable à propos de l'entrée dans le culte.

  • La vie tu respecteras et protégeras.
Néera est avant tout la Déesse de la Vie, et tous les membres de son culte se doivent de protéger la Vie, autant à grande qu'à petite échelle, notamment sur le long terme. Elle est aussi la déesse de la famille et ce principe du Dogme est souvent associé à la protection des enfants et des femmes enceintes. Il n'est pas rare que les temples accueillent quelques orphelins ou s'occupent d'eux en attendant de leur trouver un foyer.

  • Les lois terrestres et spirituelles tu respecteras.
Le statut de religieux ne soustrait pas aux interdictions matérielles, encore moins aux interdictions spirituelles. Chaque personne, si elle est libre de ses choix, devrait suivre les lois matérielles et mystiques pour être en accord avec la déesse, vivre bien et préserver le Bien et le Choix.

  • La Magie Divine et l'Energie de la Déesse tu ne gaspilleras point.
La magie est un présent de la Déesse et un pouvoir imposant de grandes responsabilités. Toute cause méritante peut voir utiliser ses dons, mais ceux-ci ne doivent pas être utilisés pour de mauvaises raisons, des soucis triviaux ou des querelles inutiles.





Le Souffle est le don offert par Néera a toutes les races douées de conscience et de libre arbitre. C'est là la différence majeure entre les êtres libres et les animaux soumis à leurs instincts ou aux desseins supérieurs d'un dieu ou d'un maître. Le Souffle est le Chant que lui a murmuré Son Créateur avant de la déposer sur le sol façonné par Kyria. Le Souffle est ce qui survit à la mort du corps et aux ravages du temps orchestrés par Tyra la Voilée.

Sur chaque nouveau-né, Néera se penche pour insuffler le Souffle. D'un doigt gracile, elle barre les lèvres de l'enfant, imprimant une légère marque pour que ce don jamais ne puisse s'enfuir avant l'heure de sa mort.

Des quatre grandes races civilisées, seuls les nains, engendrés sous la montagne par la fureur d'Othar, ne reçurent jamais le Souffle, condamnés à rester liés à leur dieu créateur pour l'éternité.




Dernière des Cinq, elle apparut sur le Monde sous la forme d'une fillette à peine assez grande pour parler. Seule et sans défense, le premier dieu à la trouver fut Arcam, qui avait appris, en même temps que sa venue, quel était le don qu'elle avait reçu. Jaloux de son pouvoir, il tenta d'étrangler l'enfant.

La chance voulut que les Océans prévinrent Tyra de la folie de son frère, et la déesse arriva assez vite pour sauver sa sœur des mains du meurtrier. De ce jour, Néera resta muette, et jamais son chant ne put retentir dans toute sa pureté. Jamais le monde ne sut quel aurait pu être son plein pouvoir. Mais malgré tout, elle conserva le don d'insuffler une essence dans une enveloppe de glaise.

Troublé par le pouvoir de sa jeune protégée, Tyra fit promettre à sa cadette qu'à chaque fois qu'elle donnerait un Souffle, celui-ci reviendrait tôt ou tard à la Voilée. Jeune et sans autre protection que celle de sa sœur, Néera accepta.

Alors Tyra alla trouver sa craintive aînée. Discrète et timide, celle qui avait obscurci le ciel d'une canopée dense, et sculpté les ombres d'immenses forêts pour pouvoir s'y dissimuler, n'en était pas moins sage. Mais dans sa vanité, elle proposa de tester les pouvoirs de leur jeune sœur sur les plus belles de ses créations immobiles. Néera leur insuffla le Souffle de vie. Ainsi naquirent les elfes.

Les années passèrent. Les Cycles passèrent. Et Néera s'ennuya. A chaque fois qu'elle donnait le Souffle, le nouvel elfe se tournait invariablement vers Kyria et s'appliquait toute sa vie durant à faire prospérer les siens. La DameDieu comprit alors que son Don ne devait être bridé par aucune volonté extérieure. Elle quitta donc ses sœurs et façonna ses propres enfants. A ceux-ci, elle n'accorda, en accord avec Tyra, que quelques années de vie pour qu'ils développent pleinement leur Choix. Elle les voulut changeants et aussi prompts à la grandeur qu'à la décadence. Elle leur donna le Souffle. Et ils le firent fructifier de manière bien plus extrême qu'elle ne l'avait cru d'abord. Prise d'affection, elle se révéla à eux. Ainsi naquirent les humains. Ainsi fut elle nommée Mère des Hommes.



II. Organisation séculaire

En Péninsule, il existe un temple dans chaque ville du / (des) royaume(s) et dans chaque village au moins un autel. Chaque ville possède un temple dédié à la déesse, et les seigneurs ont souvent une petite chapelle partagée par plusieurs dieux à l’intérieur de leurs châteaux ou palais. On vient au temple le plus souvent pour méditer ou adresser quelques prières à la déesse.

L'architecture des temples varie grandement selon l'époque de construction et la région, cependant, il est d'usage de percer de grandes fenêtres dont les carreaux ou les volets sont amovibles pour pouvoir laisser entrer le vent dans les sanctuaires.

Généralement, la grande salle servant à accueillir les fidèles est ronde ou ovale et encadrée de deux "ailes" à l'est et à l'ouest. La forme de ces contreforts varie cependant beaucoup.


Dans les temples, se trouve toujours une statue de la déesse devant laquelle le pratiquant s’agenouille, joint ses mains en coupe, paumes vers le haut, et prie silencieusement.

« Ô Grande Mère, Créatrice et Fondatrice, accorde-nous ta pitié et préserve-nous du malheur. Ô Divine Patronne, Vierge Vénérable, apaise nos cœurs et veille sur nos enfants. »


Chaque temple de la déesse est sacré et ce qui s'y déroule est considéré comme porté à l'attention directe de Néera. Ainsi, un certain nombre d'actes tolérés à l'extérieur (voire même sans importance) deviennent des blasphèmes une fois dans leur enceinte:
    • Tirer une arme de son fourreau.
    • Prononcer le nom d'Arcam.
    • Faire violence à quelqu'un.
    • Contraindre quelqu'un par la force.
    • Mettre quelqu'un aux arrêts.


Lorsqu'une personne accepte la charge de prêtre, elle accepte entre autres de respecter le Silence. Le jour d'Elenwënas (6ème jour de l'ennéade), ils gardent le silence du lever au coucher du soleil en hommage à la blessure de leur déesse. Mais ce n'est là que la face la plus visible de la médaille.

Le Silence est aussi un serment que n'importe quelle personne peut demander à un prêtre avant de s'entretenir avec lui. Le prêtre est alors tenu de garder leur discussion totalement confidentielle et nulle autorité n'a le droit de faire pression sur lui pour obtenir des informations, qu'elle soit séculaire ou religieuse.


En plus des fêtes annuelles et des cérémonies quotidiennes qui prennent place dans les temples de Néera, plusieurs sacrements dépendent de son clergé.

II.3.1.Nomination
Au plus une ennéade après la naissance d'un enfant, ses parents doivent lui choisir un nom sous le regard de Néera. Cette cérémonie peut être très simple, n'impliquant que les parents, l'enfant et un prêtre, ou parfaitement démesurée pour les héritiers d'une grande famille, regroupant alors la famille au complet, les vassaux, plusieurs prêtres et donnant lieu à des réjouissances.

Lors de la Cérémonie, l'enfant reçoit son nom et le prêtre (ou la prêtresse) caresse son front et sa gorge du bout d'une plume blanche en signe de protection avant de le recommander aux bons soins de la Déesse.

A partir de ce moment, c'est aux parents qu'il revient la tâche d'élever leur enfant dans la foi. Cependant, si l'un des parents est mort (ou les deux), il est d'usage de choisir un Père de foi ou une Mère de foi à l'enfant pour combler ce vide. Sortes de tuteurs, ils prennent la responsabilité de protéger l'enfant en cas de besoin et de répondre de leur mieux à toutes les questions qu'il pourra se poser. Lorsqu'aucun proche ne se désigne, il n'est pas rare qu'un membre du clergé remplisse lui-même ce rôle.


II.3.2. Mariage
> > Mariage de la noblesse


II.3.3. Adoubement
> > Chevaliers



III. Clergé

Néera étant une déesse féminine, les femmes ont toute leur place au sein des ordres. Leur composition est d'ailleurs presque paritaire.
Au quotidien, les prêtres(ses) font office de guérisseurs mais aussi de guides spirituels de leur communauté et de conseillers officieux pour les seigneurs. Avant de faire un choix important, il n'est pas rare d'aller les consulter.
Ils sont également soumis au Silence: Si une personne souhaite que ce qu'elle raconte à un prêtre reste confidentiel, elle peut invoquer ce droit. Il est alors interdit au prêtre de révéler un traître mot de leur entretien et aucune autorité n'a le droit de faire pression sur lui pour obtenir ces informations.

Les prêtres et prêtresses ont également le droit de se marier. Leur descendants n'ont par contre aucune prétention sur le nom ou les possessions de la lignée à laquelle appartenait leur parent prêtre et il est de tradition qu'ils portent le nom de famille de leur conjoint (la seule exception étant l'union de deux prêtres : les enfants portent alors le nom "du Temple", comme les orphelins laissés aux soins des prêtres).


Les prêtres et prêtresses de Néera doivent pouvoir voyager par-delà les frontières mises en place par les hommes. Pour cela, leur tenue est très semblable d'un bout à l'autre de la péninsule. Si une prêtresse du Langecin est capable de reconnaître l'origine d'un prêtre de Serramire en se basant sur quelques détails comme le tissu, la couleur de sa ceinture ou la coupe précise de son habit, cette différenciation est presque impossible à faire pour un profane.

L'habit à proprement parler est constitué de vêtements blancs ou gris très simples (braie et tunique pour les hommes, robe pour les femmes) recouverts d'une robe et d'une sur-robe bleues. Une bague, un pendentif ou une tiare portant le symbole de Néera viennent compléter le tableau en fonction de l'importance du prêtre.


III.3.1. Les Prêtres
Ils portent des robes bleues et renoncent à leur nom de famille pour ne garder que leur prénom. Dans les grandes villes, ils sont plusieurs à officier dans les temples et certains sont parfois des conseillers d'un seigneur. La plupart des cours ont également un chapelain attitré, bien que les prêtres ne se mêlent pas directement de politique. La plupart sont des guérisseurs émérites.


III.3.2. Les Grands-Prêtres
Le royaume humain s’étant construit autour de la foi pentienne rayonnante du Médian, on retrouve plusieurs Grands-prêtres qui sont en charge des grands temples des capitales des duchés et marquisats. Ainsi, il existe deux Grands-prêtres (toujours un homme et une femme) par grande ville établie comme point central d'une région. Ces villes et les territoires qui leurs sont associés sont appelés Cathèdres. Grand-Prêtre étant un poste à vie, ces derniers sont choisis par leurs prédécesseurs (ou un conseil de Grands-prêtres en cas de passation difficile) et ont sous leur responsabilité l’ensemble des temples de cette Cathèdre.

Ces terres fluctuent peu, ne s'appuyant pas sur la politique locale. Les changements de "frontières" sont peu fréquents, toujours effectués pour éviter des conflits locaux et soumis à l'approbation des Hauts-prêtres. De plus, les villes principales des Cathèdres restent toujours les mêmes :
-Langehack
-Ancenis
-Serramire
-Sainte-Berthilde
-Diantra
-Erac
-Soltariel


III.3.3. Les Hauts-Prêtres
Les Hauts-Prêtres et Hautes-Prêtresses sont élus en duo pour le restant de leurs jours par un conclave réunissant l'intégralité des Grands-prêtres et Grandes-prêtresses de la Péninsule. Il sont en charge de l’entièreté du culte. Souvent mobiles, ils vont de temple en temple et officient lors de grandes cérémonies comme le couronnement d’un Duc, d’un Roi, ou des mariages royaux. Ils demandent souvent conseil auprès du Gardien.
Lorsque leurs obligations le leur permettent, ils résident dans la cathédrale de Diantra.
On s'adresse généralement à eux en disant "Votre Bienveillance".  


III.4.1. Les adeptes d'Arcam
A cause des événements cosmiques opposant les dieux, le culte de Néera voit d'un très mauvais œil toute implantation d'un quelconque clergé d'Arcam. Les Hauts-prêtres gardent d'ailleurs un œil sur Naelis à cause de cela.

III.4.2. Les adeptes de Kyria
De tous les dieux du panthéon, il en est une qui n'a aucun problème avec qui que ce soit: Kyria. Son culte exclusivement rural est très répandu, à cause de la proportion de paysans dans la population, mais les rituels qu'on applique pour attirer ses faveurs, à quelques grandes fêtes près, tiennent plus de l'ordre de la superstition que du rituel mystique organisé, et ces quelques prêtres sont souvent considérés comme de gentils marabouts sans organisation ni réelle puissance par les autres cultes, celui de Néera en tête.

III.4.3. Le clergé de Tyra
Une longue histoire unit Tyra et Néera, leurs clergés sont complémentaires et agissent bien souvent en bonne entente, bien que leurs attentes soient très différentes.

III.4.1. Le clergé d'Othar
Les relations les plus complexes sont sûrement entre le clergé d'Othar et celui de sa jeune sœur Néera. Honorable, il n'en reste pas moins guerrier et certains de ses dogmes déroutent ceux qui ont mis leur vie au service de la guérison.  


Le Grand Temple de Diantra possède des statues de tous les saints reconnus par le temple. Ils sont parfois des Gardiens, parfois des gens normaux qui ont été touchés par la déesse et ont influencé des peuples, ou qui se sont distingués par leur élévation spirituelle et leur vertu exemplaire.
La Sainte la plus connue à Diantra est Deina, qui a aidé les premiers rois pentiens à bâtir le royaume. Saint Gerlodin, Sainte Aléra, Sainte Berthe en sont d’autres exemples. Il y a eu au total cinquante-cinq saints reconnus officiellement par le conclave des Grands-prêtres.


III.5.1. Les Couvents et Monastères
Chaque région a ses traditions concernant les "reclus", mais il existe tout autour de la Péninsule des couvents et/ou des monastères. Des hommes et des femmes, retirés du monde, méditent et suivent les enseignements de la DameDieu sous le chapeautage d’une prêtresse.
Ces personnes peuvent décider d'être confirmées dans leur foi. Elles abandonnent alors leur nom et leurs possessions mais disposent d'une liberté totale concernant leur personne, qu'il s'agisse de voyage ou de mariage. Les seules règles qu'elles doivent respecter sont celles éditées par leur couvent pour avoir le droit d'y séjourner.

III.5.2. Les Adeptes
Les Adeptes sont de jeunes hommes ou femmes qui souhaitent suivre les enseignements de la déesse et dédier leur vie à la religion. Ils assistent les prêtres lors des cérémonies, les aident au quotidien contre un enseignement religieux et portent assistance au peuple.


(copyright) D'après le Bg d'Arichis d'Anoszia
Avec la participation d'Alric, Jena, Arthur et Callista
(copyright) Rédaction : Halyalindë Yasairava
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