Aethys No'Wil, duelliste [terminé]

Identité

Nom/Prénom : Aethys
Âge/Date de naissance : 28 ans, né en Barkios de l'an 988:X  
Sexe : homme
Race : sang mêlé mi-humain mi-elfe
Faction : Péninsule
Alignement : Chaotique Bon
Liens notables : Votre texte ici

Particularité :
Une grande agilité due à ses origines elfiques.

Métier : duelliste
Classe d'arme : Corps à corps

Possessions & Equipements :
Une lance, une épée longue, un bouclier triangulaire et une dague car on ne sait jamais. Lors de duels, il m'arrive de m'habiller d'une cotte de mailles

Apparence :
Physiquement, je ressemble en tout point à un Elfe malgré ma taille limitée par le sang humain qui parvient néanmoins à atteindre les 1m80. J'ai le physique long et effilé des Elfes bien qu'à côté d'eux je paraisse légèrement plus large (encore une fois merci le sang humain). Mes cheveux sont noirs et laissés longs, je ne les attache pas. La couleur de mes yeux s'est calquée sur celle de mes cheveux et ceux-ci sont généralement mi-ouverts. Vestimentairement parlant, je m'habille le plus souvent avec une tunique verte et une cape marron. Je porte sur le tronc une cicatrice partant de l'épaule droite jusqu'à la hanche gauche

• Taille :1m80
  
• Couleur des yeux :noirs
  

Personnalité :
Comment je pense? C'est là votre question il me semble... Et bien je pense qu'on peut me qualifier d'"électron libre", même lorsque je met mon épée au service de l'honneur d'un homme, je n'ai pas de maitre et c'est là mon aspiration la plus grande: je tiens à ma liberté. Je suis généralement taciturne et observateur, ne prenant la parole que lorsque je l'estime nécessaire. Contrairement à ce que l'on pourrait penser et à ce que je pense moi-même, je suis assez sensible à la cause des opprimés et bla bla... J'avoue que même si ce discours m'ennuie au plus haut point, je ne peux m'empêcher d'au moins jeter un œil et voir ce que je peux faire pour aider.
Bon, maintenant que vous me prenez pour un guerrier sans sentiments, je vais pouvoir passer aux aveux de fragilité: tout d'abord, je dois avouer avoir une phobie de la foule, elle m'oppresse (cette phobie vient de mon enfance: lorsque j'étais dans une foule, je sentais les regards se braquer sur moi comme si je n'y avait pas ma place. Malheureusement je ressens aujourd'hui encore ce malaise dans une foule) de même que les honneurs dont j'ai horreur: en effet je n'y vois qu'hypocrisie, pour moi un remerciement se fait par une tape dans le dos et si c'est la fête une chope de bière.. Mieux vaut également ne pas insulter ma mère en ma présence, car ceci me plonge dans une colère noire: elle a subi trop d'insultes de son vivant pour en subir encore dans la mort.

Capacités magiques :
aucune

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Histoire

"Lève-toi, bats-toi. N'oublie pas que c'est dans la douleur que nait la force véritable!"
Cette phrase est celle qui a bercé mon enfance, elle m'a été tant répété que je continuai de l'entendre dans mon sommeil. C'est d'un capitaine qu'elle vient. Je fus placé dans la garnison du seigneur local très jeune, vers une dizaine d'années je crois: mon père qui était fantassin dans l'armée du seigneur de l'époque, avait décidé que je serai moi-même le plus grand des soldats de cette baronnie(du moins c'était son rêve). J'étais moi-même étonné d'être accepté dans l'armée alors que normalement on ne recrutais que des hommes ou des jeunes hommes particulièrement costauds et que j'étais un enfant de dix ans tout frêle à cause de mes origines Elfiques mais en exposant mes craintes à mon père, il me dit que j'avais été accepté en l'honneur des services rendus par mon père à celui du seigneur actuel durant sa carrière militaire.

Lorsque je suis arrivé au château où je devais faire la connaissance de ma promotion et de celui qui nous formerai, je fus accueilli par des regards de travers: certains se demandaient que faisait un enfant si jeune ici, la plupart de ceux qui rejoignaient l'armée avaient en effet déjà treize ou quatorze ans tous semblant taillés dans la roche, ce qui contrastait beaucoup avec mon corps frêle à cause de mes origines Elfiques d'autant que je n'avait que dix ans mais surtout, beaucoup se demandaient ce que faisait un sang-mêlé dans l'armée. Dans les coins je voyais soldats et le personnel du château discuter à mon propos (du moins il me semble, je sentais leur regard me percer de part en part). J'entendais de ci, de là des débats déraper sur la place des sangs mêlés dans l'armée puis je rencontra mes futurs camarades de classe ainsi que notre instructeur. Celui-ci vérifia rapidement la présence de toutes les futures recrue puis nous partîmes vers un camp d'entrainement à quelques kilomètres de là.

A notre arrivée à ce camp, on nous montra notre tente où nous dormirions durant les prochaines semaines afin de nous "endurcir", que nous n'aurions accès aux quartiers en dur qu'après une période de huit semaines si mes souvenirs sont bons. Dans la tente, nous fîmes connaissance: si certains (principalement les fils de marins ou de marchands qui avaient entendus des récits qui leur avaient rendu les Elfes sympathiques) cherchèrent à me connaitre(malgré un certain dédain), pour d'autres je devins le "Batard", quelqu'un qui n'avait pas sa place parmi eux, qui n'avait pas sa place dans le monde. L'entrainement commença alors: il était dur et le soir lorsque nous allions à la tente, celle-ci ronflait en moins de dix minutes. Dans la journée nous alternions corvée, exercice physique et maniement des armes, je me fis ainsi remarqué dans le maniement de l'épée malgré un style qui déplaisait au formateur car jugé trop "acrobatique": en effet, j'utilisais mon agilité afin de multiplier les angles d'attaques. Peu à peu, une cohésion de groupe effaça nos provenance sociales et un respect mutuel s'installa entre nous. Ceux qui m'appelaient le "Batard" me surnommaient (comme une grande partie du camp) "Fitz" qui signifiait la même chose mais dans un patois local et ceci tenait plus de l'humour que de l'insulte désormais.

Les huit semaines passèrent avec difficulté et à la fin de celles-ci, quatre d'entre nous furent forcés de quitter l'armée et de retourner à leur vie passée. Nous nous installâmes avec la garnison du château tout en continuant les entrainements à un rythme effréné et toujours aussi dur voir de pire en pire. Malheureusement, il y avait toujours un chevalier aigri pour m'insulter comme du poisson pourri et me punir en faisant de moi le larbin du camp au premier pas de travers ou quelques fantassins pour cracher à mon passage mais je m'en fichais. Les années passèrent et, lors de ma seizième année, on fit officiellement de moi ainsi que du reste de ma "promotion" des soldats et on nous envoya patrouiller dans tout le comté.

J'étais bien parti pour faire ma vie en tant que soldat mais le destin en décida autrement: nous escortions une caravane avec six autres soldats sur une petite route bordée par une longue pente relativement abrupte au bout de laquelle se trouvait une petite rivière quand nous tombâmes dans une embuscade: un douzaine de bandits dont quatre avec des arcs, quatre autres se mirent devant nous afin de bloquer la route et quatre autres derrières: trois soldats tombèrent dès le début de l'affrontement tués par des flèches d'une terrible précision, quand à moi je partis au contact des bandits à l'avant avec un autre des soldats tandis que le troisième fut blessé à la jambe en tentant de nous rejoindre, décidément ces flèches étaient terribles. Je parvins à occire l'un des bandits et commença à attaquer un second tandis que mon camarade se battait comme un lion, tuant deux bandits parmi ceux qui étaient à l'arrière et venus porter secours à leurs compagnons. Le pauvre prit une flèche dans le dos avant d'être achevé d'un coup d'épée dans le ventre. Sa mort me fit avoir deux secondes de pause, deux secondes d'inattention, ce fut deux secondes de trop qui furent violemment coupées par une flèche qui vint se loger dans mon épaule avant que je sente une épée me déchiqueter la chair dans un mouvement qui parti de l'épaule gauche jusqu'à ma hanche gauche (j'apprendrais plus tard que, par chance, la lame n'était pas entrée profondément). Je tombai dans la pente et roula jusqu'à la rivière heureusement peu profonde où, inconscient, je fus laissé pour mort par les bandits.

Je ne sais pas combien de temps se déroula avant qu'une famille de paysans me récupèrent et me soigne avec l'aide d'un prêtre de Neera. Je ne restai que peu de temps ans cette famille: en effet si la mère acceptai ma présence, je voyais bien qu'elle dérangeait le père qui n'avait accepté de m'accueillir que parce que je portais une cotte de maille et qu'il en avait déduit que j'étais un soldat.

Je quittai donc cette famille paysanne et commença la route pour rentrer au château mais en arrivant là-bas, je m'attendais à des amis heureux de me revoir mais je ne fus accueilli que par des regards mauvais et accusateurs. J'eus cependant rapidement l'occasion d'apprendre ma faute: j'étais le seul survivant de l'attaque et on me le reprochait. Je ne comprit pas tout de suite pourquoi on me reprochait ma survie à l'embuscade et enfin j'entendis circuler cette rumeur: je me serais enfui, j'aurais abandonné mes compagnons pour survivre sans me battre. Ce fut le retour des insultes et des crachats alors je demanda moins de trois jours plus tard la fin de mon serment au seigneur qui acceptai immédiatement. Après être parti, je décidai de faire de mon talent à l'épée ma vie en devenant duelliste.

Je me souviens de mon premier duel, cela faisait près d'un mois que j'étais devenu duelliste lorsque mon premier "travail" se présenta. J'entendis parler dans une petite ville d'un conflit entre deux nobliaux de campagne et que cela se règlerai par un duel. Je décidai donc de contacter l'un des deux nobles et lui offrit mon épée pour un prix modeste. Il accepta avec réticence car j'étais un sang mêlé mais face au nombre de candidature d'environ une (la mienne), il fut obligé d'accepter mon offre et je fus informé avoir trois jours pour me préparer à cet affrontement et me familiariser avec l'équipement que l'on m'avait prêté pour l'occasion: une épée, une dague et une cotte de maille assez fine qui me permettait une grande mobilité. On me promit même de m'offrir tout ce matériel si je gagnais le duel.

Après trois jours d'entrainement, je retournai voir mon "employeur" et celui-ci me conduisit jusqu'au lieu de mon futur combat où je découvris qu'avait été tracé avec des pierres un cercle où se déroulerait le duel. C'est alors qu'arriva mon adversaire, un homme d'environ trente ans qui maniait la lance ainsi qu'un bouclier triangulaire. Le combat débuta quelques minutes plus tard, une foule s'étend rassemblée autour du cercle, sacralisant un peu plus l'affrontement. C'est mon adversaire qui engagea et j'eus d'abord du mal à tenir face aux assauts répétés de mon adversaire dont je peinais de plus en plus à retenir les attaques avec mon épée gardée de mon passage à l'armée. Lorsque la lance effleura mon bras gauche, elle glissa le long d'une blessure heureusement pour moi légère malheureusement pour lui, cela laissera une ouverture dans sa garde qui me permit de frapper dans son bouclier et de jeter à terre mon adversaire, ce qui lui fit lâcher sa lance. L'homme lâcha son bouclier et tenta de rouler à terre afin de se mettre en sécurité avant de sortir une dague. Je saisit au sol la lance et le bouclier lâchés par l'homme lors de sa chute avant de lui donner une chance de fuir que celui-ci déclina en invoquant son honneur de combattant. Il chargea plusieurs fois, tentant de briser ma garde à l'aide de sa seule dague mais ses échecs successifs semblaient l'énerver et chaque charge était plus téméraire que la précédente, jusqu'au moment où, je fus obligé d'élancer ma lance, la fuite était impossible et, par réflexe, ma lance s'élança dans son corps et le transperça au niveau de la poitrine, tuant mon adversaire sur le coup. Sur le coup, j'avoue que la mort de mon adversaire me laissa abasourdi, autour de moi j'entendis des hourra ou des sifflements, je vis le visage de "l'employeur" de mon adversaire se décomposer face à la mort de son champion et au contraire celui du mien s'illuminer de joie.

Ce jour-là je compris, je compris que pour nos "employeurs", les duellistes ne sont rien d'autres que des armes dont ils se servent et dont la mort importe peu finalement, que le gagnant ou le perdant d'une rixe politique. Cependant, je me fous de la pensée de ces hommes, je gagne ma vie en faisant ce que je sais faire: combattre, c'est ce à quoi mon père m'a formé pendant toute ma jeunesse. Finalement, la pensée de ces hommes, c'est un peu mon gagne-pain, c'est leur inintérêt de la vie qui me permet d'être engagé et de vivre.

HRP:

Hey
Désolé pour le temps de réaction un peu long, faut dire qu'on est tous un peu bousculés dans le Staff en ce moment, mais allez, je suis là pour m'occuper de toi alors mettons tout de suite les pieds dans le plat !

Alors déjà tout d'abord, et c'est peut-être le plus grand point de contentieux de toute la fiche

Citation :

C'est d'un capitaine qu'elle vient. Je fus placé dans la garnison du seigneur local très jeune, vers une dizaine d'années je crois:

Tu décris Aethys comme physiquement en presque tous points semblable aux elfes, ce qui suggérerait une dominance de son sang elfe, seulement son développement se fait presque aussi vite ( sinon aussi vite ) que celui des humains. Alors il faut que tu saches que les elfes sur Miradelphia ont un rythme de croissance trèèèèès lent passé leurs 3 premières années de vie. Tu peux t'en faire une idée sur ce topic et que les sang-mêlés elfiques suivront cette courbe de plus ou moins près selon que l'influence du sang elfe soit plus ou moins forte chez eux.

Enfin, tout ça pour dire que si Aethys grandit comme un humain, il ressemblera plus à un humain qu'à un elfe. Ça n'empêche pas qu'il puisse ressembler à un humain élancé et longiligne avec les traits fins, mais ses proportions resteront plus humaines qu'elfiques.

Citation :

J'étais moi-même étonné d'être accepté dans l'armée alors que normalement on ne recrutais que des hommes ou des jeunes hommes particulièrement costauds et que j'étais un enfant de dix ans tout frêle à cause de mes origines Elfiques mais en exposant mes craintes à mon père, il me dit que j'avais été accepté en l'honneur des services rendus par mon père à celui du seigneur actuel durant sa carrière militaire.

C'est encore une fois plus ou moins le même souci. Même si finalement tu décides de rendre dominant le sang humain d'Aethys, à dix ans il n'aura tout de même pas la maturité physique d'un véritable humain de dix ans. Dans l'idée, c'est comme si tu envoyais en service militaire un gamin de huit ans. C'est peut-être un peu tôt pour lui infliger les mêmes traitements que les autres futurs soldats.

Citation :

Je fus placé dans la garnison du seigneur local très jeune, vers une dizaine d'années je crois:

Et là c'est probablement juste une maladresse de ta part, mais être placé en garnison entend que tu sois mis en service, et je doute qu'Aethys ait été mis en service si jeune

Quitte à ce que ton personnage puisse obtenir un ticket vers l'armée de profession de la Seigneurie dans laquelle il vit, je pense qu'il serait beaucoup plus intéressant que son père obtienne de pouvoir le former aux armes par lui-même et qu'ensuite seulement il fasse valoir le talent de son fils pour l'y lui obtenir une place. Comme ça, ça te permet d'introduire un entraînement martial fait au rythme de ton personnage sans avoir à lui infliger des choses physiquement impossibles ^^"

Citation :

Ce fut le retour des insultes et des crachats alors je demanda moins de trois jours plus tard la fin de mon serment au seigneur qui acceptai immédiatement.

Quant à ce moment de la fiche, c'est peut être indélicat mais une pareille clémence de la part de ton Seigneur sonne beaucoup comme un grand Deus Ex Machina. Mets-toi à sa place : la nouvelle te revient qu'un soldat ( et un demi-elfe en plus, ce qui n'est pas en son honneur ) a lâchement abandonné sa patrouille à la mort face à des bandits. Ce même soldat arrive comme une fleur et te demande de le laisser tranquillement partir à la retraite. Aurais-tu vraiment laissé faire ? Tu n'aurais pas plutôt hurlé à l'impertinence et demandé à ce qu'on lui coupe plutôt la tête ?

À ce moment là, très honnêtement, je pense qu'il serait plus intéressant pour Aethys de se faire oublier, et de simplement soit se résigner et s'en aller sans plus faire de vague ( avec une réputation pareille, personne n'attendrait de lui qu'il revienne de toute façon ), soit insister sur son innocence et au contraire tenter plutôt de regagner sa place au sein de l'armée.

Sinon, en tant que semi-elfe en Péninsule, un territoire où les elfes ne sont pour ainsi dire pas chose commune, il serait intéressant que tu élabores sur les conditions dans lesquelles les parents de ton personnage se sont rencontrés et ont décidé de s'unir. Il serait aussi intéressant que tu fouilles un peu les BG des différentes Seigneuries Péninsulaires histoire de t'en choisir une d'origine plutôt que de laisser la chose ainsi floue et "non contrôlée". Petit conseil : les territoires du Sud de la Péninsule sont moins racistes que ceux du Nord, et plus ouverts à ce qu'ils considèrent être "magique" ( dont les elfes, qui sont vues comme des créatures mystiques dans la majorité des territoires Péninsulaires ).

En plus de cela, il serait intéressant ( entends obligatoire ) de développer au moins au court d'un petit passage de ta fiche l'expérience que ton personnage aura pu faire du Voile qui a été une période extrêmement marquante de l'univers Miradelphien. Par la même occasion, ça te permettra aussi de développer un peu sur la relation qu'entretient de ton personnage avec la foi, qui est une immense part de la vie Miradelphienne.

Je t'invite aussi à te rapprocher des joueurs Péninsulaires pour t'informer des événements qui ont été joués récemment au sein de la faction pour potentiellement y raccrocher ton personnage, nourrir ta fiche et te donner des objectifs sur le plus long terme.
Par la même occasion, je te rappelle que le forum est actuellement dans un contexte d'Ellipse, et que donc, jusqu'à la fin Avril, sont jouables les années 12 à 16 un peu en vrac. Et histoire de s'y repérer un peu pour les nouveaux, on vous demandera ( quitte à ce que ne soient que deux vagues mots laissant entendre que vous n'avez rien fixé de particulier ) d'annoncer dans les derniers paragraphes quels sont vos projets pour vos personnages durant cette période.
Pour référence, un résumé du Contexte Péninsulaire durant l'ellipse ici.

Si tu as la moindre question, ma boîte à MP est grande ouverte, pareil pour les autres joueurs, et il y a le Discord dont le lien est accessible sur la PA Au plaisir o/

Bien le bonjour ! Des nouvelles ?

Si tu as la moindre question, n'hésite à nous MP ou à nous poke sur Discord. Si aucun signe de vie n'est donné d'ici le 15 avril, ta fiche sera placée dans les fiches abandonnées, où il te sera toujours possible de la récupérer si le coeur t'en dit.

A bientôt o/