Amaryllis de Termer

Identité

Nom/Prénom : Amaryllis de Termer
Âge/Date de naissance : An 3, Xieme cycle
Sexe : Damoiselle
Race : Humaine
Faction : Péninsulaire
Alignement : Chaotique Bon
Liens notables : la famille de Termer

Particularité :

• Excellente artiste, autant à la mine de plomb qu'au pinceau
  
• Une curiosité excessive, ses deux adorables grands yeux sont ouverts avec innocence sur les merveilles du monde.
  
• Elle manque des réflexes mentaux qui font que la plupart trouvent normaux les mystères qui  emplissent la nature. Tout est potentiellement sujet à question.
  

Métier : Fille du Seigneur de Termer
Classe d'arme : -

Possessions & Equipements :

Une noble dans sa demeure: La jeune Amaryllis bénéficie des largesses de sa famille et peut donc se consacrer pleinement à sa curiosité et à son imagination débordante sans se soucier le moins du monde des dures contraintes matérielles de la vie de tout les jours.
Du matériel de peinture et d'écriture: Carnet à dessin, mine de plomb, encre et plume, pinceaux et couleurs, la demoiselle possède tout ce qu'il faut pour coucher sur papier ou sur toile ses observations et ses idées.
Du matériel d'alchimie: La jeune Amaryllis porte un regard plein de curiosité sur les étonnants processus de création et de transmutation du monde naturel. Ayant trouvé du matériel et de vieux ouvrages aussi poussiéreux que moisis laissés à l'abandon par leur précédent propriétaire, elle aime s'y plonger avec assiduité et faire des expériences aussi instructives que parfois dangereuses pour son entourage.
Une collection d'ouvrage: La petite Amaryllis a réuni tel un écureuil tous les ouvrages d'intérêt oubliés dans les vieilles demeures et ruines de Termer. Si elle abandonne les ouvrages qu'elle ne comprend pas à sa grande sœur (nous parlons bien sûr ici des histoires de chevaliers et de demoiselles en détresse), elle dévore ceux qui concernent les arts et techniques de son temps, dont le fameux "Techniques de charpentes et d'ingénierie du forage, par Hector Ligas.", ouvrage de référence dont elle ne se lasse pas.

Apparence :

• Taille : 1m 55
  
• Couleur des yeux : bleu gris comme un ciel nuageux.
  
  
• Frêle et menue: Amaryllis est plus petite que ses ainées, mais en pleine croissance. Il serait bien difficile de savoir comment elle va évoluer, mais comme toute chose, elle observe les changements de son corps avec curiosité, et les couche sur le papier. Il y a néanmoins une constante. Ses fréquentes sorties à la recherche d'une nouvelle découverte et ses longues sessions à réfléchir sur les mystères du monde lui laissent peu de temps pour se goinfrer ni s'exercer, elle est  frêle.
  
  
• Jeune: Amaryllis est jeune. Mais l'air rêveur de la benjamine de Termer n'aide pas à ce qu'elle soit prise au sérieux. Le fait que la notion l'indiffère le plus souvent n'aide aucunement à corriger cette première impression. Par contre, lorsqu'on la mène sur le chemin d'un sujet qui l'intéresse, elle devient passionnée, décidée à partager ses réflexions, pour le meilleur et pour le pire.
  
  
• Un teint diaphane: Une enfant qui passe tant de temps à réfléchir, observer, peindre et dessiner n'a guère le temps de se blesser ou de marquer sa douce peau. Le temps qu'elle passe en extérieur pour ses observation se fait souvent à l'ombre, et ses sœurs prennent souvent garde à ce que sa curiosité ne la place pas dans des situations inconfortables.
  
  
• Inoffensive: Bien étrange celui qui aurait peur d'Amaryllis. La jeune fille donne plus l'impression qu'elle risque de se blesser par inadvertance que de faire de mal à quiconque, à moins que le premier n’entraîne le second évidemment. Si d'aventure l'idée lui venait de porter une arme, nul doute qu'elle aurait bien du mal à s'en servir efficacement.
  

Personnalité :

• Curieuse:  Rien n'arrête la curiosité d'Amaryllis, et surtout pas l'évidence. Elle veut comprendre pourquoi. Pourquoi les choses sont ainsi, pourquoi le monde fonctionne ainsi. Ce n'est pas tant pour remettre en question que pour comprendre. La jeune fille veut aller au fond des choses, et s'intéresse perpétuellement à ce qui l'entoure. Elle pense qu'il y a des découvertes fascinantes à faire dans la plus simple des évidences comme dans le plus mystérieux des secrets. Cette curiosité est difficile à résister, comme une soif jamais assouvie de compréhension.
  
• Innocente: Amaryllis aimerait que le monde soit simple. La complexité des relations humaines l'ennuie. La jeune fille se demande  pourquoi les gens ne se contentent pas de dire ce qu'ils pensent et d'accepter que l'autre puisse être différent. Les différences ne sont pas une tare, elles sont une opportunité de découverte, une opportunité d'assouvir sa curiosité sans limite. Cette innocence lui est à la fois naturelle, mais c'est aussi un effort qu'elle fait en permanence, dans l'espoir de voir en toute chose et en tout évènement l'opportunité de comprendre plus.
  
• Analytique: Amaryllis ne cherche pas les réponses qui la rassurent: Elle n'a jamais eu l'occasion d'être inquiétée par une réponse. Non, elle cherche la vérité, ou du moins ce qui y ressemble le plus. Elle remet en question ce qu'elle pense savoir compris, cherche des moyens de démontrer que c'est faux, et est en perpétuelle quête de preuves pour faire évoluer ses croyances en savoirs.
  
• Inventive: C'est bien d'apprendre de nouvelles choses, mais  Amaryllis aime aussi beaucoup trouver des solutions originales aux problèmes que le monde lui présente. Que ce soit démontrer quelque chose ou imaginer une méthode ou un appareil original pour trouver une issue à des difficultés inattendues, la jeune fille adore mettre sa créativité et son imagination débordante en branle pour transformer une vision en réalité.
  

Capacités magiques :
Aucune

---

---

Histoire

Il était une fois Adonis de Termer un un seigneur de Merval, que l'amour avait uni à la plus belle des dame.  Ils étaient unis dans l'amour des belles choses et des fêtes, et préféraient donc voyager de cours en cours, car les richesses que leur apportaient la seigneurie de Termer leur semblaient inépuisables.

Il ne leur manquait qu'une chose pour que leur bonheur soit complet. Ils avaient déjà deux petites filles mais c'était un fils qu'ils attendaient. Un jour, la dame s'aperçut qu'elle avait été touché à nouveau par la grâce de la Dame Blanche. Quelque mois plus tard, par une nuit d'orage, le bébé vient au monde. Une fille… encore une fille.

A l'annonce le père quitta le château, abandonnant femme et enfants.

Cependant, il revient quelques jours après se rendant compte que son amour était plus fort que sa déception. L'enfant fut alors nommée Amaryllis : la douleur d'amour. Mais depuis, ils ne parvinrent plus à concevoir.

La petite Amaryllis grandit aux côtés de ses sœurs dans le château de Termer, leurs parents vivant majoritairement à la court de Diantra. Elle fut confiée très tôt aux précepteurs, et la jeune enfant s'avéra des plus éveillée. Du moins au début. Elle apprit la lecture et l'écriture comme s'ils étaient une seconde nature. La jeune enfin parvint aussi très tôt à coucher sur le papier des représentations de la nature saisissantes d'émotion.

Le seigneur était un homme de vertu autant que de pragmatisme.  Adonis, puisque tel était son nom, était donc le plus heureux des hommes, du moins parmi ceux qui n'avaient pas de fils: La benjamine ferait certainement une bonne épouse un jour, comme son aînée et contrairement à sa cadette. Il pourrait en tirer quelqu'avantage pécunier ou politique lorsqu'elle aurait atteint la fleur de l'âge.

Malheureusement le sort s'acharnait sur lui. Alors que Myosotis poussait comme une mauvaise herbe malgré tous ses efforts éducatifs pleins de bienveillance, Il eut le désespoir de voir Amaryllis montrer peu à peu des signes d'ineptie. Cela n'aurait pas été si grave si elle avait été capable de retenir les règles de l'étiquette.

***

- Amaryllis, reprenons. Supposons que admettons que tu puisses être d'humeur joyeuse, tu choisis quel chapeau?" La préceptrice parlait lentement en observant la blonde enfante un peu demeurée, un grand sourire qui se voulait rassurant épinglé à son visage. Ladite enfant la regardait en retour avec de grands yeux, alors même qu'elle aurait du plutôt se concentrer sur les magnifiques couvres chef qu'on lui présentait.


A coté d'elle, Hesperis trépignait littéralement, la réponse sur le bout de ses lèvres. Finalement, Amaryllis ouvrit la bouche. Tous retinrent leur souffle.

- Est-ce que... je pourrais simplement demander son avis à Hesperis? ou ne pas porter de chapeau?" La demoiselle de Termer souriait innocemment, dans l'espoir d'avoir trouvé une solution inventive au problème qu'on lui présentait. La préceptrice soupira. Ses enfants allaient la rendre folle, heureusement qu'il restait Hesperis pour démontrer qu'il y avait un peu de matière grise dans cette lignée. Où était encore passée Myosotis d'ailleurs?

***

Si on omettait les traditions et les bonnes manières, ou à moins que ce ne soit lié, Amaryllis était curieuse de tout. Elle connut vite par cœur les moindres recoins du château. Puis elle étendit ses horizons en dehors des murs.

***

- Comment la deuxième lune est-elle apparue dans le ciel?" Amaryllis aurait aimé être là pour assister à l’éclipse. Les récits qu'elle en avait entendu du prêtre et de tous ceux qui y avaient assisté étaient fragmentaires, peu convaincants ou sans grand intérêt. Il fallait dire qu'il ne s'était rien produit de particulièrement extraordinaire à Termer même. C'était décevant. Le prêtre était le seul qui avait quelque chose à en dire, et il essayait présentement de répondre aux questions de la châtelaine avec toute la patience dont il était capable.

- Mon enfant, c'est parce que les dieux l'y l'ont placée."
- Vous me l'avez déjà dit, mais cela n'explique pas comment elle est arrivée là. Ni pourquoi? Dans quel but?" Cette lune la fascinait. Un corps céleste n'était pas censé apparaître en un claquement de doigt, et apparemment tout le monde s'en fichait.  
- Il s'agit de la demeure des dieux mon enfant." Il tapotait du doigt sur l'accoudoir de son fauteuil. La jeune fille fronça les sourcils.
- Pourquoi auraient-ils voulu changer? Et comment le sait-on?"

***

Si le prêtre avait été une source d'information pléthorique, l'enfant avait vite trouvé que les réponses simples qu'il lui apportait, et qu'elle pouvait résumer à "parce que les dieux l'ont voulu" ne satisfaisait guère ses exigences. C'était néanmoins après s'être faite violemment gronder par son père après un débat de trop avec l'homme de foi qu'elle compris qu'on pouvait certes discuter de tout, mais pas avec tout le monde. A partir de ce jour, Amaryllis se contenta d'hocher bêtement la tête à tout ce que le prêtre disait sans prêter grande attention à ce qu'il disait. Curieusement, il en sembla satisfait.

Au fils des ans, la cité autrefois florissante perdit de sa superbe. Amaryllis aimait apprendre auprès des artisans, les ingénieurs et les savants de passage. Certains aimaient qu'on s’intéresse autant à leur travail. Elle y passait ses journées, et commença à sauter les cours des précepteurs qui ne l’intéressaient pas.

La population commença à émigrer alors que la richesse de la seigneurie se tarissait en raison de la gestion catastrophique du seigneur. Le duché avait ses propres problèmes, et laissa faire.

Amaryllis vit peu à peu les artisans et les ingénieurs déserter la ville, et la nature reprendre ses droits. Les bâtiments abandonnés, certains dans la précipitation, recelaient moult trésors, qu'elle prit grand plaisir à chercher. Elle était petite, et si elle revint plus d'une fois au château aussi crasseuse qu'une mendiante, elle pouvait se faufiler dans les plus petits recoins, à la rechercher de ce que les occupants avaient laissé. Machines aux fonctions mystérieuses, outillages, quelques serrures, casses têtes fascinants à résoudre s'il en était.

Elle trouva même quelques rares ouvrages spécialisés que la petite fille chérit amoureusement et relut encore et encore comme s'il s'était s'agit du plus passionnant des romans d'aventure.

Il y avait aussi une vieille femme pleine de mystère auxquels les villageois faisaient appel lorsqu'ils avaient besoin d'aide. Elle logeait dans une masure écartée du village, aux frontières de marais et de ses dangers. Elle était dangereuse, paraissait-il. Amaryllis ne comprenait pas pourquoi, mais hésita longtemps, car elle se disait que tant d'adultes devaient bien avoir raison. Finalement, un jour, n'y tenant plus, elle alla discrètement lui rendre visite. Le lendemain, elle y retourna. Puis le surlendemain à nouveau.

Elle apprit tant de choses sur les simples et les plantes, et sur les marais eux-même. La vieille femme écoutait ses questions. Elle n'avait pas réponse à tout, mais lorsque c'était le cas, elle s’arrêtait, réfléchissait longuement, puis le disait à Amaryllis. Les merveilles du monde étaient sans limite, et, dans l'esprit de la jeune fille, le savoir suscitait un espoir formidable, l'emplissait de bonheur.

Il y avait tant de choses à découvrir. De quoi occuper plusieurs vies. Ce qu'elle ignorait dépasserait toujours ce qu'elle avait compris, et c'était là la chose la plus belle qui était.

Amaryllis poussait comme une jolie fleur lorsque la guerre de Merval éclata. Heureusement, Termer était assez écarté des grandes routes pour en être épargnée. Mais l’événement acheva l'économie moribonde de la seigneurie. Le seigneur vendait meubles et affaires pour financer son train de vie à la cours. Quant-à la jeune fille, entre ses expéditions dans les marais, au travers des mines et des bâtiments en ruine et la découverte fascinante de son corps changeant, elle n'avait guère d’intérêt pour des événements dramatiques qui l'entouraient.

Du moins jusqu'à ce qu'ils viennent à elle. D'abord en bien. Parmi les pauvres hères venus chercher refuge loin des combats se trouvaient un alchimiste hérétique. Un jeune homme enthousiaste et plutôt plaisant. Si la demoiselle se contenta d'hocher la tête avec enthousiasme aux récits de sa foi comme elle avait appris à le faire si bien dans pareil cas, l'adolescente découvrit qu'elle le trouvait passionnant à entendre lorsqu'il dissertait sur sa quête de l'alchimie.

Au château, on avait presque pris l'habitude de voir Amaryllis disparaître quel que soit les mesures qu'on tentait de mettre en place pour la retenir. Elle passait ses soirées à assister le jeune homme dans ses expériences, à discuter, lire, écrire, rêver de percer les mystères de l'univers. Il était parfait.

Du moins jusqu'à ce que père s'en aperçoive.

Lorsqu'elle fut finalement autorisée à sortir de sa chambre, de longues semaines plus tard, le jeune homme et la vieille femme étaient partis, lui dit-on. Elle était déçue, mais elle le crut, faute de mieux.

Petite histoire économique de Termer

La seigneurie de Termer est située à la frontière Nord Ouest de Merval, à cheval entre la forêt de la Brande et les marais Pharetans. Cette terre sauvage et difficile d'accès en temps normal a pourtant vu son heure de gloire arrivée il y a de cela deux générations lorsque des gisements de cuivre furent découverts dans les collines de son arrière pays.

Une large économie locale autour de l'extraction du précieux métal se développa alors, renforcée par la gestion du seigneur de Termer d'alors. Termer grandit progressivement, et la route qui la reliait au cités côtières de Merval dont les chantiers navals étaient de grands consommateurs du métal fut élargie et renforcée pour le passage des chariots. Des ouvrages hydrauliques permirent de la rendre carrossable toute l'année malgré sa position en bordure des marais.

Termer n'était peut-être que peu de choses dans le grand ordre des choses, mais Termer était une réussite, dirigée d'une main à la fois ferme et subtile par le seigneur Cinyras. C'était un homme profondément respecté par la plupart de ses administrés concentré sur la bonne marche de sa seigneurie et qui sut y attirer mineurs en quête de fortune, artisans ambitieux et commerçants audacieux. Des investissements plein de sagesses et une imposition modérée permirent ainsi de stimuler une économie prospère.

Cinyras eut un seul fils, Adonis de Termer. Adonis était un noble conscient des richesses de sa seigneurie, et qui découvrit les fastes de la court lors des voyages de son père. Mais là où Cinyras y voyait un outil pour le développement de sa seigneurie, laquelle était son véritable enfant, Adonis y vit un endroit où il pouvait exister. Il y vit l'endroit où tout pouvait arriver, où il pourrait être quelqu'un.

Lorsque Cinyras mourut, Les marchands et artisans offrirent à la ville une magnifique statue le représentant triomphant au coté du commerce et de la prospérité. Rien ne pouvait arriver à Termer.

Et Adonis prit la succession. Un jour, l'homme  aurait dit "Le travail c'est l'affaire d'une génération sur deux. Mon père a travaillé, moi je peux profiter. Mon fils travaillera." Cette maxime, aussi discutable soit-elle, Adonis l'appliqua à la lettre. A lui le faste de la court, la seigneurie lui appartenait, et subviendrait à ses besoins. Adonis avait besoin d'amis. Adonis sut se faire des amis, car il savait organiser des fêtes et des banquets.

Rapidement, l'imposition modérée qu'avait mis en place son père ne suffit plus. Alors il l'augmenta. Rapidement, il fallut choisir entre l'entretien des voies de circulation et des complexes ouvrages hydraulique et l'entretien de son train de vie. Il choisit le train de vie.

La croissance de Termer tint bon quelques années, puis ralentit. En réaction, il demanda plus d'efforts. La communauté s'inquiéta. Les premiers marchands fermèrent boutique, suscitant l'ire du seigneur. Il prit des mesures.

Il découvrit qu'il pouvait vendre les concessions les plus rentables. Et se fit de nombreux nouveaux amis à Diantra par la même occasion. Des amis moins intéressés par une prospérité durable que par des gains rapides. L'inquiétude grandit dans la bourgeoisie. Le seigneur allait-il rompre tous les accords tacites qui faisaient la prospérité de la cité? Divisés, certains abandonnèrent, d'autres vinrent se plaindre au seigneur. Le seigneur prit des mesures.

Termer commença à décliner. Adonis continuait à dépenser, et ne gérait rien. Les années passèrent, la population déclina, les impôts s'élevèrent d'autant. Les maisons se vidèrent. Les herbes folles grandirent là où l'activité des hommes s'éteignait.

Les marais reprirent leur droit peu à peu, inexorablement. Termer agonisait, lentement.

On en est là.

HRP:

Bonjour !

Je viens à la chasse aux nouvelles!
Si tu as la moindre question, n'hésite à nous MP ou à nous poke sur Discord. Si aucun signe de vie n'est donné d'ici le 23 Juin, ta fiche sera placée dans les fiches abandonnées, où il te sera toujours possible de la récupérer si le coeur t'en dit.

A bientôt

ENFIN, après moult rebondissement, vous voilà validée ma chère rosière.
Puisse votre sœur et vous trouvez votre bonheur en ces vertes prairies.

( Et petit NB : vos personnages sont jeunes et on en a un peu discuté HRP donc pas besoin de bourrer la fiche de mentions historiques sur les guerres et successions, mais restez à l'affut pour vous intégrer bien comme il faut au contexte )

Code:

[Métier] : Demoiselle de Termer

[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : aucune

[Alignement] : Chaotique Bon