Helios Ladriel [terminé]

Identité

Nom/Prénom : Ladriel Helios
Âge/Date de naissance : 27 ans, l’an 989 du Xie cycle. (il ne connait pas le jour et mois exacts)
Sexe : Masculin
Race : Humain
Faction : Ithri'Vaan
Alignement : Chaotique Neutre
Liens notables : Eurybia Pyrit, fille de la famille l'ayant recueilli.

Particularité : Ses bras et son torse sont recouverts de tatouages, les cicatrices restent cependant visibles également, surtout les profondes sur le torse.


Métier : Forgeron
Classe d'arme : Corps à corps

Possessions & Equipements :
Helios possède deux armes, qu'il transporte toujours sur lui. Etant forgeron, il a la possibilité évidemment d'en avoir d'autres, mais sur lui seulement ces deux là:
Une hache de guerre, plutôt imposante, qu'il porte dans le dos. Et un poignard, plus fin mais fort bien forgé, qu'il dissimule sous ses vêtements.
Son équipement/armure n'est composé que de cuir et de quelques morceaux de métal et d'os.
Il possède également sa forge, où il vit également.
Et un solide et endurant destrier, nommé Mythra.

Apparence :

• Taille : 1m85
  
• Couleur des yeux : Brun
  

Helios n'essayait même pas de paraître aimable, il n'était pas là pour ça. Son visage aurait pu passer inaperçu, ne jamais être remarqué, se fondre dans la masse et que tous oublient son existence, avec ses yeux bruns et ses cheveux bruns, si cette tête n'avait pas été perchée sur une telle carrure. Sans compter qu'en choisissant de tresser ses cheveux vers l'arrière, pour ne pas avoir à les couper constamment, il ne passait pas pour quelqu'un de très fréquentable. Tant mieux, il ne l'était pas. Et il n'avait pas de temps à perdre avec des idiots curieux. Ses bras croisés mettaient en évidence la musculature de ce haut du corps couvert d'étranges symboles. Il ne parlait pas de leur signification qui remontait pourtant à une tradition familiale qu'il était fier de partager. Le savoir-faire des métallurgistes et des forgerons était inscrit sur sa peau. Qui reconnaîtrait les symboles pouvait deviner la maîtrise de l'artisan dans chaque étape dans la transformation des métaux.
Le dur labeur, accompli depuis son jeune âge, eut en effet le mérite de sculpter sa silhouette, dessinant une musculature saillante. Il gardait la plupart du temps une légère barbe, par manque de temps et d’envie de se raser de près. Il n’avait jamais été porté sur la coquetterie. La vie n’était pas un long fleuve tranquille, ni une promenade de santé. Il gardait cependant une hygiène correcte, du mieux qu’il pouvait.

Ses vêtements n’étaient composés que de cuir. Veste et jambière de cuir, un capuchon pour se protéger du mauvais temps. Des gants usés par le temps également. Les temps étaient durs, pour survivre, il fallait savoir s’adapter, avec les moyens du bord, tout ce qu’il pouvait trouver -ou voler- d’utile était transformé et réutilisé.

Il portait plusieurs petites cicatrices sur le visage, dues à des bagarres dans des tavernes ou autres. Il possédait diverses autres marques et cicatrices sur le corps, dues à des altercations, des coups et divers stigmates de la vie, plus particulièrement d’un combattant.
Sa voix était assez agréable à l’oreille, grave, juste ce qu’il fallait, hélas troublée par le ton cassant et autoritaire qu’il employait généralement.

Difficile de correctement définir la première impression que les gens pouvaient avoir de lui, sur sa simple apparence physique. Il pouvait être agréable à l’œil, néanmoins, il n’inspirait pas forcément la confiance à autrui. Il pouvait mettre mal à l’aise. Son expression reflétait un caractère fort.

Personnalité :

Helios n’était pas toujours belliqueux, il ne cherchait pas souvent le conflit. S’il voyait qu'il était face à une situation compliquée, il allait plutôt attendre un peu que la tension retombe, puis tenter de résoudre le problème autrement. Par ailleurs, quelque peu enivré, il n’était pas contre une bonne bagarre. Sans chercher le premier, il savait néanmoins répondre très efficacement. Il était parfois facile de le provoquer, surtout si on touchait à son orgueil...
Mauvais penchant pour le sarcasme, sans se plonger dans des logorrhées, il faisait court et efficace. Plutôt patient, pas par charité ni compréhension, mais par économie d’énergie. Il savait attendre le moment opportun, avec un certain discernement, lorsqu’il avait une idée en tête.

Helios s'adaptait facilement à son environnement. Il évaluait les objets par leur utilité et leur utilité seulement. Pour les gens ? C'était pareil. Ses contacts l’étaient pour de bonnes raisons, soit professionnelles, soit ils étaient pourvoyeurs de services. Il était assez difficile de gagner la confiance du métallurgiste, rares étaient ceux qu'il considérait comme ses amis. Certains diront que c'était le cas des personnes qui menaient une vie de méfiance et d’individualisme, ce n'était pas pour faciliter les relations sociales. Pourtant, si vous gagniez sa confiance, il pouvait être d'une redoutable loyauté.
Il se montrait très protecteur lorsque celle-ci était gagnée. Protecteur et même possessif. Toucher un cheveu d’une personne sous sa protection ne vous fera hériter que du titre d’ennemi. Il ne trichait pas avec la confiance, il ne jouait pas. Déçu, trahi, il vous le fera payer au prix fort.

Son histoire l’a rendu solitaire, il s’est retrouvé seul, abandonné par ses parents, mis de côté par la vie et la force des choses. Il ne voyait pas grand monde, pas beaucoup d’échange, pas de partage. Il avait simplement apprit de la famille qui l’avait accueilli comme apprenti forgeron, les rudiments du métier, il trouva en en maître, un mentor. Peu à peu, les choses allaient évoluer, avec le temps il apprit à retrouver une famille, des gens de confiance.

Capacités magiques :
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Histoire

Helios ne connaît pas le jour exact de sa naissance, ni son véritable nom de famille. Son père est mort, sans qu’il n’ait eu le temps de le connaître. Sa mort fut douloureuse, la maladie l’emporta. Il savait simplement ce que sa famille adoptive lui avait apprit, qu’il avait été déposé dans un petit temple d’un village. La mère, bien trop pauvre pour pouvoir nourrir une autre bouche de plus, au lieu de lui donner la mort, elle avait préféré le confier. Elle était certainement morte quelques mois, voire quelques années après. Helios était orphelin, mais il trouva refuge auprès des Pyrit, qui lui donnèrent le nom de Ladriel. Ils avaient qu’une fille, désireux depuis longtemps d’avoir un fils, c’était une aubaine pour eux. Le temple fut soulagé de confier l’enfant à cette famille de commerçants assez prospères, ils ne s’en sortaient pas trop mal, connus et respectés dans les environs. Ainsi, il apprit le travail du fer, la métallurgie. La fonderie était son domaine, son poumon. Dans la bâtisse adjacente, c’était la forge. Le père Pyrit lui enseigna les rudiments du métier, comme à son propre fils.

Helios fut assez proche de la fille, Eurybia, un peu plus jeune que lui. Ils s’amusaient souvent ensemble. Il savait aussi qu’il devrait donner plus que les autres, travailler encore plus. Pour remercier ces personnes qui l’avaient pris sous leur aile, avoir un toit, de la nourriture, un métier, un avenir. Il en serait reconnaissant à jamais.

Même si Eurybia jalousait parfois la qualité d’apprenti de Helios, elle l’appréciait tout de même, à sa manière. Ils grandirent ensemble, mais pas comme des frères et sœurs. Il y avait cette barrière entre eux, ce lien indéfinissable, qui pourtant se logeait dans sa tête.
Encore plus tenace lorsqu’ils marquèrent chacun la peau de l’autre. Les divers symboles sous forme de tatouages définissaient le métier de métallurgiste, c’était une pratique ancestrale dans la famille. Elle représentait la qualité du travail de l’artisan, son savoir-faire. Et encore plus, cela marquait son appartenance à cette communauté, il était marqué comme eux, il faisait comme parti de leur clan. Ce sentiment était puissant, indestructible. Il savait qu’à partir de ce jour, il leur serait fidèle. Il leur jurerait protection.

Hélios et Eurybia finirent par se mettre ensemble, ils s’aimaient, à l’abri des regards et jamais de gestes d’affection devant les parents, évidemment. Cela ne les empêchait pas de profiter des rares moments où ils se retrouvaient seuls, à l’atelier ou à la fonderie. Ou encore, sur les chemins les menant par exemple, amener du matériel.

Évidemment, cette situation ne pouvait pas durer éternellement. Les remarques appuyées de la mère laissaient entendre qu'elle connaissait mieux sa fille, que cette dernière pouvait le croire. La suite logique n'était-elle pas un mariage après tout ? En tout cas, Helios en était persuadé. Ce fut donc tout naturellement, qu'il décida de lui demander sa main, alors qu'ils marchaient bras dessus bras dessous.
Il était loin de se douter que l'intéressée ne partageait pas réellement cette perspective. Néanmoins, non contente de le laisser sans réponse, elle partit pour une autre région, le lendemain. Le choc fut brutal, une douleur lancinante dans la poitrine. Un abandon. Un de plus.

Il ignorait à ce jour si Eurybia était morte ou vivante, il se jura simplement de ne plus éprouver ce genre de sentiments aveuglants et affaiblissants pour les femmes.
Il continua de travailler, il jeta même à corps perdu dans la forge et s’entraînait avec hargne avec les armes qu’il forgeait. Ses parents adoptifs étaient quasiment en fin de vie, eux aussi l’abandonneraient bientôt. Mais il avait été clair là dessus, il ne laisserait pas la forge, il reprendrait le flambeau et la ferait perdurer, la défendrait au péril de sa vie.
Le malheur et la mort arrivèrent rapidement, plus que prévu. Les deux parents furent emportés... Helios jouait aux jeux, il avait accumulé quelques dettes, ce qui n'était pas pour ravir les bandits avec qui il jouait. Un soir, quelques valeureux de ceux-là, vinrent s'attaquer à la forge Pyrit, histoire d'y voler du matériel. Par manque de chance, les parents étaient debout et prêts à défendre leurs biens, le fruit de leur labeur. Le métallurgiste était sorti, les bandits s'en prirent alors à eux. Il ne put que constater leur mort, alors qu'il rentrait totalement ivre. Il ne se pardonna jamais cela...
Helios se retrouvait maintenant seul. La vie était ainsi pour certaines personnes, moins bien loties. Cela fit accroître son caractère peu commode, il s’habituait à la solitude, en devenait enclin à la paranoïa parfois, ruminant dans son coin. Il avait besoin et envie d’agir. Pour oublier, pour se défouler.

C’était assez aisé pour un artisan à Ithri'Vaan. Il n’était pas riche, mais pas pauvre non plus. Le grand brun arrivait à vivre et à se faire plaisir, la plupart du temps. Mais les finances n’étaient pas toujours au beau fixe. Récemment, il comprit qu’un honnête homme ne gagnait pas forcément mieux sa vie qu’un autre. Il n’avait aucun scrupule à faire affaire avec des êtres plus ou moins louches, il avait sa vision bien à lui de la morale. Ce qui lui était profitable, était bon pour lui. N’était-il pas dans la nation de l’argent ? Il saurait tirer son épingle du jeu, et ce, même s’il fallait parfois tomber dans une certaine illégalité.
Sa forge étant située, aux environs de la cité de Thaar, c’était généralement avec ses habitants qu’il était amené à marchander. Bien sûr, il se devait d'honorer les commandes spéciales. Il n'oubliait pas que son commerce ne pouvait continuer d'exister seulement parce que la princesse marchande, Krish Al'Serat, l'autorisait. Ils y trouvaient leur compte. Bien qu'il aurait préféré être uniquement son propre chef et ne pas dépendre et suivre les ordres d'une corporation.

Il méprisait les puissants de ce monde, les riches. Il fallait bien manger, alors il les servait comme les autres, d’autant plus parce qu’ils avaient de quoi payer grassement… Mais ce n’était jamais avec plaisir qu’il forgeait pour les parasites de ce monde, à l’abri dans leur jolie cage dorée.
Helios se tenait à l’écart de la politique, il se contrefichait bien de qui dirigeait, il n’obéissait qu’à son propre chef, pour ainsi dire lui-même. Il n’avait que faire d’une pléthore d’arrivistes, qui se remplissaient les poches sur la misère des autres. Cette idée de construction de mur était une ignominie… Leur région était riche de diverses cultures et métissages, signe d’une ouverture sur le monde. Pourquoi chercher à s’enclaver, à dresser des barrières et marquer encore plus les inégalités… L’homme au regard sombre était un travailleur du métal, un gars du peuple, du vrai peuple. Même si comme dit, il ne s’en sortait pas si mal, il le devait à la sueur de son front. Il ne s’accordait presque pas de repos. Le travail, l’entraînement, là était sa vie, son fonctionnement.

Dans cette nation marquée par l’hédonisme, Helios se complaît particulièrement. Bien que croyant aux puissances mystiques, il n’était pas un fidèle. Il était un peu perdu au niveau de ses croyances, il avait sans doute le besoin de se raccrocher à un groupe, même si celui-ci pouvait s’avérer être dangereux ou fanatique. Ses rencontres potentielles pourraient peut être l’amené à se pencher sur une forme de religion, plutôt qu’une autre.
Depuis le voile, la mentalité des gens en Ithri'vaan avait quelque peu changé. Il était petit lors des faits, âgé de seulement dix ans, les gens étaient devenus fous... Tous cédaient à leurs moindres envies et pulsions. Pour un enfant, les choses étaient bien différentes, les envies n'étaient pas les mêmes. Il profita de l'aveuglement et de la démence des hommes et des femmes, pour fuir dans la cave avec Eurybia et vider toutes les réserves, surtout les sucreries en tout genre. Les passions étaient déchaînées. L'émergence de ce dieu, longtemps écarté par les humains de la péninsule vint au cœur de métallurgiste, au fil du temps, ce Dieu des passions et des arts.

HRP:

Tout d'abord, au risque de me répéter; Bienvenue sur Miradelphia

Après une première lecture, il y a quelques petits trucs qui m'ont interpellé. Ne t'en fais pas! Rien de grave! Miradelphia peu parfois être très complexe, et son BG est énormément complet.

Helios a écrit:

Pour la saison hivernale, il se revêtit d’une fourrure, par dessus son équipement.

Alors rien de très grave, ton personnage peut très bien être "frileux". Thaar a généralement un climat très chaud, et l'Ithri'Vaan est tout près du désert de Zurthan, donc en soi, il n'y a pas vraiment d'hiver rigoureux. Il fait un peu plus frais, mais de là à porter des fourrures... C'est limite. Après tu peux jouer avec cela, ce n'est que pour ton information.

Helios a écrit:

Ainsi, il apprit le travail du fer, la métallurgie. La fonderie était son domaine, son poumon. Dans la bâtisse adjacente, c’était la forge. Le père Tamriel lui enseigna les rudiments du métier, comme à son propre fils.[...] Encore plus tenace lorsqu’ils marquèrent chacun la peau de l’autre. Les divers symboles sous forme de tatouages définissaient le métier de métallurgiste, c’était une pratique ancestrale dans la famille. Elle représentait la qualité du travail de l’artisan, son savoir-faire. Et encore plus, cela marquait son appartenance à cette communauté, il était marqué comme eux, il faisait comme parti de leur clan. Ce sentiment était puissant, indestructible. Il savait qu’à partir de ce jour, il leur serait fidèle. Il leur jurerait protection.

Helios a écrit:

Il méprisait les puissants de ce monde, les nobles. Il fallait bien manger, alors il les servait comme les autres, d’autant plus parce qu’ils avaient de quoi payer grassement… Mais ce n’était jamais avec plaisir qu’il forgeait pour les parasites de ce monde, à l’abri dans leur jolie cage dorée.

Alors, il n'y a pas de noble à Thaar ou dans l'Ithri'Vaan. Dans cette faction, c'est l'argent qui est roi.  Différentes citées sont contrôlées par différents marchands extrêmement riche appellées les Princes Marchands. Certains ont non-seulement le monopole de certaine cités (i.e Ys, Uldal'Rhiz, etc..) et ont aussi un très grand contrôle sur les différents commerces de la ville. Les Princes Marchands sont extrêmement puissant (et riche) et forme un conseil qui dirige l'Ithri'Vaan. Bon après, cela comment ils sont arrivées là, ça dépend de la personne. Certaines sont là depuis la nuit des temps, d'autres ont hérités, et d'autres ont tout cramé pour avoir...

Chaque commerce est généralement contrôlés par l'un d'eux. Pour la métallurgie est contrôlée par une Princesse Marchande nommée Krish Al'Serat. Cette dernière a fondé la corporation d'argent. La corporation oblige les forgerons et autres marchands à s'inscrire à cette dernière et de griffer toutes leurs productions.  Ils y gagnent le droit de travailler, des tarifs préférentiels sur les minerais et les outils et ont l'obligation de réaliser les commandes qui leur parviennent de la Corporation à un prix fixe. La corporation, elle, rentre dans ses frais avec la vente de minerais et sur les permis de vente et de création d'armes. Cette organisme me te restreint pas en soi, elle est là pour que chacun puisse trouver son compte.

Helios a écrit:

Dans cette nation marquée par l’hédonisme, Helios se complaît particulièrement. Bien que croyant aux puissances mystiques, il n’était pas un fidèle. Il était un peu perdu au niveau de ses croyances, il avait sans doute le besoin de se raccrocher à un groupe, même si celui-ci pouvait s’avérer être dangereux ou fanatique

Aucun problème à ce qu'Hélios ne soit pas un fanatique ou ne prie pas un Dieu en particulier, mais sache que les dieux existent sur Miradelphia, certains événements marquants des dernières années à définitivement été en lien avec certain d'entre eux.

D'ailleurs, je te demanderais de faire un passage au sujet du voile. Tu peux retrouver plus d'information juste ici. En gros, on veut juste savoir qu'es qu'Helios a fait durant l’éclipse, qu'es qu'il en a pensé? Es-ce que cela a influencé sa vision de la vie d'une quelconque façon?

Bref, juste quelques petites corrections pour s'assurer que tu as bien comprit le BG.

Si tu as des questions, je reste dispo sur didi ou par MP  

Bienvenue à Thaar, forgeron. En espérant que tu puisses y trouver ton compte sans trop déranger ceux que tu méprises

Code:

[Métier] : Forgeron

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Chaotique Neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.