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 MàJ BG - armée Soltariel

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Francesco di Castigliani
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MessageSujet: MàJ BG - armée Soltariel   MàJ BG - armée Soltariel I_icon_minitimeSam 14 Déc 2019 - 15:46


ARMÉE DE SOLTARIEL

MàJ BG - armée Soltariel Vt4t

I. De l'art de faire la guerre en pays soltaar
II. Mysticisme et tradition soltari
III. Effectifs de l'armée
IV. Soldats de métier
V. Miliciens
VI. unités spéciales
VII. Flotte de guerre

I. De l'art de faire la guerre en pays soltaar

Voir l'armée soltaar se mettre en branle est assurément un spectacle captivant. Non point parce que l'ost semble être aussi discipliné que les fiers et rudes guerriers du nord, que nenni ! Non point non plus parce que leur uniformité impose le plus grand respect. Diantre que non ! Rien de ces points ne caractérisent vraiment l'ost soltaar lorsque le duc ou la duchesse parvient à le lever pour s'en aller bouter l'ennemi. Vous l'aurez donc compris, cette armée toute aussi disparate que flamboyante est tout à fait singulière. Sa fierté n'a d'égale que sa difficulté à obtenir la cohésion tant rêvée par les plus fins tacticiens de notre temps. Sur terre, donc, les soltaris ne sont point les plus excellents bretteurs qui soient. Mais leur cœur, que dis-je, leur passion est immense et peut autant devenir un atout qu'un net inconvénient les sanctionnant pour excès de confiance. Faut-il encore que les capitaines se fassent entendre parmi ces chevaliers chatoyants, ses hallebardiers du Bétis aux tenues bigarrées ou même ces mages querelleurs ! Le défi est grand pour sûr et pourrait en décourager plus d'un. Heureusement alors que les fameux eunuques de la Guardia relèvent le niveau général grâce à leur discipline de fer et leur dévouement total envers leur suzerain. Heureusement aussi que Soltariel possède les marins parmi les plus chevronnés et courageux de tout le Royaume. Nombreux sont ceux à avoir un jour été confronté à leurs imposants et rapides bâtiments sillonnant l'Eris et l'Olienne. Plus rares sont ceux, néanmoins, à les avoir déjà vu marcher au pas ou chanter sans fausses notes dans les chaudes contrées méridionales.

Stratégies sur terre et sur mer:

-- Sur terre : L'armée de Soltariel n'a pas la prétention de vouloir rivaliser avec les grandes armées du nord. Elle est avant tout une armée de défense, capable de grandes prouesses pour défendre ses propres terres déjà bien protégées par la chaîne du Bétis au nord, le garnaad à l'est, et l'Eris à l'ouest. Son nombre, assez réduit, en fait également une armée bien plus propice à la défense de places fortes qu'aux batailles rangées dans lesquelles il lui faudra certainement compter sur des alliances et un commandant hors-pair pour parvenir à ses fins.

-- Sur mer : La stratégie soltaari est bien différente et bien plus offensive. Consciente qu'elle incarne la domination maritime péninsulaire, elle tend à faire les plus grands efforts financiers et humains pour conserver la maîtrise des mers. La guerre permanente qui l'oppose à la piraterie mecanne lui a permis au fil des décennies d'entretenir cette tradition navale guerrière et de continuer à donner de l'expérience à ses marins.

Faits d'armes notoires et échecs cinglants :

-- La première guerre d'Ydril en l'an I du XIe cycle: L'armée de Soltariel y aura inscrite ses premières grandes lettres de noblesse sans faillir à sa tâche. Elle opposa le comte d'Ydril Diogène de Systolie à la duchesse Inès de Soltariel. Ce fut après la bataille d'Arcani que le comte Diogène fut mis en déroute par l'ost du soleil blanc soltari envoyée par la duchesse, et qui fit bataille à une armée ydriaine fatiguée.

-- La deuxième guerre d'Ydril en l'an X du XIe cycle: Guerre faisant suite au retour d'Altiom, l'ancien archonte d'Ydril, fort de son soutien militaire de Naelis grâce à l'amitié qu'il entretint avec le roi Glenn. Voulant s'imposer par la force, l'ancien exilé reprit possession de ses terres sous l'oeil inquiet de la duchesse Tibéria soltarii-Berontii qui ordonna le blocus de la cité d'Ydril. Celui-ci se solda par un échec cuisant et la perte de plusieurs navires. Il fallut attendre la venue du Sénéchal du Royaume, Aymeric de Brochant, pour  que l'armée de Soltariel se mette en marche et prenne part à la récupération du pays ydriain.  

-- La guerre de Merval en l'an XIV du XIe cycle : La Bataille de Merval signe la fin d'une guerre de plusieurs années entre la principauté de Merval et le Royaume de Diantra. C'est la flotte de guerre soltaar qui s'est particulièrement démarquée lors de cet affrontement ayant réuni une forte coalition royale,  en menant un débarquement compliqué sous les ripostes enflammées de défenseurs pharétans.

II. Mysticisme et tradition soltari

Soltariel a, de tout temps, respiré, pour ne pas dire exhalé le mysticisme. Aujourd’hui encore, dans ses étroites venelles à l’air poissé d’encens, chiromanciens, ensorceleurs et autres géomanciens tiennent boutique  sans que quiconque ne paraisse s’en formaliser tandis que l’on trouve, auprès de chaque grande famille patricienne soltari, un homme de l’Art sous le nom d’astrologue, de précepteur ou encore d’apothicaire.

Cette présence remonte à la fondation même de la ville par des mages pharétans, désireux de rétablir les glorieuses républiques ingremantiennes d’antan. Organisés en Gerousia, assemblée des plus anciens sorciers, ils imposèrent leur règne sur la bastide de Soltariel pendant des siècles – règne entrecoupé de multiples pronunciamientos sanglants et autres naissances de tyrans éphémères – développant la jeune cité-Etat. Sous leur impulsion, les berges du Tyrion furent fortifiées tandis qu’ils engagèrent de nombreuses expéditions militaires, à l’ouest, afin de faire main-basse sur la thalassocratie de Boniverdi. Au nombre des vestiges de cette époque révolue, on dénombre la Tour Bleue, autrefois arrogant siège du gouvernement, où se déroule encore, deux fois l’an, d’importants rituels de nature ésotérique.

Ces conquêtes, la suite à leur donner et le partage du butin annoncèrent la chute du Gerousia, bientôt minée par les dissensions intestines qui firent craindre une guerre civile. Derrière les tentures du quartier marchand, on stipendiait les gens de son rival, nouait des alliances contre-nature voire, lorsque les méthodes « civilisées » s’étaient révélées vaines, on se surinait entre collègues avant de se débarrasser du corps dans le Tyrion. Les multiples tensions et l’impossibilité de trouver un terrain d’entente entre les partis finit par déboucher sur l’avènement des Dix, de puissants ingromanciens soutenus par la plèbe et proclamés tyrans à vie. S’ensuivit une purge dramatique qui amena quelques décennies de paix relative. Cependant, malgré toute leur rouerie, ils ne firent que repousser, temporairement, le conflit qui couvait. Bientôt, la discorde éclata entre les grands mages eux-mêmes et les ruelles labyrinthiques de Soltariel furent témoin d’une myriade d’affrontements sanglants que les princes marchands, caressant l’idée de se tailler une place au sommet, ne cessèrent d’attiser au point qu’il devint impossible de traverser la Plazza Septima sans manquer de se rompre la nuque en perdant l’équilibre sur les véritables mares de sang qui en poissaient les pavés. Soltariel geignait, elle se convulsait, roulait des yeux fous pareille à une bête traquée tout en s’automutilant. Pire encore que les tueries, après des jours d’indicibles occisions, la moitié de la ville fut emportée par un formidable incendie tandis que l’on s’étripait toujours entre voisins et que le Tyrion, lui, se teintait de pourpre.

C’est dans ce contexte et afin de mettre un terme au massacre que fut instauré, ou plutôt imposée, la dignité d’archonte-roi, l’ingromancien survivant s’autoproclamant ainsi. Par la suite, ses descendants modifièrent l’appellation au profit de celle de « duc », après avoir signé la paix du Bétis avec le suzerain de Diantra. Aujourd’hui, si l’aristocratie a partiellement supplanté les sorciers, plusieurs rues de la capitale sont encore propriété d’hommes de l’Art réunis en groupuscules ésotériques et il n’est guère rare d’en rencontrer dans les plus hautes sphères du pouvoir.

Enfin la population, quant à elle, si elle demeure principalement pharétane dans le bassin du Tyrion ainsi que dans les latifundia, au sud,  le nord, et notamment la région montueuse du Bétis, présente un tout autre visage. Ce territoire aux assemblées villageoises longtemps hostiles au Gerousia, ainsi qu’à tout ce qui se trouve à plus de trois lieux de leur hameau, entretient une relation ambiguë avec le reste du duché, oscillant entre jalousie et mépris. Néanmoins, leur « abjecte barbarie » en fait des recrues de choix pour l’armée ducale, qui veille à en entretenir quelques régiments.



III. Effectifs de l'armée :

2500 professionnels :

-- 1000 chevaliers
-- 1000 bétissiens
-- 80 mages de guerre
-- 120 mages de soutien
-- 300 hommes de la Guardia

2450 miliciens :

-- Domaines de l'Eris: 650 (400 lances - 250 archers)
-- Domaines du Bétis: 800 (600 lances - 200 archers)
-- Domaines de la Lande: 1000 (800 lances - 200 archers)


1350 unités spéciales :

-- Alguazils et forbans de Boniverdi: 1000
-- Hommes de la Lie des latifundias: 350

2000 marins :

-- 1 Amiral
-- 1 Vice-Amiral
-- 32 capitaines
-- 1966 marins
-- 34 navires (caraques, caravelles, galéasses, cogues et fustes)


IV. Soldats de métier

Cavalleria Soltaari - Chevalerie :

MàJ BG - armée Soltariel Lo51

Patriciens impétueux, gendarmes ou condottieri en quête de renommée, aucun d’eux n’ignore la quasi sacralité de la gloire à Soltariel : avec elle, le plébéien peut espérer recevoir le patronage d’une grande famille et l’aristocrate le parrainage politique qui lui permettra de se hisser dans les plus hautes sphères du pouvoir. Il en résulte une chevalerie bouillonnante, perpétuellement en quête de coups d’éclat, ne rechignant pas aux prises de risques inconsidérées. Originaires de la grande noblesse terrienne du sud ou ruffians habitués aux expéditions commerciales en terres étrangères, leur avidité n’a d’égal que leur soif de triomphes.
1000 "chevaliers" répartis en 4 compagnia obéissant aux 4 principales provinces géographiques de Soltariel.

-- Province de Soltariel-cité : Compagnia Nero (100 chevaliers)
-- Province du Bétis : Compagnia Arancione (300 chevaliers) - avtg: Terrains escarpés
-- Province de la Lande : Compagnia Verde (350 chevaliers) - avtg: Rase-campagne
-- Province de l'Eris : Compagnia Azzuro (250 chevaliers) - avtg: combat en mer

Bétissiens :

MàJ BG - armée Soltariel Dct9

Recrutés parmi les maroufles du Bétis, cette infanterie au service du trône ducal offre un spectacle offensant pour quiconque se pique d’apprécier la Grâce : secoués et obsédés par l’orgie de couleurs que leur offre la grande ville, ces mâtins entreprennent d’en adopter la mode sans jamais paraître la maîtriser.  Pourpoint crasseux aux manches bouffantes, hauts-de-chausses bariolés, collants malhabilement jaspés et autres coiffes garnies de plumes extravagantes constituent leur habillement des grands jours. Néanmoins, il convient de ne pas se fier à leur moustache adroitement huilée : ces butors aux exhalaisons fauves savent manier leurs armes et font preuve d’une cruauté toute néronienne lorsque l’occasion se présente.

1000 hallebardiers et autres porteurs de flamberge, répartis en 4 compagnia de 250 hommes (Bianco, Giallo, Rosso, Grigio).

Hommes de l’Art :

Astrologues, apothicaire voire puissants marchands en temps de paix, ces mages sont les familiers des grandes familles, s’ils ne sont pas eux-mêmes membres de l’aristocratie. Contrairement à l’Arcanum, corps de sorciers unifié au service du roi, les mages soltari offrent un spectacle bien plus bigarré : divisés tant par leurs allégeances aux patriciens que par leur appartenance à des « sectes » et autres groupuscules ésotériques, ils forment un rassemblement extrêmement hétéroclite. En outre, des rivalités pluricentenaires, toujours vives, ainsi que le fait que leur formation ne se réalise guère au sein des murs d’une quelconque académie mais auprès d’un maître de l’Art dont ils deviennent les obligés, implique qu’il se révèle impossible d’en brosser un seul et unique visage.
Un Duc, dépité, aurait déclaré : « plutôt me faire arracher les dents qu’il me reste que de diriger à nouveau ces névropathes. »
80 mages de guerre.
120 mages de soutien.

Guardia Soltaari - Garde ducale :


Autrefois châtrés pour répondre aux besoins de rites obscurs, les eunuques occupent toujours une place prépondérante à Soltariel. Choisis parmi les meutes d’orphelins grouillantes des venelles de la capitale suderonne, les futurs gardes du trône sont pris en charge par les services du palais, qui les nourrissent, les vêtent et les éduquent.
Ceux d’entre eux qui se révèlent émérites dans le métier des armes seront appelés à embrasser la carrière de reître tandis que les autres trouveront à s’employer comme valet, castrat ou intendant à l’alcazar. L’engouement pour ces « demi-hommes » trouve ses racines dans leur absence de famille ainsi que leur incapacité à un fonder une : autant de risques de trahisons écartés. De la crasse, la famille de Soltariel les a extirpés. Ce qu’ils possèdent, c’est au trône qu’ils le doivent. Le palais est leur demeure et famille.
Toutes ces raisons ont contribué à en faire la garde personnelle des élites depuis maintes des générations.

300 gardes ducaux sous le commandement direct du duc/duchesse. (Armement hétéroclite : épée, hallebarde, arc…). Le duc dispose de 50 hommes de la Guardia pour sa sécurité rapprochée, dirigé par un capitaine. Ils sont voués à cette seule mission. Les 250 autres sont dédiés à la sécurité de la cité et des habitants; assurent un rôle de maintien de l'ordre. Deux capitaines commandent 125 hommes chacun.  


V. Miliciens

Les miliciens soltaar sont répartis sur les trois principales provinces connues qui sont les suivantes: Seigneurs de l'Eris, du Bétis et de la Lande. Boniverdi n'en faisant pas partie étant donné ses troupes spécialisés ( cf Alguazils et forbans de Boniverdi). Les miliciens sont dirigés par des sergents d'armes. En cas de levé de ban, la milice est commandée par un connétable nommé par le duc/duchesse, qui choisira les capitaines parmi les chevaliers professionnels pour diriger les différents régiments incarnés par les domaines.

Leurs armes et armures peuvent être fournis par les seigneurs les plus riches, mais sont en règle générale les possessions personnelles des miliciens levés. Leur cohésion, leur manque d'expérience peuvent être leurs principales faiblesses. Les miliciens resteront disciplinés à la seule condition d'être dirigés par de bons capitaines.

-- Les miliciens de l'Eris (650):
Moins nombreux que les autres étant donné le nombre d'hommes composant la marine soltaar. 350 hommes peuvent être levés dans le domaine d'Alcacio, 300 dans le domaine de Camarata (maintenant possession de la cité de Soltariel).

-- Les miliciens du Bétis (800) :
Les bétissiens étant déjà une composante de l'armée professionnelle, les 800 miliciens du Bétis  pouvant être levés provenaient autrefois du domaine de Célini, maintenant rattaché à la cité de Soltariel.

-- Les miliciens de la Lande (1000) :
Principal vivier d'hommes; les miliciens se répartissent sur trois principaux domaines. 500 miliciens pouvant être levés sur le domaine des Pasi - 300 sur le domaine des Ponitti - 200 sur le domaine des Corelli.


VI. Unités spéciales

Alguazils et forbans de Boniverdi :

L’arbalète, moins exigeante en compétences que l’arc, s’est rapidement imposée auprès des milices qui y ont vu un moyen de faire régner l’ordre sans avoir à risquer d’être suriné au sein d’une foule hostile. En sus, comme même les plus gauches peuvent envisager prendre une vie avec cet instrument, son emploi s’est démocratisé dans le port de Boniverdi, pour répondre aux actes de pirateries, notamment au sein de la Compagnie du Ponant, ou, au contraire, se lancer dans cette voie. De même, les scorpions et autres balistes, qui faisaient la fierté de la thalassocratie à son apogée, ont trouvé un second souffle dans les luttes continentales. Si les Pharétans n’ont pas la sauvagerie des Bétissiens, leur capacité à décimer les lignes ennemies avant l’engagement compense en partie cela.

900 arbalétriers.
100 servants de scorpions et autres balistes.


La lie des latifundia :

Hommes de main dans les latifundia du sud, ces soudards, mauvais comme des teignes, ont pour habitude de semer la terreur parmi les plébéiens. Véritables vipères dotées d’une once d’autorité, ils font office d’officier de la loi improvisés dans les vastes domaines de leur maître et de coupe-jarrets dans ceux de ses rivaux. Au combat, à cheval et équipés d’arbalètes réduites ou de javelots, ils harassent les lignes ennemies, saccagent sa campagne et dérobent ses troupeaux tandis que leurs mastiffs aux imposants colliers cloutés apeurent les troupes adverses.
Enfin, lorsque vient l’heure de la charge, ils présentent un visage chaotique, masse gibbeuse exhalant la sueur rance, toute faite de piques, de haches, de crocs et autres marteaux de guerre.

300 fourrageurs.
50maîtres chiens et leurs dogues.

VII. Flotte de guerre


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La marine de guerre est une tradition pluri-ancestrale dans le Soltaar, et notamment dans tous les domaines côtiers surplombant l'Eris. Toute famille, pauvre ou riche, a un jour connu un ou plusieurs marins en son cercle. Les plus pauvres sont envoyés pour alimenter les besoins en équipage des divers navires. Les mieux pourvus, quant à eux, sont envoyés au sein de l'académie navale de Boniverdi afin de devenir plus tard les futurs capitaines ou de rejoindre pour les meilleurs l'amirauté soltaar.

Les domaines d'Alcacio (850) et de Camarata (800) sont les principaux pourvoyeurs en marins, rejoint par Boniverdi (350)
La hiérarchie navale se compose de la manière suivante:

-- 1 Amiral disposant d'une caraque
-- 1 Vice Amiral disposant d'une caraque
-- 32 capitaines disposés dans les 32 navires ci-dessous (-2 Caraques)
-- 1966 marins

5 caraques : 1000 marins  (200*5)
Nombre de soldats embarcables : 450 hommes d'armes.
Tonnage : 700 Tonneaux.

4 galéasses : 296 marins. (74*4)
Tonnage : 280 Tonneaux
Nombre de soldats possible dans l'embarcation : 170 hommes d’armes.

1 caravelle : 39 marins (39*1)
Tonnage : 200 Tonneaux.
Nombre de soldats embarcables : 120 hommes d'armes.

16 cogues : 560 marins. (35*16)
Tonnage : 200 Tonneaux.
Nombre de soldats embarcables : 48 à 120 hommes d'armes.

8 fustes : 104 marins. (13*8)
Tonnage : 16 Tonneaux
Nombre de soldats embarcables : 10 hommes d'armes.

BG original de : "inconnu au bataillon"
MàJ de : Francesco di Castigliani


Dernière édition par Francesco di Castigliani le Dim 15 Déc 2019 - 13:44, édité 35 fois
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Francesco di Castigliani
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MessageSujet: Re: MàJ BG - armée Soltariel   MàJ BG - armée Soltariel I_icon_minitimeSam 14 Déc 2019 - 16:34

Rien de neuf sous les tropiques avec cette MàJ  qui consistera surtout a refaire la mise en page, incorporer des images et ajouter un texte introductif qui n'existe pas encore.

Edit:

-Ajout d'une partie introduction + stratégie + historique des faits marquants.
-Organisation de la chevalerie et des bétissiens en compagnia
-Création d'un vrai corps de miliciens manquant
-Anciens "miliciens" réunis en "unités spéciales"
-Aucun changement sur la partie "mage de guerre"
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Gaubert de Prademont
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MessageSujet: Re: MàJ BG - armée Soltariel   MàJ BG - armée Soltariel I_icon_minitimeDim 15 Déc 2019 - 15:36

Eh bah c'est beau tout ça

Oui ce n'est pas très critique mais perso je vois rien à redire :)
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MessageSujet: Re: MàJ BG - armée Soltariel   MàJ BG - armée Soltariel I_icon_minitimeDim 15 Déc 2019 - 15:47

J'ai vu les modifications avec toi en PV.
Au vu de cette dernière maj (qui en vrai n'apporte rien de neuf mais qui était nécessaire), je valide ce nouveau BG et vais le poster céans.
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MessageSujet: Re: MàJ BG - armée Soltariel   MàJ BG - armée Soltariel I_icon_minitime

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