Charles de Prademont (fini)

Identité

Nom/Prénom : de Prademont, Charles
Âge/Date de naissance : 35 ans
Sexe : masculin
Race : humain
Faction : Péninsule
Alignement : Loyal Neutre
Liens notables : Cousin du Comte d'Odélian

Particularité : Comme son cousin, aime les femmes, l'argent et l'alcool, ainsi que la chasse à courre


Métier : Intendant Royal à la Justice
Classe d'arme : Corps à corps

Possessions & Equipements :

• Hongre de race odelianne
  
• Épée bâtarde
  
• Appartement au Palais
  
• Résidence secondaire (hôtel particulier) au Quartier des mille-soleils
  
• Elevage de chiens de chasse ~ il en possède 2 dans sa résidence secondaire
  

Apparence :

• Taille : 1m70
  
• Couleur des yeux : vert émeraude
  

Bel étalon à la crinière Ambrée, comme le sont généralement les Odélians, le trentenaire arbore une fine barbe dorée durcissant légèrement les traits gracile de son visage. Son profond regard émeraude vous envoûte, vous charme, épie votre âme, que les donzelles prennent garde à ne pas y succomber car il sera profiter de vos faiblesses. D'ailleurs, les Dames de la Cour parlent de lui en bien, attirées par son visage charmeur dissimulant toutefois une part de mystère. De grande taille pour son peuple, un bon mètre soixante-dix, le bellâtre a été gâté par la nature, offrant un galbe parfait d’Apollon. Musculeux sans outrance, ces pectoraux, ces cuisses, ces biceps atteste que le noble entretien son physique, chérissant le maniement de la lame et l'équitation. Très soucieux de son apparence, il porte généralement de somptueuses tenues d'apparats et fait ne se prive pas d'afficher sa richesse vestimentaire. Si son apparence ne laisse aucun doute sur son noble héritage de sang, sa discrétion lui permet d'attirer la faveur des mieux placés, ainsi que du Roy. Son sourire en coin, quand à lui,  inspire la méfiant car l'on ne sait jamais s'il est sincère ou s'il cache quelconque mesquinerie ou autre fourberie. Enfin, son timbre de voix est changeant, tantôt agréable voir doux, tantôt plus grave et sinistre, tout dépend de la situation dans laquelle il se trouve et il aime jouer de ce petit artifice vocal, surtout dans l'exercice de ses fonctions d'Intendant.

Personnalité :

Charles est un homme autoritaire et pragmatique dans l'exercice des ses fonctions et peut se montrer imbu de sa personne lorsque les circonstances le réclament. Fier héritier de sa Lignée, il connait les codes de la Bonne Société et les rouages de la Cour qui l'ont amené à développer un comportement à la fois calculateur, prudent, fourbe et sournois. S'il est homme de bon sang, il aime plaire et se montrer charmeur. Maîtrisant l'étiquette dans la strasse mondaine, c'est aussi un meneur d'hommes sur le terrain lorsqu'il s'agit de rendre Justice. S'il peut se montrer colérique, cela reste à la marge, l'homme possédant le sang froid d'un gentilhomme qui à reçu l'éducation dû à son rang, et qui se doit d'afficher un comportement exemplaire auprès du peuple et de ses semblables. Au sein de la Cours dont il fait partie et dans laquelle il sert, il reste toujours à proximité des plus influents sans pour autant s’afficher à leur côté, restant à sa place dans la hiérarchie. Il n'est de doute que Charles est prêt à servir une cause en laquelle il croit sans limite. Il n'en demeure pas moins posséder ses défauts et de fait, dans sa vie privé, il peut se montrer vaniteux, orgueilleux et rancunier. Il apprécie également la chasse à courre et possède son propre élevage de chien ainsi qu'une modeste école de veneurs situés sur le fief familiale. Pour lui, c'est un sport plus qu'une activité de loisir.

Capacités magiques :
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Histoire

Par où commencer, et quoi omettre ou ne pas omettre, voilà tout le problème me direz vous ! Et bien commençons par se rappeler des origines de Charles. La Maison de Prademont ? Cela vous parle, évidemment, vous amateur de viande labellisé et de fromage pasteurisé ! Ah non ? Odélian et sa noble Maison vous rappel plutôt ce mythe, cette légende qui dit que l'on chargeait les trébuchets avec du maroilles de Dens ? Qu'importe, vous vous situez grossomodo là où à vu naître Charles Henri Raymond de Prademont, mais pour la petite histoire, ne retenait que Charles. Prademont est évidement une Maison qui n'est pas inconnue de votre esprit ô combien cultivé. Mais ne vous y trompez pas, Charles n'est que le cousin d'un certain Gaubert, Comte d'Odélian. Quinze ans son cadet, Charles est en faite le deuxième fils d'un des frère du père de Gaubert. Vous me suivez ? hmmmm... non j'ai la sensation de vous perdre. Alors pour faire simple, je demande le Grand père : Foulques ! Je demande ensuite l'un des frère de Foulques : Raymond. Foulques compte parmi ses descendants direct un certain Gaubert et Raymond un certain Charles donc.... c'est plus clair ? Oui !! Il sont cousins ! Bravo !! Enfin... pas pour les petits dissipé du fond de la classe...

Alors après avoir posé l'arbre généalogique du père Charles, attaquons-nous à ses racines. Il est le second fils de la lignée, coiffé sur le fils par un certain Gontrand, né deux petites minutes avant lui. En ces temps, la médecin n'était guère très évoluée alors... hélas, paix à son âme, Gertrude, la mère de Charles ne pu se rétablir, deux marmots cela signifiait césarienne... alors quand il s'agissait de faire un choix entre la Dame et les héritiers, la décision était sans détour. Bon, ne soyez point inquiet, le père de Charles se remaria bien vite, on le nommait "l'étalon fou" et Charles eut bien d'autres frères et sœurs. Charles, son frère jumeau et ses nombreux autres cadets vécurent heureux en le domaine de leur père Ser Raymond de Prademont dont le fief, le Quétou était réputé pour ses vaches laitières, je parle là bien entendu des bovidés et non des des dames aux balcons bien garnis et à la fécondité avérée. Mais je m'égare, bien que je ne puis manquer de vous rappeler, chers gastronomes que vous êtes, la réputation certaine de la tome Quétousienne !

Revenons toutefois à nos moutons. Comme vous l'avez comprit, Charles n'était pas destiné à prendre la succession de son père sur le domaine et en fin limier du pouvoir et de l'échiquier politique sur la Péninsule, son père l'envoya lorsque son âge le pu, faire ses classes d'écuyer dans le Nord Odélian. Il participa d'ailleurs à la prise d'Etherna, là où Gaucelm le Gras, Comte d'Odélian, s'illustra durant la conquête de cette Baronnie félonne. C'est également durant ces événements qu'il connu brièvement l'homme qui, il ne le savait évidement pas encore, deviendrait plusieurs années plus tard son beau-père, en la personne de Gérard d’Escault. C'est sans nul doute durant ce conflit qu'il se décida à préférer la plume à l'épée, la Lettre à l'Acier. Non pas qu'il fut piètre bretteur, loin de là, seulement, la fureur des combats, le gout du sang et de la terre, les horreurs du combat, la vue des pendus qui "ornaient" les branches des environs d'Etherna après la bataille, tout cela fit prendre conscience à l'adolescent qu'il n'avait pas l'étoffe d'un héros de guerre. Une certaine peur juvénile avait sans doute également altérer son jugement alors, mais cela lui forgea sa future condition, sa destinée loin des rustres périls d'un conflit où les hommes s’entre-tuaient par loyauté aveugle.

Après plusieurs années de bon et loyaux services, il se fait remarquer par quelques notables de la Capitale pour ses talents de bureaucrate et s'en retrouve vite catapulté dans un tout autre univers de la Cours du Palais de Diantra. L'histoire ne retint pas le nom de l'homme qui l'avait chaperonné, mais retiendra certainement sa générosité qui permit au jeune Charles de recevoir une éducation éclectique par bien des précepteurs. Mais ce dernier semblait bien plus sensible à mesure du temps qui s'écouler à tout ce qui pouvait toucher aux Lois, ses textes, décrets et ses applications. Il passait son temps libre plus à étudier à la bibliothèque royale qu'à la brette, bien qu'il s'attachait à ne point faillir sur ce plan qui tenait cher à son père. A ses dix-sept printemps, se souvint-t-il d'ailleurs de cette étrange Eclipse qui restait à jamais gravé dans l'histoire des vivants, comme la fin d'un cycle et la naissance d'un autre, mais vous dire ce qu'il faisait à ce moment là ne serait trop recommandable à certaines chastes personnes, car après tout, il était sortie de l'adolescence et bourré de testostérone et ô Grand Damne que les couloirs du Palais était un lieu de villégiature à qui voulait frayer! Je vous laisse donc imaginer la surprise d'un ébat sous le soleil virant soudainement dans l'obscurité. Ahah! Toujours est-il que la Péninsule avait vécu bien des chamboulements dans ses plus hautes instances tout du long de la décennie, mais ce phénomène naturel, cette Eclipse, les surpassait et resta d'ailleurs indélébile dans le ciel, nuit et jour par la présence des ces deux Lunes.

Mais revenons-en au périple de notre jeune noble qui continuait son apprentissage en faisant abstraction des différents bouleversements au sein même du pouvoir de la Péninsule, le Réveil des Dragons, la chute de la capitale naine, en somme ce que l'on appellera le Voile. Très vite, il sut gravir les échelons, s'adaptant aux changements, passant de modeste scribe à petit Page avant que ses connaissances et sa détermination ne lui valent à ses vingts ans de rentrer au service de l'Intendant de la Justice  en qualité de proche Conseiller. Il affina alors durant de longues années ses compétences en matière juridique, suivant l'Intendant vieillissant durant toutes ses obligations liées à sa fonction.

Hélas, il n'était alors pas destiner à lui succédait car on lui préféra un jeune noble inexpérimenté mais dont la Famille possédait alors plus d'influence à la Cours que les Odélians de Prademont. Circonstances malheureuses ou non, on le retrouvât un soir mort dans la couche d'une Dame de Compagnie du Palais. Nul trace de coup, de blessure ni de poison... tout portait à croire à une mort naturelle si ce n'était l'âge de ce dernier vingt quatre ans. En dépit de preuve, l'on ne soupçonna personne si bien que Charles pu alors jouer sa carte en requérant l'influence devenu notoire des terres bovines et agricole d'Odélian et de surcroît par la réputation notoire dû au commerce et au sens de l'intendance dans la famille Prademont. Par jeu d’influence, bien sûr, il s’agissait surtout de savoir qui désirait quoi et de rendre le bon service ... au bon commensal. Quelques serviteurs, dûment payés, lui faisait office d’oreilles et ainsi, il sut s’attirer faveurs et surtout dettes d’interlocuteurs bien placés. C’est ainsi qu’il entra dans le cercle d’un réseau d’influences, proche de la Régence et du Chancelier, dont Charles eut bonne part, et qui vint appuyer sa nomination comme Intendant à la Justice Royale. A vingt-cinq printemps, une lourde tâche lui incombait sous les Ordres direct du Chancelier. Il apprit alors à tisser sa propre toile d'influence à Diantra mais également sur les terres de la Royauté où il entretenait des liens avec les différents Prévôts qui y officiaient. Durant les années d'instabilité de la Royauté, Charles s'efforça de rester neutre, usant de son droit de retrait pour ne pas se mêler aux querelles internes et externes. Soucieux de ne provoquer aucun conflit d'intérêt, il assista aux funérailles royales, à l'occasion desquelles l'ensemble de la noblesse péninsulaire s'était réunie à Diantra, pour proclamer le règne de son fils Bohémond, sans émettre la moindre opinion qui viendrait nuire à son affiliation à la Cours. Bien entendu, il ne cacha pas sa satisfaction dans quelques missives envoyées à son cousin suite à l'accord qui rétablissait Odélian dans ses droits.

Durant la Guerre du Median, suite à la defaites des troupes Royalistes, Charles prit l'exil comme tout a chacun dans la Cours du Roy. S'il n'en comprenait pas l'ensemble des enjeux alors, il resta fidèle à sa place l'intendant et a la régence mise à mal dans ce conflit face aux rebelles. A Soltariel, il resta sagement à l'écart de la guerre de succession, voyant toutefois d'un mauvais œil cet énième événement nourrissant la fragilité d'un pouvoir affaibli et en exil. Ignorant des complots politiques, il suivit une seconde fois ses amis et proches de la Cours vers Merval, ne demandant pas son reste. Cette longue période avait quelque peu bouleversé l'Intendant se sentant quelque peu otage d'une situation aussi complexe que dangereuse pour la suivi de la Cours Royal et de sa propre vie. Pourtant, il ne faillit jamais à désavouer son serment sous aucune des différentes régences instaurées alors, entretenant de solide liens de confiance successivement avec Roderik de Wenden et son successeur. Finalement, lorsque les événements ramenèrent la Cours à Diantra, il fut tout aussi soulagé que déterminé à mener son office à bien, président de façon intransigeante nombre de tribunaux qui jugèrent coupable chaque rebelle captif de bonne ou moins bonne lignée. Il en prit d'ailleurs un certain plaisir à rendre ses verdicts, condamnant à mort sans se soucier des promesses de repentances de certains car après tout, suivait il également les ordre de son Supérieur  le Chancelier Athanase de Cley sous la régence d'Aymeric de Brochant.

Ainsi et jusqu'à ce jour, dix années d'Intendance, dix années de labeurs bien qu'il put rapidement s'entourer d'une humble légion de petite mains qui exécutait ses ordres. Il était tout de même noble de bonne lignée, et ses finances personnelles devenaient bien enviable, il pouvait donc s'attacher les services d'hommes et de femmes de mains et s'offrir également un hôtel particulier dans les beaux-quartiers en plus de jouir des appartements au Palais louée à sa fonction. Si sa vie n'était pas destinée au champs de bataille, elle devenait bien plus mondaine et faites d'intrigues et d'influence. Les Prademont comme bien d'autres Maison n'étaient pas avares de se faire bien voir à la capitale et plus on y avait de pions plus on s'en trouver en sécurité et plus on y jouissait de haute fonction plus les traîtrises et luttes de pouvoir y étaient routine, mais le jeu en valait la chandelle pour qui savait se trouvait averti, prudent, intelligent, une noble basse cours qui faisait le bonheur des uns et le malheurs des autres. Et comme tout à chacun, Charles avait de l'ambition, mais sans soutien, nul gloire et sans gloire, nul renommée. La patience était une vertus que Charles apprenait à entretenir et s'il s'adonne volontiers à son temps perdu à la chasse a courre, un exercice qu'il découvrit et dont il y voue une passion certaine, on peut y voir un certain parallèle à la Cours Royale.

Mais voilà, on l'attendait également sur un autre sujet. Son père, sa Maison, son oncle ainsi que son suzerain en la personne de son cousin étaient pressés de le voir marié à un bon parti. Certes, Charles se tenait loin des affaires et influences familiales, il n'en demeurait pas moins l'un de ses membre et le savoir célibataire la trentaine passé dérangeait et nourrissait des rumeurs aussi farfelus qu'inconvenantes. Des semaines durant, fut-il ignorant des tractations de son père et il se retrouva finalement fiancé presque à son insu tandis qu'il faisait office à la Cours dans une semaine où les dossiers judiciaires s'accumulaient sur son bureau. On l'avait certes consulté, mais Charles était bien conscient de son rang et cet arrangement tripartite entre son père, son suzerain et le Vicomte d'Escault, le résignait à quitter son confortable célibat qu'il appréciait pour bien des raisons. Un mois et demi plus tard, le Conseil Royal fut rappelé à Odélian pour se marier à une jeune femme, presque parfaite inconnue, si ce n'est un échange de lettre. Solange d'Escault était belle, d'un rang qui lui était supérieur, un mariage matrilinéaire qui dérangeait l'ego de Charles, mais pourtant, il se plia aux arrangements de ses aïeux et de son propre cousin, conscient du prestige de cette union qui lui serai favorable. Faisant bonne figure, l'Intendant à la Justice n'en demeurait pas moins sur la réserve, prudent et d'ailleurs, le couple consomma la nuit de noce, chacun semblant se satisfaire d'un strict nécessaire de bienséance avant de s'endormir, le devoir réalisé. Si lui aussi, tout comme elle le fut, n'était pas à l'aise avec son épouse, Charles se promis de faire des efforts devant cette nouvelle vie au bras d'une femme officielle qui risquait de bouleverser quelques routines instaurées, de longue date à la Capitale, d'homme libre et butineur.

HRP:

Salutation ! Désolé pour le retard au niveau des fiches, des affaires externes m'ont retenu.

Je commence la correction !

Elevage de chiens de chasse : race Saupacker (ancêtre du Dog Allemand) ~ il en possède 2 dans sa résidence secondaire
=> Le terme me gêne un peu, vu qu'il est pas censé y avoir d'allemand sur Mira x')
Maintenant, rien ne t'empêche d'avoir des chiens racés, loin de là, Miradelphia a des races de chien. Juste le nom qui est dérangeant.

Un vote quelque peu tronqué, si ce n'est routinier, le vit se faire nommer nouvel Intendant à la Justice à la mort de son précepteur.
=> M'est avis que ce serait plutôt le roi qui choisirait son nouvel intendant de justice (ou sans régent à tout le moins). Sous le conseil du chancelier, bien sûr, mais les offices royaux sont toujours subordonnés au désir du roi ^^

Outre ces corrections, une autre chose me gêne : Charles est censé avoir passé tout son temps à la capitale, et il n'est fait mention ni de la guerre du Médian, ni de la fuite de la cour pour Soltariel, puis à Merval. C'est une partie de l'histoire de la cour du roy Bohémond, donc de celle de Charles s'il est attaché au service du chancelier de l'époque (à savoir Cléophas d'Angleroy, puis Roderik de Wenden). J'aimerais que tu en parles dans ta fiche ^^

A bientôt, et merci pour ta patience ! o/

Oi !

Il en prit d'ailleurs un certain plaisir à rendre ses verdicts, condamnant à mort sans se soucier des promesses de repentances de certains car après tout, suivait il également les ordre de son Supérieur le Chancelier Rodrick de Wenden sous la régence de Louis de Saint-Aimé.
=> Là, c'est ma faute. Je ne t'ai pas très bien précisé : Roderik de Wenden était chancelier lorsque Cléophas est devenu Gardien du Royaume, en fait. Ensuite, sous la régence d'Aymeric de Brochant, qui se passe avant celle de Louis de Saint-Aimé (l'actuelle), le chancelier est Athanase de Cley. ^^

Une fois ce petit détail corrigé, je pourrai te valider. T'y es presque !

Et un nouveau Péninsulaire, un !

*tamponne les fesses*

Code:

[Métier] : Intendant de Justice royal

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Loyal neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.