[Maj] Pour une Meca toujours plus sexy.

Ahoy, il s'agit donc de faire un petit revamp' de ce BG, histoire de lui donner un joli look et de le rendre un poil plus atractif.

Je le mets juste là pour faciliter les c/c en cas de besoin o/

Située au large des côtes péninsulaires, au beau milieu du tumultueux Eris, l'île de Meca est un lieu nimbé de mystère, que l'on raconte impénétrable, et peuplé de forbans. Dans les tavernes ydrilotes, il se dit que seul un homme natif de l'île sait en déjouer les pièges, et peut éviter ses écueils traitres pour gagner l'abri du port. Il se dit aussi que ces gens là sont d'infâmes crapules, doublés de marins émérites, ne craignant pas les dieux, et dont le passe temps consiste à dévorer les corps des infortunés tombant sous leur emprise, et à sacrifier des boucs à d'impies démons. Vous l'aurez compris, Meca nourrit nombre de fantasme, et l'on tâchera de séparer le bon grain de l'ivraie.

Abordons l'île en elle même. Comment ce fait-il, me direz vous, qu'un endroit pareil, aussi grand que tout le Soltaar, n'ait jamais suscité la convoitise des seigneurs de la Péninsule ? Cela appelle une raison, ma foi fort simple : c'est une île oubliée des Cinq. Rocailleuse, bordées d'écueils tranchants sur l'extérieur, remplies de marais gelés à l'intérieur, Meca est une terre de perdition. Les marins évitent comme la peste ses courants traitres, ses vents violents, ses hauts-fonds et ses récifs capables d'amener n'importe quel équipage à sa perte. Dépourvue d’attrait, on comprend pourquoi l'île a été longtemps ignorée de la Péninsule - pire, maudite - et pourquoi seuls les renégats, les pires fripouilles du continent y ont trouvé refuge. Ses maigres forêts n’abritent qu'un gibier malingre, et ses eaux agitées font de la simple pêche au filet une activité périlleuse. Les côtes mecanes sont ainsi ponctuées par les épaves éventrées, tant de coques opulentes que de vulgaires coquilles de noix.

Il serait bien présomptueux d'affirmer connaître l'île, tant ses occupants eux-même s'en détournent. Rares sont les vélins traitant à Meca de l'arrière pays, et les habitants ont toujours été tournés vers la mer. À raison! C'est que le Nord de l'île n'abrite qu'une étendue sans fin de tourbières acides, gelées par les vents venus du Nord, et dont on dit que les fonds hébergent quelques mauvais esprits. Perçant le givre, l'eau bouillonnante fait irruption, crachée par d'ébaudissants geysers. Bien peu d'hommes se sont aventurés dans la lande volcanique, et encore aujourd'hui, nombre de marins mécans prennent les récits des bassins bouillonnants pour des fables.

Si le Sud de l'île, quant à lui, demeure plus hospitalier, il n'en est pas moins un pays bien pauvre. Recouverts par d'épais amas de pins soufflés par les vents, Meca n'est pourtant guère giboyeuse. Les bêtes sauvages ont délaissé depuis fort longtemps ces forêts sèches - ou bien ont-ils tous été chassés par les premiers colons. La terre, aride et craquelée, recouverte d'épines acides et d'une herbe rase, ne permet guère les cultures, et seuls quelques maigres troupeaux viennent y paître. Les pâtres mécans sont ainsi une figure d'exception sur l'île, uniques hommes à se tourner vers l'arrière pays plutôt que la côte.

Les gens de l'île, d'une race fort peu recommandable à l'origine, n'ont guère bénéficié de ce climat de géhenne. Ils ont poussé sur ce rocher ingrat comme les moules s'agrippent aux récifs, tâchant de survivre à l'incurie du lieu, et aux exigence de la mer. Trouvant refuge dans l'unique crique abritée de l'île, les exilés de Meca fondèrent le port éponyme. L'endroit, pareil à une fleur trônant sur le fumier, n'est pas dépourvu de charmes. La ville mêle des habitations construites à même le roc, sur de vertigineux a-pic rocheux, et des bas quartiers, gagnés par les pilotis sur le delta marécageux d'une mince rivière acide, unique source d'eau douce pour les habitants.

Le traitre littoral mécan, avec au loin le port éponyme.

Ici, la gent mécane baguenaude tant bien que mal, ramassant les bulots à la marée basse, jetant ses nasses sur les côtes. De l'intérieur des terres, on ramène de la tourbe en quantité, et quelque bête chétive, à l'image de cette vie chiche que mènent les mécans. Pour autant, il serait mal avisé de se borner à cet aspect de disette, car si leur île ne daigne leur offrir guère, les gens de Meca, aux dents longues, ont résolu de prendre ailleurs ce qu'ils ne pouvaient trouver sur place. Depuis les temps immémoriaux, ces rudes marins ne se bornent pas à la pêche au thon rouge, et assurément, depuis le jour où un homme a posé le pied sur ces rivages ingrat, il a aussitôt cherché à retourner rançonner le continent.

C'est que les mécans sont de chevronnés pillards. Qu'ils arraisonnent les cogues cabotant entre les petits ports de l'Eris, ou mettent directement pied à terre pour dépouiller les villages de pêcheur, ces hommes font aisément feu de tout bois. Longtemps craints, ils savent toutefois également montrer patte blanche, lorsque c'est dans leur intérêt. C'est ainsi qu'il y a des années, certains parmi ces diables d'outre-mer se sont mués marchands, usant de leurs talents de marins pour rallier les ports septentrionaux de Lün et du Tor, ainsi que la riche Ydril et ses épigones suderones. La morale étant étrangère au commerce, il n'est ainsi pas rare qu'un marchand de Bonniverdi acquiert le fruit d'une rapine sur les côtes eraçonnes.

La cité, construite de bric et de broc, ne doit son salut qu'à la protection de sa crique, dont les abords rocailleux brisent les lames de fond, épargnant ainsi les fragiles docks mécans. C'est dans cette hanse bienfaitrice que mouillent les embarcations des locaux, entre deux expéditions. Trop conscient de l'inconstance des flots, les seigneurs de l'île, qu'ils soient marchands ou forbans, ont édifiés sur les hauts de celle-ci d'imposantes demeures en pierre, qui contrastent grandement avec les venelles portuaires. Ces dernières, véritable labyrinthe de bois flotté, offrent le spectacle d'une fourmilière humaine nichée au bord de l'eau, où s'ébattent une populace au gré des troquets et des bordels.

En effet, si la réputation de l'île veut que celle-ci ne serve que de havre aux pirates, la vérité est toutefois bien différente : en sus des forbans faisant escale à Meca, il y vivote une populace permanente, faite de gens libres, d'artisans en tout genre. Dépendant de la manne maritime, ce peuple vit aux rythmes des arrivages.

Les quais de Meca.

S'extrayant ainsi de leur condition précaire par la pratique assidue de la piraterie et du commerce, les gens de Meca ont ainsi constitué un port d'importance sur leur île, une cité franche et libre de toute couronne. Pour autant, il serait illusoire de croire qu'un endroit pareil fut laissé en pâture à l'anarchie. C'est par l'entente de ses plus grands hommes que Meca jouit d'une paix relative, et d'une certaine tranquillité. Les conseils des seigneurs, tant pirates que marchands, décident ainsi au jour le jour de la manière dont il convient de mener les affaires, à renfort de pillage, ou de diplomatie envers le continent (lire à ce sujet la description du conseil mécan, par Bartholomé Lastanchezza). Bien qu'à l'abri sur leur île - et l'échec du roi Trystan à purger Meca de ses forbans ne me contredira pas - les mecans ont toujours su mener un équilibre entre l'agression et la cajolerie, conscient qu'ils nécessitent les péninsulaire, autant comme partenaire que comme proie.

C'est en ce sens que le conseil mécan, depuis quelques années, tâche de modérer ses entreprises de pirateries, envers les nouvelles caravelles soltariies lancées sur la piste de Thanor. Cependant, si les grands seigneurs sont d'accord pour ne pas étouffer ce commerce naissant, afin de le saigner durablement, la chose n'est pas nécessairement du goût de tous, et l'on voit régulièrement de menus équipages s'enhardir à la poursuite des vaisseaux de la compagnie du ponant. Réussissant avec plus ou moins de succès, cette entreprise est venue perturber à la fois l'équilibre de l'île, en favorisant l’émergence de nouveaux seigneurs des mers, et à la fois le continent, dont la méfiance envers les mécans s'est de nouveau accrue.

Code:

<blockquote>
[justify][center][color=#B0A977][size=24][b]Les Pirates de Lustucru[/b][/size][/color][/center]


<table style="width:100%"><tr><td>
Sommaire:
<ol type="I"><li><a href="#Meca">Meca, isle de la piraterie.</a>
<li><a href="#Arch">L'archipel mécan.</a>
<ul><li><a href="#Mec1">Meca.</a>
<li><a href="#Pins">L’isle aux Pins.</a>
<li><a href="#isle1>île nord n1</a>
<li><a href="#isle2>île nord n2</a></ul>
<li><a href="#Cité">Meca, cité de forbans et flibustiers.</a>
<ul><li><a href="#Lie1">Lieu1</a>
<li><a href="#Lie2">Lieu2</a>
<li><a href="#Lie3">Lieu3</a></ul>
<li><a href="#Peuple">Les Peuples des mers</a>
<ul><li><a href="#Seign">Les Seigneurs de la Piraterie</a>
<li><a href="#Chap">Les Chapitres</a>
<li><a href="#MarMarch">La Marine Marchande</a></ul>
<li><a href="#Loi">Le Code des Pirates ou jspkoi</a>
</ol>
</td>
<td>
[img(250px,232px)]https://zupimages.net/up/20/38/bubr.jpg[/img]
</td></tr></table>


[font=Georgia][size=18][u]<a id="Meca">I. Meca, isle de la piraterie.</a>[/u][/size][/font]</ol>

BLABLABLA, c'est une intro'.


[font=Georgia][size=18][u]<a id="Arch">II. L'archipel mécan.</a>[/u][/size][/font]</ol>

<ul><li>[u][b]<a id="Mec1">II.1. Meca.</a>[/b][/u]</ul>

BLABLA BLABLABLA BLABLABLA parlons de l'île en elle même.


<ul><li>[u][b]<a id="Pins">II.2. L’isle aux Pins.</a>[/b][/u]</ul>

BLABLA BLABLABLABLA même chose.


<ul><li>[u][b]<a id="isle1">II.3. île nord n1</a>[/b][/u]</ul>

BLABLABLA BLABLABLA même chose.


<ul><li>[u][b]<a id="isle2">II.4. île nord n2</a>[/b][/u]</ul>


[font=Georgia][size=18][u]<a id="Cité">III. Meca, cité de forbans et flibustiers.</a>[/u][/size][/font]</ol>

<ul><li>[u][b]<a id="Lie1">III.1. Lieu1</a>[/b][/u]</ul>

BLABLABLA BLABLABLA coin important. Genre, le belle salle du conseil des seigneurs des pirates.


<ul><li>[u][b]<a id="Lie2">III.2. Lieu2</a>[/b][/u]</ul>

BLABLABLA BLABLABLA un autre coin important, genre le port par exemple jsp.


<ul><li>[u][b]<a id="Lie3">III.3. Lieu3</a>[/b][/u]</ul>

BLABLABLA BLABLABLA pareil.


[font=Georgia][size=18][u]<a id="Peuple">IV. Les Peuples des mers.</a>[/u][/size][/font]</ol>

<ul><li>[b][u]<a id="Seign">IV.1. Les Seigneurs de la Piraterie.</a>[/u][/b]</ul>

BLABLABLA BLABLABLA


<ul><li>[b][u]<a id="Chap">IV.2. Les Chapitres.</a>[/u][/b]</ul>

BLABLABLA BLABLABLA

<ul><li>[b][u]<a id="MarMarch">IV.3. La Marine Marchande.</a>[/u][/b]</ul>

BLABLABLA BLABLABLA

[font=Georgia][size=18][u]<a id="LOI">V. Le Code des Pirates ou jspkoi.</a>[/u][/size][/font]</ol>

BLABLABLA BLABLABLA ici le fonctionnement sociétal, juridico politique, peu importe on verra bien.

[/justify]
[center][right][size=9]Rédigé par : BLABLA
A partir du travail de Vincente Manolesti.[/size][/right]
[/center]
</blockquote>

Les Pirates de Lustucru

Sommaire: Meca, isle de la piraterie. L'archipel mécan. Meca. L’isle aux Pins. île nord n2 Meca, cité de forbans et flibustiers. Lieu1 Lieu2 Lieu3 Les Peuples des mers Les Seigneurs de la Piraterie Les Chapitres La Marine Marchande Le Code des Pirates ou jspkoi

I. Meca, isle de la piraterie.

BLABLABLA, c'est une intro'.


II. L'archipel mécan.

• II.1. Meca.

BLABLA BLABLABLA BLABLABLA parlons de l'île en elle même.

• II.2. L’isle aux Pins.

BLABLA BLABLABLABLA même chose.

• II.3. île nord n1

BLABLABLA BLABLABLA même chose.

• II.4. île nord n2

III. Meca, cité de forbans et flibustiers.

• III.1. Lieu1

BLABLABLA BLABLABLA coin important. Genre, le belle salle du conseil des seigneurs des pirates.

• III.2. Lieu2

BLABLABLA BLABLABLA un autre coin important, genre le port par exemple jsp.

• III.3. Lieu3

BLABLABLA BLABLABLA pareil.


IV. Les Peuples des mers.

• IV.1. Les Seigneurs de la Piraterie.

BLABLABLA BLABLABLA

• IV.2. Les Chapitres.

BLABLABLA BLABLABLA

• IV.3. La Marine Marchande.

BLABLABLA BLABLABLA

V. Le Code des Pirates ou jspkoi.

BLABLABLA BLABLABLA ici le fonctionnement sociétal, juridico politique, peu importe on verra bien.

Rédigé par : BLABLA
A partir du travail de Vincente Manolesti.

Spoiler:

Bon je me sens pas très légitime pour poster parce que si mon expédition à Nisétis se passe mal je risque de perdre mon perso mais bon tant pis comme on dit.

Je dois dire que la description qui est faite du système politique me paraît trop structuré pour des pirates ce qui contredit un peu l’idéal de liberté qui leur est d’ordinaire attaché, c’est peut-être moi mais j’ai du mal à associer des eaux territoriales à des pirates, c’est un peu le délire du pirate de se moquer du principe même d’eaux territoriales. Sans compter que la description qui est faite dudit gouvernement ressemble quand même beaucoup au système de princes marchands qu’on trouve en Ithri’Vaan et que je trouve ça un peu dommage, quitte à jouer un pirate comme ça autant en jouer un à Thaar. Je ne sais pas si le conseil a été joué et si oui comment il a été joué mais j’imagine les cinq plus comme des sortes de représentants que réellement comme des gouvernants, un moyen de remonter les problèmes qui touchent la majorité des mécans ; comme un gouvernement qui rassemble une flotte pour les empêcher de poursuivre leurs activités et espérer que les décisions des cinq soit suffisamment suivie par les autres capitaines pour réunir une force ou des ressources en quantités suffisantes quitte à mettre des coups de pression, à graisser des pattes etc… en somme ça serait un moyen de, lorsque nécessaire, se rassembler pour faire face à une menace suffisamment grande pour nécessiter un rassemblement. Ce qui rendrai donc les séances assez rares finalement. Meca me semble être l’endroit parfait pour avoir une sorte d’anarchie ou une fédération très décentralisée.

Mais du coup avoir :

Citation :

certains bateaux sont affairés spécialement dans le contrôle des eaux territoriales de Meca afin d’envoyer par le fond les bateaux de la marine royale ou tout autres fouineurs qui cherchaient à s’approcher un peu trop près de l’île.

Me semble, en poursuivant le raisonnement, de trop. Si des pirates veulent le faire pourquoi pas, bien que ça m’étonnerait que ce soit quelque chose qu’un équipage ferait sur le long terme étant donné qu’il y a probablement bien plus de sous à se faire, et que c’est théoriquement moins dangereux, de s’attaquer à des marchands qui n’ont rien demandé et qui évitent Meca. Ce qui peut aussi être utilisé comme sorte de punition d’ailleurs, un équipage n’a pas respecté une sorte de code de la piraterie du coup BIM ! les voilà condamné pour un certain nombre d’ennéades/mois/années à patrouiller pour protéger l’île. De toute façon ça me semble un peu superflus avec la description qui est faite de Meca, elle a l’air de très bien se défendre toute seule comme une grande.

Pour poursuivre sur la religion, de ce que j’ai pu en comprendre, l’Eris serait une déification de l’océan et n’aurait que peu de liens avec Tyra, Tari, Teiweon etc… ce qui d’ailleurs m’amène à la religion à Meca. Si on doit garder avant tout l’idée d’un peuple libre, et je suis tout à fait d’accord avec, je suis pas certain qu’établir, ne serait-ce que de facto, une religion d’état, par l’unique représentation d’une divinité au conseil, soit une bonne idée ; mais comme je l’ai dit jusque-là l’idée même d’un gouvernement aussi centralisé va, à mon sens, contre cette fameuse idée d’un peuple libre. Et en parlant justement de ce peuple, je suis assez d’accord avec ta vision, Deejarah, de la population et j’ajouterais que la population permanente de l’île doit être faible.

Ahoy o/

Ça y va, ça y va !

Bon alors, pour commencer, je parlais d'un revamp', un petit coup de peinture pour faire plus neuf quoi. Pas d'un retcon du BG de Meca.

Pour le fonctionnement politique, on va donc rester sur ce qu'en dit le BG de base :

Citation :

La piraterie et son organisation peut paraître barbare au premier abord, nébuleuse, sans aucune règle... Du moins, c’est ce que les rares gentilshommes et autres pucelles qui se seraient risqués à penser ce sujet en auraient conclu. Cependant ces derniers auraient tort et ces quelques lignes sont ici pour vous démontrer que la piraterie est bien plus structurée qu’elle n’y parait.

+ tout le reste.

Toutes les sociétés ont besoin d'un semblant de structure, la piraterie mecane aussi. D'où le fait qu'elle ait tenu en échec la marine royale péninsulaire pendant longtemps, qu'elle ait monté cette espèce de marine marchande qui s'apparente aux receleurs des mers, etc, etc.

Et c'est pour cela que les chapitres sont là :

Citation :

Ces hommes règnent sur une partie de la mer, sur un territoire et l’on peut considérer comme un chapitre, une organisation à part entière. Ce chapitre se subdivise en plusieurs chapitres mineurs qui sont constitués de tous les pirates qui  brigandent sur ce territoire, organisés selon les grades respectifs que l’on trouve sur un bâtiment pirate. Ainsi avec cette répartition territoriale entre l'Eris et l'Olienne, évite d'inutiles bains de sang excessif qui nuisent aux vols et à la rapine, bref aux affaires.

Donc oui, à l'heure actuelle, les grands seigneurs de la piraterie se partagent tout de même un territoire, et si la société tient debout, c'est parce que chacun ayant sa part du gâteau, y a pas besoin d'aller taper sur le voisin dans l'immédiat.

Après rien n'empêche d'avoir certains chapitres aux prises avec des forbans refusant la structure mecane, hein ? C'est vecteur de jeu, donc pas problème.
Et puis au pire, les océans, c'est grand. Donc si y en a un qui coule un voisin et que y a pas de témoins, bah... Il s'est jamais rien passé hein ? Les accidents, ça arrive. Ce sont des pirates après tout

Enfin ! Je crois comprendre que vous préférez taper sur le politico-social en premier lieu, donc je vais mettre à jour le sommaire dans ce sens. Et on va s'axer sur cette partie là d'abord, pour enchaîner avec les croyances et les superstition et enfin terminer par les descriptifs de l'archipel.

Les Pirates de Lustucru

Sommaire: Meca, isle de la piraterie. L'archipel mécan. Meca. L’isle aux Pins. île nord n2 Meca, cité de forbans et flibustiers. Lieu1 Lieu2 Lieu3 Les Peuples des mers Les Seigneurs de la Piraterie Les Chapitres La Marine Marchande Le Code des Pirates ou jspkoi

I. L'archipel mécan

Situé au large des côtes péninsulaires, au beau milieu du tumultueux Océan d'Eris, l'archipel Mécan, communément appelé « l'île de Meca » par abus de langage, est un lieu nimbé de mystères. On raconte ces terres impénétrables et peuplées de forbans sanguinaires. Dans les tavernes suderonnes, il se dit que seul un homme natif de l'île sait en déjouer les pièges, et peut éviter ses écueils traitres pour gagner l'abri du port de la cité éponyme. Il se dit aussi que ces gens là sont d'infâmes et redoutables crapules, doublés de marins émérites, ne craignant pas les dieux et, pour les théories les plus fantasques, dont le passe-temps consisterait à dévorer les corps des infortunés tombant sous leur emprise, ainsi qu'à sacrifier des boucs à d'impies démons. Meca nourrit nombre de fantasmes depuis des siècles et siècles, dont certains ne sont plus que les souvenirs d'une époque disparue, presque oubliée.

lien vers un BG géographie

• I.1. Au-delà des mémoires

Qui furent les premiers colons à s'installer sur ces îles ? Si les avis divergent au sein de la société péninsulaire, il est néanmoins des pistes chez les vaanis laissant à penser que les premiers habitants parcouraient déjà ces îles en des temps où le Royaume des Hommes naissait à peine. Pourtant, même pour les mécans actuels, ces histoires remontent à des temps si lointains qu'ils n'en n'ont guère quelques vestiges auxquels peu d'intérêt est prêté. Les légendes les plus fantasques autour de Méca, dont certains sont entretenus par gardiens de la foi mécanne, proviennent d'histoires transmises de générations en générations.
L'afflux d'Hommes venus du continent au fil des âges aura finit de faire de ces anciennes légendes de véritables mythes. Pourtant, malgré l'apport des cultures, ces histoires antiques sont restées centrales dans ce qui est aujourd'hui le socle culturel des îliens.

• I.2. L'ère de la piraterie

Si la société mécanne a toujours su s'organiser pour survivre, ce qu'on en connait aujourd'hui prend forme à une époque bien moins reculés que ses mythes fondateurs. De mémoire d'hommes, les escarmouches entre continentaux et iliens ont toujours eu lieu, mais avec l'essor du commerce, leur intensité n'a fait qu'accroître jusqu'à ce que s'installe une sorte de norme. Une norme permettant aux mécans de saigner durablement ce commerce nécessaire à la survie de leur population grandissante sans l'étouffer.
L'unité de Méca s'est consolidée autour de grands conflits l'ayant opposée aux pays du Soltaar et d'Ydril, entre autres. Parmi les batailles les plus fameuses ayant conduit à l'établissement d'un modèle permettant de conserver un équilibre des pouvoirs à Méca, source même cette relation parasitaire et essentielle avec le continent, on se souvient de celles ayant rougies les eaux ydrilotes durant les années 933 à 938 du cycle précédent. Notamment la bataille de de la Baie de Nalate, durant laquelle les mécans ont sacrifié nombre de navires et vie pour sauver celle de l'un d'entre eux promis à l’échafaud : Etsio Mori, une figure la plus connue dans la société mécanne pour son impact réformateur.


II. Meca, cité de forbans et flibustiers.

• III.1. Le Garde-Baie

Fortin + belle salle du conseil des seigneurs des pirates.

• III.2. Ville-Haute

blablabla

• III.3. Ville-Basse

Le Port, maisons sur pilotis


IV. Les Peuples des mers.

La piraterie et son organisation peut paraître barbare au premier abord, nébuleuse, sans aucune règle... Du moins, c’est ce que les rares gentilshommes et autres pucelles qui se risquent à penser ce sujet en arrive à en conclure. Cependant ces derniers ont tort et sont bien loin de réalités. Au siècle précédent, des suites de la bataille de la Baie de Nalate, Etsio Mori et Madeleine Lhortie établissent les fondements de ce qu'est encore aujourd'hui la société mécanne avec l'instauration du Code des Pirates, aussi appelé « Chasse-Partie ». Ils deviendront, par la suite, les deux premiers Seigneurs Pirate que l'île ait connue. Et si le premier est enterré sous le Garde-Baie, la seconde a disparu au cours d'une expédition dans l'Ouest de l'Eris.

• IV.1. Le Conseil des Pirates.

Parfois on les jalouse autant qu'on les craint et les respecte, les Seigneurs de la Piraterie sont considérés comme les gardiens de Méca, de ses traditions et de son fonctionnement. Si d'un œil extérieur, l'on pourrait y voir là un simple titre conférent puissance et pouvoir à une personnalité, il n'en est rien. Leur position, ils la doivent à ce qu'ils incarnent pour le société ilienne autant qu'à la force dont ils disposent. L'ensemble des flottes de ces pirates sont appelées des Chapitres et si chaque navire est libre de hisser son propre pavillon, ils arborent aussi un drapeau en pointe signifiant leur appartenance.
Ces Seigneurs Pirates ne se vautrent pas dans l'opulence, comme on pourrait être tenté de le penser. Ces hommes et femmes ont la charge de maintenir les eaux et les routes commerciales dans un état où la piraterie reste possible. L'idée était de ne pas étrangler leur source de revenu, mais de la saigner durablement. En cela, la violence se mêle à un habile jeu de diplomatie et de négoce, ainsi leur ennemies d'aujourd'hui peuvent devenir les partenaires de demain et vice versa.

• IV.2. Les Chapitres.

Ils parmi les prompts à afficher leurs couleurs, elle sont craintes autant que respectées et sont le signe de leur allégeance. Les chapitres sont, d'imposante flottes rassemblées sous la bannière de l'un des Seigneurs de la piraterie, leurs activités divergent des actes de piraterie commis habituellement car les missions qui leur incombent sont parfois d'ordre politique. Ainsi, le fonctionnement au sein de ces navires peut différer quelque peu du commun des équipages de pirates.

• IV.3. Entre piraterie et marchandage.

Si les mécans ont la réputation d'être des combattants et pillards chevronnés, certains ont appris à montrer patte blanche et sont devenus, depuis bien longtemps déjà, d'habiles marchands. Car le commerce et la morale n'ont pas pour habitude de se tutoyer, il n'est pas rare de que marchands ydrilotes acquièrent les fruits d'une rapine survenu le long des côtes langecines, ou vice versa. L'argent n'a pas d'odeur et tout le monde s'en accommode et finit par y trouver son compte.

• IV.4. Croyances et superstition.

V. Le Code des Pirates ou jspkoi.

BLABLABLA BLABLABLA ici le fonctionnement sociétal, juridico politique, peu importe on verra bien.

Rédigé par : BLABLA
A partir du travail de Vincente Manolesti.