Nombre de messages : 31 Âge : 35 Date d'inscription : 19/01/2021
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 20 ans Taille : 1,82m Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Geoffroy d'Oësgard, le Marcassin [TERMINE] Lun 25 Jan 2021 - 0:02
Possessions & Equipements : Ce château m'appartient, ces terres m'appartiennent ! Tout, ici en Oësgard, m'appartient ! Et pour le prouver j'ai gardé cette couronne qu'a porté mon oncle, feu le Roy de Sgarde.
Cette bague de confection naine offerte par le Marchand Glumtol, gravé des armoiries d'Oësgard, fait désormais également partie des possession du Baron d'Oësgard.
Apparence :
Taille : Je suis haut de 1,82m, preuve de ma vigueur oësgardienne.
Couleur des yeux : Mes yeux sont d'un Bleu nuit profonds commes les abysses.
Haut de plus d'un mètre quatre-vingt, les muscles taillés dans l'acier par les entraînements rigoureux, je suis une véritable force de la nature, un véritable Nordien pur et dur. Les cicatrices qui parcourent sont la preuve que je ne suis pas un couard, bien qu'elles ont été faites lors d'entraînements et de tournois, étant donné que je n'ai pas encore eu la chance de participer à une véritable bataille. Mon visage est anguleux, mon menton volontaire, et mon regard sévère. Certains disent mon visage souvent trop sérieux, pourtant je ne manque pas de goguenardise lorsque l'envie me sied. Je ne manque d'ailleurs pas de sourire, un sourire souvent de façade que certains trouvent sarcastique. De villes foutaises, si vous voulez mon avis, que je suis assurément un bel homme. En témoignent ces jouvencelles de cour qui tombent sous mon charme nordien. Mes cheveux, blonds et lisses, semblent d'ailleur bien leur plaire, lorsque ce ne sont pas les traits solides de mes muscles ou ma verve poétique.
Mes vêtements sont le plus souvent chauds, ne quittant que rarement mon Nord bien aimé. En laine, fourrure et cuir, taillés dans un style purement oësgardien : avec une sobriété délicate. Les ornements sont peu nombreux mais montrent ma force et renforcent mon apparence robuste, que d'aucun qualifient d'austère. La couronne d'Oësgard couvre immanquablement mon chef lors de représentations officielles, doublé de la chevalière baronniale à mon doigt. De plus, ma fidèle épée ne me quitte jamais, et ce depuis que j'ai été fait chevalier comme tout bon noble Nordien qui se respecte.
Personnalité :
En ce jour je ne suis que Baron, mais je devrais être Roy ! C'était ma destinée, et ils me l'ont volée ! L'heure n'est pas encore venue, mais... Oarg ! Ils verront. Et ils payeront ! D'ici là, je n'aurai de cesse de jouer les dupes et de feindre l'asservissement à ce Roy-pantin et à ses partisans, attendant mon heure.
Impulsif ? Violent ? Osez-donc me le dire en face ! Je suis un Sgardien, un vrai, un pur ! Je ne me laisserai pas marcher sur les pieds ! Alors vous… Ne savez-vous pas ce qu'il en coûte de provoquer mon courroux ? Ceux qui l'ont fait ne sont plus là pour le raconter, mais les témoins, eux, vous le diront. Alors, ne touchez pas à ce qui est mien, si vous ne voulez en subir les conséquences. Car tel est le fer dont est forgé un Sgardien, un vrai !
Oësgard, ma patrie ! Mon Oësgard. Je le protégerais et je le défendrais, j'en ferais un grand fief ! Bien que, la politique, l'économie, ouarg ! Par Othar, père des Batailles ! Devoir traiter avec ces suderons dégénérés, ces médiannais pompeux ou même ces vaanis répugnants… Oarg ! Je préfèrerai cent fois leur faire la guerre ! Leur montrer la puissance d'Oësgard, qu'ils comprennent l'intérêt qu'ils ont à nous suivre. Si seulement ces fous de Heïnster ne nous avaient pas affaibli, si ce couard de Montsoupir ne nous avait pas trahi, nous ne serions pas retombé sous le joug de ce royaume gangrené. Mais un jour, nous nous relèverons. Et, tout comme mon oncle avant moi, je relèverais la Sgardie. Parce que nous sommes bénis par la Damedieu et par Le Guerier, parce que nous avons hérité de la volonté originelle de Wilfrid Oësgard. La véritable, pas de cette fadaise dont se complaisent les seigneurs paresseux d'aujourd'hui. Oui, je relèverais Oësgard.
Mais, pour cela, je dois être prudent. Car mes ennemis sont nombreux, ils sont partout, et ils se cachent. Comme des serpents dans leurs trous. Alors je vais continuer à jouer le faible marcassin, tout en grandissant. Je vais me goinfrer, me goinfrer, me goinfrer, et un jour… Un jour, oui. Ce jour-là, le sanglier deviendra lion à nouveau. Et les rivières rougiront du sang de mes ennemis, suivant la volonté du Coléreux.
Capacités magiques : Honni soit la magie, Art des couards et des suppôts d'Arcam ! Que je sois maudit si j'en usais.
Histoire
Je n'ai que peu de souvenirs de mon enfance. Je suis né à Jersada, une pittoresque mais merveilleuse seigneurie d'Alonna. Mon père était Guillaume d'Olmünster, frère du célèbre Goar de Sgardie. Ma mère était Perséphone de Jersada, fille cadette de Seigneur de Jersada. mon enfance a été ordinaire, je suppose. Une nourrice s'est occupée de moi jusqu'à ce que je sois en âge de m'en passer, puis les précepteurs et les maîtres d'armes se sont succédés pour m'enseigner les usages dûs à mon rang. Je ne me souviens pas de me premières années, mais je me souviens que Mère était une femme belle et élégante, qu'elle ne plaisantais guère sur les règles de biensénces et le maintien dont nous, nobles de sang, devions respecter. Père, quant à lui, était un homme dur et sévère, un homme qui ne laissait pas de place à la faiblesse. Ils m'ont rendu tel que je suis à ce jour : un Nordien pur et dur, fier et fort, que rien en ce monde ne peut arrêter.
Et il y eut les guerres, celles qui ont fait saigner le Nord et celles qui ont ravagé le royaume. Je n'étais alors pas en âge de combattre, mais si j'avais pu… Si elles s'étaient déroulées maintenant, l'issue n'aurait pas été la même. Il y eut les guerres et Père y suivit son frère, mon Oncle. Certains le surnommaient Vil Troge, pour moi il était un modèle. Néera l'avait choisi, elle lui parlait dans ses rêves. Je le sais car il me les racontait, parfois. Et par le Guerrier,que j'aimais ses récits ! Ils ont été, et demeurent, une inspiration. Un joure ce sera moi, un jour, moi aussi, je dépasserais ses exploits, et mon nom restera gravé dans les mémoires.
Nous quittâmes Jersada après que le Tyran Norman eut été défait, et nous nous installâmes à Krahof, la seigneurie que Père obtint pour ses faits d'armes lors de la guerre. M'habituer à cette nouvelle vie ne fut pas si difficile ; Après tout, je suis né pour être bien plus que le fils d'une cadette et d'un chevalier sans terre, alors Héritier de Krahof et d'Olmüster était bien plus reluisant. Ceux du Pays, néanmoins, eurent plus de mal à accepter leur nouveau seigneur. Croyaient-ils que je n'entendais pas leurs brimades dans mon dos ? Les sots ! Ils se montrèrent moins de déférence face à l'échafaud ! Les dissidents furent matés, et Krahof devint nôtre. Le Royaume de Sgarde avait alors de beaux jours devant lui.
Jusqu'à la terrible nouvelle. Mon oncle, Roy de Sgarde, Héros d'Amblère, Pourfendeur de Sombres, avait péri dans sa campagne divine en Estrévent. Il n'en fallu pas plus pour que de vils infidèles en profitent pour attaquer le fabuleux Royaume de Sgarde. La guerre fut rude, et si nous n'avions point été trahi par de couards félons Sgarde serait toujours. Les chiens de Diantra mon arraché mon Royaume, et je fus forcé de prendre en fiançailles la fille de nos ennemis. Pire encore : l'on m'envoya à Serramire, en compagnie de ma nouvelle fiancée, sous prétexte de nous protéger jusqu'à notre majorité.
Dès lors nous séjournâmes à Serramire, en le castel même du Duc. Si nous n'étions pas traités en prisonniers, cette vie avait parfois des allures de cage dorée. Comment ne pourraige garder rancune au corbeau ? Mère n'était plus, Père et mon Oncle n'étaient jamais revenus de leur campagne divine, et à de ce vieux piaf j'avais perdu mon royaume, que l'on m'interdisait de rejoindre. Pas plus que ma famille, à Jersada, que je ne revis que lorsque Grand-Père venait à Serramire. Il n'était guère venu que deux fois. Au moins, cela me permit d'apprendre à connaître ma fiancée, et à la tolérer. Je découvris qu'elle n'était pas aussi sotte ni écervelée que je ne l'avais imaginée, sans doute est-elle une exception dans sa famille. Nous apprîmes à nous connaître, et bien qu'aucun sentiment romantique n'apparut je savais cela superflu. La puissance est tout, que nous entendions suffisait. Et je savais qu'elle ne me ferait aucunement d'ombre : Je suis un Falkenberg, et elle n'est qu'une Heinster.
C'est également à cette époque que je fis la connaissance du fils de Brochant, Arnaud. Je le vis d'abord comme un Corbeau, le digne fils de son père, mais je m'aperçus qu'il en était différent. Au fils des ennéades et des tournois il devint à mes yeux un rival, et aussi un ami. Si tant est que l'on puisse qualifier notre relation d'amicale. Je respecte cet homme pour quelques qualités, certes. Mais il reste un de Brochant, et je ne puis oublier ce qu'ils ont fait aux miens.
Les années passèrent, et le vieux Corbeau rendit son souffle à Tyra. Quel jour mémorable que celui où je l'ai appris ! Mon seul regret et de ne pouvoir le pourfendre de mes mains, désormais. Le vieux Aymeric partit, son fils hérita de son titre. Quant à moi, je pus enfin rentrer sur mes terres. Le royaume de Sgarde n'est peut être plus, mais le trône d'Oësgard est bien mien ! Nos épousailles avec la fille Heinster marqua la fin de la régence d'Oësgard, et je pouvais enfin accomplir la tâche qui me revenait de droit : régner sur le Pays de Sgarde. C'était ce que je pensais.
Les Nordiens sont des gens fiers et rudes, et Oësgard l'est encore plus. Mon jeune âge en questionnait plus d'un, parmi les seigneurs, qui doutaient de ma grandeur. pouvais-je régner d'une main de guerrier sur ces terres, moi qui n'avait connu de batailles que les histoires des précepteurs ? Et pourtant, Othar sait que si j'avais pu je ne l'aurai point manqué ! Ma gloir viendra, oui. Elle viendra. En attendant ce jour je dûs s'entourer de conseillers, que je choisis parmis les plus forts. Des Oësgardiens dignes de me servir, des hommes en qui je pouvais accorder ma confiance. Je désignais, entre autres gens, le ser Brohan de Hoginheim, qui bien que n'ayant qu'un titre modeste était aux yeux d'Oësgard un héros. Il avait bravé la mort pour ce Pays, et il avait survécu aux Wandres, seul, la pire nuit qui soit : celle du Voile. Je désignais également le Père Gregor, un Grand Prètre d'Othar qui fut autrefois notre sermonnaire lorsque j'étais à Jersada.
Grâce à leurs judicieux conseils, et à l'appui que m'apporte mon épouse, Oësgard s'est relevé. Les ravages causés par les prédécesseurs de mon Oncle se sont effacés, et les conflits de la guerre de Sgarde s'amenuisent peu à peu. Cela me coûte de le dire, mais le mariage qu'à arrangé le vieux Corbeau a eu l'effet qu'il escomptait. Dommage qu'il ne soit plus, car il n'en verra pas le résultat. Il ne verra que cela nous a rendu plus fort, et jamais il ne saura que c'est par son fait qu'Oësgard regagnera la force qui lui permettra de s'extirper des griffes de Serramire une bonne fois pour toutes. Car le temps arrive. Oui, le temps arrive. Le temps pour le Sanglier de se métamorphoser à nouveau en Lion.
HRP:
T'sisra Do'ath
Modérateur
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Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 124 ans Taille : 171 cm Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Re: Geoffroy d'Oësgard, le Marcassin [TERMINE] Mar 26 Jan 2021 - 23:15
Sgarde sera-t-elle à nouveau un Royaume ? Nous le saurons bientôt !
Code:
[Métier] : Baron d'Oësgard et Seigneur d'Amblère
[Sexe] : Masculin
[Classe d'arme] : Corps à corps, combat monté
[Alignement] : Chaotique Mauvais
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.