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 Essalia, la cité des fêtes

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Alyna Or'Siandbel
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MessageSujet: Essalia, la cité des fêtes   Essalia, la cité des fêtes I_icon_minitimeSam 24 Juil 2021 - 14:03


La Cité d'Essalia
La cité des fêtes

Spoiler:



Sommaire:
  1. La Cité d'Essalia.


  2. Diplomatie.


  3. Du système politique et juridique de la cité.


  4. Les forces coerctives.


  5. Economie.


  6. Culture et traditions.


  7. Quartiers et lieux notables.




Essalia, la cité des fêtes A3247411

« Essalia festoie, Essalia dévore, mais jamais Essalia ne dors. »


I. La Cité d'Essalia.


  • I.1. L'Origine.

Même si les origines ayant mené à la création d’Essalia demeurent obscures aux yeux des Estrevenais, il n’est guère absurde, aux vues des nombreux écrits recensés, de situer son apparition aux alentours des années ??? . Son origine telle qu’elle est devinée par l’historien Essalien Théomond de Beausac précise en ces termes qu’elle fut naguère le « repaire des nombreux criminels et bandits désireux de mener des assauts sur les villages environnants. » De par cette population belliqueuse, Essalia, venant de la racine nisetis Ess'Alias signifiant les « Mille Couteaux », (je sais pô si je garde, ça fait un peu too much), fut longtemps une place forte derrière lequel s’abritaient les principaux scélérats craignant les représailles de ces mêmes localités.

À l’époque centre névralgique de la criminalité qui pesait sur la région, Essalia ressemblait davantage à un amas vulgaire d’habitations grossières, dont seul le mur d’enceinte pouvait être qualifié de véritable construction. Les relations conflictuelles qu’entretenaient les différents groupes de criminels qui se regroupaient au cœur de la cité furent telles qu’il ne fut guère étonnant de les voir a posteriori se déchirer pour de banales broutilles, mettant un terme aux raids de banditismes dans lequel ils avaient plongé la région.

Loin d’être détruite par ces brefs, mais non sanglants affrontements, Essalia fut rapidement aux mains de la faction victorieuse qui s’empressa à l’image des cités voisines d’instaurer un semblant d’ordre en renvoyant les principaux détracteurs et en matant les criminels vindicatifs. Les premières tentatives furent néanmoins un échec, les hommes à la tête de la cité étant régulièrement assassinés puis remplacés. Il fallut attendre quelques dizaines d’années avant que la situation politique ne se calme, due notamment à un manque flagrant du développement de leur agriculture et par la présence d’une nouvelle criminalité qu’engendraient la famine et la précarité.  

Théomond de Beausac soutint que « La transition de cette population brutale et vindicative, telle qu’aiment le décrire les historiens, en celle que nous connaissons aujourd’hui pousse à une profonde reconsidération de ces citoyens. » Une réflexion bienvenue, mais qui trouve sa réponse dans l’arrivée au pouvoir d’Anguerant Velekan, noble d'origine ??? (nisetis ou autre je sais pas), qui modifia profondément Essalia. Il conféra à la cité cette architecture si particulière, en forme de cercle concentrique, relançant par la même l’agriculture et le commerce avec les autres cités. D’une taille ridiculement petite par rapport aux autres cités marchandes, Essalia entreprit sa lente croissance sous son égide dans les années qui suivirent, atteignant à notre époque une taille des plus modestes.  

La cité, dirigée dans ses débuts par un Prince ou Princesse, terme ayant une connotation bien différente de celui de prince-marchand que nous connaissons aujourd’hui, a vu son rôle s’affermir au fil des années malgré les nouvelles contestations de son autorité nées par la création de la Cour des Arts.


  • I.2. Géographie Générale.

Fondée sur les berges de l’Oliya, la cité d’Essalia s’étend nonchalamment sous le soleil cuisant de l’Ithri'Vaan. Disposant de larges terres cultivables, la cité n’en est pas moins dépendante de son commerce avec les autres villes. Ayant mal vécu l’autarcie dans laquelle l’avaient plongé les anciens Princes d’Essalia, arrogants et hautains, la cité mit un point d’honneur à conserver de bonnes relations avec ses voisins, soucieuse de ne pas retomber dans ces travers.


II. Diplomatie.

De par son houleux passé, Essalia porte sur ses épaules un manteau des plus encombrants. Une réputation qu’elle n’a guère tardé à renier au profit d’une histoire plus glorieuse fait de Gestes épiques aux personnages hauts en couleur. Étant à ses débuts particulièrement renfermée sur elle-même, elle s’ouvrit progressivement aux autres cités grâce au commerce et au développement de sa propre activité.

Néanmoins, la faute à des diplomates incompétents et à une famille princière égoïste, les relations qu’entretint la cité avec ses voisines furent des plus platoniques.


  • II.1. Les relations d'Essalia.

Vis-à-vis du Conseil de Thaar, il y est toujours figuré un prince-marchand d’Essalia. Particulièrement absents, transparents et effacés dans les prises de décisions, ses princes n’ont jamais attiré l’attention aussi bien favorablement que défavorablement, malgré les tentatives de certains d’entre eux à vouloir s’attirer les faveurs de ses membres.

Vis-à-vis de Sol'Dorn, les deux cités n’ont jamais manqué de se jeter des regards prudents. Malgré cela, Essalia n’a jamais fait le moindre geste dans leur direction et apprécie le fait que celle-ci en fasse autant.


III. Du système politique et juridique de la cité.


  • III.1. La famille Princière.

L’origine princière telle qu’elle est entendue dans les premiers temps par Essalia, est un héritage venu d’Anguerand Veleken, ancien noble en exile qui vint au secours de la cité. Ce titre fut repris par ses descendants à sa mort.

Le prince à autorité absolue au sein de la cité. La transmission de ce titre se fait uniquement par filiation directe. Si le dernier héritier en vie venait à mourir, les Essaliens, par le biais de la Cour des Artistes, devraient élire la nouvelle famille princière. À l’origine, c’était le Cercle des Plumes qui choisissait la nouvelle famille, mais cette prérogative leur a été soustraite par la Cour sur décision princière.


  • III.2. La Cour des Artistes.

Organe majeur de la cité, la Cour des Artistes était auparavant un simple club privé réunissant les artistes les plus en vogue de la cité. Ludique, ce groupe s’échangeait leurs idées et critiques sur les œuvres récentes sans se préoccuper de la politique. Regroupant de fameux écrivains, musiciens, peintres ou acteurs reconnus, la Cour des Artistes contribua à octroyer à l’art une forme noble et attrayante et en favorisa son essor. Au fil des années, lorsque les princes, friands d’arts, décidèrent d’élever à la condition de noble les artistes les plus célèbres que formait cette Cour, ces derniers se trouvèrent propulser sur l’échiquier politique, prenant goût à cette nouvelle position qui leur assurer l’écoute de la famille princière.  
Avec le temps, la Cour des Artistes est devenue un organe majoritaire au sein de la cité, étant particulièrement apprécié et écouté par ses citoyens. Son rôle s’est progressivement transformé de simple groupe privé en une institution publique dont seuls les membres ayant une activité artistique reconnue sont habilités à rejoindre. Leur rôle premier est de garantir l’essor de l’art et la liberté des artistes. Officieusement, elle a pour rôle de faire contre-pouvoir avec celui du prince, pouvant exercer son influence sur les masses populaires.


  • III.3. Le Cercle des Plumes.

Appelée plus communément le Cercle, cette organisation est composée de douze membres. Chargée essentiellement de transposer les directives confiées par le prince, ces tâches touchant en grande partie le simple administratif, elle a également autorité pour trancher les litiges mineurs ou mobiliser les Porte-lames. Le Cercle se réunit quotidiennement en matière d’urbanisme, la cité d’Essalia désirant s’agrandir afin d’accueillir davantage de population.


IV. Les forces coercitives.

Les forces militaires de la cité ne sont guère conséquentes, comptant davantage sur les murs épais et sur la construction concentrique de la cité rendant difficile sa prise par une armée régulière. Néanmoins, elle compte certaines forces armées dont il serait bien sot de sous-estimer.


  • IV.1. La Garde Embrasée.

Unité d’élite d’Essalia, la Garde Embrasée regroupent une trentaine de membres dont la fonction principale est la protection du Prince. Sous les ordres de celle que l’on nomme la Bête, la Garde Embrasée subit un entraînement rigoureux et potentiellement mortel pour les moins valeureux. L’épreuve finale consiste à y affronter vêtue d’un simple pagne un membre de la Garde entièrement vêtue de sa cuirasse de fer et armé. L’homme réussissant cet exploit se verra marqué au fer rouge sur le torse du symbole de la Garde : un félin à pointe mugissant. Entièrement équipés d’une armure massive et lourde, les embrasés doivent savoir maîtriser tout type d’arme pour répondre à n’importe quelle situation.


  • IV.2. Les Porte-lames.

Les Porte-lames sont des individus placés sous l’autorité du Cercle des Plumes et chargés d’assurer la sécurité et le maintien de l’ordre. Dans une cité en perpétuelle ébullition, leur rôle est mal perçu par les citoyens, voyant en ces derniers de véritables trouble-fête.

Vêtus de blanc, ils passent sur leurs vêtements de lins une armure matelassée peinte en gris. À leur bras, un petit écu de forme ovale, garni de plusieurs piques, dans lequel est dissimulée une fine dague, placée de manière à frapper de manière imprévisible. En arme principale, ils disposent d’une longue lance renforcée, suffisamment solide, qu’ils savent manier à la fois au corps à corps, mais aussi en tant qu’arme de jet. Rejoindre les Porte-lames n’est guère difficile, mais peu valorisant, il suffit d’arborer la carrure nécessaire ainsi que la volonté de servir la cité.

Il est à noter que la cité recrute de nombreuses compagnies de mercenaires venant soutenir les Porte-lames dans leur mission, leur nombre n’étant pas suffisamment élevé pour contenir les débordements durant les fêtes particulièrement démesurées. Ces derniers sont intégrés au rang des Porte-lames au grand dam de ces derniers qui vouent à ces hommes une jalousie féroce.


V. Economie.

Essalia dispose de grandes terres cultivables lui permettant de subvenir à une large partie de sa population. Et ce qui lui manque, elle le fait importer par voie fluviale ou terrestre.


  • V.1. Ressources du territoire.

Le territoire est parsemé de petites forêts de chênes octroyant une ressource en bois conséquente et d’une mine permettant d’extraire de l’argent. Ces forêts sont riches en noix de galle qu’Essalia récolte afin de fabriquer de l’encre, l’assemblant avec de la lie de vin et du sulfate de fer, qu’elle revend ensuite aux autres cités. De plus, de par sa proximité avec l’oliyan, Essalia a favorisé la culture de rizière, en en consommant à titre principal, mais également en l’exportant.


  • V.2. Artisanats essaliennes.

C’est à Essalia que l’on retrouve les meilleurs confectionneurs d’instruments de musique allant du simple luth à la flûte à bec tout en passant par la lyre. De nombreux luthiers et autres artisans viennent jusque dans la cité pour apprendre avec ces maîtres.

Qui plus est, même si Thaar compte également son lot d’artistes connus, la profusion de peintures et de sculptures qui jaillissent des ateliers d’Essalia fait que son marché est bien plus réactif et varié permettant d’englober une plus large clientèle.


VI. Culture et traditions.

Essalia est une ville en perpétuelle effervescence. Banquets et fêtes se mêlent dans une joyeuse cacophonie, faisant de la cité un endroit riche en loisirs. Cela ne fut pas toujours le cas, les anciens princes préférant naguère se réserver ces petits plaisirs.  


  • VI.1. Considérations raciales.

Il n’est nulle race qui ne soit malvenue au cœur de la cité des fêtes du moment qu’elles lui apportent quelque chose. Les Essaliens mettent en avant les caractéristiques artistiques de chacun avant toutes considérations ethniques. Ainsi un Eldéen ne serait guère discriminé s’il s’avérait être un brillant acteur. La population Essalienne est cependant composée majoritairement d’humains, mais le brassage et les mélanges des races ne sont guère rares au vu des multiples fêtes qui attirent de nombreux voyageurs.


  • VI.2. La Noblesse essalienne.

Bien que ne dédaignant pas l’or, celui-ci ne présente pas la même valeur que dans les autres cités estréventines. La réputation en tant qu’artiste, écrivain, peintre ou acteur fait la vraie noblesse essalienne : c’est elle qui permet d’octroyer le droit de s’établir dans les Hauts Gradins. Les riches ne peuvent loger que dans les quartiers populaires situés sur la Grande Scène au même titre que les plus modestes. Il convient de préciser que l’acquisition de cette noblesse n’est permise que par autorisation de la Cour des Artistes, qui se fait juge de la performance artistique de chaque candidat. Leur jugement est particulièrement strict et leur choix, orienté, car seule cette noblesse peut espérer un jour les rejoindre. De surcroît, celle-ci n’accorde qu’un droit de logement dans les quartiers supérieurs et l’heureux élu devra tout de même débourser une somme conséquente pour s’y installer.


  • VI.3 La culture de la Fête.

Chaque fin d’ennéade est ponctuée par une fête ayant pour thèmes des sujets divers et variés. Ces thèmes sont communiqués des mois à l’avance selon un calendrier très précis élaboré par la Cour des Artistes avant d’être communiqué aux musées et organisateurs. Les artistes s’efforcent alors de composer, de performer selon leur talent afin d’être d’une part acceptée par ces organisateurs, mais surtout afin d’être repéré par la noblesse essalienne.

À chaque fête est désigné un vainqueur qui sera sélectionné pour concourir à la Fête Princière, ayant lieu chaque année durant l’été. Ainsi c’est trente-six artistes qui s’affronteront sous le regard du prince de la cité qui en choisira un pour rejoindre la Cour des Artistes. L’artiste en question prendra la place du membre le plus ancien.


  • VI.4. Cultes religieux.

Même si l’ouverture religieuse est de mise, le culte Pentien demeure majoritaire au sein d’Essalia. Les temples d’Arcam notamment y demeurent puissants, effaçant de par leur présence imposante ceux des autres divinités. Il n’est guère rare de voir que certains de leurs prêtres jouissent d’une grande et bonne réputation au sein de la cité, leur rôle leur permettant entre autres de loger pour une courte période dans les Hauts Gradins. Il n’est pas rare de les voir également se charger de superviser les festivités. Néanmoins cela reste à nuancer. Seuls les plus estimés d’entre eux disposent de ces droits, excluant de ce fait les nouveaux arrivants qui se prétenderaient prêtre du dieu masqué.


VII. Quartiers et lieux notables.

À l’origine, Essalia n’était guère différente des autres cités qui bordent l’oliya. Néanmoins, à l’arrivée d’Anguerand Veleken, la ville fut entièrement reconstruite selon les lubies de son architecte qui souhaitaient élaborer la structure d’Essalia selon plusieurs cercles concentriques qui s’imbriquaient dans un plus vaste, les surélevant chacun pour les faire correspondent à différents quartiers.


  • VII.1. La Grande Scène.

À l’entrée de la cité se tient la Grande Scène, endroit propice au commerce et aux échanges, accueillant les marchands de tout l’Ithri'Vaan. Particulièrement vaste et dégagée, elle permet aussi à d’éventuels artistes aventureux de déclamer quelques vers aux arrivants harassés. Les auberges et lieux de repos sont mis à l’écart de l’effervescence coutumière et arborent pour la majorité d’entre elles des noms renvoyant à des balades ou des héros d’antan.

Le Théâtre du Masqué : Bâtiment de taille modeste, le Théâtre du Masqué fait référence à la divinité d’Arcam, lieu où se déroulent les pièces les plus connues et célèbres, grandement appréciées par les Essaliens.


  • VII.2. Les Reliquaires.

En dépassant la Grande Scène, il est possible de gravir les escaliers menant aux Reliquaires, place où se côtoient les artistes de la cité. C’est ici qu’ont lieu les représentations journalières d’hommes et de femmes cherchant à se faire remarquer par la Cour des Artistes qui se réunit dans ce même quartier au palais Fendrâle. L’endroit est également un lieu de culture puisque c’est dans ces ruelles que sont réunis l’ensemble des musées et expositions.

Le Mausolée des Connaissances : La plus grande et fournie bibliothèque d’Essalia. Ne rivalisant guère avec celle de Thaar, elle fait néanmoins figure de référence auprès d’une grande majorité d’elles. Réunissant de vieux recueils historiques et juridiques ainsi que certains trésors et ouvrages anciens, les princes d’Essalia issu de la famille Velekan ont toujours favorisé le développement de cette dernière, lui octroyant des sommes conséquentes pour parfaire ses collections.

Le Musée D’Or : L’une des constructions les plus anciennes de la cité avec le Mausolée, le Musée expose tableaux et sculptures les plus en vogue. Être autorisé à afficher son œuvre au sein d’une exposition est un honneur incommensurable pour les artistes. Il est souvent synonyme d’ascension fulgurante et d’une reconnaissance de la part des artistes de la cité.  


  • VII.3. Les Rideaux.

L’ambiance festive dans laquelle baigne la cité ne parvient pas à masquer la misère qui touche certains de ses habitants. Situés dans l’ombre des autres quartiers, près du port, les visages faméliques côtoient la crasse des ruelles où les échos de la musique se mêlent aux grognements des ventres vides. Ceux qui ne disposent d’aucun talent artistique sont méprisés et rejetés dans ces bas quartiers. La plupart de ses habitants sont des travailleurs façonnant la pierre, des tâches dégradantes, mais nécessaires, contribuant par là même à élargir cette cité qu’ils haïssent.


  • VII.4. Les Hauts Gradins.

À partir de la Grande Scène, en remontant le long Promontoire qui s’élève au cœur de la cité, le visiteur curieux pourra déboucher sur les Hauts Gradins, quartier vaste surplombant les autres. C’est ici que logent les plus riches et favorisés par leurs dons, la cité n’acceptant qu’à une élite particulière de s’y établir.

Le palais princier : Auparavant siège de l’endroit où logeait le prince, le palais princier fut détruit pierre après pierre par Alyna Or'Siandbel, jugeant la construction d’une grossièreté sans nom et désirant effacer la présence de son précédent locataire et meurtrier des siens : Valdarn Keibourg. L’endroit est resté à l’abandon.

Le Siège : C’est ici que logent et administrent les membres du Cercle des Plumes.
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Magnus de Terresang
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MessageSujet: Re: Essalia, la cité des fêtes   Essalia, la cité des fêtes I_icon_minitimeJeu 18 Nov 2021 - 15:25

Salut à toi, belle damoiselle What a Face est-ce que tu as finis ou tu as quelque chose à ajouter ?
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