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| Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] | |
| | Auteur | Message |
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Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Mer 16 Avr 2008 - 18:11 | |
| Quelques jours avant l'opération en pleine rue... Marius marchait tranquillement dans les rues de Méca, fière d'être un jeune matelot dans la marine marchande, quel plaisir de naviguer. Soudain, marchand doucement, il s'arrêtant, fixant un marin qui était sur le port, seul, le regard perdu dans la mer, ses longs cheveux se balançant aux grès du vent. Il avait une aura de tristesse, un côté si, si désolé, il avait l'air si malheureux. Instinctivement, le jeune garçon fit un pas vers cet homme quand une lourde main se posa sur lui, il fixa le possesseur de la dite main, c'était un vieux marin, le genre qui en a vue, jambe de bois, cache oeil, crochet, bref, un vétéran, un de ces moussaillons qui en a vue plus d'une... Le Marin lâcha à Marius:
-Laisse le gamin...Ce gars là est maudit..., a ces mots, le marin murmura une prière avant que le jeune garçon lui réponde: -Damné? Comment cela? -Lui c'est le second de ce maudit Kernok!, le marin vérifia que le dit capitaine n'était pas derrière lui, au cas où, ce gars est appelé aussi...le...le...Le Vent Noir! On dit qu'il a vendu son âme aux dieux de la Mer pour faire souffler le vent, tout ceux qui l'aime ou l'apprécie meurs! le Marin semblait terroriser après avoir souffler le surnom du surnom, comme si le dire était une malédiction! Le gamin hocha la tête avant de souffler: -C'est pour cela qu'il est toujours seul, que personne veut lui parler? -Ouais mon gars, mais c'est plus sûr si tu tiens à la vie...
Soudain, le vieux marin fut dépassé par quelqu'un, ce dernier avait sans nul doute entendu la conversation, et pourtant il marchait vers Ulrich, cette personne voulait elle défier la Mort? Ou juste était compatissante avec le malheureux second? |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Mer 16 Avr 2008 - 18:37 | |
| Et le quelque chose qui dépassait le marin trop porté sur des croyances stupide était la Bosco du Fossoyeur. La gamine que Triss avait protégé comme la prunelle de ses yeux et qui finalement s’était faite respectée par elle-même. Passant ses doigts dans sa crinière flamboyante la belle souffla.
« Tu sais que Triss déteste vos superstitions débile, un homme ne vend pas son âme au diable. Soyons sérieux les enfants. »
Se tournant vers le plus vieux, le vétéran, la belle Isa soupira et lui lança comme si il avait été un enfant qu’elle réprimandait de manière douce.
« Et toi, tu as passé l’âge de colporter ses âneries de vent noir non ?
Enfin elle se concentra sur le gamin.
« Fait pas gaffe gamin, se vieux loup de mer a oublié que tout ça n’était fait que pour faire peur au gamin le soir avant de dormir. »
Elle laissa un rire rayonnant émaner d’elle, comme si son masque de bonheur était vraie. Oui elle était heureuse de vivre parmi les gens de Méca, mais elle était tout autant au bord du désespoir. Si seulement vous saviez les secret de son cœur, vous ne trouveriez plus moyen de sourire avant que le soleil n’est caché sa face pour laisser la lune blafarde vous contraindre au sommeille.
Puis elle se dirigea vers Ulrich, posant sa main sur son épaule et lui sourit. La femme qui se tenait a ses cotées était un sacré bout de femme. Un bon mètre quatre vingt, un aspect globale assez musclé, habitué au grand large, au bateau et au maniement de la barre. Coté physique, il fallait aussi dénoter sa poitrine plus qu’avantageuse, et ses hanches divinement dessiner. Une vraie femme dans toute sa splendeur.
Mais à coté, elle avait un visage de poupée, des cheveux de feu, volant en tous sens aux grés d’un vent mesquin ou joueur. Sur son front un bandeau noir, planquant et cachant même ses oreilles tout en retenant au mieux quelque mèches rebelle qui se serait faites une joie de lui passer en travers du visage.
Enfin les vetement. Une veste de cuir mettant en valeur ses atouts, un jabot de tissus avec une pierre bleu pour le maintenir et un pantalon noir moulant de manière agréable ses courbes. A cela s’accordait des bottes haute, mis cuisse, noir en cuir. Il y avait aussi sa lourde ceinture à boucle métallique ou une étrange arme trônait. Un mélange de sabre et de rapière. Une arme des plus exotique, mais surement pas autant que la demoiselle qui en était la propriétaire.
Se penchant un peu pour rencontrer le regard du marin elle lui dit d’une voix simple mais chaleureuse.
« Tu devrais pas resté seul comme ça. »
Puis lui tendant la main de manière peu féminine.
« Isabaut, Isabaut Garosa… Je suis la Seconde du fossoyeur. Surtout t’inquiète pas, je sais que de voir une femme Bosco ça fait étrange mais on s’y fait à la longue. Du moins c’est ce que raconte l’équipage. » |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Jeu 17 Avr 2008 - 6:41 | |
| Ulrich était peut être quelqu'un de rejeter, mais il n'était pas encore sourds, la mer vous formes à écoutez les sons et le nombres de fois qu'il avait entendu des discours comme celui du vieux marin était incalculable. Il ne lui en voulait pas, de toute façon, petit à petit, on s'habitue à cet état de fait, on est "maudit", "damné". Cela à ses avantages et ses inconvénients, rares sont ceux à venir lui chercher des ennuis, mais, rares sont ceux à venir discuter avec lui. De toute façon, la mer a une conversation bien plus développée que la majorité des Marins de Méca. La voie de la nouvelle arrivant lui était inconnu, qui était elle, il n'allait pas tarder à le savoir, mais elle s'exprimer de façon claire, franche. Par contre, pour l'histoire du Vent noir...Il n'en était pas sûr, il avait du mal à se souvenir de cette époque troublé, il avait demander de l'aide aux dieux, mais lequel avait répondu? Petit à petit, il s'était identifié à ce Vent Noir que les marins usés pour le surnommé, après tout, la mort était son compagnon de route, i lavait dut voir plus de morts que tout les marins de Méca réunit et avoir plus de désespoir qu'eux aussi.
Un léger frisson sourit soudainement notre pirate de ses pensées, la jeune femme venait de poser sa main sur son épaule, main qui pourtant n'était pas gelé, loin de là. Mais, c'était un geste très rares pour lui, il leva doucement les yeux pour la détailler. Elle était un peu son inverse, en quelques sortes. Ils devait être de taille équivalente, mais là où elle avait de magnifiques vêtements, lui portait ce jours une unique chemise rouge entre-baillé dont la coloration était plutôt dut à ses activités de médecine. Il avait des bottes usées, assez courtes, visiblement ravagé par le sel de mer. Ses cheveux était eux aussi l'inverse de la belle, long certes, mais d'un blond délavé qui avait perdu leur éclat et même sa rapière semblait dater d'un autre temps. En sommes nous avions l'aventurière, jeune, belle, pleine d'énergie, et à côté le vieux briscard dont les yeux ont vue trop d'horreur pour être compté. Oui, il avait vraiment un air triste lorsque ses yeux fixé l'océan.
Soudainement, le second de Kernok, rougit quelques peu et détourna vivement le regard pour fixer de nouveau l'océan, il venait de "reluqué" la jeune femme, sans aucune intention malsaine, et se sentait gêné par son propre regard. Que pouvait-il être gauche avec les femmes! Les pieds se baladant aux grès des vagues, notre Vent Noir sorti une flasque de sa poche de pantalon, cette dernière était d'argent, patiné par le temps, un bon coup de nettoyage lui aurait redonnez sans nul doute tout son éclat, elle semblait être le genre d'objet a traversé les génération. Il dévissa doucement le bouchon, ce dernier retomba dans un léger tintement sur le corps de l'objet, retenu par une fine chaînette. Ulrich souffla alors:
-A votre Avis, les Marins préfère une femme? Ou Un Damné? Je pense que leurs choix est rapidement fait. Je reste seul car cela rends les marins moins nerveux, ils ont moins peur, moins peur de moi car je suis différent, vous êtes un femme et alors? Les femmes ne sont pas "rare", alors qu'un être différent si.
Ulrich Marqua une légère pose, sa voie avait été semblable à un souffle, on aurait dit le vent de la Mer qui venait vous murmurez à l'oreille, une voie douce et presque mélancolique, Ulrich était vraiment le genre de personne à vous refilez le bourdon. Il fixa discrètement Isabaut avant de lui serrez la main, cette dernière lui ayant tendu, et d'ajouter:
-J'oubliais de me présenter...Ulrich Andorias Second du Mermaid, médecin de Bords et accessoirement Vent Noir... Si j'étais vous, je m'abstiendrais de rester près de moi, où d'après les rumeurs vous mourrez dans d'atroces souffrances...
Le marin eut un léger rire, un rire qui n'avait rien d'amusant, plutôt un rire de tristesse, il venait de l'inviter à partir, mais au fond de lui, il aurait bien aimé qu'elle reste, c'était rare d'être en compagnie de quelqu'un qui semblait sain d'esprit. Seul trois types de personnes accepter d'être avec Ulrich de leur plein grès, les Fous comme Kernok, les blessés qu'il soignait et les mourants. et cette Femme n'avait rien des trois... Enfin, qui resterais avec un gars aussi désespérant? A ces moments, il but une lampé de rhum, contenu de la flasque qu'il tenait entre les mains, le goût chaud du liquide embrasant son gosier, c'était certainement le meilleurs alcool du monde qu'il avait entre les mains et un gamin qui en buvait une gorgée serait certainement tombé raide! |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Jeu 17 Avr 2008 - 7:45 | |
| Elle fit une moue indignée, elle une simple femme ? Ressemblait’ elle donc a ses catins, ses filles de joies qui s’offraient pour quelque pièce d’or ? Cela la vexait presque qu’on la mette dans le même panier que les autres femmes. Surtout qu’elle aussi était différant, sous son bandeau ses oreilles prouvait encore que trop ses origines elfique. C’était sa malédiction à elle et d’après ses croyances, tout le monde avait son poids à porter quel qu’il soit. Le marin semblait porter le poids du monde mais il ne fallait tout de même pas exagérer.
Le regard d’Isa se portait sur la flasque, plus toute jeune en effet. L’homme se présenta comme Ulrich, mais elle savait déjà qui c’était. Le pirate était connu pour sa « malédiction ». Enfin, cela ne la gênait pas le moins du monde. Apres tout ça porte malheur une femme sur un navire non ? Alors c’est calmement qu’elle s’assise a ses cotés, regardant l’eau de ses yeux a la couleur jumelle.
« Enchantée Ulrich, mais je ne suis pas aussi sur de vous. Vous oubliez qu’une femme en mer c’est non seulement une source d’ennuie mais aussi un porte malheur. Vous n’imaginez pas combien de fois les marins aurait voulue me jeter a l’eau il y a quelques temps de cela. »
Son regard s’assombri et elle soupira.
« Mais Triss m’as protégée, il m’a offert la chance de prouver que je n’étais pas qu’une femme et que ça portait bien d’avantage malheur au bateau de m’avoir sur terre qu’en mer. Alors les marins ont fait avec, même si j’ai du faire doublement mes preuves. »
En parlant de Triss, ses yeux avaient changé, prenant une teinte lourde, terriblement lourde de détresse. Son cœur ne supportait plus cette situation et c’était de pire en pire. Elle aurait voulue en cet instant s’arracher le cœur de la poitrine et le jeter au loin pour oublier ce que c’était que de souffrir. Mais elle ne pouvait pas… s’arracher le cœur c’était mourir et elle n’était pas prête à abandonner sa vie. Par force ou faiblesse d’âme, c’était une question de point de vue et elle-même l’ignorait.
Secouant ça tête en reprenant ses esprits elle sourit à nouveau, comme si la douleur de son âme n’avait jamais été présente. Elle l’ignorait simplement ça lui permettait au moins de vivre normale. A 26 ans, elle était seule, aucun homme ne la considérait comme une femme a part entière, ils avaient peur d’elle et de son rôle. Ha, ce qu’elle aurait donnés pour que Triss se souvienne de cette magnifique nuit ! …Non ne pensons pas a ça ! Nous disions donc que la belle souriant en reprenant la parole.
« Et puis, faut arrêter, Ulrich, t’es aussi maudit que moi, donc sort toi ses conneries du crane. Et la prochaine fois que tu me dis que je suis une femme normale je te fou a la baille pour m’avoir insultée. Je sers pas de ciel de lit a tout les marins et je dirais même qu’aucun marin n’as le droit de me toucher pour simplement assouvir ses besoins. J’en connais un qui tuerait si jamais on tentait de me prendre pour une gourgandine. »
Elle ria doucement, passant un de ses doigts mutin sur le bout de son nez. Elle tourna ses yeux océan dans ceux du Bosco et elle reprit pour enfin finir.
« Puis pour votre information, je suis aussi quelqu’un de rare et différent. Mais on va dire que vous n’êtes pas prés à savoir en quoi. »
Elle tira doucement la langue en riant de bon cœur. |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Jeu 17 Avr 2008 - 8:37 | |
| La jeter à l'eau, ouais, c'était le tripe des marins, dès que quelques choses était différents où apportait le mauvais oeil, on le foutait à la mer. Quel bande d'hommes superstitieux! Ils avaient aussi voulu le faire, il avait alors user de sa malédiction, et la, la peur, cette terrible terreur s'était éprise d'eux lors que les voiles du navires s'étaient vue gonflé par le vent noir!
Le marin jeta un léger coup d'oeil sur la jeune femme, comme s'il avait peur que de la regarder directement ne l'offense, déjà, elle semblait avoir mal pris le "femme ordinaire", il n'y avait rien de méchant dans ses paroles, putain, il était donc toujours aussi gauche avec les femmes. Les femmes. Une nouvelle pensées nostalgique s'installa dans l'esprit d'Andorias, Arianne, sa tendre Arianne, doucement, petit à petit, au fils des mois, il avait de plus en plus de mal à se souvenir de son visage, il lui fallait parfois regardait son médaillon pour retrouver son visage, oui...Petit à petit tout s'efface, lui aussi quand il mourrait disparaîtrait de l'esprit des Hommes. Ouais, rien n'est immortel. Il la regardait discrètement, on aurait dit un gosse qui regardait quelque chose qu'il lui était interdit, de rapide regards en coin, il avait un peu honte de faire comme cela, mais la regarder fixement lui semblait un peu impoli, un peu...Il ne saurais le dire lui même, putain mais qu'est-ce qu'il se sentait con avec les gens. Il remarqua ce regard perdu dans l'océan, en sorte, il se dit qu'il devait avoir le même air, un air triste, si ce n'est qu'elle était plus belle. cette pensée fit rougir Ulrich, qui détourna une nouvelle fois le regard, pourquoi fallait-il qu'il se sente si...Ah!!! Soudain, après une "remontrance" et une assez longues tirade, la jeune femme rit, un rire claire cristallin, elle avait un rire magnifique, pas un de ses rires moqueur qu'il entendait à longueur de journée, mais un rire magnifique, il ne put s'empêcher de sourire, cela faisait longtemps que son visage n'avait pas esquissé une tel chose, trop longtemps, ça lui était étrange, il regarda de nouveau la jeune femme en coin, elle semblait de nouveau si radieuse. Ce Triss avait une chance incroyable. Le silence reprit alors ses droits, seul le cri des mouettes et le bruit des vagues se brisant sur les docks empêchaient aux deux êtres d'entendre leur propres coeurs battre. Ulrich murmura presque malgrés lui, son esprit le torturant au sujet de "femme normale" :
-Excusez moi pour le femme normale...Mais j'ai pas la même façon de voir les gens. ce n'était pas une insulte...
Il replongea dans son mutisme habituel, se remémorant la tirade de la jeune femme sur sa malédiction. Elle ne pouvait pas savoir, enfin, si elle devait savoir, mai elle n'avait pas vécu, lorsque l'on fait quelques chose considéré comme surnaturelle de façon normale, lorsque l'on perds ses êtres chères, on se laisse souvent influencer par les autres. Penser que cela était une malédiction était en un sens plus acceptable, cela n'avait rien avoir avec la fatalité où autre choses, une malédiction, on la reçoit, on la subit, la fatalité, c'est le "pas de chance", le manque de bol, l'injustice en sommes. Il ajouta doucement, comme pour répondre petit à petit aux paroles de la jeune femme, comme si pour lui le temps passait lentement:
-Je pense que vous savez vous défendre seul, et ce Triss, même si je le connais pas dois avoir un bon jugement car votre voie est claire et sans faille, vous devez bien mené les marins sur un bateau et ce avec autorité.
Ulrich commença alors à fixer l'horizon, déjà, on pouvait deviner que le soleil aller bientôt se coucher, il posa ses lèvres sur le goulots de la flasque pour se boire une nouvelle lampé du rhum. Il aimait bien boire doucement, pas comme ces ivrognes dans les tavernes, non, il aimait prendre son temps. Il continua d'ailleurs, sa voie flottant au grès du vent, comme portait par le souffle d'Eole.
-Moi c'est la peur qui les fait travailler dur... Vous êtes différente, peut être, mais votre différence ne fait pas peur aux autres.
A ce moment là, Ulrich ferma les yeux et de sa main vacante, il sembla tenir une sphère invisible, il fit quelques mouvement et doucement, ferma sa main avant de l'ouvrir rapidement, comme pour symboliser une explosion. Alors, il se mit à souffler, le vent noir. D'où venait il? nul ne le savait, on aurait dit qu'il venait de partout et de nul par, agitant les cheveux des deux êtres assis sur le bords de l'eau. Ce vent charrié d'infime grain de sable noirâtre, lui donnant ainsi cette impression de "vent noir". c'était de là que venez tout les malheur d'Andorias, de ce vent pourtant si calme. D'un geste de la main, il le fit cesser, on aurait dit que ce vent ne faisait qu'un avec le marin tellement un air de sérénité était apparu sur son visage. Il osa regarder la jeune femme, comme si le vent l'avait remonter, comme si ce vent était une partie de lui qui lui manquait lorsqu'il n'était pas là. Il lâcha, sa voie un peu plus forte:
-Voilà ce qu'est Vraiment le Vent Noir... Vous avez déjà aimer?
Sur ces mots, tout le courage d'Ulrich s'enfuit et il fixa de nouveau l'horizon, ses joues un peu rougit et ce n'était pas dut à l'effort "magique", il fallait qu'il continue de parler sinon ça ferait trop dragueur, surtout qu'il ne la draguait pas! enfin...Je crois...Il but une nouvelle lampée de sa flasque et continua, sa voie un peu moins sûr de lui:
-Moi j'ai aimer, mais dès lors que j'ai sut faire ce que vous venez de voir, j'ai perdu tout ceux que j'aimais. Voilà pourquoi ce vent noir est une malédiction. Oui, depuis 20 ans que je navigue, j'ai vue les pires horreurs, j'ai vue trop de morts, trop de sang, trop de disparitions. Trop de choses...Trop...
Le second baissa un peu sa tête, dissimulant son visage derrière ses cheveux, seul un observateur habile et proche aurait put remarquer la légère larme qui tombait dans la mer sans un bruit. Une larme, voilà ce qu'il pouvait donner pour tout les malheur qu'il avait vu. Les Dieux sont si cruels... Ulrich poussa un long soupire, avant de donner un coup de tête en arrière, redévoilant son visage marqué par le temps et les intempéries, il avait toujours cet air triste, les yeux à peine brillant, mais nul larme sur son visage. Il se contenta d'ajouter en tendant sa flasque:
-Enfin, on s'en fou de ma vie....Ils sont morts, ils sont morts, on les garde dans un coin et le bateau continue d'avancer non? Une lampé de ce merveilleux rhum?
Gentiment, le marin tendit sa flasque à la Seconde du Fossoyeur, c'était pas vraiment geste de gentillesse, enfin, peut être, peut être un geste pour marquer ses excuses pour ses paroles visiblement offensante, ou peut être pour parler d'autre chose que de lui. Ou bien parler d'elle, c'est vrai, il ne savait rien d'elle, juste qu'elle était certainement la personne la plus bienveillante avec lui depuis...Oui, depuis au moins cinq ans maintenant... |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Jeu 17 Avr 2008 - 20:37 | |
| Le temps, les silences, les moments de paroles. Tout était entrecoupé et particulièrement calme. Le temps filait, sans qu’on puisse le rattraper, glissant dans les doigts tout comme le sable le plus fin. L’écoutant avec attention, la jolie Isabaut regardait l’eau de la mer, ne prêtant pas vraiment attention à ses regards en coin au début. Puis elle les remarqua, il n’était donc pas de glace a ses charmes ? Enfin peut être. Les mouettes, le silence, les vagues… si calmes.
Mais la voix du pirate brisa le silence, voila qu’il s’excusait de ses mots. C’était agréable mais pas essentiel. Elle lui sourit, passant ses mains dans ses cheveux à nouveau. Elle restait pensive, regardant le lointain en l’écoutant cette fois ci distraitement. Oui Triss avait foi en Isa, une fois des fois trop aveugle qui empêchait au pirate de voir combien la jeune femme l’aimait.
« Je suis juste, mais ferme et je refuse la moindre insubordination. J’ai su me faire respecter malgré ce qu’en passe les gens.»
Fermant les yeux elle revoyait encore ceux qui l’insultait, la frappait ou le pauvre malheureux qui lui avait volé son innocence. Le voir les bourses a terre, séparé de son corps à hurler de douleur et a pleurer comme le porc qu’il était lui avait donnée un certain plaisir. Le voir mort l’avait un peu ennuyée mais bon, c’était tant pis. Bien sur quand elle était revenue sur le bon avec sa chemise déchirée et couverte de sang tout le monde avait compris qu’il y avait eu tentative. Elle se garda bien d’avouer que la tentative avait réussit. Par chance, pas d’enfant conçu, et la seule trace qui demeurait de cet acte était simplement les cauchemars qu’elle faisait la nuit et que Triss prenait temps à consoler, sans même savoir de quoi il retournait.
Repoussant très rapidement ses idées plus que sombre et macabre pour se laisser aller a un sourire. Puis, tout en prenant une voix de vieux pirate, grave aux plus qu’elle pouvait et rocailleuse elle imita sans mal ce que tout homme disait sur elle dans son dos.
« Une paire de sein c’est fait pour allaiter la marmaille, pas pour tanguer sur le pont d’un navire. »
Elle regarda le large et avoua.
« Je n’aime pas vraiment ce qu’on pense des femmes sur les navires, mais je suis habituée et cela ne me fais plus grand-chose. »
Pendant qu’il buvait son rhum en silence elle en avait dit des choses, pas forcément plaisante c’est sur mais bon. A cela la suite la fit presque rire mais elle se contenta de sourire à pleine dent. Il ne savait rien d’elle. Parler des gens sans savoir n’était pas très conseillé en général et elle regarda le large, le soleil, les mouettes. Tiens, un nuage duveteux à la forme amusante passait dans son champ de vision. Un lapin ? Non… plutôt un bonbon… à moins que se soit un mouton.
Ho zut ! Que disait’ il déjà ? Ha oui, faire peur aux gens… le vent noir qui souffla et fit s’envoler ses cheveux dans tout sans laissa apparaître durant à peine une seconde une forme étrange sous son bandeau. S’il y faisait attention il se douterait surement que ses oreilles n’avaient rien d’humaine. Voila, que le vent s’apaisait et il la regarda, sur de lui. Il était mignon se vieux bougre quand il ne tirait pas la tronche l’air de rien. La question qu’il lui posa la fit devenir presque aussi rouge que ses cheveux et elle fit une légère moue.
Avait’ elle déjà aimée ? bien sur que oui, elle aimait bien trop. Amoureuse de son capitaine, Triss, elle souffrait mille tourments et son cœur le lui rappela bien vite. Elle n’était pas la jolie, plutôt sa copine, celle qu’on voit à peine. Elle fermait les yeux à s’en fendre les paupières en espérant que Triss ne verrait rien de son amour dévoué et inconditionnel. Certaine tombait amoureuse, c’est beau ça les élèvent, mais Isabaut tombait amoureuse comme on tombe d’une chaise. C’était une douleur insupportable, de plus en plus insupportable.
Au moment ou elle allait répondre le cœur déchirée, il prit la parole. Il avait connue l’amour, la souffrance, la mort. Elle avait tuée son propre père par amour, alors de ce coté elle n’était pas vraiment très stable. Elle le regarda, la tété en arrière et ses cheveux dégageant son visage. Rha ! Si seulement il faisait un peu attention a lui et dévoilait plus souvent son visage il serait bien mieux.
Puis le couperait tomba. Parler d’elle ? Bien, alors soit, elle lui rendrait la pareille. Prenant la flaque qu’il lui tendait gentiment elle la porta à ses lèvres et déposa le goulot sur sa bouche pulpeuse. Le liquide coulait dans sa gorge, la faisant onduler aux grés de la lampé qui glissait dans son gosier. Puis elle lui rendit, lui tendant et ne lâchant qu’une fois qu’il l’avait bien en main, murmurant un « merci » à peine audible.
« Vous m’avez confié votre don… alors je vous rends la chose. »
Doucement elle glissa sa main sur son sabre, empoignant le pommeau pour le libérer de son fourreau. Elle ponta ensuite son arme vers le soleil couchant et ses cheveux semblaient s’embraser d’avantage. Plus roux, plus ondoyant alors que la lame, mue par une étrange magie, s’enflamma. Un feu étrange, qui ne faisait pas rougir la lame et pourtant, il brulait. Puis les flammes s’estompèrent et le calme revint pendant que la belle rangeait son jouet.
« Depuis un âge des plus jeunes je suis capable d’enflammer ce que je touche. Je pense que ça viens du sang de ma mère, mais je n’en sais pas grand-chose. Elle était malade et je ne m’intéressais pas à elle. »
Elle fit bouger ses pieds dans le vide du ponton, comme une petite fille en réfléchissant.
« Vous m’avez posé une question… ai-je déjà aimée ? J’aime une personne depuis mes 14 ans. Je lui offrirais ma vie si je le pouvais. Mais cette personne ne me vois pas, elle ne veut pas de moi. Pour lui je ne suis qu’une gamine et pourtant j’essaie d’espérer. Pour lui j’ai tuée, j’ai planté une arme dans le cœur de mon propre père. Je ne suis pas totalement malheureuse. Mais je me demande si je supporterai un jour de n’être qu’une femme seule. Le temps passe vite pour les humains… si vite.
J’ai déjà 26 ans… pourtant je reste accrochée a mes espoirs, tout en souffrant en silence. Je rêve d’arracher mon cœur, de le briser et de le broyer pour oublier son existence. Je rêve de trouver une personne capable de me l’arracher… Mais je ne sais pas si vivre sans sentiments n’est pas pire que de souffrir comme je souffre. Oui ça dois être surement bien pire… »
Son regard couleur d’océan était un joyau rare, surtout quand une perle humide s’y formait, coulant sur sa joue pour venir mourir sur le coin de ses lèvres. Elle essuya sommairement de sa main sa larme qui fit bientôt accompagnée de jumelle. Elle jura et pesta contre elle-même en son fort intérieur de se montrer ainsi devant un inconnu. Une chance qu’il éloigne les gens, ainsi personne ne vérait Isabaut dans cet état lamentable. Soufflant doucement pour s’apaiser elle tenta un sourire peu convainquant et avoua.
« Désolée, je suis un peu mélancolique… se dois être un peu de sable noir de votre vent… mes yeux n’y sont surement pas habitué. »
Des excuses, c’était pitoyable la franchement. Elle pourrait au moins s’avouer a elle-même qu’elle ne pouvait pas parler de Triss et de ses sentiments sans avoir envie de pleurer, hurler et gémir sa douleur. La nuit qu’ils avaient passé ensemble avait empiré l’état psychologique d’Isa et pourtant il ne se rendait toujours pas compte de se que la jolie rousse éprouvait pour lui. C’était le pire des connards, un fumier ! Pourtant même en cherchant à l’insulter en pensée elle n’arrivait pas a vraiment lui en vouloir. Il avait pris soin d’elle, le temps de lui enseigner le maniement du sabre et la choyait comme un petit trésor.
Elle aurait tout donnée pour savoir ce que Triss pensait d’elle et ce qu’il ressentait. N’était ce donc que les effluves de l’alcool qui lui avait brouillé les sens au point qu’il la fasse sienne avec un amour débordant ? Et la lâcheté qui lui avait fait fuir le lit sans même la réveiller ? |
| | | Ulrich Andorias
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 9:09 | |
| Une nouvelle fois, le sourire, et l'imitation presque parfaite du vieux marin donna une légère envie de rire, cela faisait si longtemps. Oh oui, la dernière fois c'était... Il s'en souvenait mal maintenant, les images était floue, Arianne était là, toujours entrain de sourire, toujours entrain de rire, mais son visage, petit à petit, il ne le voyait plus, petit à petit, il devenait invisible, floue, il n'arrivait plus à distinguer ses délicats traits, oui, petit à petit il l'oublier et ça, ça lui donnait envie de vomir, lui aussi avait envie d'hurler, de planter sa rapière dans un corps chaud, il avait envie de se battre jusqu'à l'épuisement pour ne plus rien ressentir et enfin dormir d'un sommeil sans rêve. Chassant ces noirs pensées d'un mouvement rotatifs de la tête, qui eut pour effet secondaire un léger mouvement de ses cheveux Ulrich se remémora toute les dernières actions et paroles, cette femme avait des oreilles d'elfes, enfin, lorsqu'il regardait subtilement, on aurait ce genre d'oreille. Pourquoi le cachait elle si elle avait du sang d'elfe? Vraiment, jamais, non, jamais Ulrich ne comprendrais cette antipathie fondé sur rien que pouvait nourrir les marins sur des superstitions datant d'un autres âge. Il récupéra doucement la flasque que la jeune femme venait de lui rendre et se stoppa en chemin avant de nouveau porter sa flasque a ses lèvres, non, il se faisait trop d'idée et il but une nouvelle lampé de son breuvage. Etait-ce uniquement dans son esprit? Ou bien la réalité? Mais il avait comme l'impression que son rhum avait un goût différent, comme, non, vraiment, le fait que la femme l'ai porté a ses lèvres ne pouvait pas transformer quoi que se soit dans le goût de cet alcool. Il se faisait certainement un peu trop de peinture dans sa tête. Il laissa l'alcool couler doucement dans sa gorge, l'envoûtant par la même de parfums exotique, d'odeur de canne à sucre et d'autre composant de ce breuvage.
A ce moment là, la jeune femme montra son don, ce qui en soit vue que c'était une elfe, ou une demi-elfe peut être, n'avait pas vraiment quelques chose d'exceptionnel. Mais cela devait être pratique pour la cuisine, et puis, cela avait l'avantage d'être moins...comment dire, moins perturbant qu'un vent noir... Il regarda alors Isabaut, de face. Oui, il arrêter ces regards en coin mal dissimulé, pourquoi? Peut être parce que l'alcool lui donnait un peu plus de courage, peut être tout simplement car il se sentait bien avec elle, ou un mélange des deux. Ou bien d'autre raison inavoué. La regarder de face était bien plus pratique, elle était vraiment belle d'ailleurs. Un léger vent souffla et les cheveux délavés du marin virent lui barrer la vue. Oui, forcément, rien n'est parfait dans le meilleurs des mondes, c'est obligé, sinon, bah c'est pas drôle, la nature aimait bien le contrarier, il était presque sur qu'avant la fin de cette discutions il se retrouverait trempé, victime d'une vague taquine. Oui, la nature n'aimait pas que l'on joue avec son pouvoir. Mais au fil du temps, on devine ce genre de chose et d'un geste parfait, comme une chorégraphie orchestré, tel un concert de danse organisé, minuté à la seconde prêt, il sorti un de ces long ruban noir et l'utilisa pour attaché les cheveux comme le font certains noble ou capitaine. Ca rendait bien sur lui, ça lui donnait un air un peu moins mélodramatique, mais avait l'avantage de révélé son visage. Ainsi la belle pouvait voir ce visage quelques peu creusé par la Mer, cette cicatrice datant d'une époque ou elle ne savait même pas lire, et ces yeux, ces yeux acier terne qui pourtant briller au fond d'une légère lueur.
Soudain, elle répondit à sa question, il se sentait incroyablement gêné car plus elle parlait, plus elle semblait triste, non, la tristesse n'allait pas avec ce visage, non, vraiment, même ces larmes, des larmes à cause du vent? Oui, bien sur. Tout cas est il que Ulrich se sentait un peu honteux, il avait offert le couteau pour qu'elle se réouvre sa blessure. Comment un homme pouvait il ne pas aimer une femme aussi adorable? Non, il n'avait pas le droit de juger cet homme, mais tout de même, ça lui restait un peu en travers de la gorge de voir la jeune femme si triste, il n'avait jamais aimer la tristesse "caché", il avait toujours préféré les cris, les hurlement, c'était une sorte de façon pour lui de s'extérioriser à travers autrui. Elle avait utiliser des mots poignants, lui aussi les premiers jours sans Ariane, il avait voulu se tuer, se faire massacrer, il aurait voulu qu'on lui arrache le coeur et avait même tenter un suicide. Il comprenait ce qu'elle ressentait, mais lui, petit à petit, elle ne devenait plus que souvenir au fur et a mesure qu'il s'endurcirait. Presque par instinct, il tendit un mouchoir qu'il posa a côté d'elle, enfin, oui c'était un mouchoir propre, normalement il l'utilisait pour nettoyer ses outils de boucher, enfin, de médecin, mais à bords, cela revenait souvent au même. Sans vouloir paraître compatissant ou plein de pitié il lâcha, sa voie était pourtant un brin plus humaine, non vraiment, il n'aimait pas voir les gens triste:
-Vous n'êtes pas la personne première à me le dire. Moi je m'y suis habitué...
Elle lui avait révélé une bonne partie de sa vie, une partie que l'on cache un peu au gens. Ouais, il fallait qu'il donne un peu plus de lui même que la minable explication sur le pourquoi il était ainsi. Il allait s'appuyer sur les dire de la jeune femme. Il chercha alors dans ses affaires une pipe ou un truc a fumer. Rien, forcément, il avait laisser son manteau sur le navire, donc ça serait encore rhum et rhum. Comme pour illustrer ses pensées, il tira une nouvelle lampé, il devait rester encore deux ou trois gorgée dans la flasque maintenant, pas plus. Il la déposa a côté de l'endroit où il avait posé le mouchoir et s'allongea, les mains croisées sur le dos, fixa de ses yeux le ciel qui petit à petit s'assombrissait. Ouais, tout continuait. Il lâcha alors:
-Quand je suis entré dans la marine, c'était juste sur un vaisseau marchand, puis, je me souvient mal, on vas dire que j'ai eu ma malédiction, j'ai perdu mon père, j'ai vue du sang et les premières horreurs. Puis ma mère est morte, pensant que j'étais décédé avec mon père. j'était un gamin. Puis j'ai continuer de voguer sur les flots, médecin de bords, au début, je dégueuler mon repas en voyant certaines horreur, mais, les marins n'ont pas vraiment été sympa avec moi et petit à petit, la vue du sang, des viscères, des membres arrachés ne m'ont plus attends. Je crois que j'étais mort en quelques sorte. Puis j'ai rencontré ma femme...Le bonheur le plus totale, le paradis sur terre. Puis elle est morte, la j'ai crut que tout était fini, que c'était la fin, que jamais plus je ne pourrais vivre. Je suis rester presque une semaine à hurler comme un dément. Mais on n'y peu rien, si l'être aimé n'est plus ou ne nous veut plus car la mort c'est qu'une séparation. Alors j'ai errer, je fais la guerre, j'ai encore vue les horreur et maintenant je suis sous le pavillon de Kernok, l'un des personnage les plus détestable que je connaisse. J'ai naviguer la mer pendant vingt ans, j'ai vue des merveilles, des horreurs. Je connais pas toute ton histoire, je sais pas qui est ce gars, mais si il a pas compris ce que tu ressens, c'est qu'il vaut pas le coup. Garde ton coeur là où il est, peut être qu'un jours quelqu'un le soignera...Question de temps...
Les yeux d'Ulrich reflettés le ciel, ouais, la nuit allait tombé, et c'était certainement l'un des moments les plus agréables de sa vie qu'il avait passé, il aimait bien discuter avec les gens, mais rares était ceux a bien vouloir de lui. Il se sentait bien avec cette femme. Le pirate soupira longuement, ouais, il devait arrêter maintenant de penser à Isabaut, il se faisait trop facilement des peinture et s'imaginer trop facilement des chose. Cela servait à rien d'espérer quelques choses inespéré. |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 13:32 | |
| Elle se sentait si idiote de pleurer comme ça. Pourtant le pirate déposa a ses cotées un mouchoir, distraitement comme si de rien était. Alors elle glissa ses doigts sur se mouchoir et elle le porta a ses joues. Le glissant lentement sur sa peau elle en effaça l’humidité des larmes, qui avaient coulée plus tôt. Doucement sa respiration se faisait moins saccadée, moins sanglotant. Elle garda tout de même le morceau de tissu entre ses doigts, blottit dans la paume de sa main.
Il eu la compassion de ne pas faire la moindre réflexion quand a ses larmes et de meubler de parole le temps. Si le silence était demeuré ici elle ne s’en serait pas tirée aussi bien a n’en point douter. Elle le remercia intérieurement tout en l’écoutant. Il n’avait pas eu une vie facile et avait lui aussi souffert de l’amour. Qu’est ce qui était le pire ? De ne pas intéresser l’être aimé ou de le perdre ? Elle n’aurait pu choisir que l’ignorance sans doute.
Elle l’aimait au point de préférer souffrir et pleurer en cachette plutôt que de le voir lui-même avoir male. Le bonheur de l’autre suffit âpres tout non ? C’était ça la plus belle marque d’amour que devait se contenter de montrer Isabaut et se raccrocher a l’idée qu’elle était vivante et jeune encore. Enfin jeune… elle n’avait pas encore trente ans donc cela irait encore assez.
Regardant de ses yeux océan l’homme. Il avait l’air rêveur avec son regard planté dans le ciel. Elle déposa le mouchoir humide et imprégné de son parfum la ou il l’avait mit et se leva. Allait’ elle donc partir ? Non, surement pas, elle prit le temps de parler en regardant le ciel qui s’enflammait en dévorant le soleil qui disparaissait. De plus déjà la lune se montrait…
« Ne t’en fait pas… Je le vie plutôt bien de ne pas être aimée en retour. Puis qui sais, peut être que quelqu’un m’arrachera le cœur pas pour le briser, mais pour le choyer. »
Voila, elle sourit à nouveau et elle posa ses doigts sur les boutons de s veste en cuir. Ses derniers sautèrent facilement sous la pression qu’y exerçait sa poitrine et dévoila une fine chemise blanche laissant à découvert son ventre musclé et surtout… tatouer. Le pantalon tombait bas sur son ventre et pourtant les tatouages allaient encore plus bas ! C’était une véritable torture pour l’esprit, l’envie de découvrir jusqu’au glissait ses arabesque qui entourait une rose des vents a demi visible, a demi cachée sous le pantalon.
Puis elle se pencha, dévoila un décolleté à faire pâlir d’envie plus d’une catin de Meca, pour ouvrir ses bottes en cuir et les enlever. Dévoilant que le pantalon n’en était pas un, ses mollets dévoilé par le corsaire. Elle enleva la première, puis la seconde et enfin elle dénoua son ceinturon. Elle déposa le morceau de cuir orné du fourreau et de son épée sur le ponton. Puis elle replaça son bandeau, pour être sur qu’il cache bien ses oreilles et elle se pencha au dessus de Ulrich.
« T’as pas eu une vie facile Ulrich, mais pour moi c’est toujours pas une raison d’être maudit. C’est la fatalité, t’as juste pas eu de chance dans la vie et ça s’arrête la. Mais vois les avantages, quand tu es tombé tout en bas tu peux plus que remonter. C’est comme en mer, quand tu tiens la barre, ton bateau peut être harcelé mais tant qu’on tient fermement la barre et qu’on la lâche pas le bateau ne chavirera pas. C’est pour ça qu’il ne faut pas se lasser aller… pas se laisser submerger. »
Sur ses mots elle s’approcha du bord et elle plongea dans un bruit de clapotis si familier d’un corps qui entre en contracte avec l’eau. Glissant dans l’eau elle y resta un moment, yeux clos, puis elle remonta à la surface. Repoussant ses cheveux d’un geste de tête vers l’arrière. On aurait dit une sirène rousse sur un font de ciel nuit. Le plafond du monde semblait ne plus faire qu’une avec la mer, comme chaque nuit. Tournant son regard vers Ulrich cela devenait flagrant.
Ses yeux était fait de la même eau que la mer elle-même, la même profondeur insondable. Nageant tranquillement à la surface elle lui sourit. Puis sans prévenir elle éclata de rire, elle était folle ? Non, heureuse, heureuse de simplement vivre dans se monde. D’une voix totalement différente d’il y a quelque minutes elle lui dit.
« J’avais besoin de me ressourcer ! La mer est le seul endroit ou je me sens bien… Viens Ulrich ! Elle est fraiche ! »
Si Ulrich la rejoignait et qu’un marin passait il ne faisait aucun doute qu’il croirait les deux boscos totalement fou. Mais n’était ce pas finalement le cas quelque part ? Il était fou de solitude et elle folle d’amour pour un homme qui n’en voulait pas. |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 14:32 | |
| Les Larmes, ouais, un seul truc que détestait Ulrich, c'était les larmes, a chaque fois qu'il était avec un marin et que c'était finie pour lui, il détestait cela, ce putain de petit gémissement, les larmes qui coule, le marin qui appel sa mère ou qui vous lance: "C'est fini ? Hein, j'vais plus souffrir? " Il détestait cette partie de la médecine, il détestait devoir les laisser s'en aller. A chaque fois qu'un mourrait, c'était une partie de lui qui partait. Soudain elle se leva, pourquoi!?! Elle partait? Mais pourquoi, il n'avait rien dit de mal, il aurait tant voulu qu'elle reste. Pourquoi? Il...Il ne le savait pas trop, il n'aurait pas sut l'expliquer, il aimer bien parler avec elle, elle lui rappelait un peu sa femme, non, ce n'était pas sa femme, c'était quelqu'un de différente, quelqu'un de merveilleux cette Isabaut. Et mais qu'est-ce qu'il pensait là? Il...Non, c'était impossible, oui, cette fille était mignonne, oui elle était sympa, mais elle avait une peine de coeur, elle aimait quelqu'un qui ne lui rendait pas cet amour. Lui il n'était rien, il s'imaginer trop de chose, il...Oui, il valait mieux ne plus penser à cette femme, la laisser partir. Ou la retenir. Ca ne servirait à rien et puis il lui aurait dit quoi? Non ne part pas je suis bien avec toi? Ou une connerie dans le genre? Ouais, c'était bidon, il valait mieux rester silencieux ouais, laisser passer, rien dire, comme d'habitude. Isabaut se figea alors, et débita quelques paroles, oui, sincèrement, il espérait que la jeune femme trouverait un être qui l'aiderait, elle le mériterait. Soudain, elle commença a se ...Non, ce ne pouvait être qu'une invention de son esprit. Le pauvre marin cligna, une fois, deux fois, trois fois des yeux, mais non, c'était bel et bien la vérité, la jeune femme commencer doucement à se déshabiller devant lui. Elle se tint alors fièrement non loin de lui avant de plonger dans l'eau. Ulrich en était sûr, il devait ressembler à une écrevisse, il avait l'impression d'être la lame d'Isabaut lorsqu'elle avait utiliser ses pouvoirs, il se sentait si brûlant, et pire, ce n'était pas une imagination de son esprit. Il se releva doucement, en écoutant ses paroles. Elle l'invitait à prendre un bain, maintenant, ici, dans ce port, et si quelqu'un les voyait? Elle semblait s'en moquer, elle avait retrouver sa joie de vivre. Il se releva d'un mouvement ample, parfaitement maîtriser et resta quelques instant sans mots, se demandant si il devait la rejoindre où non, mais, au fond de lui même, il avait une envie irrésistible d'y aller, y aller juste pour tout oublier, juste pour ne plus être ce vent noir! Le marin commença alors à enlever ses bottes, laisser au sol toutes ses possessions de cuir et de métal, il lui rester sa chemise et son pantalon. Il Sourit, pris une inspiration, et sans un bruit, il plongea, un énorme sourire fendant son visage de part en part. Le contact de l'eau fraîche avec son corps, il était hilare, oui, il rigolait, il devait avoir l'air d'un gosse, d'énormes bulles d'air remontant à la surface, il sortie la tête et tel un chien mouillé se secoua dans tout les sens, il riait, il riait un de plaisir, il se sentait si bien, il ne pouvait pas l'expliquer pourquoi. Il fixa la jeune femme en face de lui, il n'avait plus un air de tristesse, mais plutôt celui du bonheur, sa chemise rouge délavé coulant à son torse musclé, il avait l'air heureux. Il regarda donc la jeune femme, et déclara d'une voie enjoué:[i]
-Ouais, elle est sublime e...[i]
La suite de la phrase du matelot mourra au fin fond de sa gorge, il venait de se rendre compte que la jeune femme avait un haut blanc,et l'eau l'avait rendu transparent, dévoilant au second de Kernok une poitrine forte avantageuse. Notre Marin fut alors pris d'une pigmentation magenta, il se mit a bafouiller des paroles incompréhensible et se retourna pour pouvoir laisser un peu plus d'intimité à Isabaut, il se sentait vraiment, euh...Comment dire, il se sentait en trop, il venait de redevenir le Vent Noir, gauche avec tout le monde, il se sentait tellement gêné. Il n'osait plus rien dire, même sa respiration était difficile. Il attendait que la jeune femme sorte de l'eau pour se dissimulé. Il se sentait si confus. Si con... |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 16:29 | |
| La jolie rousse était dans l’eau, nageant avec plaisir en regardant Ulrich hésitant. Plonger ou ne pas plonger, tel était la question. Ses yeux joueur attendait que se dernier se décide et puis finalement il enleva ses bottes. Il porta ensuite sa main à sa boucle de ceinture et s’en délesta. Puis la veste, sa sacoche … toute matière craignant l’eau salée de la mer y passa.
Isabaut nullement regardait l’homme se dévêtir, riant un peu de le voir agir ainsi. Si jamais quelqu’un les voyait ce serait terriblement gênant a n’en point douter ! Aller trouver une explication pour voir les deux Boscos des plus connues navires de tout Méca en train de batifoler dans l’eau comme deux gamin ?! Sauf que voila, Isa n’avait plus rien d’une gamine et le pirate ne pouvait pas non plus prôner son air juvénile.
Bref, le voila déjà dépossédé de tout ce qu’il devait enlever et il regardait la jeune femme. Il prit une ample respiration et saute. Il ressemblait à un gamin et ne devait pas s’amuser souvent ! Isa adorait faire se genre de connerie à l’ abri des regards. Remontant à la surface il explosa de rire. Bien sur Isa l’accompagna de son rire clair et féminin. Comme quoi le bonheur était quelque chose d’aussi contagieux que toutes les maladies du monde.
Il avait l’air vraiment séduisant se couillons quand il ne faisait pas sa gueule de chien battue ! Alors qu’il avouait que l’eau était superbe… Hein sublime ? Il ne parlait plus de l’eau la et la jeune femme suivit son regard. Ha oui en effet, sa magnifique poitrine était plus que visible. Haussant les épaules elle releva le visage pour voir quoi… un marin rouge comme une tomate et gêné qui attendait qu’elle sorte pour se cacher.
Et puis quand encore ?! Sortir de l’eau pour si peu ?! Elle n’était pas en sucre et lui non plus. S’approchant donc de lui elle prit appuie sur ses épaules et le poussa dans l’eau par surprise. Bien sur il remonta à la surface et elle s’écarta en riant, il avait les cheveux devant les yeux dans tout les sens. D’une voix sur et amusée elle avoua.
« C’est bon Ulrich, soit pas gêné, c’est qu’une paire de sein ! Promis ils ont encore mangé personne ! Aller fait pas se tronche ! »
Elle l’éclaboussa toute fière de l’embêter.
« Et puis je vais finir par croire que le vent noir me trouve à son gout ! »
Elle lui fit un clin d’œil, s’écartant sans doute pour éviter la revanche de l’homme. Elle riait, s’amusait alors que son cœur était déchiré. Que la nature humaine était compliquée et difficile a cerner non sincèrement elle avait du mal à s’y faire. Alors qu’elle riait elle aperçu son bandeau noir flotter prés du bosco et elle releva subitement son visage. Quand ? Quand avait’ elle perdu la seul chose qui la laissait paraître pour une humaine ?!
Ses yeux paniqué se possède sur l’homme, qu’allait t’il dire et penser de ses oreilles déformé visible dans le flot de cheveux couleur de feu, teintée sans doute de la même couleur que son tempérament. Si il était comme les autres il la repousserait et fuirait, une batarde ayant un sang elfe si peu prononcé que tout son corps était celui d’une humaine. Mais non… il n’était pas comme tout les autres, il était le vent noire… du moins l’espérait’ elle. |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 17:28 | |
| Pourquoi avait il réagit ainsi? Ulrich, a l'inverse de la majorité des marins a été marié, et le mariage change un homme, il n'est donc pas une sorte de pervers voyeur comme la plus part des marins, il est plus proche du gentleman, de l'homme serviable qui respecte et protège les jeunes femmes. C'était normale qu'il se sente gêné, et puis, imaginez un matelot qui arrive, il voit quoi? Ulrich, le Vent Noir, le Maudit en compagnie de la magnifique Isabaut? Nul doute que cela jaserais, et qu'un moins de temps qu'il ne faut pour le dire, la rumeur se serait répandu, on dirait qu'il partout qu'ils sont amants. Cela n'aurait pas déranger outre mesure Ulrich, mais la belle seconde elle aurait eut des ennuies, par son capitaine, par l'homme qu'elle aimé secrètement, et on lui fourguerais aussi la malédiction et...Attendez, oui, cela ne le dérangerais pas; hop hop hop, Notre second tomberait il amoureux! Non, enfin...Non, non, il ne tombe pas amoureux c'est tout! Ce n'est pas à cause d'elle, c'est juste..;Quoi? Mais oui elle est magnifique, oui elle est gentille avec lui charmante et tout? Alors pourquoi? Et bien. Comment dire? Euh, c'est que...Non, il n'y avait aucune raison contre, enfin, il se connaissait pas beaucoup, ils, enfin...Et puis elle aimait un autre homme, vivre baigner dans les illusions ne servait à rien si ce n'est souffrir! Le marin attendait ainsi, légèrement honteux lorsqu'il eut une forte pression sous ses épaules. Surpris par l'attaque, il céda sans la moindre résistance pour s'enfoncer dans l'eau avant de remonter à la surface, accueilli par le rire cristallin de la belle qui ne semblait pas le moindre du monde gêné par la casi-nudité. Elle semblait plutôt amusé par la réaction qu'il avait eut. Il faut avouer que des pirates gentleman, pour en trouver...Faut se lever de bonheur. Elle l'arrosa un peu, ce qui le fit rire aussi, et lança cette terrible phrase:
-Et puis je vais finir par croire que le vent noir me trouve à son gout !
Il bafouilla quelques instant un troubles:
-Mais , euh non, je..;n'importe quoi...
Il la regardait avancer, ce corps visible sosu cette chemise transparante, ces tatouages sinueux, ce corps parfait en sommes, ce visage si gracieux, ce sourire plein de grâce, cette chevelure de feu, cette oreilel elfique. Oreilles elfiques? Qu'est-ce que... LA jeue nfemem sembla avoir remarqué la perte de son bandeau, elel avait l'air terroriser, ainsi elle aussi avait sa malédiction. Mais pourquoi semblait elle si effrayer? Ah oui, une demi-elfe, ces sangs impurs comme certaines personne les nommé. Il n'avait jamais compris pourquoi les gens haissaient-ils autant les êtres différents. Ou plutot, pourquoi lui les haissait il pas? Il savait la réponse a cetet question, il était médecin, il avait vue des centaines de personnes mourir, des vieux, des enfantes, des pauvres, des riches, des femmes, des hommes, des nains, des elfes, des demi-drow, oui, il avait certainement vue tout, et a la fin, qui que l'on soit, on meurs pareil, sans une chanse différente. La Mort ne fait pas de juggement sur les apparence, alors pourquoi la Vie devrait elle en faire? Regardant la jeue nfemme, le Vent Noir se saisit doucement du bandeau, il le fit doucement tourner entre ses mains, ces mains caleuses et habitué à uen vie dur, il l'observait ce bandeau, du simple tissu, ce simple tissu la protéger d'une partie de la lie de la société, la vie était donc faite de dissimulation. Il avança doucement vers Isabaut, il ne disait rien, son regard restant sans aucune peur, sans aucun jugement, il na fixé dans les yeux, ils était magnifique ces yeux, bleu comme la mer, aussi magnifique que l'océan, non, pasu autant, plus. Ulrich s'approcha un peu plus, serrant un peu plus fort dans a mai ndroite le dit bandeau, il était si proche d'elle, c'était la première fois qu'il était aussi proche d'une femme depusi plus d'un an. Il avait l'impression que son coeur allait sortir de sa poitrine tellement il battait fort, mais pourquoi il battait si fort ce con de coeur? Il n'y avait aucune raison...Non? Aucune, enfin, non, il n'y avait aucune raison, il ne falalit pas qu'il y ait de raison, c'était juste...Juste rien... Ulrich resta quelques instant immobile face à Isabaut, il savait pas vraiment quoi faire, sa main continuant de tripotter ce maudit bandeau. Puis il lui vint l'illumination. Il approcha son visage de la seconde du Fossoyeur, même la respiration commençait à être difficile, il n'était plus qu'a quelques centimètres du visage de cette dernière, il sentait son souffle chaud et agréable sur le visage, il lâcha doucement:
-C'est bon Isabaut, ce n'est qu'une paire d'oreille! Je suis sur qu'il n'ont encore mangé personne! Aller, fait pas cette tête...
Le marin se mit doucement à rire, et d'un mouvement ample, il attrapa la taille d'Isabaut pour plonger avec elle sous l'eau. cela ne dura que quelques instant puis il remonta avec la belle à la surface, les cheveux dégouilant d'eau, il avait un sourire moqueur, un peu amusé, un sourire qui se voulait un peu rassurant aussi. Ulrich n'avait pas relâché son étreinte de la jeune femme, tient, elle avait une sacré cicatrice sur l'épaule et...Non, il fallait vite remonter les yeux et ne pas aller plus bas!
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| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 18:04 | |
| Alors qu’ils étaient dans l’eau. Le bandeau se mit a flotter a la surface, prés du marin. Isabaut était morte de trouille, elle sentait son estomac se nouer. Déjà les yeux du second se portaient sur ce signe de son sang métis qu’elle détestait. Un sang faible qui ne faisait que la rendre plus laide que toutes les autres femmes de la planète. C’était faux bien sur, Isa était loin d’être moche, au contraire elle avait son charme, mais ses idées était plutôt récurrente dans son esprit tourmenté.
Pourtant pas de peur dans le regard de l’humain, rien, pas la moindre crainte. Doucement, délicatement, il prit le ruban noir et s’en joua entre ses mains. Il semblait pensif, presque comme un homme caressant quelque chose de précieux. Précieux ? Son bandeau ? Ses yeux s’apaisait, elle arrêtait de craindre pour son secret, il ne dirait rien et n’était nullement repoussé par cette vision … Bien au contraire.
Tel un alligator il s’approchait, lentement, tres lentement en jouant avec l’objet, il ne manquait plus qu’il le porte a son nez et en hume le parfum pour qu’elle rougisse définitivement. Heureusement il s’en amusait juste alors qu’il approchait encore et encore. Sans s’arrêter une seconde. Il avait ses yeux dans les yeux, son regard planté dans celui couleur d’océan. Pas étonnant que Triss ai nommé a une époque ou elle était enfant ses deux perles bleutés les bijoux de l’océan.
Il lui murmura que ce n’était pas grave, c’était juste des oreilles après tout et il s’approcha si prés qu’elle en sentit son cœur s’emballer. Pourquoi ça lui faisait ça ?! D’habitude quand un mec l’approchait elle avait envie de mordre. La ce n’était pas de mordre du tout l’idée qui lui traversait l’esprit. Alors qu’elle s’apprêtait à répondre il la saisie par la taille, la plaquant naturellement a lui et l’entraina sous l’eau.
Quand elle ressortie son visage de l’eau elle était encore dans ses bras, la main crispée sur son épaule et son autre main devant son visage, posant ses doigts fin sur son nez. Elle ouvrit doucement les yeux pour plonger son regard dans celui d’Ulrich et s’empourprer. C’était bien beau de la tenir contre lui par la taille, mais sa poitrine s’en voyait totalement plaquée contre le torse musclé du pirate. Déglutissant doucement elle murmura.
« Tu n’as pas peur de moi ? Pourtant j’ai du sang elfe, je suis une sang impure. »
Elle ne cherchait pas à s’éloigner, faisant bouger ses jambes au mieux pour aider à rester a la surface. Elle n’avait pas peur d’Ulrich, de sa malédiction et lui pas non plus peur de la sienne. C’était bizarre et étrange à la fois. Et son cœur, pourquoi son cœur s’emballait comme ça dans sa poitrine ? Ça faisait presque comme… Triss ?!
Houlà petit cœur, tu te trompe la, ce n’est pas Triss. C’est ce que se disait en pensée la jeune femme mais pourtant il continuait à battre a tout rompre. Le Bosco pouvait certainement le sentir tout comme elle sentait le sien. Lentement elle releva ses yeux vers lui, il était rouge de honte. C’était idiot de sa part. Etre honteux comme ça. Doucement elle murmura.
« Ulrich… je… Si on nous voit tu auras des problèmes Ulrich… »
Elle n’était pas du tout convaincu par ses propres propos et d’ailleurs elle approchait son visage dangereusement de celui de l’homme. Non elle n’allait pas faire ça ?! Non elle n’oserait pas le tenter de la sorte… à moins que bien sur… Serait’ il capable de lui faire oublier Triss ? Serait’ il capable de lui offrir l’apaisement qu’elle ne pouvait pas connaître ?! |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 18:35 | |
| Par les Dieux des Océans ce bruit sourds, Ulrich avait l'impression que des milliers de tambours résonnait à côté de lui, mais ce son, ce martellement si douloureux, que...Que lui arrivait il? Il avait l'impression de la revoir, Arianne, elle était si belle sa femme, ses longues cheveux bruns, son visage finement ciselé, ce regard envoûteur. Mais, là ce n'était pas sa femme, c'était Isabaut, une jeune femme si gentille avec lui, un corps parfait et...Un amour, un amour douloureux, comme lui mais en pire. Elle, elle était si...Si belle, il...Non! Il ne fallait rester tranquille, ne rien faire, non, elle ne l'aimait pas, ce n'était pas possible...
Oui, c'était juste son esprit qui voulait se persuader d'une telle chose! Pourtant, sa peau là où la jeune femme avait ses mains était brûlante, il avait l'impression de n'être qu'un brasier ardent. Oui, oui, elle avait du sang elfe, oui, elle était la seconde du fossoyeur, et lui? Il était le Vent Noir, il était maudit, les marins eux même avaient peur de lui, alors..;Alors quoi? Deux êtres, deux "malédictions", deux amours douloureux, deux seconds, deux enfants de la Mer.
Ulrich avait l'impression qu'il allait fondre sur place, qu'il allait mourir soudainement, a la fixé ainsi, il se sentait défaillant presque, pourtant, même en le voulant, jamais ses bras n'aurait voulu relâcher leur étreinte, une légère mèche de cheveux faisait couler quelques gouttes sur le visage du Vent Noir. Doucement, presque de façon surréaliste, le son délicat de la voie d'Isabaut arriva aux oreilles du marin:
-Ulrich...je...Si on nous voit tu auras des problèmes Ulrich...
Elle approchait doucement son visage et imperceptiblement, de façon inconsciente, lui aussi avait fait de même, son coeur battait encore plus vite, il était sur que la jeune femme pouvait sentir ses battements tellement ceci frappaient fort dans son torse. Il ne devait pas avoir une grande distance entre les deux lèvres, quoi? Rien, non, il suffisait que quelqu'un frôle l'un d'eux presque pour qu'ils s'embrassent, Ulrich était presque sûr que ses mains tremblées, enfin, si il sentait ses mains, il ne sentait plus rien de son coeur, juste son coeur tambourinant dans son fort intérieure. Il murmura avec difficulté, résistant de tout son âme pour ne pas succomber:
-Oui, peut être...Mais...Je...Cela a-t-il vraiment une importance?
Ulrich avait l'impression qu'il ne pourrait jamasi tenir, mais, non, on ne pouvait pas l'aimer, ce n'était pas possible, pas une aussi belle femme comme Isabaut, non, ce n'était qu'un songe cruel. |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Ven 18 Avr 2008 - 18:59 | |
| Les lèvres s’approchaient, encore, encore, et encore. Plus que quelques millimètres. Déjà elle sentait son souffle chaud et puis ses lèvres remuaient. Est-ce que c’était si grave que ça ? Son cerveau avait envie de l’insulter pour lui infliger la moindre réflexion alors que lui-même était perdu. Tout ce qu’elle trouva à murmurer d’une voix presque suppliante n’était autre que ses mots.
« Ulrich… ça… ça n’a aucune importance, je m’en fou de ce qu’on peu dire ! Si on dit que je ne suis que la catin du vent noir je m’en fou. A vrai dire je m’en fou de demain et des autres jours… Je… »
Voila, elle ne trouvait plus ses mots. Ils étaient tous resté coincé dans sa gorge alors qu’elle essayait de comprendre ce qu’il lui arrivait. La malédiction ? À la baille ! Son titre de second ? Rien à battre ! Elle regardait le second puis mue par une force qu’elle avait du mal à comprendre elle ferma ses paupière et glissa ses mains de chaque coté du menton de l’homme pour finalement plaquer ses lèvres a celle du marin.
Enfin cette délivrance, elle ne rougissait plus, le contacte seul la rendait plus ou moins sereine et brulante a la fois. Comment pouvait’ on ressentir autant de chose en même temps ? La dernière fois, l’alcool avait engourdit ses sens. Mais la ?! Elle ressentait tout. La sensation mole et délectable des lèvres brulante contre les siennes, le contacte des langues qui se cherche, puis se trouve et se caresse. Son envie d’être s’avantage étreinte, se sentir plus proche.
Le baiser dura un temps qu’elle ne pris pas vraiment en compte. C’était comme si toute notions devenait incertaine. Alors que ses doigts glissait et repoussait les cheveux blond pour l’embrasser d’avantage, elle finie par doucement ralentir, puis s’arrêter et détacher ses lèvres de celle du marin. Rouvrant les yeux ce qu’elle fit l’amusa un peu. Il faisait nuit noir et pourtant peu de temps était passé. Son corps était brulant, presque autant que celui d’Ulrich. Alors, d’une voix a demi éteinte, Isabaut murmura.
« Ulrich… qu’est ce qui nous arrive ?! »
Déjà elle sentait à nouveau l’envie de s’emparer de ses lèvres et elle ne rechigna pas. Elle ne se refusait pas cette sensation de bien être. Elle déposa donc a nouveau ses lèvres sans même réfléchir et l’embrassa goulument, comme si elle cherchait à le dévorer. Mais a ne pas confondre, les baisers de la belle Isabaut n’était pas parfait, tel ceux des femmes faciles, ils étaient maladroit, timide aussi peut être, malgré la chaleur de son corps, qui la rendait des plus fougueuse.
Ce qu’elle se refusa pourtant c’était de réfléchir. D’ailleurs a quoi bon se torturer les méninges alors que son corps hurlait sa joie d’avoir trouvé une moitié ?! Cela lui faisait étrange de penser ainsi mais qui sais ? Les coups de foudre pouvait peut être arrivé ? Elle ne savait même plus ou était son bandeau, donc inutile aussi de penser a partir sans. Encore eu t’il fallut qu’elle désire s’enfuir de ses bras qui l’enserrait. |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Sam 19 Avr 2008 - 7:32 | |
| Un rêve, oui, ce ne pouvait être qu'un rêve, car qui aurait put l'aimer lui? Le Vent Noir? Certainement pas une femme qui avait sacrifié sa vie pour un pirate. Alors que vivait il là? Un rêve? Une hallucination? Ci cela se trouve, il était tout seul dans l'eau, entrain d'enlacer le vide! Oui, il rêvait, il était tranquillement dans son hamac entrain de dormir doucement, bercer par le souffle du vent et... Non, il sût soudainement que ce n'était pas un rêve, les lèvres de la délicates jeune femme se posèrent sur les siennes. Par tout les démons des océans, cela fait plus d'un ans qu'il n'avait pas eut un aussi tendre baisé, qu'il n'avait pas ressentit tant de joie, qu'il ne s'était pas senti autant heureux. Le Marin enlaça alors un peu plus la jeune femme; il voulait ne plus jamais la quitter, il voulait rester ainsi et mourir sans autre son que celui de son coeur battant si proche de celui d'Isabaut.
Leur baisé lui paru si cours, il aurait voulu qu'il dure pendant une éternité voir plus, il avait l'impression de voyager, ses sens en éveille, il sentait en lui une explosion de sentiments, chaque fois qu'elle reculait pour revenir l'embrasser, ce cours instant ses ses lèvres charnues, se court instant sans le contacte doux et transcendant de sa chaire lui semblait être une déchirure, un couteau que l'on plante. Déjà, dans le ciel, l'astre d'ivoire illuminé les nouveaux amants. Que ces baisées étaient délicieux, oui, la jeune femme ne devait pas avoir souvent embrassé, elle devait pas être comme ces nombreuses catins que l'on trouve dans les ports une fille facile, mais cette hargne, cette fougue qu'elle mettait lorsqu'elle l'embrassait était désirable, si... Ulrich ne trouvait plus ses mots, son esprit embrouillé tentait doucement de reprendre le dessus, de redevenir rationnel, mais, le coeur lui ne semblait pas vouloir, comme si il limitait l'apport de sang à ce dit cerveau pour le laisser impuissant. "Le coeur a des raisons que la Raison Ignore..." cette phrase collait parfaitement à la situation! Pourtant, non, enfin...L'esprit torturé du marin n'arrivait pas à croire à la situation, cela lui semblait trop irréaliste!
-je...Dit moi que tout cela est vrai...Dit moi qu'il ne s'agit pas d'un jeu cruel...Dit moi cela je t'en supplie...
Ses mots dit, le second du terrifiant Krnok commença a embrasser le cou de la belle, il n'était pas non plus un expert en matière de baisés car a l'inverse de nombreux hommes, il n'avait jamais été un Don Juan, hum, oui, il ne devait pas avoir eut plus de trois ou quatre femmes dans sa vie qu'il avait embrasser, et Isabaut faisait partie de ce groupe très restreint. Enfin, continuons de regarder nos deux nouveaux amants, Ulrich continuait d'embrasser le cou de la belle, mordillant de temps en temps, espérant en son fort intérieur que la jeune femme répondrait bien à ses paroles, car, oui...Un refus, si il y avait un refus, si la jeune femme n'avait fait que se jouer de lui et de ses sentiments, nul doutes que l'une des règles de Méca serait franchise...Et c'est dans le sang que se laverait cette moquerie, car si elle le faisait souffrir, nul doute qu'Ulrich ne serait se contenir... |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Sam 19 Avr 2008 - 8:11 | |
| Alors que finalement leurs lèvres se séparaient à nouveau il butina sa gorge de manière tout aussi pataude qu’elle. Un sourire léger naquis, il n’était pas non plus un de ses marins qui prenait les femmes pour de simple objet. D’ailleurs les bras autour de sa taille qui l’enserrait de plus en plus comme si il avait peur qu’elle s’enfuit en le laissant seul lui étaient agréables.
Tout en étirant doucement le cou, elle fit basculer son visage en arrière et ferma les yeux, les lèvres entrouverte et sa respiration perturbée. Comment n’avait’ elle jamais pu trouver cette sensation agréable avant ? Pourquoi avant son cœur ne devenait aussi fou que pour Triss. Pourquoi alors maintenant son cœur s’emballait pour cet homme qui avait surement passé trop de printemps pour elle ? Il avait presque 10 ans d’écart avec elle et elle s’en foutait royalement à vrai dire. La preuve ? Elle n’avait même pas pensée à ce détail, c’était une preuve suffisante non ?
Bref, alors qu’il dévorait sa gorge en dévoilant sa douceur et sa fougue, voila qui se mit à parler, brisant sa caresse. Elle plongea son regard dans celui d’ l’homme. Ne voulait’ il de plus d’elle ? Avait’ il retrouvé sa raison ? Ses yeux se faisaient presque inquiets et suppliant alors qu’il lui demandait de le rassurer ?! Jouait-elle à jeu ?! Ses yeux d’océan montrèrent d’abord sa surprise à sa question, puis ses sourcils froncés son indignation.
Il osait mettre en doute son comportement ?! Elle aurait voulue le gifler en cette instant d’avoir osé penser ça d’elle. Elle aurait aimée pouvoir le frapper jusqu’as ce qu’il lui demande pardon. Mais elle ne pouvait pas, elle n’arrivait pas a émettre la simple hypothèse de lui faire du mal. Cela lui déchirait le cœur. Alors, c’est simplement vexée qu’elle lui répondit d’un ton soudainement plus froid et pourtant ses joues toujours en feu et ne cherchant pas à s’écarter de lui.
« Ce n’est pas plutôt à moi de te poser cette question ? Ne te jouerait tu pas de moi Ulrich ? Si ce n’est pas le cas alors je… je suis entièrement a toi. Mais si tu compte fuir le lit comme m’as fait se vile batard de Triss… Crois-moi que loi ou pas dans Méca. Je t’arracherais le cœur de mes propres mains. »
Ses yeux s’était fait prédateur alors qu’elle lui disait ses mots. Elle avait avouée le nom de celui qu’elle aimait, celui qui avait son cœur, son corps et son came mais qui n’avait cru bon d’en profiter qu’une fois en fuyant au petit matin. Puis, s’apaisant elle se laissa embrasser dans le cou, frémissant et gémissant plus que ne disant ses mots.
« Si tu comptais passer une nuit avec moi et me laisser le lendemain avec pour seul compagnie les draps alors vas t’en. Lâche-moi et vas-t’en loin… Si tes intentions son plus réel, alors continue Ulrich… par pitié ne me lâche plus avant que ton bateau ne reparte en mer ou que le mien prenne le large. »
Cela ressemblait presque a une supplication alors que les lèvres de l’homme s’amusait de sa peau, cherchant sur chaque centimètre une zone épargné de baiser pour réparer ensuite cette erreur en y déposant ses lèvres. Elle glissa une main dans ses cheveux, l’autre toujours sur son bras qui maintenait sa taille contre la sienne. Pourvu qu’il ne fuit pas, pensa t’elle. |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Sam 19 Avr 2008 - 10:03 | |
| L'âge? Oui, oui il devait être plus vieux qu'elle, mais il n'avait plus vraiment la notion de son âge, encore une autre chose que la mer lui avait volé. D'ailleurs n'était il pas trop vieux? Arrêtons cette idée car il s'en foutait royalement, lui ne pensait qu'à une seul chose, Isabaut, il ne voyait qu'elle, il avait l'impression que le monde autour de lui hurler son nom, il avait l'impression que les étoiles représentait son visage, il avait l'impression que les vagues lorsqu'elles se brisait sur les récifs soufflait de la même voie que la magnifiques seconde des "je t'aime". Mais la surprise d'Isabaut était assez, surprenante, car bien que Ulrich n'en montre rien, il sentait déjà en lui une légère vague de rébellion. C'est elle qui aimait un homme, c'est elle qui disait qu'elle ne pouvait pas vivre sans lui, c'est elle qui voulait s'arracher le coeur tellement elle l'aimait. Puis elle lâcha ses mots:
« Ce n’est pas plutôt à moi de te poser cette question ? Ne te jouerait tu pas de moi Ulrich ? Si ce n’est pas le cas alors je… je suis entièrement a toi. Mais si tu compte fuir le lit comme m’as fait se vile batard de Triss… Crois-moi que loi ou pas dans Méca. Je t’arracherais le cœur de mes propres mains. »
Triss! C'était donc le capitaine Triss...Dont elle était la seconde, cette homme qu'il côtoyer a longueur de journée, cet ordure qui l'avait abandonné, ce chien, ce...Ce! Une haine sans borne naquit envers le capitaine du Fossoyeur, sans même vraiment de le connaître, il venait de devenir son ennemi juré, intérieurement, sans même vraiment réfléchir à ses pensées, Ulrich Andorias, Second de Kernok, le Vent Noir jura qu'un jour, oui, un jour, il fera payer à Triss d'être ce qu'il est, il le ferait payer d'avoir séduit Isabaut et de l'avoir fait souffrir. Oui, il le jura malgré lui, totalement conquis par la belle demi-elfe, il continua de l'embrasser et la laissa de nouveau parler, le prenait elle vraiment pour ce qu'il n'était pas? Craignez elle de voir en lui une pâle copie de ce maudit capitaine? Ces paroles étaient tellement blessante.... Il avait si mal aux sons de ces mots, ils réveillé en lui une partie tellement caché, une partie que l'on a tous en nous, le côté mauvais de soit. Ce côté que des gens tels que Kernok affiche a tous. Il serra encore plus fort Isabaut contre lui, non, il ne partirait pas, il lui avait ouvert son coeur, il ne la laisserais pas, il ne serait pas pas comme Triss!
Le Vent noir retira ses lèvres du coup de la jeune femme et desséra son étreinte, il recula légèrement, on aurait même put croire qu'il allait s'enfuir, enfin, partir, mais au lieux de cela, il pris le visage d'Isabaut entre ses mains abîmées, il s'approcha un peu son visage et souffla d'une voie rauque, ses yeux se transformant à son tours en prédateur:
-Et si c'est toi qui fuis, ne t'inquiètes pas mon courroux sera tout aussi désagréable...
La relation entre les deux amants risquaient d'être tendu voir difficile, les deux amoureux craignant chacun d'être déçu, chacun d'être blessé, meurtrie par l'autre, Le Vent Noir laissa une seconde de flottement avant d'embrasser passionnément la sublime Seconde, ses lèvres rencontrant celle d'Isabaut dans une explosion de sens, leur langue jouant entre elle. Il faudrait vivre caché par contre, oui, peut être ils s'aimaient, peut être que les rumeurs sur eux n'aurait pas d'effet, mais s'ils voulaient tout de même garder leur place te leur autorités, il fallait rester discret, hum, une liaison secrète, cela n'en était que plus excitant...Il faudrait lui dire cela, mais pour l'instant, il ne voulait que couvrir chaque parcelle de ce corps sublime de ses délicats baisés... |
| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Sam 19 Avr 2008 - 11:23 | |
| Apres ses mains son étreinte se fit plus forte, c’était agréable de se sentir ainsi tenue comme une créature précieuse. Le sentir perturber de ses paroles, brulant contre elle le cœur en émoi. Puis il la relâcha. Ses yeux se firent paniqués, elle avait peur qu’il ne parte. Non pas lui, il voulait donc uniquement se jouer d’elle ? il voulait faire comme Triss ?! Non pourquoi encore ?! Elle sentait déjà les larmes lui monter aux yeux quand il déposa ses mains pour encadres son visage et lui murmurer contre les lèvres des paroles rassurante et terrifiante à la fois.
« Je ne compte pas fuir … »
Cela résumait a peux prés toute ce qu’elle voulait. C’était décidé, elle oublierait Triss dans les bras d’Ulrich quoi qu’il arrive et se libérerait de ce malheur. Non ce n’était pas un jeu et il n’était pas un moyen de palier a son manque d’affection et d’amour. Elle ressentait aussi un petit quelque chose, mais trop tôt sans doute pour parler d’amour inconditionnel. Alors qu’elle enroula ses jambes autour de la taille du second elle entendit un bruit sur le ponton.
Isabaut repoussa rapidement Ulrich contre un des piliers de bois de l’édifice et sourit, amusée. C’était terriblement excitant d’avoir peur d’être pris en flagrant délit de batifolage. Elle entendait des matelots passer et puis plus rien. S’écartant alors en pouffant de rire elle vérifia que les affaires était bien encore la haut. Oui c’était bon. D’une vois prometteuse de mille plaisir la jeune femme murmura.
« Je pense que nous devrions aller ailleurs pour faire ce que nous comptions faire, l’auberge serais tout indiquée. Mais… si je prends la chambre on risque de me regarder d’un drôle d’air. Vivant non loin… Et puis comme Triss dois être à la maison… nul doute que ma chambre nous sera inaccessible. »
Prenant appuis sur ses bras elle fit preuve d’une force peu commune pour une femme, se remontant juste à la force de ses bras sur le ponton. Bien sur au passage, Ulrich eu le droit a une vision plus détailler de la poitrine moulée par l’étoffe transparente de la chemise. Une fois en haut elle laissa Ulrich la rejoindre en enfilant ses bottes. Ses vêtements étaient trempés mais il faisait encore doux.
« Tu viens Ulrich ? »
Elle refermait difficilement sa veste de cuir, sa poitrine collant a la peau traitée. C’était compliqué… ho et puis zut ! Elle la laissa entrouverte. |
| | | Ulrich Andorias
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Sam 19 Avr 2008 - 12:41 | |
| Il l'espérait au plus profond de lui de ne pas être un simple jouet, un simple palier. Il craignait un peu cela, il avait peur de ne servir que de jouet entre les mains de la jeune femme. Bien sur, les paroles qu'elle prodiguait affirmer le contraire, mais les femmes sont comme la mer, un jour, un jour calme, clémente, le lendemain en furie. C'est certainement pour cela que les hommes ne peuvent rien leur refuser. Soudain, il y eut ce bruit de pas sur le ponton et la divine seconde le poussa pour éviter les regards des marins. Hum, cela avait un quelque chose d'excitant, et d'à la fois terrifiant. La jeune femme était amusé par ce jeu de cache-cache, oui, cela pouvait avoir un côté amusant, drôle, mais il ne fallait pas s'y fier, c'était un jeu terriblement dangereux pour les deux amants, si quelqu'un les surprenait, ils risquaient bien des choses, le courroux de Triss, ce damné Triss! Les pensées obscures d'Ulrich s'effacèrent bien vite lorsqu'il entendu la proposition d'Isabaut, elle allait un peu vite en besoin, mais n'importe quel homme censé n'aurait pas refusé. Lui aussi la désiré, bien sûr entant que gentleman, il n'aurait pas été si directe, ils auraient juste pris un dernier verre, et ensuite...et ensuite advienne que pourra! Mais là, la jeune femme n'était pas passé par des sous-entendu, déjà, le fort intérieur d'Ulrich brûlait.
Le Seul Hic, le lieux. Pas chez Isabaut, normale;.;Quoi? Elle vivait chez Triss! Non, on passe a autre chose, dans la cabine d'Ulrich? Mauvaise idée, le vent noir qui amène quelqu'un...L'auberge? Ils ne pouvait pas entrer tout les deux et elle, elle ne pouvait pas prendre une chambre seul. Une idée farfelue naquit dans l'esprit d'Ulrich, ils pourraient, oui cela semblait...Soudain, la poitrine de la sublime Isabaut apparut devant ses yeux. Il remercia par la même occasion toute les divinité pour avoir toujours ses deux organes qui lui permettait d'apprécier pleinement les beautés du monde comme le corps d'Isabaut par exemple. Le marin sourit alors de contentement, quel nuit fabuleuse non? Il s'extirpa de l'eau qui reflétait le ciel étoilé, on aurait dit qu'il sortait du ciel même, ça donnait un effet étrange non? Lors qu'il fut sur le ponton, il commença lui aussi à remettre ses affaires, heureusement, personne n'était dans les environs, d'ailleurs, personne, il était temps d'exposer son idée à la belle. Il l'attrapa par la hanche, personne dans les environs de toute façon, et il l'embrassa langoureusement, il retira doucement ses lèvres une fois son forfait accomplit et lâcha:
-Sinon, je rentre dans une auberge, je prends une chambre, et ensuite, tu viens me rejoindre...Tu sais grimper au gouttière j'espère? Ou alors tu trouve que je suis un peu trop farfelu?
Cette question finie, il recula d'un pas, histoire de faire semblant, en cas d'intervention de marin, qu'il ne se passait rien entre eux. Enfin, les yeux d'Ulrich eux brûlait de désir, il n'attendait que la réponse de la belle...
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| | | Isabaut Garosa
Humain
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| Sujet: Re: Face à la Mer...J'aurais du Mourir...[libre] Sam 19 Avr 2008 - 12:56 | |
| Alors qu’elle achevait de s’habiller il l’attrapa et l’embrassa. Si elle s’écoutait elle allait le violer sur le ponton mais l’idée même si alléchante était un peu déplacé. Mais loin de l’oublier elle changea les lieux, modifia la chose et pouf, le faire sien dans une auberge correspondait a quelque chose de plus réalisable. Puis il s’écarta, essayant de reprendre contenance alors que ses yeux criaient son envie de l’allonger et de la dévorer.
Il lui avoua son idée, pourquoi pas. En plus elle n’aurait pas à monter a la gouttière mais a passer par derrière, Morgane et elle se connaissait assez et elle avait eu accès au passages des femmes travaillant la bas. Personne ne la verrait et pire, personne ne saurait ce qu’elle avait fait toute la nuit. Parfait donc ! Avec un sourire entendu elle acquiesça de la tête.
« Parfait ! Sauf que tu m’excusera, mais je préfère un autre passage, plus discret que de passer sur la gouttière … une femme montant au mur ça fait désordre. Bref… je te laisse prendre de l’avance Ulrich. Une fois que tu auras ta chambre, met sur la poigner quelque chose, que je puisse au moins savoir ou tu te cache. »
Prenant la main du Bosco elle récupéra son bandeau noir et l’attacha, voila, finie la demi elfe, bonjour l’humaine. Regardant le ponton elle laissa Ulrich s’éloigner et s’assise sur un tonneau, regardant le bleu de l’océan. Elle devrait attendre un certains temps… mais combien de temps ? Combien de temps avant que cela ne paraisse pas un simple coup monté par les deux amants ? Enfin amant… future amant plutôt.
Ho et puis zut ! Elle se leva et pris le chemin qu’elle jugea le plus long pour arriver a l’auberge et se faufiler a l’intérieur. |
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