[fini] Souvenirs émouvant autour d'une rose [PV ]

Ailen se réveillait dans la jolie petite auberge de la rue du chateau. Un beau soleil brillait déja et un ciel bleu sans aucun nuage tapissait le plafond de ce beau monde de Miradelphia. Elle se leva rapidement... Il devait être facilement onze heures. Le voyage de la veille avait du l'épuiser pour qu'elle dorme autant...
Après un brin de toillette, elle descendit pour prendre un déjeuner rapide. Un peu tôt pour déjeuner, un peu tard pour petit-déjeuner. M'enfin bon ! Aujourd'hui elle avait un programme basé sur l'ignorence. Et oui, rien de prévu. Ce qui était bien rare pour la demi elfe qui avait pourtant l'habitude de toute travailler, de tout savoir exactement ce qu'elle allait faire. Quand comment... Où. Mais là, seul ses souvenirs guiderait ses pas alors qu'elle repartirait à la découverte de cette ville qui avait vu ses 18 premières annés.
Peut être cèderait-elle a une ou deux danses... Celon l'humeur !Ailen avait emmener deux foulards comme à son habitude. Le foulard blanc elle y tenait beaucoup, c'était un cadeau de son père aussi rare soient-il. Le rouge n'avait pour elle aucune valeur. Elle avait également emmené son nunchaku, bien qu'en tant que balade pacifique, elle doute d'en avoir besoin. Et évidemment elle avait son petit couton comme toujours. Mais pour une fois, ce déplacement n'aller pas compromettre la vie de quelqu'un. Elle n'avait personne a tuer, aucun contrat à honorer. Elle était là au seul nom de ses souvenirs. Aussi n'aurait-elle pas besoin de ses armes, mais sans elles elle se sentait nue, vulnérable.

Par où commencer sa ballade ? A droite ou à gauche ? Ailen décida de prendre à gauche. Elle commença donc à déambuler dans les rues... Au gré de ses seules envies et souvenirs. La partie qu'elle visiter avait été détruite par les flammes, pour anéantir la peste. Il n'y avait plus que des décombre. Des poutres brulés tombait sur les petites rues. Les toits s'était éffondrés, d'ailleurs toute ses petites maisons menaçaient de le faire aussi. Ailen se sentait triste devant l'étendue des dégat. Combien de familel avait perit dans ses décombres ? Combien de personne avait souffert ? Etaient morts dans d'atroces souffrances ?
Le sourire qui d'habituel tapissait toujours les jolis lèvres roses de la jolie demi-drow avait disparu... Et cela n'allait pas aller en s'arrangeant.
Elle continua a déambuler dans les rues, de préférences les petites rues. Certains quartier semblait avoir était beaucoup plus afféctés que d'autres. Elle n'avait pas croisé âme qui vive depuis qu'elle était partie de l'auberge et voilà bientôt maintenant au moins deux heures qu'elle déambulait tranquilement. Elle s'arrêta devant une petite rue encore. Celle ci semmblait avoir été entièrement épargnée. Une boule se noua dans la gorge d'Ailen. Elle connaissait cette rue. Oui, c'était SA rue.... Celle où elle avait grandit.
Ces yeux s'embuèrent légèrement.


Ailen commença à avencer dans la ruelle, le coeur gros. Elle compta les maison... Une, deux, trois, quatre...
Sur la 5ème, un grand rosier grimpant qui montait presque jusqu'au toit. Ailen étouffa un petit gémissement, surprise... Non. Il était toujours là. Les larmes commençèrent à dévaler ses joues... incontrolable. SA maison. Près du rosier, une petite inscription: A vendre.
Elle s'approcha doucement de la maison, comme incertaine et saisi une rose rouge entre ses mains, elle la coupa et la porta a son nez. Une délicate odeur s'échappa de la fleur, ne faisant que redoublé les larmes d'Ailen.
Elle ne savait pas à qui appartenait cette maison, combien il la vendait. Mais elle la voulait. Avec quoi paierait-elle ? Ses économies suffiraient-elles ?
Elle n'en avait aucune idée... Pourtant, cette maison serait un jour à elle.

L’odeur de la cuisine vint rapidement s’insinué dans la chambre de l’hôte. Une odeur agréable, légèrement acidulée de bon matin, mais qui restait agréable. Veldrin ouvra un œil et observa la large fenêtre qui ouvrait une vue d’envergure sur la cité. Le soleil haut perché diffusait déjà une bonne lumière au cœur de la pièce bien meublé. Il grogna légèrement, la nuit avait été bouillonnante et longue, il utilisa ses deux bras pour se relevé et scruta Mira qui était allongée à coté de lui. Le dos dévoilé et le reste du corps couvé par le drap, elle était paisiblement endormie. Il se laissa glissé contre les bords du lui et s’asseyant à même celui-ci. Se frottant les yeux il réfléchissait aux événements des derniers jours. Tout portait à croire que le destin ne l’abandonnerait pas de si tôt à son triste sort, l’hypothétique choix d’une vie sûrement. Ses pensées revinrent instantanément sur la nuit qu’il avait passé, son esprit ne semblait pas apte à réfléchir après un réveil de la sorte. Il se tourna légèrement et observa Mira, taquin, il tira le drap jusqu’à apercevoir son fessier puis esquissa un sourire. Il était nu et la lumière du soleil réchauffait déjà son corps endolorit. Il se leva et prit ses vêtements pour se vêtir rapidement. Debout, habillé, il prit une grande bouffée d’air et s’aspergea le visage d’eau qui remplissait une coupelle disposé sur une table qui ornait la pièce.

Velichou ?

Interpellé Veldrin détourna la tête et aperçut Mira sur le lit, éveillée tenant le drap d’une main jusqu’à sa poitrine pour couvrir son corps. L’autre la tenait, posée sur le lit. Elle était assez mignonne de bon matin, les cheveux ébouriffées en bataille, une mine fatigué et un sourire incrédule éclairait son visage. Ses yeux noisette scrutaient l’hybride, ils étaient pleins de promesses. Il s’approcha et s’assit une nouvelle fois sur le lit.

Tu t’en vas déjà ?

Veldrin lui rendit son sourire et glissa sa main jusqu’à son visage pour caresser sa joug.

Oui, malheureusement, je dois partir.

Mira était consciente que le bel hybride avait des obligations autres que de la satisfaire, mais elle ne serait jamais se faire à cette idée.

Toi alors…Tu sais tu devrais te trouver une femme au lieu de faire ce que tu fais, je m’en pleins pas et au contraire je serais jalouse, mais ce n’est pas une vie pour toi. Rooh…Ne fait pas cette tête, ça me fait craquer, puis tu ne m’écoutes jamais de toute façon.

Chut…

Veldrin avait répondu simplement et il glissa bientôt ses lèvres contre celle de l’humaine qu’il embrassa avec passion, elle se laissa faire et bientôt elle se retrouva allongée, Veldrin collé contre elle subissant avec délice son baiser. Cela dura quelques secondes et il se releva, Mira resta allongé, les yeux pétillants en regardant Veldrin. Elle le vit s’éloigné et resta silencieuse. Il allait franchir la porte.

Reviens-moi vite, Velichou.

Sans réponse, l’hybride traversa la porte et commença à descendre les escaliers pour rejoindre le hall du bordel de luxe. L’éthique était à ce moment précis bien loin dans ses songes. C’était son moyen de détente le plus efficace. Il remerciait la patronne d’un signe de tête qui lui répondit en secouant la main tout sourire aux lèvres. Se retrouvant rapidement dans la rue, il commença à marcher, déambulait au travers des rues. Il était de bonne humeur ce matin.
Il déboucha bientôt sur une petite ruelle, puis une autre et finalement sur une rue un peu plus large. Bien que l’heure soit avancée, il ne remarqua qu’une silhouette proche d’un rosier qui…Versait des larmes. Il arqua le sourcil en observant la scène. Il s’avança rapidement et s’approcha de l’inconnue. C’était une femme. Il dépassa son niveau et attrapa une rose de la main pour la respirer à plein nez. Il se tourna vers elle et lui tendit la rose.

Ce ne sont certainement pas mes affaires, je ne connais pas les détails, mais je peux vous dire que vous ne devriez pas pleurée devant une telle merveille. Ses roses sont magnifiques, et elles devraient plutôt vous donner du courage, au lieu de vous l’ôter.

Ce ne sont certainement pas mes affaires, je ne connais pas les détails, mais je peux vous dire que vous ne devriez pas pleurée devant une telle merveille. Ses roses sont magnifiques, et elles devraient plutôt vous donner du courage, au lieu de vous l’ôter.


Ailen releva les yeux, un jeune homme était face à elle. Il lui tendait une rose. Ailen fut un peu déstabilisée... Elle était trop habituée à montrer le masque d'une femme impassible, depuis combien de temps n'avait-elle pas pleurer devant quelqu'un ? Enfaîte, non elle n'avait jamais pleurer devant qui que ce soit. Elle essuya ses yeux d'un rever de main et un léger sourire se montra sur son visage. Un sourire un peu forçé certe mais un sourire tout de même.
Elle prit délicatement la rose dans la main du jeune homme. La boule dans la gorge d'Ailen se refusait à disparaitre.

- Ses roses sont les plus belles que je n'ai vue en une vie. Mais trop de mauvais souvenirs sont associés aux roses de cette maison... Malheureusement. Elles ont au moins le mérite de me rapeller qu'il ne faut pas abandonenr.
Sa voix était brisée et fragile.

Mais ces beaux yeux rouges avaient reprit leur éclat pétillant. Elle ferma doucement les yeux et approcha la rose de son nez. Elle inspira une grande bouffée d'air agrémentait du délicat parfum de la fleur.

- Elles sont toutes semblable mais toutes différantes...
murmura la jeune femme en soupira.

Elle releva ses yeux vers l'homme, elle avait des facultés a se remettre très rapide aurait-on pu dire mais surtout. Mais après tout ce qu'elle avait subit. Elle avait appris que se relever après tout est nécessaire. Et là, ce n'était rien. Plus de 50 ans que sa mère était morte. Et elle ne versait les larmes que maintenant. Elle en avait verser une la veilel avant de rencontrer le conseiller, Messire d'Erac.

-Savez vous qui est le propriétaire de cette maison s'il-vous-plait ? Je m'apelle Kaili, et vous ?

C'était un nom d'emprunt, amis tout le monde la connaissait sous ce nom a Diantra comme a Ydril. Elle ne pouvait prendre le risque de briser sa couverture. De toute manière, ce n'était pas vraiment un mensonge, c'était le prénom de sa mère.

[ S'il-te-plait, j'aimerais bien qu'elle n'aipas a dévoiler son prénom. J'ai dit dans mon RP d'après, qu'elle n'avait donner son identité a personne]

La femme qui lui faisait face apparaissait assez âgée. C’était une fille étrange, elle possédait une longue chevelure coquelicot descendante jusqu’aux épaules, elles avaient les traits gracieux et les yeux d’un rouge perçant. Veldrin la scrutait tranquillement, un sourire marqué sur les lèvres, un sourire neutre d’ailleurs. Elle paraissait légèrement déstabilisée par l’intervention de Veldrin, l’hybride détestait voir les gens exprimé des idées noirs.
Réagissant promptement elle essuya d’un revers de la main ses larmes et se mit à sourire. Un sourire forcé qui trahissait son malaise. Veldrin arqua le sourcil mais resta silencieux.

Parfois la beauté, aussi exaltante soit-elle, implique la réflexion quant à sa nature. Je veux dire par là, que ce ne sont que des traces réfléchies. Telle la rose, la beauté à des épines bien à elle. Elles ont aussi le mérite de vous dire que leur beauté ne flétrie pas et qu’elles vous attendent.

La voix de Veldrin était douce et emplie de nostalgie. Lorsqu’il avait parlé il avait jeté un regard noir au ciel puis avait finit par reprendre son sourire fixant la jeune fille. Le regard de celle-ci avait gagné en éclat.
Elle murmura quelque chose en respirant le parfum agréable de la rose que lui avait offert Veldrin quelques minutes auparavant. Elle était étrange, aussi vivace qu’impassible. Une nouvelle main invisible sur ce monde. L’hybride repensa à sa vie fuyante, une inertie parfaite pour un homme faible. Il n’avait pas gagné en force depuis, mais exultait une volonté sans pareille. Le souvenir qui avait prit cette fille semblait plus tenace et prenant que pouvait s’en douter Veldrin.

Enchanté Kali.

A l’évocation de la maison, il observa la demeure derrière eux. Elle ne lui évoquait rien. Il pensa aux registres qu’il avait lus, mais reporta finalement son attention sur son interlocutrice.

Je suis désolé, je ne sais pas qui en est le propriétaire, il faudrait regarder les registres. Ah, pardonnez-moi, pour ma part je suis…

Deux hommes en armures royales s’approchaient de des deux êtres, ils couraient à vive allure, un air sérieux sur le visage.

Sir Veldrin, les dernières troupes de Merdigan sont entrain de partir. Voulez vous qu’on prévienne la royauté Elfique ?

Veldrin se tourna avec vivacité, il fixa les deux hommes et son sourire muta en un visage ferme.

Non, ça ne sera pas nécessaire, suivez le sentier Nord et bâter la forêt pour enrôler les derniers dissidents, je vous rejoindrais plus tard.

Bien My Lord.

Les deux hommes repartirent aussi vite qu’ils étaient venus. Veldrin se retourna vers la jeune fille, l’air gêné, il reprit un sourire jovial.

Excusez moi pour ceci, comme vous l’avez sûrement remarqué je m’appelle Veldrin, Veldrin Dëlisa.

[Aucun soucis pour moi]

Enchanté Kaili.

- Moi de même, messire ?
Ailen aimait savoir à qui elle avait affaire, surtout lorsque c'était quelqu'un qu'elle rencontrait par hasard. La méfiance est un vilain défaut qui lui avait sauver la vie trois, quatre fois.

Je suis désolé, je ne sais pas qui en est le propriétaire, il faudrait regarder les registres. Ah, pardonnez-moi, pour ma part je suis…

Elle sourit légèrement.

- Merci tout de mê..

Mais ils furent coupés tout deux par deux gardes qui arrivèrent en courant vers eux. Ailen fut parcourue d'un frisson, mais apparemment ils n'étaient pas venus pour elle. Par reflexe elle avait poser sa main sur sa cuisse, la ou était le petit couteau empoisonné que lui avait offert son fiancé il y a si longtemps déja...
Apparemment, cet homme était important. Très important même. Les soldats repartirent et celui ci se retourna vers elle, un peu géné, et elle le comprenait aisément.
Peu de gens de Diantra aimait les nobles...

Excusez moi pour ceci, comme vous l’avez sûrement remarqué je m’appelle Veldrin, Veldrin Dëlisa.

- Eh bien enchantée, Veldrin, si je peux me permettre.

Encore un sourire. Oui, elle avait l'habitude d'appeller chaque personne par son prénom. Noble ou paysan. Elle ne tenait pas compte du rang, mais si elle pouvait éviter de se retrouver à croupir dans un cachot pour manque de respect... Ce ne serait pas mal non plus.

- Et... Que faites vous ici ? J'ose poser cette question indiscrette, vous n'êtes pas obliger de répondre évidemment.

Et encore un sourire. Ailen était certes d'un naturel souriant, mais juste après avoir pleurer et devant cette maison, ce n'était pas vraiment prévisible.
M'enfin bon, allez essayer de comprendre Ailen..

[merci ^^']

La jeune Kaili nomma Veldrin par son nom direct, mais l’hybride ne releva pas. Son titre n’était rien à ses yeux, ce qui comptait réellement était l’honneur de ses idéaux. Peu importait la Noblesse, il était Veldrin avant tout, un homme du peuple et surtout un ancien errant. La jeune femme devait sûrement ne pas courber l’échine devant les réclamations, les statuts et les traités. Il souriait simplement, bien qu’il ne perde pas de sa présence il apparaissait à cet instant comme quelqu’un du peuple. Aucune armure, ni ornements spécifiques.

Cela ne me dérange pas de répondre. Nous ne sommes pas entrain de parler de confidences des Dieux. Je suis de passage, je rejoints différentes troupes situées à la Cité Eternelle et je tiens à peaufiner certaines éléments qui m’échappent.

Cette fille avait une certaine facilité quant à une façade sociale, pouvant passer rapidement des pleurs à un sourire léger. Une vie bien unique devait l’avoir suivie. Il fixa ardemment la jeune fille, ses pupilles dansants silencieusement dans la pénombre de sa capuche. Le soleil demeurait haut, mais sa capuche assez longue gardait toujours une part d’inconnu pour son visage.

Si je peux me permettre, j’aimerais à mon tour vous poser une question indiscrète. Que cherchez-vous ?

Sa voix était douce et mélodieuse, sa question n’était bien entendu pas anodine. Chaque être était à la recherche de quelque chose, des buts, des objectifs personnelles, tous tendant vers la réalisation personnelle. Les rêves berçaient l’insouciance des plus jeunes, et les plus âgés cherchaient à protéger leur cœur de la guerre imminente. C’était un long chemin qui attendait Veldrin, et il ne devra pas flancher, malgré cela, il fallait admettre que la volonté qu’il mettait à l’œuvre était bien développée. Il se demandait ce que cette jeune fille Kaili cherchait, au creux de cette rue et dans ce monde, peut être qu’à cet instant, Veldrin allait lui donner une nouvelle porte.

Cela ne me dérange pas de répondre. Nous ne sommes pas entrain de parler de confidences des Dieux. Je suis de passage, je rejoints différentes troupes situées à la Cité Eternelle et je tiens à peaufiner certaines éléments qui m’échappent.

- Je vois... Eternelles incompréensions.

Ailen n'osa pas demander quels éléments. Ca relevait du privé et ils n'étaient pas intimes. Il souriait lui aussi, Ailen s'en voulait un peu de lui mentir sur son identité, mais avait-elle le choix ? Non pas vraiment...

Si je peux me permettre, j’aimerais à mon tour vous poser une question indiscrète. Que cherchez-vous ?

Ailen resta silencieuse. C'était vrai... Que chercher-t-elle vraiment ?

- Je ne sais pas.... L'apaisement de souvenir doulereux. Un nouveau départ. C'est une question floue pour moi... Je suis un peu perdue en ce moment, et je n'ai pas encore troué la voix de se que je cherche.

Assassine et danseuse itinérante. Quel avenir décidément... Et que chercher-t-elle ?
Veldrin avait touché un point sensible, réussissant à la plongée dans ses souvenirs et ses pensés. Ce qui était assez rare chez la demoiselle qui était d'habitude toujours très attentive a tout.

- Enfin, une vie a mon image. Comme tout le monde.

Elle soupira doucement.

- J'espère que je ne vous fait pas perdre votre temps a parler de tout et rien. Je n'ai pas grande discution a vrai dires.

Elle sourit et rit juste après. Elle semblait être un petit soleil à la bonne humeur inébranlable. Pourtant quelques minutes plus tôt elle pleurait.
Cela faisait parti de son personnage, de son masque. Une jeune dnseuse, belle comme le jour, inébranlable et toujours optimiste.
Un rôle pas toujours facile a jouer avec un passé semblable au tien. Elle souria légèrement encore à ses pensés.
Tout le monde porte un masque, l'apparence plait aux autres, elle est imortante. Quoi que, les hermites ne portent peut être pas de masque ?
Question à étudier.

Veldrin la laissa réagir comme elle l’entendait. Il resta silencieux autant de temps que nécessaire. Cette jeune fille avait un profil bien étrange et l’hybride savait que cette jeune fille pourrait lui apprendre et apporter, autant que lui serait la faire grandir. Il ne savait pas ce qui le poussait, la sympathie peut être ou la bonne humeur du moment. Cela était bien trop hardi et peu cherché pour être accepter par son esprit.
La jeune fille semblait confuse de par son passé et face à la question qu’avait posé Veldrin, elle semblait ne pouvoir apporté une réponse précise. Elle paraissait déambuler dans ses souvenirs et ses pensées, errante au cœur de son être afin de trouver des réponses qu’elle seule pouvait posséder.

Vous savez, vous ne devriez pas vous tourmentée autant, au cœur d’un des croisements de votre vie vous trouverez le chemin qui vous conduira à votre sommet personnel. Le destin fait des choses étranges parfois.

Il ne lui afficha pas ce qu’il avait en tête, cela manquait de finesse et de panache. Son humeur taquine et joueuse ne l’avait pas quitté. Il inspira profondément pour gorger ses sens du parfum des roses. C’était étrange, elle était étrange. Jouant d’une émotion à l’autre et chantant le pleure autant que le sourire.

Ne vous inquiétez pas c’est un plaisir. Il n’y a nulle discussion vaines et nulles connaissances inutiles à mes yeux. Il suffit simplement d’en trouver l’utilité. Dans votre cas cela me fait penser à un lointain passé et vous êtes d’une charmante compagnie.
Il esquissa un sourire, il ne mentait pas, il appréciait toujours la compagnie d’une femme qu’elle quelle soit. Et au vue de cette rencontre, de son réveil et de ses roses, son humeur ne pouvait être qu’agréable. Il fixa pendant un moment cette femme, une humaine pleine de talents sûrement. Son regard perçant donna l’impression qu’il lisait en elle comme un livre.

Je vais devoir vous quitter. Néanmoins j’aimerais ajouter quelque chose avant que nous nous quittions. Si vous avez le cœur à découvrir votre véritable place au sein de ce monde, dirigez vous vers le Nord, lorsque vous attendrez la Place Sacré, allez vers le Sud et de là demandez la Muraille. Vous serez me retrouvez j’en suis sur. De manière sincère ne gâcher pas votre vie à vous chercher.

Il avait parlé d’un ton unique, aussi oppressant que libérateur, une sorte de mélodie incontrôlable et prenante. Il s’inclina légèrement son sourire aux lèvres et baisa la main d’Ailen en signe de reconnaissance. Plusieurs hommes en armes approchaient, il fixait Veldrin d’un regard admiratif. Il se redressa et cligna de l’œil.

N’oubliez pas, je vous attendrais.

Dans ce dernier murmure il tourna le pas et commença à rejoindre ses hommes.

[HRP : J'ai répondu comme cela m'inspirait pardonnes l'attente. J'ai finis sur une note qui est tienne, tu peux m'arrêter ou me laisser partir, à toi de voir. Je me permets d'écrouter le sujet pour un prochain si cela te tente de revoir Vel bien sur.]

Le regard de Veldrin alors qu'il lui disait qu'elle était de bonne compagnie génait Ailen. Elle avait l'impression qu'il lisait en elle comme dans un livre ouvert. Mais il ne fallait pas se fier aux illusions. Elle était assassine, lui était quelqu'un de haut gradé dans l'armée, il était là pour epécher les crimes qu'Ailen faisait. Il ne pouvait la lire entièrement comme un livre, c'était tout bonnement impossible bien qu'il la fasse douter, la plongeant dans le silence.
Il lui dit devoir la quitter, et lui donna vraissemblablement l'itinéraire pour se rendre chez lui. Il lui dit également de ne pas l'oublier et qu'il l'attendrais. Elle sourit doucement alors qu'elle baisait sa main en gentilhomme qu'il était surement.

- Je ne sais quand mais je viendrais...

Elle ne savait pas pourquoi, mais elle avait l'impression avec Veldrin de le connaître depuis toujours. De partager avec lui des choses intimes... Comme un metissage...? Lui entre elfe et drow, elle entre humain et drow.

Il lui fit un clin d'oeil et s'éloigna avec ses homes admiratif. Qu'avait-il imaginer les concernants ...? Où admiraient-il les bonnes manière du baron ?