Banquet royal pour fêter la nouvelle année (libre à tous)

Thomas était depuis quelques jours à Diantra. Pour cette même mission (La bière, elle traîne ^^) Il s'était levé bien tôt aujourd'hui. Il avait marché longtemps dans la ville pour se détendre et faire le plein d'énergie. Il était allé sur la place du marché pour voir l'agitation habituelle. Mais une surprise l'attende. Des gardes étaient arrivés et avaient annoncés un grand banquet. Thomas n'était pas sûr qu'il doive rester. Mais avant même qu'il ne s'en rendre compte, la place était déjà prêt, les gardes en place. Ils ne perdaient pas de temps ici, le Roi avait une influence conséquente. Thomas avait sa capuche sur le visage, on ne voyait pas les traits de son visage, ni la couleur foncée de sa peau. Demi-Drow, Demi-Sylvain, il n'était sûrement pas le bienvenu dans ce banquet. Il n'était pas sûr que le Roi de Diantra n’ait pas envoyé un avis de meurtre sur sa tête. On voyait a peine ses yeux roses, il était comme une ombre dans cette foule. Il se recula vers un mur à l'ouest à quelques mètres du palais. Il vit Balthier.

*Tient, je ne savait pas qu'il s'était réveillé :) *

Thomas était en train de se demande comment il pouvait partir d'ici sans que les gardes le regard. Il y en avait pas mal. Il faisait le calcule et observe tout les mouvements. Il ne bougeait pas et sentait l'air, il sentait les gens qui allé-venut. D'un coup, à ses narines parvient une odeur qu'il connaissait bien. Cette odeur qui le transporté à dix mille lieux. Il sut de suite qui c'était, il posa alors le regard sur Naelia son Amour. Il sourit et son coeur parti dans les cieux avec une légèreté étonnante. Il ne pouvait décrire combien il l'aimait ? C'était impossible, mais il savait une chose. Qu'il l'aime plus que tout, plus que la vie elle même. Il se faufila doucement vers elle. Il lui posa une main chaud et amoureuse sur l'épaule.

Naelia. Bonjour.

Cela faisait déjà plusieurs minutes que le jeune homme observaient les personnes qui passaient, comme toujours. Lorsque l'aube avait pointé le bout de son nez, il s'était levé, avait vérifié les lieux et était parti faire une petite ronde aux alentours de l'auberge. Jusqu'à ce que la nouvelle parvienne à ses oreilles....

Son regard doré se posa sur une ruelle étroite et sombre, après avoir finit sa pomme, qui ne lui avait d'ailleurs point rempli l'estomac. De cette ruelle non gardée par grand bonheur, il pourrait facilement suivre les personnes intéressantes avec discrétion, ou encore quitter le marché sans être vu et donc arrêté. Mais il ne le fit pas, trop occupé à loucher sur des mets appétissants qui montraient à Balthier que le déjeuner n'était pas fini. Il redressa la tête, pas la peine d'être trop gourmand dès le début du banquet, car tout le monde le sait, les bonnes choses sont gardées pour la fin. Plongé dans des pensées culinaires, il fut bousculé soudainement et faillit tomber, ce qui lui arriver trop souvent à son goût. Il regarda l'auteur de cette faute qui s'excusait avec un petit sourire timide. Balthier répondit gentiment, sachant que la jeune femme n'avait pas fait exprès :

-Ce n'est pas grave, vous êtes toute excusée demoiselle.

Il sourit à son tour et son regard tomba sur Thomas. Balthier fut surpris de le voir ici, en pleine foule alors qu'il savait le garçon soucieux de rester discret. Il semblait visiblement connaître la jeune femme, d'où le regard rêveur qu'il lui portait.

*Il faut vraiment que je garde un oeil sur lui si je ne veux pas qu'il fasse n'importe quoi...*

Puis il déclara à l'intention de Thomas, alors qu'un sourire amusé, qui apparaissait si fréquemment, s'étirait sur ses lèvres :

-Tu n'aurais pas quelque chose à faire Thomas, au lieu de faire la cour à cette jeune femme ?

La mission du garçon n'avait pas encore été effectuée, du moins à sa connaissance. Et comme l'avait demandé celui-ci, le demi-elfe voulait accomplir le chargement seul. Pleinement conscient du fait qu'il s'incrustait légèrement, raison de plus pour connaître la réaction de son jeune ami, il regarda Thomas fixement, tentant de déceler le moindre gêne, la moindre émotion. Ne voulant pas rester impoli plus longtemps, il déclina son identité à la jeune inconnue, devinant que le jeune garçon tarderait peut-être à le faire.

-Veuillez m'excuser de cette impolitesse gente dame, je me nomme Balthier...et vous êtes ?
Demanda-t-il d'un ton calme, jetant un coup d'oeil au demi-drow.

Finalement, ils avaient certainement le temps de discuter avant que tous ses compagnons de route ne soient réveillés.

Thomas sourit quand Nae le vit. Il lui dit que ça allait bien. Il aurait bien voulut être ailleurs avec Nae, mais son coeur était bien du moment qu'il était prêt d'elle. Son visage donnait des ails à Thomas, il se sentait prêt à tout surmonté même....Balthier....Naelia et lui se rentrèrent dedans. Thomas ne bougea pas, puisque Nae s'excusa et Balthier accepta aussi vite que son ombre quand il vu Nae. Thomas eut un sourire intérieur, Balthier aimait les belles femmes sûrs tout les elfes. Enfin Nae avait une apparence humaine ici, et c'était mieux ainsi. Thomas alors le regarda quand il lui dit qu'il avait une mission à faire. Balthier le fixa et Thomas soutenu son regard en répondant.

"Le chargement est prêt à partir, dés que nous sauront sorti d'ici. Mais personnelle, je suis curieux de voir la suite des événements. Et à vrai dire, je ne fais pas la cour à cette jeune femme."

Thomas lui fit un sourire narquois mais amical. Les relations qu'il avait avec Balthier était professionnel, peut être qu'elles évoluèrent plus tard....Thomas regarde l'entre du palais quand Balthier se présenta à Nae. C'était étrange, il connaissait plus de monde qu'il n'y parait malgré son allure enfantine et son caractère timide. Il observa tout, et rien en même temps. Il n’avait pas envie de se faire avoir par les gardes ou par le Roi, il n’avait pas envie de finir la tête coupée.

Les trompettes sonnèrent enfin alors que des mets avaient commencé à être déposés sur les diverses tables. La roi sortit du palais enveloppé d'un pourpoint blanc éclatant. Son pantalon vert pâle était maintenu par une ceinture en soie jaune. Le tout faisant un magnifique dégradé de couleur sur toute sa hauteur. Il avança d'une démarche noble, le regard joyeux.
D'une démarche lente, il s'avança à la table surelevé sur l'estrade, la table royale, et attrapa un verre.
D'un petit geste de la main il amplifia sa voix par magie, fit apparaitre une ceintaine de verre en poterie fine et les remplit de bière et de vin d'une teinte soyeuse.

"Chers amis, cher peuple et vous tous des contrées éloignées, je vous souhaite la bienvenue dans notre ville de toutes les jouissances.
Je m'excuse encore une fois envers les marchands pour leur avoir enlevé leur gagne-pain aujourd'hui mais ils pourront manger à leur faim, comme vous tous présents. Ne vous privez de rien, asseyez-vous pour être à l'aise et faites comme chez vous.
Je voudrais trinquer, avant toutes choses, à la prospérité que vous apportez à notre ville. Sans vous il n'y aurait pas de capitale, pas d'échanges avec les autres civilisations, pas d'amitié solide avec les elfes nains et autres peuples.
Merci à vous, merci pour tout ce que vous faites, peuple adoré."

Le roi leva son verre en l'air, le laissa quelques instants pour que tout le monde le voit et l'avala cue-sec.

"Que la fête commence gente dame et meseigneurs. Que le vin et la bière coule à flots."

Il alla s'asseoir lorsqu'il aperçut sa fille dans son dos. Se frappant le front de la paume de la main, il se releva et fit signe aux habitants de sa taire alors que des cris de joies s'étaient élevés un peu partout sur la place.

"Excusez-moi. Encore un peu de patience je vous prie.
Ma fille ici présente souhaiterais vous parler d'un autre évènement qui se déroulera bientôt dans la ville. Nous allons permettre à tous les hommes et femmes de pouvoir s'entrainer et devenir des guerriers accomplis, digne de rentrer dans notre armée ou juste protéger vos foyers. Oui je vous le dis, nous lançons une grande campagne de recrutement pour améliorer vos aptitudes au combat. Des hauts-gradés de l'armée seront présents et se tiendrons à votre dispositions pour toutes vos questions.
Chacun pourra s'engager, et toutes les mises à prix seront effacés ainsi que les poursuites judiciaires oubliés si vous participez à ce programme inédit. Réfléchissez-y."

Il s'assit enfin et attrapa un morceau de poulet face à lui, qu'il mastiqua avec vigueur.

Kamilia avait suivit son père de quelques pas. Il allait commencer à parler quand elle fit son apparition derrière lui. Elle revêtait une robe blanche aux broderies en forme de roses rouges avec un corset baleine (sous la poitrine qui descend jusqu'aux hanche et se termine en V à l'avant) du même rouge. Les longues manches étaient faites de longs voiles diphane immaculée. Ses cheveux d'or avaient été attachée haut afin de ne pas la gênée. Elle prit un verre et trinqua avec le peuple. Quand elle constata que son père se rassoyait, elle s'apprêta à lui donner une tape sur l'épaule, mais il réalisa qu'elle était là avant. Il se releva et se mit à parler. Quand il eût terminé, il avait pratiquement dit tout ce qu'il avait à dire. La princesse roula discrètement les yeux et se pencha pour lui souffler à l'oreille :

- Volez-moi tout mon discours tant que vous y êtes, père.

Son ton était un mélange d'amusement et de reproche. Elle n'était donc pas réellement offusquée. Kamilia s'avança jusqu'à la table. Elle ne fit pas amplifiée sa voix, préférant les méthodes plus naturelles. Comme sa voix portait beaucoup malgré sa grande douceur -on avait toujours l'impression qu'elle était portée par la brise caressante- elle n'avait nul besoin d'artifice.

- Peuple de Diantra! J'ai pu constaté que vous trouviez l'armée innaccessible pour de simples gens comme vous. Certains même croient à tord que la soldatesque est réservée aux nobles. Sachez qu'il n'en est rien. Depuis un moment, la criminalité a beaucoup augmentée dans les rues de Diantra et cela nous afflige tous! À mon avis, c'est un besoin incomblée qui poussent la plupart des criminels à agir, car ils ont aussi besoin d'argent pour se nourrir. J'ai donc voulu lancé une campagne de recrutement afin de renflouer nos rangs et de vous redonnez du courage. Pour ceux que cette offre intéresse, mais qui ne désire pas entrer dans l'armée, sachez que la milice recherche toujours des hommes en âge de tenir une épée. Vous recevrez un entraînement complet, et toutes vos erreurs passées seront effacées. Comme la si bien dit mon père (elle posa tendrement la main sur son épaule et lui jeta un bref regard chaleureux avec un sourire des plus éclatant), les soldats ici présents pourront répondre à toutes vos interrogations... ainsi que moi-même. Vous pourrez même vous engagez ce soir même en donnant votre nom aux soldats. Songez-y! Vous n'aurez que des avantages à le faire! Vous n'aurez plus d'antécédents judiciaires, vous serez formés afin de défendre vos familles et, pour ceux qui iront dans l'armée, vous serez bien payés et nourrit.

Kamilia marqua une pause, observant lentement ce peuple. Ses yeux d'une vert clair saisissant se posaient avec une affection presque maternelle sur ce peuple.

- Mais pour ce soir, nul combat, rajouta-t-elle sur un ton calme et avec un sourire. Buvons à votre santé, cher peuple!

Elle leva son verre, sachant que le peuple adorait ce genre de conclusion et but une gorgée, ce qui était plus digne d'une princesse que de l'avaler d'un trait. Elle s'assit auprès de son père, sa soeur n'ayant toujours pas daignée se montrer. Kamilia se pencha vers Ultuant et lui demanda avec inquiétude :

- Comment ai-je été?

Thomas écoutait la conversation de Balthier et Nae. Enfin c'était plus tôt Balthier qui parlé ^^ Thomas le trouve un peu trop indiscret envers une jeune femme qu'il ne connaît pas. Elle pourrait très bien être mauvaise et sadique, lui en mettre plein la face pour qu'il ne recommence plus jamais à poser le regard sur elle. Ou alors elle pourrait tout au contraire ne rien dire sans pour autant rien penser. Ils étaient tout trois dans se silence quand Balthier lui jette un coup d'oeil. Tom comprend que le danger est là, il chercher et trouve vite la source. Un garde un peu plus habile que les autres. Tom n'avait pas envie de mettre en danger Nae, ni de se faire remarquer pendant le banquet. C'était quand même l'occasion de bien manger au moins une fois. Tom alors observe autour de lui, il fallait trouve une solution, maintenant la discutions n'avait plus d'intéresse, seul la vie de Nae avait d'importance aujourd'hui.

La solution vient d'elle même. Le Roi fait son entré splendide et gracieux. Les trompettes l'annonce du même coup de garde s'immobilise. Thomas soulageait s'affait un peu, il avait craint le pire en quelques instants. Quand le Roi apparaît, Tom reste sans voix. C'était un homme de bonne carrure, il était éclatant en blanc, le soleil reflété sa royauté et son élégance. Thomas comprit de suite que c’était des nobles, tout la famille royal devait être aussi belle que les oiseaux au Printemps qui se font la coure. Tom savait qu’il n’était pas de ce monde. Enfin pas autant, son cousin Kirua était noble, il avait apprit que son père était le frère du père de Kirua, il était donc à moitié noble. Il n’avait aucune idée sur les origines de sa mère. Enfin….Tom écoute le discoure du Roi : Tout cela pour dire simplement qu’il était heureux que la ville soit en paix. Ce qui était normal avec tous ces gardes dans les coins de rue. Tom jeta un regarde vers Nae, il lui prit la main et l’entraîne à s’assoit à la table des paysans. Tant qu’à être là, il regarde Balthier et lui sourit. C’était un défi, arrivèrent-ils à reste ici avec tout ses gardes ? Le Roi allait-il les jeter ou simplement faire tué Thomas ? Tom s’assit et alors la Princesse prit la parole. Un entraînement qui efface toute vos fautes !! C’est beau quelque soit la race, mais les hybrides n’étaient pas des races c’était des ennemis de tout peuple. Tom hausse les épaules, il devait déjà allégeance aux nains mais peut être que son cœur changerait pendant la guerre. Il passera sûrement de la neutralité à l’alliance. Tom alors prend son verre et fait comme tout le monde, il crie « vive le roi, vive la Princesse ». Et il boit. Il prend alors des pommes de terre et de la viande en sauce, il prend un bout de pain et croque un morceau. S’il ne voulait pas se faire remarquer, il fallait qu’il soit comme tout le monde. Sauf que les paysans n’avaient pas de capuchon pour se cacher. Thomas savait qu’il ne fallait pas qu’il le garde, il allait se faire repéré plus vite encore. Doucement et délicatement, d’une main grisonnent mais pâle il tira sa capuche en arrière. Alors ces yeux fit des éclats dans la foules, le soleil les faisait brillé et devenir encore plus clair. Ses cheveux bleus étaient très étranges et quelques personnes se retourne. Il espère que les gardes et la famille royale n’ont rien vu. Il baissa la tête et mangea comme si de rien n’était. Tom sentait Nae et Balthier à côte, il espère qu’ils ne vont pas se faire remarquer.

Ultuant écouta attentivement sa fille, d'un air le plus paternel possible, c'est à dire froid et glacé pour les hommes ou souriant pour les femmes.
C'est qu'elle parlait bien Kamilia. Elle avait bien suivi ses cours de politique. Ca se voyait dans son élocution.

Lorsqu'elle eut fini, il lui sourit. Son regard montrait sa joie et étincellait sous le soleil de midi. Il se pencha vers elle pour lui murmurer discrètement à l'oreille :

"Tu as été parfaite Kamilia. Enthousiasme, convainquante et tu as parlé d'une voix forte. Je n'ai rien à te reprocher... ah, si. Tu étais un peu voutée à la fin. Pense à te tenir droite tout le temps que dure ton discours. On aurait dit que tu voulais t'asseoir pour t'empiffrer le plus possible."

Ne se retenant plus, il éclata de rire, regardant autour de lui. A grande peine, il réussit à se calmer et se reprit, en se constituant un regard digne de son rang.

"Non c'était un beau discours. Ne t'en fais pas pour ça."

Après avoir mangé un plat, un homme, à l'opposé du roi, enleva son capuchon. Des cheveux bleux étincelèrent alors sous le firmament du ciel, comme s'ils reflétaient les nuages et la voute céleste.

Les soldats l'avaient déjà repérés et se dirigeaient vers lui. Ultuant fit un geste de la main et les arrêtèrent aussitôt pour les renvoyer faire des rondes.

"Pas de répression tant qu'il n'y a pas de bataille." murmura-t-il comme pour lui même.

C'était un repas censé être convivial, les soldats n'allaient pas se mettre à arrêter des personnes à tour de bras. Non, il fallait continuer et finir le repas dans la convivialité.

Kamilia reçut avec plaisir les félécitations de son père. Ce n'était pas tous les jours qu'il lui lançait des fleurs ainsi. Par contre, lorsqu'il lui dit qu'elle s'était voûtée vers la fin, elle tourna un regard offusqué vers lui. Voyant qu'il riait, elle sut qu'il plaisantait.

- Ha ha ha! Quel humeur, hum! lança-t-elle en secouant la tête.

Elle leva les yeux au ciel puis se servit, chose qu'elle avait rarement l'occasion de faire. Elle sentie son père se raidir à son côté. Kamilia leva les yeux, s'imaginant déjà le pire. Son coeur battait à tout rompre. Elle suivit le regard du roi et vit cet homme aux cheveux bleutés. Kamilia eût la même réaction que les gardes. Elle s'apprêtait à se lever, mais le geste de son père la retint. Elle poussa un long soupir puis lança discrètement ses sens vers l'homme. Elle tressaillit :

- Mais père! murmura-t-elle en se penchant près de son oreille. C'est un demi-drow! Ce n'est peut-être pas une bonne idée de le laisser ici! Nous ignorons ses intentions!

Les yeux vert pomme de la jeune fille étaient inquiets. Elle tapota la main de son père. Oui, Kamilia se fiait à son jugement, mais parfois, elle avait vraiment du mal à s'y plier! La princesse était même prête à aller l'interroger elle-même si son père ne voulait pas de bagarre. Ainsi, elle pourrait constater de quel côté il était.

Car la jeune princesse avait entendu parlé que certains demi-drow reniait leur origine obscurs. Mais c'était très rare. Étant donné le taux de natalité extrêmement bas chez les drows, ils faisaient toujours tout pour garder toutes leurs unités. Même les bâtards.

le banquet royal,Kirua en avait entendus parlé il savait que c'était important et qu'il y aurait du monde, il fallait donc qu'il y soit, mais discret a moins de vouloir mourir sous les coups des gardes de Diantra, kirua s'approchat de la place du marché, il marchait sur les toits de briques entourant la place, elle était bien circulaire et de nombreuses rues arrivait dessus,sur cette très grande place, Il y avait des tables, des tables et des chaises partout, toutes les assiettes étaient remplis de mets plus fins les uns que les autres, Kirua avait faim,il allait manger a sa faim, mais attention sans un bruit a moins de vouloir mourir ! Kirua se decidat a decndre, se mlant dans la foule et la populace, il s'approchait des tables volait la nourriturre et s'en allait, se réaprochait,re volait..... et ainsi de suite, quand il eut assez manger iil se baladat en mangant une pomme, quand il vit son cousin tom, il était en train de parler a une jeune femme,*encore en train de draguer celui là, il ne changeras jamais !*Puis kirua le vit s'approcher de la table royal,bin que simplement a moiti drow, cela pouvait ce considéré comme un acte suicidaire, quabnd la princesse intervint, cela sauvat la vie de thomas, enfin pour un moment car ensuite il osa demandé protection et immunité royal ! Chose que kirua avait grace a son rang chez les silencieux, quel idiot ! il fallait sauver thomas si il était en danger, heuresement il ne le semblait pas,il s'approchat de la table et se rendit invisible pour observer la scène !

L'assemblé était une excellente réussite. L'idée de ce banquet avait interrompu pour un temps ses rumeurs de guerre. Mais ce délais serait court. Bientôt même la capital serait sur un pied de guerre.

Pour le moment le décret militaire ne demandait que ceux qui possèdent une ferveur a faire partie de l'armée. Peut être si les choses s'intensifie, tous seraient appellé aux armes.

Hakam était de ceux qui serait envoyé en situation de conflit. Il était un excellent combattant doublé d'expérience dans le domaine de la guerre. C'est un peut à cause de ce soucis qu'il n'avait pas participé à ce festin qui réunissait presque toute la ville.
Accoudé contre un mûr, il admirait une des réalisations de ce bon roi qui gouvernait présentement le royaume. Il n'avait même pas pris le temps de de ce vêtir adéquatement. Il portait encore son épais tablier de cuir bouilli qui le protégeait des tisons ardents de la forge.

C'est un repos bien mérité que le peuple de Diantra peut profiter. Souhaitons que ce repos soit profitable pour tout le monde.

Hakam sursauta lorsqu'il entendit tout dabord une voix féminine derrière lui. En ce retournant il fût stupéfait d'y trouvé la princesse immitant sa posture contre le mûr. Il était plaisant de savoir que malgrés les tâches et son statut de princesse, qu'elle garde son esprit enfantin. Il n'avait pas eu la chance de la croisé souvent dans sa jeunesse. Et la savoir toujours rayonnante était un atout important.

Elle avait aussi prouvé qu'elle connaissait les jeux du pouvoir. Avoir convaincue un prétendant de ce joindre dans l'armée avait été un jeux d'enfant pour elle.

Offrant à la jeune demoiselle une légère référence il lui offrit son plus large sourire.

- Je suppose que plusieurs soldats sont déjà à votre recherche. Mais comme ce n'est pas la première fois que vous leurs offrez un peu de soucis, je ne dirai rien une fois de plus.

Il ce retourna et regarda l'assemblé encore une fois.

- Oui c'est une très belle fête que ton paternel à organisé. Je veux dire le roi. Elle est encore plus belle que les dernières. Mais je voudrais juste avoir ton avis sur quelques choses. Je sais que tu n'es sans doute pas au courant ou que tu n'es pas autorisé à le laissé parraître.

Hakam ce gratta la nuque et s'assura qu'aucune oreille indiscrète n'était à porté.

- Est-ce que que le royaume va bien ? Je veux dire, j'ai l'impression que des choses ce prépare. Pouvez vous princesse r'assuré un vieil ?

Souriant honnêtement il évita d'approcher de trop près la petite reine. L'idée de couvrir de poussière de charbon la princesse un soir de fête était une idiotie qui lui aurait mérité la visite du roi.

Kamilia prit un air innocent qui ne trompait plus personne. Elle l'écouta sagement et quand il semblait enclin à l'écouter, elle sourit et rit doucement. Il fallait qu'elle réponde en ordre. La princesse perdit soudainement son sourire et sa main douce alla le gifler. Pas de toute ses forces, mais tout de même avec une force raisonnable.

- Auriez-vous perdu le sens de la courtoisie? Tutoyer une princesse, tout de même!

Elle rit franchement, ses yeux brillants de malice. Elle était plutôt moqueuse et sympathique, n'agissant pas avec dédain et hauteur. C'était d'ailleurs ce qui lui valait l'amour du peuple. Elle regarda sa main couverte de suie et fit une moue adorable, mais pas dégoûtée... juste comique. Un garde s'approcha d'elle.

- Oh! fit-elle. Merci!

Elle s'essuya la main sur sa tunique et lui indiqua l'estrade où se dressait la table royale, le renvoyant d'où il venait. L'homme obéit, encore étonnée d'avoir servi de serviette à cette princesse espiègle. Kamilia se tourna vers Hakam, tout sourire.

- De quoi parlions-nous? Ah.... (sa mine s'assombrit) oui.

La jeune fille soupira, tentant de sourire en vain.

- Je vais être absolument honnête... Rien ne va plus. Les drows complotent, certains se sont infiltrés dans la ville. La menace plane au-dessus de nos têtes et mon père, par vanité sûrement, se croit à l'abri. Mais sa vision est trop optimiste et elle risque de causer notre perte. C'est pourquoi je joue des coudes dans l'ombre. J'aimerais que les gens fassent des réserves d'eau et de nourriture, mais j'ignore comment le leur dire sans les affoler : vous savez comment c'est.

Kamilia soupira, en posant le dos contre le mur. Son regard se perdit dans la foule. La jeune fille secoua la tête.

- Diantra et son peuple sont toute ma vie. Je n'ai rien d'autre. Je n'ai pas le droit d'avoir quelque chose d'autre.

Des rumeurs couraient sur le fait qu'Ultuant menaçait tout homme qui approchait sa précieuse enfant pour lui faire la cours. Ainsi, elle était privée d'affection et se retrouvait prisonnière du palais. Lorsque Kamilia se tourna vers lui, Hakam put y lire que c'était la vérité.

Hakam avait bien mérité cette gifle. Il n'avait aucunement voulu manqué de respect à la princesse et au grand jamais il n'aurait craché au pied d'un seul membres d'une lignée royale. Elle lui avait offert par cette giflé, la chance qu'un soldat ne porte pas plainte au près de son suzerain par son manque à l'étiquette royale.

- J'ai peut être une idée pour l'eau. Si vous me trouvez beaucoup de tonneau et un endroit pour les entreposés je peux vous faire gagner une réserve d'eau de plusieurs jours pour la cité. Pour ce qui est de la nourriture, il vous faudrait un fumoir capable de décimé des troupeaux entiers pour réussir à nourrir la capitale.

Regardant dame Kamélia, il avait remarqué qu'elle c'était réfugié dans ses propres pensées. Le forgeron ne pouvait rien faire pour la protéger de ces démons. Il ne pouvait que chercher à régler les problèmes plus évidents un à la fois. Serrant les poings pendant un bref instant il chercha dans son vieux crâne une idée où une solutions. Quelques choses qui pourrait aidé...

- Il existe peut-être une solution pour la nourriture. Des braconniers. En recrutant les chasseurs des environs ont pourraient trouvé le moyen de créé une réserve très importante de viandes fumées. Ils sont bien souvent équippé pour pouvoir saler et conserver leur propres denrés. Les réunir sous une même bannière ne serait sans doute un défi à votre mesure ma reine.

- Vous pouvez aussi utilisé cette même astuce pour remplir des ballots d'herbes médicinale qui pourrait sauvé plus d'une vie si un conflit persistait. Pour les céréales, un percepteur d'impôt pourrait faire le tour des terres les plus éloigné. En situation de siège c'est surtout cette nourriture qui ne pourra pas être acheminé à temps. Nous parlons bien sûr dans le cas extrême d'une situation de sièges ou d'une armée saccageant tout sur son passage. Les percepteurs sauveront une partie des vivres même s'il en coûtera plusieurs jurons des villageois.

- Il ne me reste qu'un seul conseil à offrir à ma jeune reine. Si vraiment des elfes noir sont dans cette cité je vous suggère de vous trouvé un bretteur comme garde du corps. Je sais que vous ne voulez pas d'un autre soldat qui surveillera vos moindre déplacement. Mais si vous choisissez un homme qui le ferait par amour ou que vous voulez connaître de plus prêt. Je ne crois pas que vôtre père ne puisse vous privé de ce genre de protection. Il faudrait bien sûr qu'il ai une lame à la hauteur de vos propres performance ma reine. S'il pourrait avoir un esprit aussi farouche que le vôtre et une habilité à la moquerie je l'accepte sur le champ.

Cette dernière remarque fit sourire le forgeron. L'idée de voir la princesse kamélia avec un tempérament aussi impulsif comme partenaire était tout à fait délicieux. Hakam serait sans doute un des premiers à courrir aux abris dans les cas de dispute.