On surnomme Alëandir ''la cité blanche'' en raison de ses pierres immaculées dans lesquelles elle est construite. Ces pierres sont introuvables en dehors d'Anaëh. Depuis le voile de nombreux bâtiments sont parcourus par la végétation zébrant le blanc immaculé des couleurs de la végétation locale. Par ailleurs les constructions citadines s'efforcent de respecter les formations naturelles.
Quelque uns des lieu les plus incontournables:
► le Trône blancAlëandir est la capitale du royaume thaledhel - Citadin. Son protecteur est donc dans le même temps Aran - Roi des cités elfiques. Le palais du trône blanc est historiquement la demeure de Tyräl, premier roi et celle de tout ceux qui lui ont succédé. Le palais est cependant bien plus utilisé en tant que lieu de travail et de rencontre que simple lieu de vie.
► l'AcadémieL'Académie est malgré sa jeunesse relative l'un des lieu les plus remarquables de la cité blanche. Excentrée du reste de la cité et sein pas ses propres murailles elle est le lieu d'apprentissage de mages de tout niveau et renferme de nombreux savoirs plurimillénaires.
Pour en savoir plus- image:
► l'EstelAu centre du Sanctuaire du chants, l'Harmalaica, se dresse l'Estel. Apparu en l'an 998 du X ième Cycle grâce à la gardienne Myrhyarmen, celle ci fusionna un an plus tard avec son oeuvre. Cet arbre maitre est donc considéré comme un cadeau de Kÿria elle même. Autour de lui, la Symphonie est très forte et apaisée. Nombreux sont ceux qui viennent en chercher les conseils.
Alëandir est la première terre ancestrale et la cité la plus ancienne des cités d'Anaëh. Son histoire est donc très chargée autant que liée à l'histoire même des cités elfiques.
III.2.1. FondationOn date la fondation d'Alëandir aux environs de l'an 300 du Ier cycle mais en réalité une date un peu plus antérieur marque le début de son histoire :
Aux alentours de l'an 200 du Ier cycle, le peuple elfique ne formait à l'époque que des petits groupes de tribus disparate de parts et d'autre d'Anaëh et, manquant de cohésion, ne pouvaient pas repousser les nains, premiers d'une longue séries de menaces envers la forêt.
Apparu alors
Tyräl, chef d'une de ces tribus. On dit que Tyräl convoqua et réussit à réunir les autres elfes là où furent plus tard posées les premières pierres de la Cité Blanche.
Cette place, chère au cœur des Lëandrins est d'ailleurs toujours nommée place Tyral en l'honneur de celui auquel le temps à prêté bien des qualités et effacé les défauts.
Certains disent même que Tyräl était le fil de Kyrïa elle-même, mais il ne s'agit là que d'une légende
III.2.2. Les débuts d'une cité Il ne fallut pas beaucoup de temps avant que les premières pierres de ce qui deviendrait la capitale du royaume soient posées.
Malheureusement la toute jeune cité n’était même pas encore érigée que le sang coula pour la première fois. Tyral n’avais pas réussis à fédérer l’intégralité des anedhels. Certains, accusant le nouveau chef de ne chercher que gloire et pouvoir avaient quitté la future Alëandir emplis de haine et de peur.
Ceux là firent couler le sang. Ils se réunirent à nouveau et décidèrent de s’en prendre à un Tyräl n’ayant pas encore eut le temps de faire ses preuves.
Ce n’est cependant pas à lui qu’ils s’en prirent en premier. Sa vie ayant été bénie par un prêtre de Kyrïa comme le voulais la tradition pour les chefs de tribus.
A la place, ils s’en prirent à la femme de leur ennemi : Alatàriel. Tyräl en fut bouleversé à jamais.
III.2.3. Le Premier Heru'Aran Bouleversé, Tyräl changea. Il se proclama Heru Aran – seigneur roi- et bannis les parjures dont personne ne sut jamais ce qu’ils devirent par la suite.
Le nouveau roi devint Taciturne et solitaire
Le destin n'avait cependant pas dit son dernier mot.
Tyräl rencontra Tinùviel, dont il tomba éperdument amoureux malgré les mises en garde d’ Athirlan'Lendil, proche ami et conseiller. Ce dernier, face à l’aveuglement de celui qu’il avait jadis sauvé de la dépression s’exila.
L’on n’entendit plus jamais parler de lui, à une exception près :
Tyräl, alors qu'il se trouvait en présence de sa nouvelle épouse vit un jour fondre sur lui un faucon qui lui délivra un parchemin sur lequel était écrit un message énigmatique :
« Lorsque l’Impur viendra troubler le Sang Souverain, lorsque la Neige sera l’emblème du Trône, lorsque les Arcanes guideront ceux qui ont fuit, l’Ere Noire fera frémir la Prime Forêt. Crains les Ephémères, car d’eux naitront les Ténèbres, qui prendront forme et souilleront le Peuple. Crains la Mort, s’abattant sur tes Frères, capricieuse et imprévisible. Crains alors pour les Tiens, qu’ils échappent à la Fin. »On dit qu’il avait, au dos du parchemin, rajouté un simple mot.
« Paix ». Personne ne comprit le sens profond de ces paroles énigmatiques, mais beaucoup s’en souvinrent, quand la peau des Traîtres se teinta d’ombre.
III.2.4. RégicideTinùviel et Tyräl virent bientôt la Mère leur offrir le plus beau cadeau qui fut pour des elfes : un enfant. Ensemble ils eurent Lyra’Suan.
Mais là non plus le bonheur ne devait pas durer car la reine décida de se débarrasser de son époux.
Ainsi mourut le premier roi des Anedhel.
Ce meurtre ne resta bien entendu pas impuni. Les chefs des tribus se soulevèrent et jurèrent de venger feu leur roi avec l’aide du fils de ce dernier. Tinùviel ne régna que bien peu de temps mais son règne fut sanglant.
III.2.5. Création du conseil des protecteursLe règne de Lyra’Suan fut plus éclairé et plus prospère. De cette époque les elfes virent apparaître nombre merveille. Alëandir vit notamment les débuts de ce qui serait par la suite son académie de magie.
C'est aussi de cette époque que naquirent nombre de légende autour du peuple elfique.
A l'aube du 3ième cycle, le pouvoir royal commença à s'affaiblir. Fut alors formé un premier conseil des protecteurs.
III.2.6. Findàrato et Caranthir Le temps passa avec une douce monotonie, jusqu'à la fin du cycle 9.
Findàrato monta sur le trône, jeune il était plein d'ambition pour son peuple. Sous son règne les protectorats furent tous mis sur un pied d'égalité et les sept terres ancestrales perdirent en influence.
C'est sous son règne que le nom d'une autre légende du peuple elfique apparu: Caranthir.
A la fois mage, conseiller et sage, il fut un proche de Findàrato. Si l'académie d'Alëandir est ce qu'elle est aujourd'hui, on le doit beaucoup à Caranthir. Pour la première fois depuis deux cycle ce fut aussi lui qui découvrit de nouveau secrets dans le livre de l'Ëala Elenmár.
La fin du règne de Findàrato fut des plus chaotiques. Sa femme fut retrouvée morte dans sa chambre sans que l'on ne sut jamais la raison et comme Tyräl quelques cycles avant lui, Findàrato n'en fut plus jamais le même au point d'en mourir de chagrin. Ce fut donc Caranthir qui assura la régence le temps de lui trouver un successeur.
III.2.7. Uraal Vint l'an 700 du 10ième cycle et la bataille du lac Uraal. Des mouvements, supposément associée aux déplacements d’une troupe militaire proche du lac furent remarqués. Des elfes furent donc envoyés sur place, dont Caranthir, à cette époque Archimage du chapitre blanc et conseiller du roi Golradir.
Caranthir parmi beaucoup d’autres y perdit la vie car ce n'était là qu'une embuscade drow qui donna lieu à un carnage sans nom.
Le lac n'était qu'une diversion consistant à éloigner l'armée de la cité. Alëandir se trouva assiégée pour la seconde fois de son histoire et vis pour la première fois les sombre attaquer Anaëh.
Bien que les elfes réussirent à repousser l'ennemi, ce ne devait malheureusement pas être la dernière bataille entre les deux peuples.
III.2.8.Le Voile >
Voir zoom sur le Voile<
III.2.9. Disparition de Dyarque Les années 7 et 8 du nouveau Cycle marquèrent à leur tour l'histoire elfique.
Malgré la débâcle d'Ellyrion, le Voile, et la chute d'Eraïson, le trône blanc ne réagit pas. Dyarque restait muet.
Un trône Vacant:
Un matin de Barkios de l'an 8, l'Heru'Aran disparut brusquement sans laisser de trace.
Le choix d'un nouveau régent : C'est le protecteur de quatrième-Saison, Anornedellon Nedi Lûcannui qui prit la régence, le temps que le haut conseil puisse être réunis, ce que les temps de trouble ne permettaient pas dans l'immédiat :
III.2.10. Vers un nouveau mondeUn nouvel Heru'Aran:
C'est à la fin de l'an 11 qu' Anornedellon décida qu'il était temps pour Alëandir et Anaëh d'avoir un nouveau protecteur. Il convoqua donc le haut conseil comme le voulait la tradition. Cependant ce n'est contre toute attente pas un protecteur qui se vit finalement couronné mais un militaire. Commandant des armées de Daranovar, c'est Artiön Laergûl, accompagnant le protecteur Daenor Thoràndrion qui fut élu.
Comparé à ses autres confrères, il est difficile de séparer le protectorat de la politique menée par le Trône blanc étant donné le statut de son protecteur.
III.3.1. Le Protecteur :Le protecteur d’Alëandir est investi d’une double mission puisqu’il porte aussi le Titre d’Heru Aran, roi des cités d’Anaëh. Par conséquent il est choisi par l’ensemble des protecteurs des autres cités, réunis en un Haut conseil dans un lieu qui n’est accessible que d’eux seuls.
Malgré tout, les affaires de la cité et les affaires du trône blanc sont au maximum gardée séparées quand cela est possible.
Les Lëandrins sont les habitants de la plus ancienne cité elfique. Chargée est donc leur histoire. Ils sont conscients de l’importance de leur protectorat et en son fier, parfois à l’excès leur donnant la réputation de voir leur cité comme le centre du monde.
Au sein du protectorat lëandrin se trouve en réalité deux corps d'armée bien distincts : l'armée lëandrine et l'armée royale.
L'Armée Lëandrinne comme n'importe qu'elle milice protectorale est en charge de la protection et de la gestion des terres d'Alëandir. Possédant une des académies militaires les plus prestigieuses avec Daranovar, ses effectifs moyens hors temps de guerre sont d’environs 3500 soldats. Ce corps d'armée, fort de sa proximité avec les Aigles et l'armée royale est la plus équilibrée des milices, ayant au cours des dernières années amélioré sa collaboration avec d'autres protectorats. On lui connait enfin la forte utilisation de
mirages d'argent comme moyen de communication.
L'Armée Royale est, elle, affiliée au trône blanc. Elle sert de liant entre les protectorats et peut intervenir n'importe où en Anaëh si besoin. Prestigieuses, elle est composé des meilleurs éléments des milices protectorales et des plus prometteurs. L'Armée royale comporte d'ailleurs deux corps spécifiques d’élite : Les Aigles et les Éperviers
VII. Le VoileLe Voile à particulièrement impacté la cité d'Alëandir. En effet, c'est dans ces jardin que ce trouve L'Estel avec lequel la gardienne Myrhyarmen fusionna. Suite à cela les racines du gigantesque saule pleureur grandirent et s'étendirent à travers Anaëh. La symphonie se fit plus forte au même titre que la Prime Œuvre. De nombreux bâtiments de la cité se virent envahis par la végétation et les racines fragilisant parfois les structures.